Spoiler:

NOM DE VOTRE PERSONNAGE : Lazare Moriarty.
NOM DU DON DÉSIRÉ : Transformation instantanée.
POURQUOI CE DON EST-IL IMPORTANT POUR VOTRE PERSONNAGE ? Lazare, créature déchue, monstre sanguinaire qui aurait pu accomplir de grandes choses au sein d'une meute si on ne l'avait pas pris sous des ailes aux allures bienveillantes. Avares ont été ceux qu'il a perçu comme des âmes précieuses qui pouvaient lui tendre les paumes dès lors qu'il était en difficulté. Manipulateurs et destructeurs, pouvoir sur les griffes acérées, crocs qui ne laissaient place qu'à une barbarie que l'on voulait contrôler, les idéaux tentaient de rentrer dans le crâne forgé d'un métal impénétrable alors que les exercices de concentration étaient réalisés. Savoir se contrôler, qu'ils disaient. Prendre en main une atmosphère sereine que l'on souhaitait faire ressentir à l'esprit ou au contraire, être des plus performants contre les ennemis. Lazare, on lui a enseigné la maîtrise de capacités qu'il a longtemps perçu comme des spectres malveillants. L'impulsif était devenu le réfléchi. Et le réfléchi devenait l'impulsif. C'est en ayant une main ferme sur ce que tu souhaites que tu pourras accepter qui tu es. Ce que tu es. Des paroles qui dansaient dans une essence tourmentée par des maux qu'il ne pouvait pas laisser échapper. Lazare était un homme noble et valeureux, droiture indéniable d'une personne qui possédait ses propres convictions et qui ne se laissait pas influencer par des tirades joliment articulées. La meute, son fardeau. Pensées divergentes des siennes, c'est en grandissant qu'il comprit qu'il ne pouvait pas se mêler à tels individus. Non pas parce qu'il se pensait supérieur à eux, mais simplement car les opinions étaient désormais différentes et qu'il ne pouvait pas rester en compagnie de ces êtres qui ne lui correspondaient désormais plus. Seul, dans des bois et près de fleuves. Seul contre ces individus qu'il avait autrefois combattu aux côtés de frères d'arme. Les chasseurs. Ces derniers pouvaient être conscients de qui il était. De sa nature. Stratagèmes stupides de ces hommes et femmes qui effleuraient innocemment les épidermes avec des tiges d'aconit et qui en observent les blessures provoquées. Lazare a vogué, ici puis là. Et là-bas. Indépendant. Sans l'envie de mettre ce fardeau sur des épaules chétives alors qu'il pouvait mourir sans être capable de convenablement se défendre. Sans être aussi agile que s'il avait été sous sa forme lupine. Le contrôle, c'est lui qui l'avait. Pas un stupide objet céleste qui planait au-dessus des têtes. C'était ce qu'elle lui répétait inlassablement, sa femme, qui ne pouvait s'empêcher de glisser les mots « libre-arbitre » et « maître de soi » à chaque fois qu'ils venaient à mentionner ce sujet qu'il ne digérait que difficilement. Et elle avait raison. N'était-il pas celui qui voyait en chaque homme un potentiel égoïste mais véritable, celui d'une prise de décision qui ne revenait qu'à l'individu et non à des caractéristiques extérieures ? La Lune ? Elle n'était qu'un facteur à évincer d'une équation. Et c'est ce qu'il fit après des années d'acharnement. Se transformer au gré des envies. Avoir un semblant de domination sur le loup intérieur.

TEST RP QUI INCLUT L’ÉVENTUEL DON : Demi-lune à son apogée qui laissait la clarté de ses rayons se perdre sur des territoires enneigés. On entendait les souffles haletant se perdre dans les bourrasques d'un vent tempétueux, les branches des arbres dansant au rythme des caresses hivernales. On voyait les pommes d'Adam bouger à chaque ravalement de salive, les poumons peinaient à garder la cadence d'une course que les individus n'avaient malheureusement pas pris l'habitude d'entreprendre. Les pas dans la neige étaient nombreux, semelles enfoncées qui laissaient des marques éphémères aussitôt couvertes par les cristaux tombant des cieux. Lazare humait le parfum des individus qui parcouraient des sentiers battus et abandonnés, des marches indiscrètes qu'il pouvait entendre quand bien même il n'aurait pas eu la capacité de percevoir des bruits lointains. Mélodie des discussions qui s'entremêlaient et des colères qui montaient, il plissait les yeux afin d'observer ces groupes formés dans la hâte. Lazare, quarante-huit ans et détective privé à son propre compte. Lazare, bien trop borné et insupportable pour n'être que le pion d'une autorité supérieure. Lazare, encore et toujours maître de sa propre personne et jamais il en aurait été autrement tant qu'il avait sa famille à ses côtés. Jamais, Ô Grand Jamais ne pourrait-il mettre en périple les vies de sa femme et de sa seule descendance qu'il chérissait comme jamais il n'avait su aimer dans des époques lointaines. Ses iris sombres parcoururent les alentours vidées d'une quelconque forme de vie animale. Seuls les arbres ainsi que la faune environnante comblaient un paysage assombri par une nuit tombée à peine dix-neuf heures sonnée.

Une main passée dans les cheveux qu'il ébouriffait instinctivement dès lors qu'il se retrouvait dans une situation pénible avec un brin d'amusement qui persistait à s’immiscer, il se permit de reculer de quelques pas quand ses sens percutèrent de nouvelles présences. Puanteur d'un poison, senteur qui lui tira une grimace mémorable alors que le fumet se propageait dans ses narines retroussées. Et l'odeur de la ferraille taillée en des balles perçantes ou des lames tranchantes. Aconit et argent. Il déglutit en fronçant les sourcils qui laissèrent apparaître deux petits creux au bas de son front en prenant conscience que les problèmes s'étaient invités sans en avoir reçu l'autorisation. Si les humains insignifiants le pourchassaient, c'était pour une simple affaire sur laquelle le côté inquisiteur de Lazare fit grincer des dents. Si les autres étaient présents, c'était pour la soif des idées dominantes de leur camp. Celui des Chasseurs. Les mains jointes, mâchoire serrée sous une pression qu'il n'appréciait pas. Combien étaient-ils ? Ses oreilles écoutaient attentivement. Filtre placé sur les bruits inutiles. Lazare inspira légèrement et se contenta de serrer les poings. De toutes parts, il pouvait flairer les pestilences qui ancraient un goût amer au fond de sa gorge. En humectant ses lèvres, il tourna les talons en mettant ses mains dans les poches et ce fut un sourire des plus radieux qu'il dessina sur le faciès taillé par le temps. « Eh bien, qu'est-ce qu'un morveux comme toi, empestant le tue-loup à des kilomètres à la ronde, fait dans les environs, à cette heure-ci ? » Lazare Moriarty, élevé sur les sols écossais et dont l'accent tailladait comme jamais. L'enfant n'en était pas réellement un. Il devait être dans les environs des vingts années envolées mais pour lui, pour l'ancêtre dont il pouvait donner l'image, la personne en face n'avait que dans les âges de sa propre fille, voire moins. La réponse se voulait bafouillée, et Lazare comprit rapidement que son assaillant, qui pouvait néanmoins se trouver en position de victime, n'avait pas été habituée aux chasses et traques pénibles qui pouvaient malheureusement se terminer dans des bains de sang.

Et Lazare... Lazare, on savait qu'il n'avait jamais été raisonnable et astucieux d'attiser le côté animal qu'il n'enfermait que trop souvent et qui ne demandait qu'à être libéré de l'emprise d'une conscience lourde de vertus et de charité. « Un conseil, entre toi et moi. » Il s'approchait, la prestance qui dégageait une aura inquiétante qui fit instinctivement reculer le pauvre enfant. « Cours. » Il s'interrompit alors qu'il faisait craquer sa nuque dans deux mouvements brusques et distincts. « Cours, parce que moi, comme toi, j'ai un code. Moi, comme toi, je ne m'attaque pas aux gosses. » Les pauses semblaient interminables et ne duraient pourtant qu'une poignée de secondes. « Mais si les gosses m'attaquent, c'est qu'ils se considèrent dignes d'affronter les ténèbres tout comme la faucheuse en elle-même. » Et la faucheuse, ce sera moi si tu ne te décides pas à prendre tes jambes à ton cou. Puis le con gueula, alertant tous et chacun de sa position. Leur emplacement, à tous les deux. Sans prendre la peine de se concentrer sur les bruits de pas, il pouvait entendre les corps se déplacer en groupuscules. Six chasseurs, sans compter le faux-jeton. Deux venant d'en face, deux de gauche et deux à sa droite. Si rapides, si vifs. Il n'avait pas le temps de courir sur ses deux jambes, ça aurait été vain, des efforts tombés dans l'oubli quand on l'aurait lamentablement poignardé ou que sa chair aurait été transpercée par une balle d'un argent brillant mais surtout mortel.

Râle coincé dans les entrailles, étouffé par les canines qui rejoignaient les dents du bas, les tourments commandés par sa volonté propre. Les poings se serraient, les phalanges tremblantes alors que le bout de ces dernières venaient se planter dans les paumes repliées, si fort que l'on en oubliait le supplice vécu dans l’entièreté du corps. Négligence d'une douleur supplantée par une colère incontrôlable. Lazare n'avait jamais compris pourquoi on pourchassait les siens. Lazare ne voulait pas ouvrir les paupières et constater des faits qui le répugnaient : la chasse pour le simple plaisir de tuer. Les chasse pour la satisfaction de devenir animal comme ceux qu'ils chassaient. Ils se pensaient meilleurs. Ils se pensaient sauveurs des humains alors qu'eux-même n'avaient plus aucune part d'humanité dès lors qu'ils brandissaient lames et armes de poing. Lazare était conscient. S'il était resté sous sa forme humaine, il aurait abattu et personne parmi les chasseurs n'aurait cherché à savoir qui il était réellement. Aux yeux de ces individus, il n'était qu'une bête parmi les autres. Une à éliminer sans se poser d'interrogations.

L'agonie le fit vaciller, les jambes qui ne demandaient qu'à lâcher alors que l'on entendait les os se foudroyer, mis en morceaux pour se reconstituer dans une forme différente. Les membres se fracturaient et chaque déchirement le rendait d'autant plus agressif. Les yeux écarquillés sous l'affliction qu'il avait lui-même accueilli, l'humain disparût dès lors que les pupilles laissèrent apparaître un bleu reluisant. Lazare était tombé en avant, les coudes s'étaient posés sur le sol humide et boueux d'une neige qui s'était réchauffée. Un cri grave. Un dernier hurlement qu'il ne put pas étrangler alors qu'il devenait Lui, laissant place au grognement bestial et inhumain, appel d'un loup solitaire dont aucune réponse allait se faire entendre.

L'enfant n'était plus là. Parti. Mais en face, au loin, deux silhouettes qui s'approchaient doucement et qui attendaient d'avoir un visuel plus performant pour se lancer. Lui, il n'attendit pas, il ne le voulait pas. Lui, il ne voulait rien si ce n'était bondir sur eux tout en continuant sa route. Pour fuir. L'un des avantages de la forme lupine que l'on pouvait contrôler plus ou moins aisément était ce côté d'ordre qu'il possédait. Il pouvait réellement contrôler les actions qu'il entreprenait de faire. Il fallait simplement résister à l'instinct animal, ce qui n'était malheureusement pas aussi facile que de l'évoquer en de simples mots. Alors parfois, il y avait des débordements. Quand la fureur était suscitée et stimulée par ces imbéciles qui ne pouvaient tout bonnement pas déguerpir. Quand ces irréfléchis lui tiraient dessus ou s'approchaient idiotement pour l'effleurer d'un tranchant qui le rendait bourru. Quand on voulait le tuer, alors que lui, il voulait vivre mais qu'on ne le lui en donnait pas la permission. Ce soir-là ? On a dû déplorer un seul corps qui aurait été méconnaissable si d'autres victimes avaient été aussi déchirées. Un humain. Un putain d'humain qui n'avait rien d'un chasseur. Un égarement, celui qui a voulu se défendre en voyant une créature bondir, qui a tiré dans les pattes de la bête qui se défendit. Et quelques blessés qui ont été assommés dans les bousculades. Puis finalement, un homme, dépité, qui avait poussé la porte arrière de la maison où il logeait et s'était glissé dans les draps aux côtés de sa femme en peinant à s'endormir.

C'est un oui ! Omg la description de la mort du petit jeune, on s'y croirait

Aw, merci beaucoup.

NOM DE VOTRE PERSONNAGE : Alan Deepsea
NOM DU DON DÉSIRÉ : Vrai Alpha

POURQUOI CE DON EST-IL IMPORTANT POUR VOTRE PERSONNAGE ?
Quand vous êtes un être considéré comme un moins que rien, comme un paria, de la société aussi bien qu'au sein de votre meute, vous n'avez plus rien à perdre. Plus rien ne vous importe ni même votre propre mort. Mais quand cette mort est celle des sentiments, alors, vous changez du tout au tout. Vous devez devenir fort, puissant pour que tout ceux vous rabaissant et se moquant de vous deviennent admiratifs et vous envient. Parfois, il faut payer le prix fort pour devenir quelqu'un. La souffrance physique n'importe pas, vous devenez quelqu'un d'autre. Vous sentez une puissance, une force de volonté qui vous étiez alors inconnue monter en vous et vous envahir. C'est enivrant, c'est même très plaisant de passer d'une personne médiocre à un être capable de beaucoup de choses. Vous prenez un pouvoir, non pas par la violence comme énormément de gens avant vous, mais par la simple force de volonté, par la simple envie de liberté, de briser vos chaînes et de devenir quelqu'un.

Une fois dos au mur vous n'avez qu'un seul moyen de vous en sortir, c'est d'avancer de nouveau, de vous battre pour vos convictions, d'arrêter d'être une victime et de devenir un dominant écrasant ainsi l'ombre du dominé qui plane au dessus de votre tête. Une fois enfoncé dans le plus profond des gouffres vous n'avez que deux solutions, vous battre ou mourir.

Et c'est après avoir payé le prix des efforts surhumains, des coups pris au fur et à mesure des années que vous vous hissez là où se trouve votre place, là où personne ne vous jugera plus, là où aucun mal ne pourrait vous atteindre. Vous devenait puissant malgré vous. Mais vous n'en avez que faire, vous avez gagné ce que vous désiriez le plus au monde, votre liberté. La vie vous le devez de toute façon.

C'est pour toutes ces raisons qu'être un vrai alpha est important pour Alan. Il se fiche du pouvoir, il se voit d'ailleurs comme un guide pour les loups qui sont perdus comme il l'a été et pour ceux voulant bien le rejoindre. En aucun il se voit comme un dominant, même si c'est ce qu'il est finalement. Il ne cherche pas la puissance. D'ailleurs ce pouvoir n'est pas symbole de pouvoir pour lui, ce don est le symbole de sa souffrance, de sa douleur quotidienne qui a maintenant disparu. C'est pour lui un moyen de prouver que tout le monde peu s'en sortir, maudits par la morsure ou pas. Rien n'est jamais perdu, pour personne.

Être un alpha est pour Alan Deepsea un symbole de rédemption, un symbole de renaissance.

TEST RP QUI INCLUT L’ÉVENTUEL DON :
Comment se peut-il qu'un simple humain, banal, avec une vie plus ou moins toute tracée se retrouve à être un alpha d'une meute de loup. Un vrai alpha qui plus est. Si vous l'aviez vu en loup, frêle, lent, loin d'être le plus fort et encore moins le plus imposant. Alan n'était pas un exemple à suivre et la plupart des benjamins de la meute, voire tous, étaient plus forts que lui en un rien de temps, tandis que lui, continuait de ramer, d'être le boulet de service et se demandait même pourquoi son alpha ne se débarrassait pas de lui. Un simple coup de griffes bien placé et le tour était joué, plus aucune douleur, plus aucune moquerie au sein de sa soit disant famille. Mais son supérieur persistait à le maintenir en vie. Certainement une carence venant de quelque part de la part de l’aîné des loups le poussant à violenter les faibles n'ayant jamais demandés à devenir des créatures dépendantes de la lune. Le chef de clan du jeune Deepsea était un mégalo, un homme sans aucun scrupules capable, s'il le pouvait, de changer la terre entière en membre de sa meute pour acquérir encore et encore du pouvoir. Alan était bien loin d'être un dominant, c'est ce qu'il pensait du moins, mais il n'était pas disposé à vivre toute sa vie à servir auprès d'un être sans cœur que le karma ou une autre énergie ou même force finira par punir un jour ou l'autre.

Voyez les loups garous comme des êtres surpuissants, bien supérieur aux humains malgré la perte de contrôle mensuelle voire plus régulière. Ils le sont, c'est un fait. Al, lui, était une exception. Il était entouré d'une aura de pathétisme que même les humains pouvant sentir. Aussi bien de poils et de crocs que de chair et d'os. Dans sa facette humaine, le jeune homme ne connaît l'amour que très tard et sans aucune réciprocité. Il était l'intello de la classe, intéressé par les langues et les cultures étrangères plus qu'à regardé les trésors pouvant se dissimulés sous les jupes des filles. Quand beaucoup de ses connaissances – manquant terriblement d'amis – commençaient à connaître les plaisirs de la chair, ce que plaisir charnel voulait dire, le loup lui ne profitait même pas d'un verre en terrasse accompagné d'une douce compagnie ne serait-ce qu'amical, il ne faisait que vivre passivement, en voyant et rêvant la vie que les autres menaient à sa place. Son rêve à lui, à ce moment là, c'était de faire le tour du monde et non le tour des chambres et s'envoyer en l'air avec n'importe quelle personne pouvant ainsi lui transmettre une multitude de maladies vénériennes.
Mais, quand Alan connu son premier amour que le karma, le destin, dieux ou peu importe le nom que vous souhaitez lui donner, le réveilla d'un coup de fouet en pleine figure. Cette femme volage et intéressée que par le physique et les belles choses matérielles humilia le jeune homme aux multiples qualités que personne ne voulait voir. Il se trouvait impuissant, entra même dans une dépression. Dépression qui le changea du tout au tout. Acculé par la honte et par les coups aussi bien physiques que psychologique qu'il recevait dans sa meute, Alan décida de se reprendre en main. Il ne pouvait s'enfoncer plus dans ce puits d'insignifiance, de honte et de solitude.

C'est alors que notre loup commença un entraînement intensif, traînant ainsi de moins en moins avec sa meute. Il avait alors changé de lycée, les gens étaient les mêmes quant à l'attitude qu'ils avaient envers lui. Mais il s'en fichait. Les témoins de sa descente en enfer ne serait pas les spectateurs de sa monté au cieux. Avec une très bonne alimentation, une activité sportive très intense et régulière et aucune fréquentation néfaste le jeune devint en peu de temps un beau mal plein de muscles devant renouveler sa garde robe. Les femmes le regardaient, sa meute commençaient un peu plus à le considérer tant sa force s'était décuplée. Mais ce changement n'attirait l'admiration de personne, et entraîna même la jalousie de son alpha. Qui ne faisait que le dénigrer encore et encore. Mais ce jour là fut le dernier de cette série qui paraissait alors interminable. Ce fut le dernier affront que Alan recevait de la main de ce lâche ne pensant qu'au pouvoir. De ce porc se nourrissant de ses peurs et de ses forces aussi. Il se retrouvait par terre, assis au sol par un coup qui lui aurait de coutume brisé la cage thoracique. Le loup ne sentait ni douleur, ni colère, ni peur rien qu'une puissance qui montait en lui, comme une énergie qui le poussa à se relever et faire face à son soit disant alpha qui, maintenant se trouvait nez à nez avec son bêta, le renégat de son groupe. Et du plus calme et rapide des gestes Alan saisit celui qui lui offrit la morsure il y a de cela quelques années. Alan sentait les griffes de son courages se planter dans la gorge de son ancien dominant. Il sentait enfin le courage de dire stop aux maltraitances de cet être prendre possession de lui. Son cœur ne battait presque plus, seul la force de volonté, l'envie de se tirer de ce mauvais rêve guidait ses gestes. Les yeux brillant d'un jaune ambre devinrent de plus en plus flamboyant au fur et à mesure que l'envie de liberté et d'opposition montait en Alan. Ses crocs grillageaient l'orifice de sa bouge haletant de rage et de courage. Le sang de son ennemi coulait entre ses mains et ses yeux devinrent alors rouges. Aussi rouges que le sang qui colorait ses mains. C'était les yeux d'un alpha. Des yeux pris par la force de volonté, par l'envie de liberté et non de violence. Il lâcha alors prise. Les autres membres de la meute étaient presque pétrifiés sous un tel spectacle. Alan Deepsea, le chien de la meute était poussé par une puissance que tous connaissait au final. Que tous craignaient tout autant qu'ils la désiraient.

Le meurtre n'attirait pas notre loup, seul sa liberté, la volonté de se faire entendre le faisait tenir, là, devant son ancien maître, devant son ancien tyran. Il savait parfaitement qu'il devait s'enfuir, car les représailles allaient se faire plus que féroces lorsqu'il tournerait à peine les pieds pour s'en aller. Il ne serait plus le bienvenue dans ce pays, plus le bienvenue parmi les ''siens''. Ce n'est pas la lâcheté qui faisait fuir Alan, mais bien ce courage qu'il exposa aux yeux de tout le monde quelques instant auparavant. Il ne s'en allait ni en traître, ni en lâche et encore moins en meurtrier.
Il s'en allait en alpha, il partait en vrai alpha.

Merci d'avance ! ♥
*essayedefuirpourcachersontextepasforcèmentrèsclair*

Ce sera oui pour toi. (:

NOM DE VOTRE PERSONNAGE : Cassiopé Silvester.
NOM DU DON DÉSIRÉ : Médium.
POURQUOI CE DON EST-IL IMPORTANT POUR VOTRE PERSONNAGE ? De ressentir et de voir des esprits, des humains qui fut un tant vivant et plein de vie. D'être prise de cauchemars pendant que vous dormez, des situations de morts qui peuvent parfois s'être passé ou être sur le point d'arriver. Cassiopé a découvert son don alors qu’elle avait à peine 8 ans, elle s’en souvient encore comme si c’était hier. C’est ancré en elle et ça fait partie d’elle et pour rien au monde, elle ne voudrait nier ses origines et ce don. Elle ne le reniera jamais. Les esprits que nous rencontrons, vivants (sur le pointe de mourir, dans le comas et il a encore bien d'autres situations de ce genre) ou non qu’importe. Ce n’est pas toujours évident à gérer dans une vie terrestre, mais elle en vaut vraiment la peine, pour Cassiopé. D’une importance que vous ne soupçonneriez même pas et qui dépasse parfois, voir souvent l’entendement. La vie a ces mystères qui lui sont propres, certains êtres humains sont capables de connaître et de voir qu’il y a des êtres surnaturels dans ce monde, tout comme des esprits qui nous entourent et bien plus que nous le soupçonnons de notre vivant. Un minimum de personne et Cassiopé en fait partie, son père était comme elle, avant de mourir, porteuse de ce don à son tour, suite à son décès. Elle tient vraiment à son don, car il lui rappelle son père La fin n'est même pas envisageable, être médium est important pour elle, comme ça l'était pour son père.
TEST RP QUI INCLUT L’ÉVENTUEL DON : Se balader alors qu’il fait nuit. Tout le monde pourrait dire que c’est dangereux et elle ne serait pas du genre à le nier, puisque c’est réellement le cas. Que voulez-vous, quand un esprit égaré et souffrant d’une peine, qu’on ne souhaiterait pas endurer dans le monde des vivants. Viens vous demander de l'aide. Imaginez vous un peu de devoir le vivre, quand vous n’êtes plus « présent » en chair et en os dans ce monde. Nous ne voulons qu’une chose, c’est de pouvoir l’apaiser comme nous le pouvons, afin que nous puissions leur permettre de retrouver la paix, afin qu’ils puissent passer de l’autre côté.  Je me souviens de la première fois que cet enfant est venu à ma rencontre.  Au début, je pensais qu’il était vraiment réel et bien vivant. Puisque nous voulons toujours, qu’un enfant le soit fortement et de tout notre cœur, mais comme je suis médium, je savais d’avance, qu’il n’était plus de ce monde, mais qu’il ne parvenait pas à rejoindre la lumière. Pourquoi ? Je n’en savais vraiment rien et il s’est avancé vers moi. Il a senti que j’étais capable de le voir et de l’entendre certainement. Mon regard si insistant et protecteur envers cet enfant, ne pouvait pas non plus passer inaperçu pour ce petit garçon. Qui ne demander qu’une chose que nous puissions le voir, afin qu’il puisse partager ses tourments et la raison pour laquelle, il ne parvenait pas à quitter ce monde. –« Tu me vois, dis ? »-. Il me parler comme s’il était bien vivant, mais à mes yeux ils le sont toujours, même si c’est différent. Je ne peux pas les toucher pour autant, ou alors il m’arrive de faire ce geste. C’est rare, car j’arrive à avoir une certaine distance, pour me protéger, mais aussi pour les protéger eux. Je ne voudrais pas qu’ils s’attachent à moi et que je sois l’une des raisons pour qu’ils restent. Je ne suis pas égoïste et je pense avant tout à leur bonheur et à les aider, afin de pouvoir les laisser partir en paix, rejoindre leur famille dans les cieux et ne pas les retenir.  Cet enfant est près de moi et il me touche, le contact est un peu froid, mais en même temps si doux, il n’y a aucune menace qui se dégage de lui. –« Oui, je te vois. Tu peux me dire pourquoi tu es là, tout seul ? »-. Il n’est pas question que je le repousse, alors que je sais que je le devrais, mais ce n’est qu’un enfant. Ses yeux semblent s’embrumer de larmes et étrangement je vois quelques gouttes salées couler sur ses joues, ses lèvres tremblaient un peu. Sa pâleur me fait un peu de peine, mes mains se glissent sur ses petits épaules, cherchant en vain à lui transmettre un peu de ma chaleur corporelle, mais je sais bien que ce genre d’acte n’est pas possible, on peut simplement se l’imaginer et le sentir, mais différemment. –« Maman et papa, ils sont tristes je le sens … je me suis noyé ici … et ils ne savent pas ce qui m’est arrivé … je … »-. Entre de nombreux sanglots, il semble parvenir à me parler, à se confier. Je pose mon genou à terre, mes mains sur ses épaules, mon regard bienveillant dans le sien. Parlant calmement, tout en touchant ses cheveux sombre et mi- long. Son regard sombre plonge dans le bleu des miens et nous restons un moment à nos regarder, ainsi. –« Je vais t’aider … tu dois partir … mais tu n’es pas apaisé pour ça … tu vas venir avec moi et je vais dire à tes parents ce qui t’es arrivé, comme ça tu pourras rejoindre cette lumière qui ne demande qu’à t’accueillir à bras ouvert. »- . Nous n’allons pas perdre de temps et je voyais dans son regard, qu’il allait me mener jusqu’à chez lui. –« D’accord … je m’appelle Peter … et je sais ton prénom parce que … je te voyais souvent … et … »-. C’est comme s’il cherchait à se justifier, mais il n’avait pas besoin de le faire. –« Ne t‘inquiète pas pour ça … allons retrouver tes parents d’accord ? »-. Il hocha la tête positivement et nous prenons le chemin jusqu’à rejoindre sa famille. Une fois que nous sommes devant la porte, ses parents ouvrent sans plus attendre et je leur explique ce qui est arrivé à leur enfant. J’ai vu en les observant qu’ils savaient que je ne mentais pas. Ils purent retrouver la paix, même si la perte de leur enfant serai toujours douloureuse, mais ils pourront avancer, car ils avaient des réponses et qu’ils savaient maintenant où se trouver leur enfant. Qu’ils pourraient se recueillir auprès de sa tombe. J’aurai pu leur dire que leur fils était à côté de moi, mais ni lui ni moi ne voulions agir de la sorte, nous  ne savions pas comment ça se serai passé. Parfois les adieux les plus simples, sont souvent les plus beaux.  Peter me remercia et il retrouva la paix, il put rejoindre la lumière, sans le moindre regret ni le moindre remords. C’est dans ces moments-là, que je trouve que mon don est une bénédiction, qu’il me donne l’impression de pouvoir me rendre utile et d’aider mon prochain. Mon cœur semble être en accord avec mes actions, ces instants sont essentiel pour ne pas sombrer dans la peur ou la folie, quand certains esprits malsain et dangereux ne viennent vous hanter, par pure plaisir de vous tourmentez. J'arrive à préférer les esprits vengeurs, car parfois étrangement, il m'arrive de pouvoir les aider dans cette voie, enfin surtout quand je sens que c'est nécessaire et qu'ils ne risquent pas de tuer des vivants pour assouvir leur vengeance. Il a d'autres moyens pour y parvenir, avec moi ils savent que j’emprunte ce chemin là et que je peux les aider. Ce n’est pas facile tous les jours, les nuits sont parfois longues, périlleuses et angoissantes. Les esprits comme Peter, nous réchauffe le cœur et nous rattacher encore plus à notre don et à notre devoir de l’accomplir pour la bonne « cause ». Ils nous permettent de rester sur le droit chemin.

Spoiler:

alors, ton test rp est très bien, par contre il y a quelque chose qui me dérange en fait, le don de médium n'est pas quelque chose qui se transmet dans la famille. en fait, un humain peut devenir médium s'il se trouve aux alentours d'un sorcier qui effectue un rituel pour ramener quelqu'un à la vie. dans ce cas, le sorcier va ouvrir la porte qui sépare les deux mondes et alors l'humain peut se faire toucher.

Citation :

Il arrive, parfois, qu'un humain soit touché par ce portail, cette ouverture entre deux mondes. Il faut que l'humain soit aux alentours d'un lieu de sacrifices pour être touché par cette ouverture.

après, c'est possible que cassiopé ait éventuellement eu quelqu'un dans sa famille à qui ça soit arrivé, mais ça ne peut pas être tout le monde, ça ferait beaucoup trop gros quoi
du coup je te renvoie vers le lien de l'annexe des dons, par là. autrement, c'est bon pour moi, donc si tu peux modifier ça, c'est un oui pour ma part

Donc, ce que je viens de modifier c'est que son père aurai pu avoir ce don et une fois qu'il fut sur le point de mourir. Il aurait pu lui transmettre à son tour. Est ce que ça pourrait coller si ça vient dans ce sens là. Sachant qu'elle ne sait pas pourquoi, elle a ce don, ni d'où il vient. Elle en fait bon usage, en la mémoire de son père et pour pouvoir aider les autres.

Ca va ou pas ?

alors elle aurait pu avoir ce don tout de suite après la mort de son père, mais ça viendrait pas directement de lui peut-être qu'elle se serait retrouvée proche d'un sorcier essayant de ramener quelqu'un à la vie peu de temps après, à son enterrement ou quoi
mais c'est mieux, donc ça me convient j'te dis oui !

NOM DE VOTRE PERSONNAGE : Simone Virtanen
NOM DU DON DÉSIRÉ : Transformation instantanée et demande de statut d’alpha.
POURQUOI CE DON EST-IL IMPORTANT POUR VOTRE PERSONNAGE ? Le rôle d’alpha c’est dans les veines de la famille Virtanen. La mère de Simone a été alpha de la meute. Elle a été élevée pour devenir alpha. En vue de son rôle, Sa mère lui a appris à se transformer en louve n’importe quand. Car pour les Virtanen, une alpha se doit de posséder cette force. Elle s’est entraînée durement. Hélas tout a basculé. Simone a perdu sa famille et un autre loup s’est autoproclamé alpha. Simone l’a mal vécu, mais elle ne se laisse abattre pour autant. Elle a continué à s’entraîner comme elle le faisait avec sa mère. Elle voulait que sa défunte mère soit fière d’elle. Cela fait partie d’elle, c’est son héritage. Elle s’est beaucoup entraînée en cachette pour se transformer quand elle le veuille. Sa rage et sa haine envers Tuomas l’ont aidés, mais aussi son amour pour sa famille et pour Mark. Elle le devait pour redevenir l’alpha de sa meute. Elle a fini par y parvenir. Ce don est important pour elle, car c’est la signe de la source de son statut d’alpha, pour elle. Sa force.

TEST RP QUI INCLUT L’ÉVENTUEL DON : Je n’oublierais jamais quand je suis devenue l’alpha de ma meute. C’était le jour où j’ai défié Tuomas et où j’ai pris pleinement possession de mon don. Nous, nous trouvons en Norvège où nous, nous étions établis, il y a quelque temps. Ma famille était dirigée par Tuomas, un loup qui s’était autoproclamé alpha, suite à la mort de ma mère. Normalement j’ai mis qui aurait du devenir l’alpha, mais étant trop jeune, Tuomas a pris ma place, ce que Mark n’a pas toléré, mais Tuomas lui a bien fait comprendre. Cependant pour compenser la perte de mon futur statut, Tuomas m’a fait devenir bêta, car pour lui j’avais plus les épaules pour cela. Mais aussi parce qu’il avait des vues sur moi et que plus tard, il voulait que je devienne sa femelle. Sauf que moi, il ne m’a jamais intéressé, je ne l’ai jamais aimé. J’ai toujours été amoureuse de Mark. Je l’aimais depuis toujours et lui aussi m’aimait et nous voulons vivre notre histoire. Alors, à cause de Tuomas, ce n’était pas possible. Nous devons vivre cette dernière en cachette. Heureusement, que notre alpha nous pouvait lire dans nos pensées, sinon il aurait tout découvert et il aurait tué Mark. Je ne l’aurais pas supporté.

Hélas il a fini par le savoir, à cause d’un membre de notre meute qui nous a dénoncés. C’était le meilleur ami de Tuomas, en même temps. C’était un soir, il y a plus de cinq ans. Comme souvent chaque soir, Mark et moi, nous, nous sommes retrouvés dans la forêt pour passer une soirée juste tous les deux. Comme à chaque fois, nous avons essayés de faire très attention de ne pas nous faire démasquer. Hélas, ce soir là, nous, nous sommes fait prendre.

Alors que nous, nous embrassons, on s’est fait surprendre par Tuomas :

- Tiens donc. Si je m’y attendais.

Tuomas était là entouré de ses trois meilleurs amis. Il nous regarde avec son sourire narquois. Mark se met devant moi pour me protéger.

- Simone, tu me déçois. Tu savais pourtant que je voulais que tu deviennes ma femme.

- Je ne serais jamais ta femme. J’aime Mark.

- Tu es ma bêta, tu m’appartiens.


- Simone ne t’appartiendra jamais. Elle est libre d’aimer qui elle veut.

- Je suis votre alpha, vous me devez de m’obéir.

- C’est Simone qui devrait être l’alpha, tu lui as pris sa place.


- Non, j’ai pris la place d’une faible louve qui ne mérite pas cette place. Les femmes ne devraient pas être alpha

- Espèce de sale ordure.

Mark s’était jeté sur Tuomas pour le frapper, mais ce dernier est fort et son statut d’alpha aussi. Il a mis K.O l’homme que j’aime, ce que je n’ai pu supporter. Une puissance s’est emparé de moi :

- Mark !!!

Je coure vers lui, à terre. Il me regarde avec ses yeux remplis d’amour.

- Tu es à moi, Simone !

- Jamais, je ne serais à toi.

- Tu es à moi. Je te l’ordonne.

- Tu ne peux rien m’ordonner. Tu ne mérites pas d’être l’alpha

- Et tu vas faire quoi ? Me défier.

- Oui.

Ils se mettent tous à rire et une violente rage prend possession de mon corps. Je sens la louve en moi, prendre forme, alors que je vois mon Mark à terre. Je sens mes bras et mes jambes devenir pattes. Je sens mon corps se recouvrir de poils et mes yeux changer. La louve blanche a pris la place de l’humaine pale. Je finis par me transformer en louve, alors qu’il n’y avait pas de pleine lune. Je regarde l’alpha avec haine et rage. Tuomas était sur le choc et je le défis. Lui ne pouvait pas se transformer, alors il se bat avec ses poings. J’avais fini par réussir mon entraînement, j’espère que ma mère aurait été fière de moi. Un violent combat se déroula, Tuomas était fort, mais moi aussi. La force de ma volonté, la force de mon amour pour Mark et son amour qui me transperce. La volonté de libérer ma famille du joug de Tuomas. L’animal en moi se jette sur mon ennemi pour le mordre, mais surtout le tuer, car il n’avait plus de solution que la mort.

Mes pattes courent sur la terre froide et humide et je donne des coups de crocs et de griffes sur Tuomas. Le reste de notre meut avait fini par nous rejoindre. Je finis par avoir Tuomas à terre, je le regarde de tout mon haut, mes crocs retroussés.

- Tu es très forte, Simone. Je t’ai mal jugée.

L’humaine en moi n’est plus et l’animal en moi a soif de vengeance. Je finis par lui porter le coup fatal et il a fini par mourir de mes crocs. Je sens sa force m’envahir. Je sens l’alpha venir en moi. Tuomas n’est plus et je suis là. Je suis devenue l’alpha.

Je pousse un hurlement de triomphe, j’avais libéré ma famille et je sais que ma mère est fière de moi.

NOM DE VOTRE PERSONNAGE : Maxine Lowell.
NOM DU DON DÉSIRÉ : Transformation instantanée.

POURQUOI CE DON EST-IL IMPORTANT POUR VOTRE PERSONNAGE ? Max est la descendante d'une famille de loups relativement puissante et crainte, du moins à l'époque française. Selon les dires de son grand-père James, la deuxième survivante de l'incendie de 1905 possédait déjà ce don, et bien des années plus tard, il s'est également révélé à Erin, la génitrice de Maxine. Il y avait par conséquent des chances pour qu'il se manifeste de nouveau, aléatoirement.
Alors que la brunette était encore enfant, une très violente colère déclencha une légère transformation. Pourtant, le soleil brillait haut dans le ciel du Nevada. Sa mère comprit immédiatement que Max avait la même capacité qu'elle, et débuta dès lors un intense entraînement pour que sa fille contrôle ce don le plus tôt possible. La brunette n'y arriva qu'après de longues années mais aujourd'hui, elle est capable de prendre son apparence de louve dès qu'elle le veut, indépendamment du cycle lunaire. Généralement, elle s'en sert pour se défouler à l'abri des regards et laisser sa louve s'exprimer sans faire de mal à personne. Et puis, cela lui rappelle également sa mère dont elle était très proche, car c'est malheureusement tout ce qui lui reste d'elle...

TEST RP QUI INCLUT L’ÉVENTUEL DON :

Ecouteurs vissés aux oreilles, Max courait en rythme avec le son entraînant des Black Keys. Il était seulement sept heures dix du matin. La plupart des gens dormaient encore ou se préparaient pour rejoindre leur lieu de travail. Et elle, avait la chance de pouvoir gambader dans la magnifique forêt entourant Glencullen, sa nouvelle maison. Oh, elle ne connaissait pas encore tous ses secrets, mais comptait bien les découvrir au fil du temps. Après tout, elle avait emménagé depuis seulement un mois. La brunette fit une pause et prit une grande inspiration, emplissant ses poumons d'air frais. Comment avait-elle fait pour passer à côté d’une nature aussi magnifique la plupart de sa vie ? Elle avait bien profité des parcs de Las Vegas mais dans le désert du Nevada, une verdure comme celle-ci était étrangement beaucoup plus rare. Maxine avait l’impression d’avoir manqué quelque chose d’important dont elle serait incapable de se passer désormais. Parfois, elle se demandait comment elle avait pu reprendre son quotidien de citadine après son retour de voyage, et pour quelle raison cette expérience ne lui avait pas ouvert les yeux plus tôt. Mieux vaut tard que jamais, se dit-elle en haussant les épaules.

Elle était prête à reprendre sa course lorsque son ouïe capta des voix. Ou plutôt des cris et des invectives. Elle tendit l’oreille : les sons semblaient lointains, nul doute qu’un simple humain aurait été incapable de les capter. Aussitôt, elle se mit en route, utilisant tous ses sens hyper-développés pour rejoindre la scène sans forcément se faire remarquer. Tout en avançant, elle eut l’occasion de saisir plus clairement ce qui se disait. D’après ce qu’elle comprenait, une femme essayait de se débattre alors que plusieurs agresseurs tentaient de la maîtriser. Ils avaient l’intention de lui faire du mal. Beaucoup de mal. Une colère sourde envahit Maxine, et elle sentit sa louve se réveiller. Mais avant toute chose, il lui fallait appréhender la situation.

Plusieurs odeurs lui étaient parvenues, dont celle de la peur. Max avait aussi pu en déduire que le nombre de personnes présentes s’élevait à quatre. Elle arriva rapidement près d’une grotte peu profonde et se cacha derrière des fourrés pour ne pas être aperçue. Un rapide coup d’œil lui apporta de nouveaux éléments : il y avait effectivement trois bourreaux… et une victime. Etant donné le matériel qui se trouvait éparpillé à terre, cette dernière devait travailler pour la protection de l’environnement ou l’analyse des sols. Elle était sans doute venue ici à plusieurs reprises pour des prélèvements et les trois hommes qui la tenaient fermement l’avaient repérée puis suivie, dans le but de l’agresser sans risquer d’être vus ni entendus. Manque de chance pour eux, Maxine Lowell traînait dans les parages et n’avait pas l’intention de détourner les yeux.

Mais comment réagir ? Elle possédait une bonne force sous forme humaine et pourrait sans doute clouer tout le monde au sol. Cependant, il y avait un risque qu’elle soit blessée quand même pour diverses raisons -  à commencer par le flingue du premier et le couteau du deuxième, et elle serait alors trahie par son processus de guérison. Et puis, elle ne voulait tuer personne. Et si ces gens étaient de Glencullen ? Si elle tombait de nouveau sur eux et s’ils décidaient de se venger ? Non, ce serait dangereux d’intervenir à visage découvert. Sous son autre forme, elle les surprendrait. Sous son autre forme, elle passerait pour un chien errant, au pire. Et surtout, sous son autre forme, elle laisserait sa louve bouillonnante s’exprimer tout en gardant le contrôle. Sa décision était prise.

Max n’avait que quelques secondes pour stopper l’agression : ils avaient déjà déchiré la chemise de leur victime, laissant apparaître une poitrine généreuse soutenue par une lingerie simple mais chic. Bientôt, celui qui avait le crâne rasé et qui semblait être le chef de groupe informa ses comparses qu’il serait « le premier à lui faire sa fête », puis il commença à déboutonner son jean avec un rire gras. C’était le moment. La brunette recula de quelques mètres, toujours dissimulée par les arbres et les buissons, ferma les yeux, et laissa son instinct animal l’envahir. Une sensation de puissance la prit immédiatement aux tripes. La douleur se fit sentir dans tout son corps alors qu’il se transformait. Sa vieille amie la douleur… Max avait appris à vivre avec, à la supporter, sa mère y avait soigneusement veillé. Elle l’avait entraînée sans relâche dès l’instant où elle avait su que sa fille possédait ce même don exceptionnel. Ses efforts avaient payé. Aujourd’hui, Max était capable de prendre son apparence de louve ébène quand elle le souhaitait en une poignée de secondes. Et aujourd’hui, cette capacité allait sauver la vie d’une innocente. Quelle belle manière de s’en servir…

Ses membres se raccourcirent, ses muscles se durcirent, son visage se transforma et son nez s’allongea… Bientôt, elle se sentit basculer. Lorsque ses mains, devenues de puissantes pattes surmontées de griffes acérées, touchèrent le sol, elle sut qu’elle était prête. Elle rouvrit les yeux. Sa vision de louve était bien entendu différente mais là aussi, elle était habituée. L’humaine était tapie dans un coin, et l’animal commandait. Lorsque la jeune femme poussa un nouveau cri, elle s’élança.

D’un bond leste et gracieux, Max passa par-dessus les derniers buissons qui la séparaient de la grotte et se réceptionna tout aussi agilement. Son arrivée fracassante avait interpellé les agresseurs, qui l’observèrent tout d’abord, les yeux écarquillés, sans trop savoir quoi faire. La louve gronda. Le détenteur du revolver leva son arme : il allait tirer si elle ne se dépêchait pas de le mettre à terre. A nouveau, elle sauta et atterrit de toute sa masse sur l’homme. Ils terminèrent au sol et Max s’empressa, bien évidemment, de donner un coup de patte dans l’arme à feu pour l’envoyer le plus loin possible l’air de rien. Si elle voulait qu’on pense au maximum à un chien errant, elle devait agir au maximum en tant que tel. La louve avait envie de mordre, de déchiqueter la chair, de faire éclabousser le sang. Mais l’être humain veillait. L’effort psychologique était énorme, cependant elle tenait bon. Après s’être relevée, Max se jeta sur les deux autres qui se tenaient côte à côte, une patte sur chaque poitrine, afin de les déstabiliser. Ils chutèrent, l’arme blanche fit un vol plané et termina sa course quelque part dans les hautes herbes. C’était presque trop facile.

Enfin, la louve se tourna vers la jeune analyste – du moins le supposait-elle – qui, terrassée par la peur, se collait à la paroi de la grotte comme si elle allait finir par passer à travers la pierre. Son regard, son odeur, tout trahissait sa terreur : elle pensait que ce « chien » méchant sorti de nulle part allait lui régler son compte. Les larmes ne cessaient de couler sur ses joues. Afin de l’encourager à s’enfuir, Maxine fit quelques pas en arrière pour lui laisser davantage d’espace et surtout, s’éloigner le plus possible du semblant de chemin qui la guiderait à l’extérieur de la forêt. Fort heureusement, la jeune femme n’était pas stupide et saisit l’occasion au vol : elle prit ses jambes à son cou, disparaissant bientôt derrière les arbres à l’épais feuillage. Tout s’était passé très vite. Les trois hommes, désarmés, n’osaient plus bouger. Quelques instants encore, Max se tint droite et fière sur ses quatre pattes, découvrant les dents et laissant échapper des grognements sourds dans le but de les intimider. Hors de question qu’elle parte trop tôt et qu’ils retrouvent celle qu’ils avaient voulu faire souffrir. Qu’ils avaient souhaité violenter, violer. Cette pensée acheva de la mettre hors d’elle. Si elle ne quittait pas les lieux immédiatement, elle ne donnait pas cher de leur peau. La louve deviendrait incontrôlable et elle le regretterait toute sa vie, car Max, grâce à l’enseignement de sa famille, n’avait jamais tué un seul humain jusque-là, quel qu’il soit.

Elle gronda une dernière fois, tel un avertissement, fit demi-tour et courut. Aussi vite, aussi loin que possible. Elle fendait les airs à une vitesse incroyable, une vitesse d’animal pourchassé. Elle l’était : pourchassée. Par son instinct animal, un instinct meurtrier. A cet instant précis, elle était en guerre avec elle-même. Maxine courut encore et encore, jusqu’à sentir qu’elle était à nouveau aux commandes. Elle reprit forme humaine un peu avant d’arriver à la lisière de la forêt : elle ne voulait pas risquer d’être aperçue. Puis, elle continua son running presque comme si de rien n’était, la fatigue en plus. Alors que Max revenait vers sa maison, elle entendit un 4x4 quitter la petite route de la forêt à toute vitesse. Un temps d’attente plus tard, il passa devant elle et le visage de la conductrice apparut. Elle était blonde, séchait ses larmes, et n’était vêtue que d’un soutien-gorge. Mais surtout, elle était sauvée, en sécurité.

Max esquissa un sourire, et décida de rentrer chez elle pour une longue sieste bien méritée.

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Voilà pour Maxine, à votre écoute pour toute remarque !

Simone : je t'avoue que je me suis réveillée ce matin à 9h avec un mal de tête à me donner envie de me la taper contre le mur avec violence, du coup... Lire est assez douloureux. Et je ne sais pas si c'est dû à ça ou pas mais j'ai du mal à comprendre tes tournures de phrases. A vrai dire, je n'ai pas tout lu, j'étais trop comme ça : en commençant à lire le rp. Et déjà avant ça, le fait que tu tentes 2 dons me dérangeait un peu. On préfère un seul don à la fois, donc pour moi (pour le moment), ce sera non. Je te conseille d'en choisir juste un.

Maxine : pour moi c'est un oui ! J'aime beaucoup ta plume, simple et imagée.

Je ne demande qu'un don. Celui de la transformation instantané. Dans le rp je dis qu'elle a défier l'alpha pour prendre sa place. Vu que tu m'as dit qu'il était possible qu'elle devienne alpha.

Cilian O'Callaghan a écrit:

Maxine : pour moi c'est un oui ! J'aime beaucoup ta plume, simple et imagée.

Merci beaucoup Cilian, ça fait très plaisir à lire !

Oui mais en fait, du coup j'avais pas compris ta demande. le statut d'alpha est vu comme un don, dans le sens où on préfère n'accorder que l'un ou l'autre (pour plus d'équité). Si tu veux les deux, notre niveau d'exigence monte fois deux.

NOM DE VOTRE PERSONNAGE : Pryam Winfoster

NOM DU DON DÉSIRÉ : Le rang d'Alpha

POURQUOI CE DON EST-IL IMPORTANT POUR VOTRE PERSONNAGE ? Le rang d'alpha est important pour la survie de la meute. Si un alpha meurt cela va de soit que c'est un des enfants qui héritent de ce poste. Pryam ne pensait pas que ce jour viendrait aussi vite pour lui. Il s'attendait à voir "régner" son père encore longtemps. Mais malheureusement les loups ne sont pas immortels malgré le don offert par Zeus. Du moins, pour certains loups cela était une malédiction il leur fallait donc un chef. Un alpha pour les guider sur le droit chemin et Pryam ne voulait pas laisser sa meute à l’agonie, perdue sans le moindre leader. Pryam a le profil du leader, de celui qui prendra soin de sa meute, la protégera de sa propre vie. Le rôle d'alpha coule dans les veines, après tout son père et son grand père avant lui avait la tâche de guider la meute. Pourquoi ne serait-il pas assez fort d'esprit pour suivre les traces des hommes de la famille ? Puis Pryam aimerait tellement honoré la mémoire de son père en acceptant ce rôle. Bien sûr il était encore jeune, il n'avait pas encore tout appris de la vie d'alpha même en suivant son père tout le temps. Mais ce n'était pas le cursus qui comptait mais la motivation que l'on mettait à guider la meute non ?!

TEST RP QUI INCLUT L’ÉVENTUEL DON : C'était une nuit de pleine lune, j'étais sortis avec mon père sous forme lupine. Il avait entendu parlé de loups omégas qui tuaient des pauvres innocents les dépeçant. Des randonneurs étaient tombés sur un corps complètement décharnés, le poitrail ouvert avec les tripes à l'air. Ils ont de suite comprit que c'était l'oeuvre d'un animal. Les personnes environnantes avouèrent alors avoir entendus des hurlements de loups dans la forêt. Bien sûr, des loups il y en avait toujours eu. Mais nous étions différents de ceux-ci, bien qu'une fois sous forme lupine nous pouvions ne plus nous rappeler de rien. Essentiellement parce que l'esprit lupin prend le dessus sur l'esprit humain. Mon père m'avait toujours mis en garde, accepter son loup mais ne pas pour autant lui laisser le champ libre. Car quand nous étions des lycanthrope c'est notre instinct qui fonctionnait plus que notre raison. Nous partîmes alors en traque de cet animal qui faisait des siennes. Mon père était devant, tous nos sens en éveil, mes oreilles battant dans l'air pour essayer de capter le moindre bruit. Mais rien hormis les pattes de mon père qui frappaient le sol puissamment. Mon museau bougeait subtilement tentant de percevoir autre chose que les fragrance boisée, je sentis alors une ordre bizarre. Commençant à grogner, la tête de mon père se tourna vers moi claquant ses mâchoires. Signe que je ne devais pas faire le moindre bruit, puis nous sentîmes l'odeur d'humains en approche. Nous nous cachâmes aussi vite que nous pûmes, ils avaient des flingues, des arbalètes et tout ce qui s'en suit. Nous ne pouvions pas fuir, nous devions faire fasse mais contre deux chasseurs nous ferions peut-être pas le poids. Hormis si chacun de nous s'en occupait au risque d'en rameuter d'avantage ! Mon père fonçait alors sur un chasseur et moi sur un autre. J'évitais au mieux les flèches que me lançaient un homme pour attaquer son flanc, je mordis alors sa jambe devant mon rabattre pour ne pas recevoir un coup de poignard. Décidément ils étaient bien armés, une fois que je l'avais déstabilisé je fonçais vers la gorge mordant la carotide. Je n'aimais pas le goût de fer qui s'immisçait dans ma gueule, tuer me laissais un goût amère. Cependant, c'était tuer ou être tuer ! Le corps inerte tombait alors au sol en même temps que j'entendis geindre mon père. Le mastodonte poilu tomba lourdement au sol, mes babines se retroussaient alors et je fonçais aveuglé par ma soif de vengeance sur le chasseur déjà bien blessé. Mes crocs se plantèrent violemment dans son cou, déchirant au passage la trachée laissant alors l'homme avec une plaie ouverte immense qui pissait le sang. Le sang avait tellement giclé que mon poil était imbibé de la couleur du meurtre que je venais de faire. Deux hommes en un soir, autant dire que j'en aurai gros sur la patate. C'est la première fois que je tuais des chasseurs, j'avais toujours réussis à les fuir autant que faire ce peut. Je fonçais alors vers mon père fourrant ma truffe dans ses poils, mais je n'entendais plus son coeur. Renversant ma tête en arrière je poussais une complainte de douleur qui s'entendrait à des milliers de kilomètres. Voilà le moment fatidique où un grand alpha laissa les rênes à son fils encore novice en la matière, je n'avais alors que vingt-huit ans. Il eu une sorte de cérémonie par la suite où l'on me désignait réellement comme chef, ma mère étant là pour m'épauler autant qu'elle pouvait malgré son chagrin immense. Je restais souvent devant la tombe de mon père que se soit en loup ou en humain, cherchant alors réconfort et aide pour mener à bien mon rôle.

Alors, je suis désolée mais tel quel, ce serait un non. Tout simplement parce que ce n'est pas comme ça qu'on devient Alpha. Pour être alpha : soit on tue l'alpha et on lui vole son pouvoir, soit on est un véritable alpha et on s'élève à ce poste par la force de son esprit (et c'est un don, donc on l'accepte plus difficilement). Si le père de Pryam est mort, tué par des chasseurs, son pouvoir d'alpha a disparu. (:

(edit : je suis avec mon TC mais j'suis bien une admin )

Zut je pensais que ça pouvait passer ainsi, j'avoue que j'ai lu les annexes rapidement hier xD Donc bon. J'avoue avoir un peu la flemme de refaire un rp du coup et de repenser à toute mon histoire donc je vais changer quelque petits détails. Mais du coup comme ma "meute" est pas existante sur le forum il devrai être le bêta d'une autre meute ou faire comme si la sienne existe ? Désolé si c'est pas clair je suis à la ramasse totale xD

EDIT : peut-être que je ferai une demande plus tard pour qu'il puisse de changer en loup quand il veut xD

en fait, il y a possibilité de créer ta propre meute si jamais le poste d'alpha est accepté

Pas de soucis !
Alors sinon ce que tu peux faire, c'est soit rejoindre une meute, effectivement, soit en créer une (dans laquelle ton perso sera un bêta). Et pour ça, c'est par ici, quand tu seras validé. (:
Par contre pour les dons les demandes se font avant la validation, surtout si tu parles du don dans ta fiche. (:

edit : devancée

Le poste d'alpha est refusé, j'ai dis qu'il aurait été alpha suite à la mort de son père et cela ne se passe pas ainsi donc je suis recalé bon c'est ma faut j'ai lu les annexes super tard hier et j'avoue que là vu mon état j'ai la flemme de refaire une demande en reformulant un RP et je ne vois pas mon loup comme un tueur donc ça marcherait pas en fait. Donc justement comme il sera un bêta est-ce qu'il doit rentrer automatiquement dans une meute du forum vu que la sienne serait "fictive" je ne sais pas si je suis clair

EDIT : merci de la réponse Nathanael. Mais du coup faudrait que je fasse son père en PV vu que c'est lui l'alpha de la meute ^^

RE EDIT : alors laisse tomber aussi pour le don pas grave xD

un non n'est pas forcément définitif, si tu changes les détails dont nath a parlé après j'comprends que t'ai pas forcément envie et que ça ne corresponde plus à l'idée que tu te faisais de ton personnage.
tu peux tout à fait créer un scénario par la suite pour ton père

Non en effet, cela ne correspond pas du coup avec l'idée que j'avais du perso donc je pense que je vais tout changer dans ma fiche et intégrer une meute ce sera pus simple surtout vu mon état sinon j'aurai jamais fini ma fiche...

d'accord, comme tu veux