Eithne Rhodeshumanity in our veins
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Pseudo : Voyou.
Avatar : Suki Whaterhouse
Crédits : @Nympheas
Double compte : Hellow, it's me (AH, IO, TW)
Image : Âge : Vingt sept années accumulées avec son lot de joie et de souffrance.
Statut civil : Coeur libérée de toute entrave, trop volatile pour s'impliquer dans quoi que ce soit.
Occupation : Parce que les clichés valent parfois plus que des mots, tu vends tes photos pour tes causes humanitaires.
Date d'inscription : 05/04/2016
| Sujet: Someone help me [Nerys] Jeu 2 Juin - 15:08 | |
| Nerys & Eithne Someone help me Tes doigts tapotent nerveusement contre les touches de ton clavier alors que ton portable est coincée entre ton oreille et ton épaule. La voix de Nerys résonne, des morts pré-enregistrée qui aiguise l’inquiétude qui t’enserre le cœur. Oh, s'il te plait Nerys, décroche ce putain de téléphone. Tu grognes, marmonnes et laisses échapper quelques jurons alors que les téléphone s'offre un vol plané à travers la pièce, retombant miraculeusement sur le lit. Tu te mords la lèvre inférieur, alors que tes orbes dévores les nombreux articles traitant de la catastrophe de la veille. Pour une finalement échouer sur un cliché de Nerys, pris quelques minutes avant que tout ne s'accélère. Le sourire est plaqué contre les lèvres de ta cadette. Bordel. Où est-elle donc passée? Tu te redresses, faisant quelques pas dans l'appartement. Tu prends ton visage entre tes mains, ramenant la tignasse blonde indomptée vers l'arrière de ton crâne. Pas de nouvelle, bonne nouvelle. C'est plus facile à dire qu'à croire. L'ignorance te cloue sur passe, la peur te ronge les entrailles, t'empêche de penser à quoi que ce soit d'autre qu'à elle. Tu as eu des nouvelles de Naohm quelques heures auparavant, tu n'as pas oser l'alarmé en l’assiégeant de question... Non, alors tu te retrouves seule, seule avec ta paranoïa. Puis finalement, une impulsion. Tu attrapes ton téléphone et le fourre dans ton sac à main. tu prends la porte pour braver les rues en ruines. Tu t'en fous, tu es obsédée par Nerys, par la perspective qu'elle pourrait compter au nombre des victimes. Tu escalades les escaliers qui mènent à son appartement sans prendre la peine de reprendre ton souffle. Tu tambourine furieusement contre la porte, la poing frappant, encore et encore, inlassablement, jusqu'à ce que la silhouette de ta frangine n'apparaisse dans l'embrasure de la porte. Tu remarques à peine le regard dubitatif qu'elle te lance, tu la passes au crible, inquisitrice, à la recherche des moindres séquelles. T'étais où, bordel, tu ne sais pas répondre à ce putain de téléphone? Tu as du mal à respirer, la course t'a essoufflée. Tu finis par balancé ton sac sur le canapé et te laisser tomber à ses côtés. Un soupire qui s’extirpe de tes lèvres alors que tu relèves ton regard vers elle. Tu m'saoules. Tu m'as fais courir. |
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