Eilís Rhodeshowling at the moon
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Pseudo : zadig
Avatar : Gemma Arterton
Crédits : odistole
Image : Âge : 29 ans
Occupation : Premier violon en hiatus, donne des cours à qui veut bien, pianiste de bar quand il faut bien vivre.
Poste dans la meute : Omega sans attache. A l'écart des autres, loin des semblables. Rejoindre c'est accepter. Accepter c'est embrasser la bête qui arrache et qui hurle. Hors de question
Date d'inscription : 08/02/2016
| Sujet: (M/LIBRE) KEINO WEIDNER Dim 6 Mar - 4:39 | |
| Noah Rhys Llywelyn citation en guise de titre ici, à changer pour votre personnage PRÉNOM(S) : Noah, le meneur de l'Arche, de quoi être fier... Non ? Rhys Ses origines galloises qui remontent, sifflantes. AGE : 31 ans. PROFESSION : Propriétaire d'un bar atypique dans Glencullen, réputé pour ses concerts et ses nuits musicales. Il était promis à une belle carrière de pianiste professionnel s'il n'avait pas perdu les trois doigts de sa main gauche dans un mauvais accident. STATUT SOCIAL : Fiancé, statut plutôt chaotique qu'il essaie de préserver de la tempête. Sa tempête. Fiancé par deux fois, il aurait voulu résister mais n'a pas pu. Pas su. RACE : Profondément humain. Noah est issu d'une dynastie de chasseurs qui vont et viennent dans la société, principalement orientés vers l'information et l'aide à la communauté. Il n'a jamais vraiment ressenti l'appel de la chasse, comme nombre de ses camarades. Tout ce qu'il demandait c'était un peu de tranquillité. Maintenant il a la rage au fond des artères. NATIONALITÉ & ORIGINES : De nationalité Irlandaise, il a des origines galloises profondes et australiennes. trait de caractère ◊ trait de caractère ◊ trait de caractère ◊ trait de caractère ◊ trait de caractère ◊ trait de caractère ◊ trait de caractère - Le clan Llywelyn est une famille irlando-galloise implantée dans le monde de la chasse depuis quelques décennies, depuis qu'un ancêtre a été attaqué par un loup et que sa femme a pris les armes. La légende court entre les générations, chacun ajoutant sa fantaisie au mythe familial. - Ils font partie du Cercle, pour la plupart mais agissent généralement comme informateurs. Beaucoup de Llywelyn ont cessé la bataille, trop contraignant, trop de peur et de douleur. Ils supportent les chasseurs depuis leurs bars, clubs et autres havres qu'ils leur ouvrent avec plaisir à ceux qui poursuivent la chasse. - Ils sont connus pour être d'excellents physionomistes et surtout pour posséder une impressionnante collection de bars à bière. Les chasseurs non natifs ont tendance à avoir l'alcool facile. - Petit prodige du piano, Noah est entré dès l'âge de 13 ans au Conservatoire de Dublin et s'est tenu loin de l'univers de la chasse durant toute son adolescence, par manque d'intérêt et préférant les touches de son piano à la gâchette d'un Beretta. - Il a une conscience aigüe du monde surnaturel, les sorciers, les loups, des silhouettes qui passent et qu'il imagine. Noah est bien incapable de les reconnaître au premier coup d'oeil, bien incapable de donner la mort sur une différence. - La verve haute, les mots qui frappent, Noah est un agitateur pacifique. Il pose les questions qui dérangent, trouve les points qui blessent sans jamais franchir les limites, manie désagréable pour quiconque le connaît. Il n'a jamais été de ceux qui hurlent et frappent, Noah. Lui il réfléchit, souvent trop et trop longtemps, au point qu'on lui reproche de ne jamais agir, au point de tout garder pour lui et de ne plus savoir que faire avec la tempête qui fait rage. - Il a suivi un début d'entraînement de chasseur au début de son adolescence mais a cessé dès que son rôle de pianiste est devenu beaucoup plus important. Pour lui le choix était déjà tout fait. Il ne méprise pas les chasseurs mais pour lui la vie qu'ils mènent n'a rien d'enviable. - Avis partagé quant à la société des Chasseurs et le bien fondé des actions. La violence qui engendre la violence n'a jamais été dans ses habitudes. Noah, il a plutôt la violence dans les mots, les expressions qui font mal et contre lesquelles on ne peut rien parce qu'elles tombent juste. Noah, c'est le discours caustique et corrosif, l'humour décapé. "On n'se bat pas avec des mots" qu'on lui a dit. "On" n'avait pas tort. - Promis à une grande carrière de pianiste, notamment grâce à ses duos avec Eilís, il a quitté l'orchestre après l'annulation de leurs fiançailles et s'est reconverti en pianiste solo. - Quatre ans. Il a perdu sa soeur il y a tout juste quatre ans dans une chasse ayant mal tourné, peu après la rupture de ses premières fiançailles. Des remords plein la tête et des regrets plein le coeur. Elle n'aurait jamais dû se jeter dans la bataille et il lui en voudra éternellement pour le laisser comme ça, seul. - Il a voulu prendre les armes, la venger, éteindre le feu qui lui ravageait l'âme mais s'est heurté à des sorciers plus forts que lui. Il a perdu quelques doigts et son envie de se battre, gagné un stress post-traumatique qu'il se refuse à admettre. Rien qu'un foutu pianiste tout juste bon à servir des bières. - Il souffre de PTSD depuis trois ans, depuis cette chasse ratée qui a bien failli lui coûter la vie. Une partie de sa hanche gauche porte encore les traces de brûlures profondes, des cicatrices profondes qu'il a recouvertes de tatouages comme pour effacer la douleur et les mois passées sous les scalpels à l'hôpital. Du mal à dormir, la paranoïa qui le guette, sensation d'être un animal traqué. Il ne rentre jamais sans avoir vérifié la pièce trois fois, ne quitte jamais une pièce sans coincer un papier dans l'embrasure de la porte, tressaille à l'idée de s'approcher d'une flamme. - Depuis il a reconstruit sa vie, plus ou moins et essaie d'oublier l'envie de vengeance, toujours présente, tapie dans les ombres. Il est violent Noah, ne se reconnaît plus dans les gestes qu'il fait, les mots qu'il crache avec plus de véhémence. - Il a toujours eu l'habitude de réparer les choses. Les gens, les objets, les blessures. C'était un peu sa spécialité, les mots pour bandages, les gestes pour atténuer la douleur. Mais il n'a pas su réparer Eilis, il n'a pas sur aider sa soeur. Il ne sait plus que briser et en oublie comment réparer. - Sa fiancée actuelle est une chasseuse, elle était avec lui lors de son accident et ne l'a pas quitté. Leur relation est pleine de chaos mais chacun essaie de se maintenir dans l'oeil du cyclone. Noah se blâme tous les jours de son incapacité à être chasseur, de ne pas pouvoir accompagner sa fiancée, de ne savoir protéger personne, pas même venger sa soeur. Elle refuse de le laisser chasser, peur de le perdre, peur de ne pas pouvoir correctement chasser elle-même. Alors ils se battent, se déchirent, vont voir ailleurs pour maintenir l'équilibre. nature de la relation - Eilís Rhodes Ils se connaissent depuis longtemps. Un peu trop, peut-être. La gosse tyrannique est venue tirer la manche de sa chemise pour lui imposer de l'accompagner. Elle au violon, lui au piano. "Tu es le seul qui pourra me suivre" qu'elle lui a dit avec une certitude bien trop adulte dans le fond de la voix, le vibrato princier et péremptoire. Elle avait douze ans tout juste et lui, du haut de ses quatorze ans, il a trouvé la requête d'une audace infinie. Etrangement, il a accepté pour diverses raisons, parce que leurs passions pour la musique résonnait plus fort que leurs éclats de voix, ses hurlements à elle, son obstination à lui. Ils ne se sont plus vraiment quittés, jusqu'à ce que l'accident vienne voler à Eilis un peu de son effronterie, qu'elle perde un bout d'humanité et gagne en tyrannie. Mais il a accepté, Noah. Il a accepté de l'accompagner jusqu'au bout de chaque envolée lyrique, chaque explosion entre rage et fracas. Il était là quand la lumière a commencé à disparaître, à observer, impuissant. Il a subi plus qu'accepté, un peu aveugle lui aussi. Les nuits de pleine lune, la violence latente, l'humanité glissant entre les doigts, Noah est passé loin des signes qui faisaient les créatures de légende, par ignorance autant que par choix inconscient. C'est allé trop loin, même pour lui, dompter le monstre lui a demandé trop d'effort et les coups qu'il a pris ont émoussé sa patience, sa confiance. - Spoiler:
« Comme d’habitude, ton troisième mouvement est en retard. » La rage claque, plus forte que d’habitude, frustration bouillonnant entre les lippes déformées. Il fronce le nez. « Tu es injuste, Lis. » Elle s’adoucit, essaie, du moins, de gommer l’aversion qui lui froisse les traits. « Tu crois ? Tu ne pourras t’en prendre qu’à toi-même si on loupe ce concerto. » Craché, le reproche, les poings serrés qu’elle s’empêche de lui envoyer en plein visage. Un feulement agacé lui échappe. « Bien sûr, ce serait totalement ma faute et non la tienne. Toi et ton archet enflammé, incapables de suivre un tempo stable… » Haussement d’épaules qu’elle lui sert, la fuite avant même qu’il n’ait le temps de poser ses doigts sur les siens, comme d’habitude. « N’essaie même pas. » La menace gronde, bestiale, roulée depuis le fond de ses entrailles, étincelle sauvage dévorant brièvement toute l’humanité dans ses prunelles. Il recule, par instinct de conservation. « Reste… » C’est à lui de demander, réclamer un peu la chaleur de sa peau, le droit qu’il a gagné à lui passant un anneau au doigt. Il s’obstine et elle fait les cent pas, louve en cage tiraillée entre deux univers. « Je peux pas, Noah. » Le refus lui arrache les lèvres autant que la fureur lui dévore les veines. Ardeur qui lui court la peau, elle a l’épiderme enfiévrée et tout son instinct qui ne demande qu’à le dévorer, lui, tout entier. Sens propre comme figuré. « S’il te plaît… » Les doigts du pianiste s’enroulent brusquement autour de la canne blanche qui ne la quitte plus depuis le diagnostic. Avant même de le savoir, elle a fait volte-face, les phalanges blanchies par la colère, la peur du prédateur. Elles s’abattent sur son visage flou, ses traits qui disparaissent sous la vague de carmin, sous les coups et les ténèbres qui la dévorent. Sang sur les doigts, horreur entre les tripes. Elle se redresse et la louve dans les entrailles se gausse de son incapacité à la garder scellée trop longtemps. Tu pourrais le tuer. Ou autre chose. Elle siffle les propositions pernicieuses, insidieuses. Les envies se glissent sous la peau, le besoin de chaleur se dispute aux instincts sanguinaires. Ni l’un ni l’autre. Elle détale, s’enfuit avant de pouvoir penser.
(...) « Je suis désolée, Noah. » La respiration siffle au bout du téléphone. Elle tressaille, peur qu’il raccroche. « J’espère bien. » – « Tu vas porter plainte ? » La panique, déjà, dans le fond de sa voix. Elle sait qu’elle a tout raté, tout fait sauter, incapable de s’arrêter. « Non… » Silence. « Mais ? » Elle sait la phrase inachevée, l’inflexion suspendue, elle le sait hésitant. Autant arracher la suite. « Je pense qu’il est mieux qu’on arrête là, Lis. Je peux plus continuer. Je mettrais tes affaires chez ta sœur. » Il n’appelle aucune discussion, aucune protestation de sa part, n’attend même pas le consentement, à vrai dire. Une ultime respiration et il a raccroché.
Leur fiançailles brisées par sa faute à elle, Noah a longtemps porté amertume et rancune au fond de ses entrailles, haine certaine, même, pour la violence de la gosse immature. Incapable de supporter encore le tyran, il a quitté l'orchestre et la carrière qui s'offrait à lui pour retourner à Glencullen, tenir un bar avec sa soeur. Aucune nouvelle jusqu'à l'enterrement, tout juste une lettre pour présenter ses condoléances. Même pas osé se présenter aux obsèques, Eilis, si proche de la soeur et si éloignée en quelques mois. Il lui en a tellement voulu, l'a tellement détestée pour son indifférence mais n'a rien dit, le silence radio préférable à toute autre forme de communication avec Lis. Il avait réussi à oublier, à la perdre dans les méandres de ses propres problèmes jusqu'à ce qu'elle remonte d'elle-même, impérieuse comme toujours. Un coup de fil un an plus tôt pour demander, quémander de l'aide comme si le temps s'était arrêté. - Spoiler:
(28 ans) « Ravie de te voir enfin, Noah… Enfin en quelques sortes. » Elle lâche avec ce sourire cynique qui n’appartient qu’à elle, avant même qu’il n’ait eu le temps de s’asseoir ou de prononcer la moindre phrase. Il ouvre la bouche, la referme. « T’es en retard et ta démarche te trahit. » Son odeur, aussi. Imprimée sous sa peau, gravée dans l’esprit de la louve sans qu’elle ne puisse l’oublier. « T’as changé, Lis. » qu'il lui lâche à la face, comme ça, un peu brusquement, comme une claque du revers de la main parce qu'il aurait peur de s'en salir la paume. Ses yeux aux reflets fauves lâchent le fond de sa tasse de thé et elle vrille ses iris presque morts à ceux du pianiste. Un haussement d'épaules lui paraît être une réponse acceptable. Son dos se tend, elle soupire un peu, appuyant à dessein sur la petite moue qui l’accompagne. « Faut croire. » La réponse puérile lui échappe et reste en suspens. Lis se mord la lèvre inférieure. Elle n'a plus douze ans, même plus vingt et l'heure n'est plus aux réponses toutes faites. En face, elle l’entend s’agiter, voit sa silhouette floue vaciller comme s’il cherchait une position plus confortable. Le vent change un peu, la frustration roule sur la peau du pianiste et la mâchoire de la violoniste se crispe, attendant le retour de bâton. Rien ne vient, rien ne tombe. Elle ne sait pas si elle doit être déçue ou rassurée. « Mon appartement t’es toujours ouvert, tu sais ? » Elle hoche la tête, surprise par sa douceur, il baisse un peu les yeux. Il n’a jamais compris, elle en a bien conscience. Il n’a jamais compris les disparitions à la pleine lune, les journées à dormir pour se remettre. Il n’a jamais compris ou n’a jamais voulu. Cette rage qu’elle n’a jamais pu partager, l’horreur qu’elle ne peut pas lui imposer. Son regard se pose sur les cicatrices qui dépassent sous le t-shirt fin et il déglutit lentement. Il se sent coupable, si coupable de la laisser seule dans les abysses. Sa main cherche la sienne, souvenir un peu douloureux qui lui électrise la peau. Ses doigts l’effleurent à peine avant qu’elle ne se dérobe. Elle se dérobe toujours, comme si elle savait chaque mouvement, prévoyait la moindre variation. Il lui reconnaît ce talent étrange, même dans le noir complet. Elle a toujours su. Anticiper du bout du violon, mener la danse avant même que la musique ne commence. Elle plaque un sourire affable sur ses lèvres, un sourire qui se veut rassurant. Elle a l’air d’un clown constipé mais c’est tout ce qu’elle peut lui offrir, elle l’entend soupirer, notes nostalgiques envahissant l’atmosphère. « Je ne voudrais pas vous déranger, avec ta chère fiancée. » Elle fronce le nez, les mots sont toujours aussi durs à prononcer mais toujours aussi amers. Admettre qu’il ne lui appartient plus, qu’elle a raté l’occasion, l’a abandonnée volontairement. « On pourrait passer une nuit ensemble, toi et moi… Elle n’en saurait rien. » Sa main traverse la distance les séparant, viens se poser sur la cicatrice qui lui court le long de l’arête du nez, cadeau d’adieu un peu abrupt. Il l’écarte brusquement, elle lâche un soupir presque déçu. Ses pupilles s'étrécissent légèrement, elle se compose ce sourire frondeur et suffisant qu’elle sert à tours de bras et qui ne veut plus rien dire. Celui qu’elle avait lorsqu’elle était prête à lui voler tout ce qu’il ne lui offrait pas. Elle est comme ça. Elle a toujours été comme ça. A prendre sans demander. Il s’était toujours laissé faire parce qu’il le voulait bien, la lassitude de se battre aidant certainement. Plus maintenant. « Tu voulais quelque chose ? » Le ton change, la louve tressaille, apprécie un peu la violence qui émane des mots qu’il crache, abrupt et sévère. « Comme tu peux le constater, je suis poussée vers la sortie du Philarmonique. J’ai besoin d’un autre job, Noah. »
La princesse commande et il obtempère, offre l'emploi qu'elle lui demande malgré toutes les conditions que cela implique mais sa docilité s'arrête là. Elle ne cesse de forcer le passage, tenter le diable et lui offrir ses courbes, toujours pas digéré qu'il ait pu se fiancer sans lui en parler. Il n'en veut plus, plus vraiment, n'ose pas encore lui avouer qu'il a perdu sa dextérité de pianiste, sa peau marquée comme la sienne. Cataclysmes en devenir. ( plus sur la fiche) LIBRE - KEINO WEIDNER Helloooow ! Alors déjà merciiii d'avoir lu ce pavé si relou zefoshdqmosf. Sache que je te prépare un temple en cookie et un autel en chocolat (et plus si affinités ) Passons aux points du scénario Avatar Me gusta beaucoup Keino Weidner et l'idée est que Noah soit plus ou moins tatoué pour masquer ses cicatrices Après, je suis bien évidemment ouverte à toute proposition (Vinnie Woolston, toussah, proposez quoi o/) Pseudo C'est totalement libre, il me semble l'avoir nommé une ou deux fois dans ma fiche mais ça n'est pas spécialement gênant s'il change de prénom/nom Infos/Histoire Bon y'a plein d'infos parce que j'aime bien faire des scénars avec beaucoup de corps en plus du lien mais au niveau du caractère, vous restez relativement libres, de même pour son histoire. Il peut également être fiancé ou s'être séparé récemment. Si vous avez d'autres idées, on en discute étou Lien Concernant le lien, j'ai conscience qu'il est un peu... flou T_T et qu'il se concentre essentiellement sur leur passé. Concernant leur présent, il faut surtout retenir qu'ils sont dans l'impasse tous les deux, plutôt brisés dans tous les sens du terme, que Noah a des envies de chasse et qu'il retournerait bien faire cavalier seul s'il le pouvait. Qu'il est aussi beaucoup plus sensible au surnaturel maintenant qu'il a un peu chassé et que les choses ne sont plus comme elles étaient cinq ans plus tôt. Eilis n'est pas au courant du handicap de Noah et il fait de son mieux pour lui cacher (de toute façon ils se détestent ) alors qu'elle se fait un plaisir de le provoquer, envahir son espace vital en faisant sa grosse dramaqueen. Enfin bref, tout ceci est négociable, on en discute et tout, m'voyez, de même pour le futur, tout est libre o/ RP/Présence/Le reste/L'amour Je ne demande pas une syntaxe de ouf ni la plume de Voltaire (déjà parce que sa plume était chiante ) mais un bon français, de l'implication, la base quoi Pour ce qui est du reste, je vous fais confiance, on peut causer par MP et je vous fais des bébés |
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Noah Llywelynhumanity in our veins
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Pseudo : bat'phanie
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Statut civil : Fiancé de Tallula la douce, la forte, la tempête qui fait pleuvoir la joie et le malheur. Mais les yeux s'égarant encore sur Eilis la furie, napalm qui te reste sur les lèvres, un gout de fer et de douleur.
Occupation : Propriétaire du Bust Yer Cranium, un bar à chasseur, les informations y tourbillonnant au rythme de la musique.
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TO KNOW MORERelations: | Sujet: Re: (M/LIBRE) KEINO WEIDNER Lun 27 Juin - 23:04 | |
| Ah que coucou toi ! Bon, je sais que tu attendais un Keino ou un Vinnie, mais comme tu as spécifié qu'il fallait surtout des tatouages et que le personnage à 31 ans... et que je suis terriblement en amour avec ton scénario (sérieusement, cette merveille ! ) je me suis permis de prendre une autre bouille que j'affectionne particulièrement. Si jamais Rafael ne te plait pas, on pourra toujours en discuter, évidemment. (Mais je croise quand même les doigts ? ) Cela dit, dans le genre tatoué, je crois que la hanche gauche est couverte et puis, j'espère qu'on pourra parler plus en détail du lien entre ta petite Lis et le monsieur. (J'avoue que je ne sais pas trop ce que tu attends pour la suite, mais heeeeeey, je me lance !! ) BREF vivement qu'on se parle et j'espère que ma venue te fera plaisir, parce que je suis réellement tombé en amour avec ta plume et le petit Noah ! |
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