identity card PRÉNOM(S) : Marguerite, comme la fleur... AGE : 23 ans. PROFESSION : Charmeuse d'anguilles (danseuse). STATUT SOCIAL : Très compliqué. RACE : Sorcière. NATIONALITÉ : Française depuis notre adoption, j'avais 5 ans. ORIGINES : Anglaise. FAMILLE : J'ai perdu ma mère et mon beau-père lors de la naissance prématurée de mon demi-frère. Nous avons tout les deux étés adoptés par la famille des Champs. Martin et Madeleine des Champs sont tout les deux des sorciers accomplis et leur fille, "Machine" comme nous l'appelons, n'a pas eu la chance d'être bénie par la lune, elle nous déteste pour cette raison.

characterization Extravagante, mystérieuse, douée, séduisante. Tellement d'expressions que l'on peut prononcer quand on parle de moi. Certains me verront lumineuse tandis que d'autres préféreront me peindre comme étant morbide et sombre. La seule chose pour laquelle les gens sont bien d'accord c'est sur ma franchise. Je ne me soucie pas du fait de plaire ou non. Tout ce qui compte c'est que je sois heureuse peu importe les moyens d'y parvenir et ce n'est pas dans les bras des hommes que myo m'emprunte que je vis mes plus beaux instants mais bien avec mon demi-frère. nous sommes tout l'un pour l'autre et je ne pensais pas pouvoir aimer comme je l'aime. Myo et moi somme très complice, jamais très loin l'un de l'autre. J'ai toujours eu tendance à le préserver et à vouloir le garder pour moi seule. J'ai la mauvaise manie de me croire mieux que les autres. J'ai un sale caractère mais pourtant les gens même bien. À croire que ça me rend attachante...

depuis quand habitez-vous à Glencullen ? Et pourquoi avoir choisi cette ville ? : Nous n'avons fais que suivre notre famille. J'y ai vue comme le début d'une nouvelle vie où le fait de donner des couleur gens est totalement normal... J'y suis depuis toute petite, nous n'avons été à Paris seulement le temps de régler les papier de notre adoption. Avez-vous remarqué la présence de plusieurs créatures surnaturelles ? Croyez-vous en leur existence ? Si vous êtes vous-mêmes une de ces créatures, avez-vous conscience de la présence de chasseurs, ou vous pensez-vous plus fort qu'eux de toute manière ? : Oui bien sûr, je suis d’ailleurs l'une de ses créature surnaturelle et les chasseurs ou encore les bombe de poison sanguinaire ne m'effraient pas. Croyez-vous en l'existence de divinités quelconques ? Avez-vous une religion ? Si oui, laquelle ? La pratiquez-vous sur une base régulière, ou pas du tout ? : Je suis fille de la lune et de la mort, je ne l'ai sue qu’après la mort de ma génitrice qui m'avais éduqué dans l'amour de dieu le père tout puissant... J'avais du mal à comprendre puisque je n'avais même pas cinq ans. Aujourd'hui je sais qu'il est possible qu'il existe mais je préfère offrir à lune ses sacrifice qu'il en soit pour ma survie ou non.

PSEUDO : Foeh PRENOM : Sophie AGE : 22 ans COMMENTAIRE, SUGGESTION ? : AVATAR : sexy Hattie Watson GROUPE : sorcier PERSONNAGE : inventé

Assise au bord de l'eau je regarde mon reflet. Mes cheveux recouvrant mon visage. Les larmes coulantes sur mes joues. J'ai cinq ans mes parents viennent de mourir par ma faute dans un accident que j'ai provoqué. Myo était sur le point de naître avec trois mois d'avance, un orage menace et moi j'étais là affolée par la pluie battante, le moteur bruyant et les hurlements de souffrance de ma mère. Et puis il y avait la vitesse excessive de la vieille voiture de mon beau-père. Il n'a fallu que quelques secondes. Je me suis mise à hurler et puis une bourrasque de vents à frapper le petit habitacle en ferraille brisant les vitres alors que ma mère rendait son dernier souffle en expulse le petit être. Il n'aurait surement pas dû survivre mais comme pour moi notre mère la lune en a décidé autrement. Elle l'a remplie de son énergie lui permettant de respirer. Cette là je l'ai entendue hurler pour la première fois et instinctivement je nous ai enveloppés dans une petite bulle ou plus rien ne pouvait nous atteindre. Cette nuit je me suis promis a moi-même et a la lune que je ferais tout pour que mon frère soit heureux.
Nous avons rejoint la famille des Champs. Ils nous ont élevés comme si nous étions leur sang. Nous formions la petite famille idéale entre les rires les pleurs. Bien sûr touts n'étaient pas rose mais le choc de l'accident passer j'oubliai ma vie en marge de la société. Je me considérais comme une véritable des Champs. Marguerite des Champs! Je n'étais plus Solange le fruit d'un viol, j'ai trouvé une vraie famille et surtout une mère qui ne me regarde pas comme une abomination et un père ne me traite pas comme un chien errant. Il n'y avait que "Machine" pour me rappeler la triste vérité quand sa jalousie la rongeais trop. Elle avait plus de mal à atteindre notre petit frère qui n'avait pas connu les prières obligatoires à toute heure de la journée ni aux crises de notre véritable mère quand elle devait respecter son devoir conjugal ou bien encore les heures interminables le dimanche à l'église.
En grandissant "Machine" c'est éloigner de nous. Elle ne supportait pas de voir ses parents s'extasier devant nos progrès et exploit. Elle se sentait trop différente trop humaine et je n'hésitais pas à le lui rappelait. Je me vengeais à ma manière. J'aimais lui rappeler que bien qu'elle soit plus vieille elle ne m'arriverait jamais à la cheville. Je l'effacer sans le vouloir en poussant jusqu'au bout les limites. Les des Champs ne se rendaient pas vraiment compte de mon petit jeu jusqu’à ce que je me rebelle pendant mon adolescence. Je me suis mise à faire tout ce qui me chantait. Je devenais une gamine insupportable et espiègle. Très imbue de ma personne je me croyais irrésistible et puis j'avais des envies de grandeur… J'agissais comme s tout m'était permis parce que j'étais supérieure au reste du monde tout simplement parce que je suis une enfant de la lune et de la mort.
Le jour de mes 17 ans j'ai vécu ma première véritable pleine lune. J'étais si impatiente. Deux ans que toutes les pleines Lunes je me préparais pour la grande nuit et puis quand j'ai perdu espoir elle m'est tombé dessus. Je me sentais tellement mal. Je n'en pouvais plus je suppliais même Myomyo de m'achever. Au lieu de ça il m'a traîné dans le jardin à bout de bras. Je me suis tout de suite sentie mieux. J'ai laissé la lune me prendre par la main et me guider jusqu'à la mort. J'ai choisi un homme à la sortie d'un bar. Je lui ai parlé tranquillement. Je lui ai proposé de visiter mon petit sanctuaire que je partageais avec Myo. Il semblait agir de son plein gré et puis arriver près du petit ruisseau je l'ai assommé avec une branche et la rituelle à commencer.
Avec le temps j'ai pris plus de plaisir à tuer. Je choisissais toujours le même type d'homme. Alcoolique occasionnelle, un peu lourd, souvent roues et tatouer. C'était un acte inconscient, je m'en suis rendu compte récemment. Le rituel de la pleine lune était devenue un jeu mal-sein où je tuer pour le plaisir de tuer.