je reposte ce que j'avais dit pour les demandes de dons avant la maintenance

saul, désolée pour l'attente, mais c'est un oui j'ai beaucoup aimé ton interprétation du don, ça change

jayden, je vais attendre l'avis d'un deuxième admin ton test est bien, mais c'est vrai que ton personnage est très jeune, donc je vais en discuter avec l'équipe (entre temps on a décidé que ça serait un oui pour toi aussi. on t'accorde l'exception, vu que t'as compris qu'une maîtrise à un si jeune âge était quelque chose d'extrêmement rare, n'oublie pas d'en tenir compte du coup )

Oh merci beaucoup je ferai très attention, j'espère réussir à rendre ça intéressant et à mériter votre confiance.

NOM DE VOTRE PERSONNAGE : isadora agallon.
NOM DU DON DÉSIRÉ : don de guérisseur.
POURQUOI CE DON EST-IL IMPORTANT POUR VOTRE PERSONNAGE ? Isadora est née enfant de dieu, enfant prodige, celle à qui l’église chantait des louanges. Elle est née pour être remarquable, pour être la personne qui guidait les autres. Et à cette époque, quelque part désaxée entre l’enfance et l’adolescence, la brunette s’était vraiment crue exceptionnelle. Ce n’était pas grand chose, elle ne voyait que les auras des gens, mais ça suffisait à ses parents pour qu’ils la considèrent comme l’œuvre d’une force céleste, un signe cosmique. Elle aurait vraiment voulu l’être. Spéciale, glorieuse. Mais non. Soudainement, il y a eu la lune. Soudainement, Isadora a dérapé et elle n’était plus rien. Pire encore, son statut de gosse émérite se voyait transformé en celui d’un drageon abominable. Enfermée, emprisonnée, sans rien et sans personne. Elle a tenu des semaines, des mois, des années. Jusqu’à la première pleine lune. Puis la deuxième. Son état délabré s’empirait dû à un mal intérieur, qui la dévorait toute entière. Elle devait agir. Elle devait sortir. Elle devait vivre ne serait ce que pour achever ses geôliers, faire de ses parents ce qu’ils n’avaient jamais osés faire d’elle ; ce que la demoiselle aurait voulu qu’ils fassent. C’était un miracle pour Isadora de trouver la sortie, le couteau de cuisine ainsi que la chambre à coucher de ses géniteurs. Elle n’avait pas hésité et quand cela était fait, quand cela était accompli, l’énergie s’était brutalement éveillée en elle. Les flammes se diffusaient, d’un coup, ravageuses, avalant tout sur leur passage. Elle ne voulait plus rien. Elle ne voulait plus de cette existence réduite à une peine de prison qu’elle n’avait rien fait pour mériter. Elle s’acceptait comme l’atrocité que tout le monde la croyait être.
C’était ironique, puisque dans ces flammes, elle a tiré sa première personne des abysses. Un humain. Celui qui s’était montré un brin affectueux avec elle. Celui qui ne voyait pas en Isa la honte des Agallon. Elle l’a sauvé, l’a secouru d’une fin douloureuse, lui a évité la force destructrice de sa propre nature, avant de s’écrouler. C’était la première et la dernière fois, qu’elle l’utilisait, son don. Isadora n’était finalement pas née pour être celle qui sauvait les autres. Elle n’était pas née pour être l’espoir, pour être l’assurance. Isa n’était que force, qu’un pouvoir ravageur qu’elle ne voulait plus jamais renier, plus jamais assiéger par quatre murs indestructibles. Elle était enfin libre. Mais son don, lui, la retenait toujours captive d’une nature, d’un rappel constant de ce qu’elle aurait du être, avant, avant. La genèse que ses parents désiraient qu’elle soit.
Et cela fait tout le paradoxe de sa nature, sur tous les points. Son don, il lui reste à travers la gorge. Elle n’ose pas l’utiliser, égoïstement elle détourne les yeux, préfère l’ignorer au profit de la destruction que son élément peut causer. C’est elle, qui donne les blessures maintenant, et non pas le contraire. Plus rien ne doit lui faire perdre le contrôle. Encore moins ce cadeau toxique, qui est capable de lui voler toute son énergie en un claquement des doigts.
TEST RP QUI INCLUT L’ÉVENTUEL DON :

L’appel étouffé à son encontre se fondait au bruit d’effervescence provoqué par l’incendie ; Celui-ci s’était propagé dans toute la maisonnette, ce qu’Isadora remarqua d’un œil distrait. Oh well. Toutefois la sollicitation de son nom l’alarmait immodérément. Son bien-être envolé, la jeune fille se précipita à la fenêtre de la chambre de ses parents pour voir le surgissement qui la fit écarquiller des yeux. Une voiture s’était garée sur le gazon parfaitement entretenu des Agallon, la portière du côté du conducteur encore ouverte. Elle n’avait jamais aperçu le véhicule de son frère, mais Isadora savait – comme elle savait que quelque chose d’autre que de l’adrénaline se propageait dans ses veines – instinctivement que c’était lui qui était dans la maison, à sa recherche. Elle savait aussi qu’il allait périr à sa place, si elle ne se dépêchait pas de l’aider. Sur cette pensée, l’adolescente s’élança dans le feu. Elle ne pouvait pas laisser mourir la seule personne qui s’était un tant soit peu souciée d’elle, durant ses années d’emprisonnement. « Hélios ? HÉLIOS ? » Le manque de réponse la rendait encore plus frénétique dans sa quête. Il n’était ni dans le salon quasiment intact où seul les portraits de famille se faisaient dévorer par les flammes, ni dans la cuisine qui semblait être le lieu le plus dévasté entre tous. Les pièces n’étaient pas nombreuses au premier étage et bientôt il ne lui en restait plus qu’une. Celle qui faisait naître en elle une piqure d’angoisse. Les yeux plissés à cause de la fumée néfaste, qui ne lui faisait pourtant aucun effet - chose à laquelle elle n’avait pas le temps de réfléchir-, Isadora n’hésita que quelques instants avant de descendre dans son enfer personnel. C’était là-bas que se trouvait le corps d’Helios, allongé sur le sol de sa cellule. Il était venu la chercher... La certitude lui pinça le cœur alors qu’elle s’affalait à ses côtés. « Hélios ?.. » La vue du sang qui s’échappait d’une plaie sur le haut de son crâne et des brûlures qui se formaient sur ses avant-bras dévoilés firent survenir un sanglot imperceptible au fond de sa gorge. Elle ne pouvait pas le laisser mourir. Le souffle saccagé, les larmes lui brouillant la vue, Isadora ferma ses paupières pour laisser les images s’y succéder, les souvenirs lui brûler la rétine. Son frère, qui n’avait pas été influencé par la folie insensée de ses parents. Son frère, qui n’avait pas pris peur face aux avertissements. Son frère, qui lui lisait des histoires de derrière ses barreaux. Son frère, qui lui donnait l’avant-goût utopique d’une liberté tant désirée. Son frère, qui chassait son isolement. Son frère, qui était venu la secourir, elle. Elle, qui ne méritait probablement plus d’être sauvée. Contrairement à lui. Insciemment, une prière se forma sur le bout de sa langue alors qu’elle l’attrapait par les aisselles, dans l’espoir fou de le tirer des flammes. Elle ne pensa pas à la divinité de son enfance, à laquelle elle ne croyait plus. Elle ne pensa même pas à un être céleste en particulier. Isa voulait juste que quelque chose – quelqu’un - sauve Hélios. Poussant un grognement pénible alors que son pied se coinça sur la dernière marche des escaliers, elle essuya d’une main son front et ses larmes, qui avaient creusées des sillons sur ses joues. Le périple lui prit de dizaines des minutes et bientôt des sirènes pouvaient se faire entendre en fond sonore. Elle ne le remarqua pas, comme d’habitude, bien trop concentrée sur son demi-frère et l’air frais qui lui fouetta le visage. La fumée lui manquait, presque. Etrangement. Étalant le corps du vingtenaire sur la pelouse, l'adolescente posa spontanément ses mains sur ses avant-bras et força sa vitalité, quelque chose, à le sauver, à soigner chaque plaie, chaque brûlure, chaque lésion. À le purger de chaque maux, de chaque douleur. Trop concentrée dans sa litanie, Isadora ne remarqua pas son sang qui s’égouttait doucement sur ses lèvres et se mélangeait à ses larmes ainsi que le sang de ses parents, qui était toujours présent sur ses joues. Bientôt, il ne lui restait plus qu’un incessant tambourinement dans ses tempes et le début d’un vertige mal contenu. Ouvrant ses paupières, elle inspira brusquement en voyant l’absence totale des fléaux sur la peau de son ainé. C’était un retour à la réalité brutal, puisqu’elle se rendit enfin compte du mal de tête qui se diffusait derrière ses yeux et le sang séché qui s’était égoutté dans son cou. Se reculant d’un coup, son bras céda à une soudaine faiblesse – vide vide vide, elle était à nouveau vide – et elle s’écroula aux côtés de Helios. Ses yeux roulèrent dans son crâne tandis qu’elle lâcha une première et une dernière plainte, dans la forme d'un gémissement. Isadora aurait été satisfaite avec sa vie, si Helios était sain et sauf, lui. Elle ne méritait pas d'être sauvée. Sur cette pensée, la brunette sombra dans les ténèbres si familières.

voilà, je suis désolée pour la longueur, j'ai un peu dépassé les 600 mots demandés max. (et j'ai pas mis le contexte total du rp, bc ils faisaient 1600 mots ensemble. ) dites moi si vous voulez que je modifie/rajoute un truc, ou quoi. merci beaucoup d'avance pour votre attention.

ta plume, vraiment je m'en remets pas bien sûr que c'est oui, j'aime beaucoup le rapport qu'isa entretient avec son don

mille mercis, franchement. pour le compliment (qui m'a fait rougir, bc c'est vraiment adorable   ) autant que l'accord du don. j'espère ne pas vous décevoir avec, dans le futur.

NOM DE VOTRE PERSONNAGE : Kael Fox.
NOM DU DON DÉSIRÉ : Transformation instantanée.
POURQUOI CE DON EST-IL IMPORTANT POUR VOTRE PERSONNAGE ? Dès son plus jeune âge, et probablement à cause de son tempérament enfantin et impulsif, Kael à été le genre de loup dont les actions étaient remis en question. Poussé en bas de l'échelle constamment et moqué pour son incapacité à faire quoi que ce soit, le blondinet à longtemps travaillé afin de réussir à maîtriser ne serait-ce qu'une parcelle, qu'une partie de ce qu'est sa vie à vingt ans et des poussières. Étant loup depuis sa naissance à cause de ses parents qui sont tous deux loups aussi, il aura eu le temps d'apprendre à contrôler ses transformations, à ne faire qu'un avec son instinct animal et apprendre à le contrôler. Kael serait d'ailleurs le premier de sa famille, de sa lignée, à avoir acquit un don de la sorte, ce qui le rendrait non pas seulement fier de lui-même, mais rendrait ses parents, qui sont déménagés loin d'ici, fiers aussi.
Bien que le blond ne soit pas violent de nature, et qu'il se refuse à utiliser le don de transformation instantanée pour des conneries - l'ont doit avouer que souffrir autant simplement pour effrayer le chat du voisin (ce que Kael serait capable de faire, à vrai dire), ça n'en vaut pas spécialement la peine, il apprécie sa capacité à pouvoir utiliser son dos pour protéger la meute, ses amis et ceux qu'il considère comme étant sa famille. Puis, bien sûr, pour se protéger lui aussi. Comme mentionné plus haut, les gens ont une certaine tendance à le croire plus faible qu'il n'en a l'air, et il fait une bonne victime pour les chasseurs et les sorcières.
TEST RP QUI INCLUT L’ÉVENTUEL DON : Excusez moi les 33 mots de trop, j'en aurais probablement écrit plus si je m'étais laissé aller.

Le reflet du soleil faisait briller les mèches blondes de Kael, qui s’était écrasé paisiblement dans l’herbe verdoyante. Il n’était pas sorti de chez lui pendant plusieurs jours, et les raisons derrière cet isolement étaient ridicules et totalement typiques de sa personne; il s’était acheté un nouveau jeu de PS3, s’était commandé deux pizzas extra fromage et s’était mis à jouer en ligne avec quelques un de ses amis. Aujourd’hui, il s’était dit qu’il profiterait du soleil et de la chaleur de ses rayons pour bronzer un peu et passer à travers son nouveau stock d’herbe que son meilleur pote lui avait refilé. Il s’était promis d’arrêté et de reprendre les études. Pour l’instant, il n’avait rien arrêté du tout, et n’avait toujours pas trouvé la motivation de retourner à l’école. À quoi bon? Quand on est incapable de rester assis et de se concentrer sur la voix monotone d’un professeur plus que 10 minutes…
Il tire une fois, puis deux sur le joint qu’il tient entre ses lèvres, les commissures de celles-ci faiblement étirées par un sourire satisfait. Perdu dans son petit paradis de plaisir, il ne sait pas de suite différencier les bruits de pas des écureuils de ceux plus discrets de bottes écrasant les branches tombées des arbres les entourant. Même s’il n’entend pas l’âme inconnue s’approchant de sa personne, Kael est tout de suite sorti de sa torpeur par l’odeur typique d’un humain; d’un humain qui sent la sueur, le whisky, et la rage. « Petit petit loup… Je sais que tu es là… » Entend-il à travers les feuilles, la voix de l’homme portée par la brise et se répercutant contre les arbres. Erreur de débutant numéro un : parler et exposer sa position à la créature que l’on chasse. Kael, désormais au courant que le chasseur arrive à sa gauche, se relève rapidement et lance son joint devant lui, jurant entre ses dents serrées.
Le clic typique d’une arme à feu se fait entendre. Tout bon chasseur sait que l’argent est fatal pour les loups, et le blond ne voulait pas attendre d’être atteint pour savoir si ses pensées s’étaient avérées vraies. Bondissant rapidement par-dessus un tronc tombé et faisant un virage serré à sa droite pour semer le chasseur, il entend rapidement les pas d’une autre personne devant lui; une personne portant la même odeur que le premier. « Quinn, je crois qu’on le tient. » suivit d’un « Tait-toi, imbécile, il va nous entendre. » murmuré. Pas très subtil. Kael, entouré, ne sait que faire; il n’aime pas spécialement avoir recours à des moyens plus drastiques, mais il ne tient pas spécialement à mourir aujourd’hui sans avoir nourri son poisson rouge et dit au revoir à ses parents.
Sans faire de bruit, il se cache dans un buisson et se dévête rapidement. Se mettant à genoux pour éviter une chute pendant la transformation, le blond ferme les yeux et se concentre pour appeler le loup en lui. Il espérait secrètement que la transformation ne prenne pas trop de temps, histoire qu’il ne se fasse pas choper par les chasseurs, tout nu et facile à achever. Ses inquiétudes disparaissent quand il est foudroyé par une douleur flamboyante aux épaules, puis au dos, et bientôt, son être au complet se tord de douleur sur le sol. Sa colonne craque de façon brutale et sa morphologie entière est reconstruite de manière à tordre les boyaux d’un débutant en matière de loup garous.
Un grognement sourd résonne et attire l’attention des deux chasseurs. Ils n’ont pas le temps de dire quoi que ce soit que les crocs de la bête en mode self-defense perçent la jugulaire rapidement et efficacement, les laissant se baigner dans leur propre sang. C’est ce que l’on gagne à s’attaquer à un loup comme Kael.

Merci d'avance

Je vais dire oui

NOM DE VOTRE PERSONNAGE : Félix Morales
NOM DU DON DÉSIRÉ : Transformation instantanée.
POURQUOI CE DON EST-IL IMPORTANT POUR VOTRE PERSONNAGE ? Félix est loup depuis toujours, il se définit d'ailleurs d'abord de cette façon plutôt que comme un homme. Il a grandit dans une famille de lycans et il a une maîtrise très fine de ses capacités. Il aurait le potentiel pour être alpha mais c'est juste un gros fainéant de bêta  .
En fait, il respire le loup. Du coup ça me semblait bêtement logique qu'il soit capable de se transformer à sa guise. Il en besoin en réalité, car si c'est un "homme" calme, en loup il est beaucoup plus instinctif et violent. Il serait terrible les soirs de pleine lune s'il relâchait pas la pression à certains moments dans le mois. C'est essentiel à son équilibre en fait.  

TEST RP QUI INCLUT L’ÉVENTUEL DON :


La pleine lune était loin.
Et pourtant, Félix entendait sa douce mélopée envoûtante. Quelque chose de pressant qui faisait ressurgir le loup en lui. Dans ses membres il sentait le poids des pattes lupines et il avait la mâchoire comme alourdie de crocs. Un frémissement sous le derme qui le poussa à sortir pieds nus, dans le jardin, la cigarette aux lèvres. Son pouls battait au rythme de celui de la forêt. Lev vint se frotter à ses jambes quelques instants, le dos rond et son petit corps vibrant au son de ses ronronnements mais sentant son maître distrait, il s’échappa en quelques foulées agiles. Recrachant par à-coups la fumée prise dans ses poumons, Félix le regarda s’éloigner cette fois sans le pourchasser. D’un signal, qu’il était le seul à entendre, il abdiqua à la capricieuse lune montante et se dévêtit.
Il donnait le change, son masque humain lui allait à la perfection mais il ne fallait pas se tromper ; Il était Loup.

La douleur exutoire de la transformation il avait appris depuis longtemps à l’endurer. Non pas qu’elle s’était amenuisée avec le temps. Il aurait fallu être fou pour croire que d’avoir tous ses os brisés et remodelés, sa peau craquant sous la pression d’une fourrure toute neuve, les ligaments roulant et se déplaçant pour se mettre aux bons endroits, les muscles s’étirant provoquait autre chose qu’une lente agonie. C’était la première secondes, les griffes dans la tourbe, et les sens encore un peu chamboulés, la certitude qui s’installait peu à peu dans la lie de son existence humaine pour ne laisser que le loup, qu’il trouvait la liesse. La première inspiration, dans sa gueule chargée de crocs, et l’impulsion formidable qui courait à travers ses membres.

La concupiscence animale à son paroxysme, il urinait bien souvent pour marquer son passage. Un long jet chaud et brut qui se mêlait à la terre et le rendait à ses racines. Il s’ébrouait pour se débarrasser des derniers réflexes humains, puis la nuit et ses promesses l’appelaient. Il la saluait, d’un appel déchirant, le museau tourné vers les cieux. La nature retenait son souffle, devant l’appel de la Bête lancé à sa déesse. La lune, facétieuse venait caresser son pelage comme pour le saluer et le libérer. Il était son Enfant.

c'est un ouuui

Merci

NOM DE VOTRE PERSONNAGE : DALIA LISI
NOM DU DON DÉSIRÉ : MEDIUM
POURQUOI CE DON EST-IL IMPORTANT POUR VOTRE PERSONNAGE ? Dalia a été marquée par la mort violente de son père il y a un an. Le fait que le meurtre n'ai jamais été résolu la ronge. Elle s'est renfermée sur elle même. Un jour elle s'est mise à entendre des voix, puis à faire des cauchemars. Au départ elle était effrayée. Mais au fur et à mesure, elle a appris à gérer son don. Les morts l'aident à faire son deuil. En les aidant, elle s'aide elle même. Bien sûr, ils ne sont pas toujours bien veillant. Mais côtoyer la mort l'aide à être plus forte.
TEST RP QUI INCLUT L’ÉVENTUEL DON : Dalia et sa mère était en ville depuis maintenant un mois, pourtant la jeune fille avait toujours du mal à s'habituer à sa nouvelle demeure. Depuis la mort de son père il y avait de cela un an, l'adolescente ne communiquait presque plus avec sa mère. Au grand damne de cette dernière. Mais Dalia n'y pouvait rien. Les choix que sa maman prenait n'aidait pas non plus. Quand Maria avait annoncé à sa fille qu'elles allaient venir s'installer à Glencullen, un village non loin de Dublin, Dalia avait arrêté de parler à sa mère pendant près d'une semaine. Cela pourrait paraître immature de sa part. Sûrement. Toutefois la jeune fille avait fait cela car elle souffrait de cette décision et ne savait pas comment l'exprimer auprès de sa génitrice. A la mort de son père, elle s'était éloignée du peu d'amis qu'elle avait. Cependant, même si elle ne leur parlait plus trop, la jeune fille savait au fond d'elle qu'ils étaient là pour elle. Si elle avait envie d'envoyer un texto à quatre heure du matin pour débaler son sac, elle avait toujours un de ses amis pour lui répondre. Là elles allaient se retrouver dans un lieu inconnu, sans aucun repère, ni personne à qui parler. Mais Dalia était une jeune femme intelligente. Après cette semaine de mutisme, l'adolescente était revenue voir sa mère. Maria l'avait accueilli à bras ouverts.L'installation se fit calmement. Les Lisi ne pouvaient compter que sur elles mêmes, mais la mère et la fille avaient l'habitude. La première semaine passa sans encombre particulier. Mais une nuit, Dalia avait beau s'être couchée tôt pour être en forme pour sa rentrée au lycée, elle n'arrivait pas à dormir. Au bout de quelques heures, las de tourner en rond dans son lit, la jeune femme se leva et s'habilla. Un jogging nocturne était le seul remède pour elle contre ses insomnies. Bien évidement, elle devait être discrète si elle ne voulait pas que sa mère lui fasse une crise d'angoisse. Elle sortie donc par la fenête de sa chambre. A leur arrivée, elle avait repéré une forêt non loin de la ville. Dalia s'y rendit donc assez facilement. Elle trouva un rythme régulier, son écouteur dans les oreilles. Elle ne se rendit pas compte du tempd qui passait. Tout allait bien, jusqu'à ce que d'un coup elle se sentit mal. Elle dû alors faire une pause. La tête lui tournait. Elle ne comprenait pas vraiment pourquoi, elle avait dû parcourir à peine 3km. Distance raisonnable pour cette jeune fille qui s'entrainait ue fois par semaine. Prudente, elle décida qu'il était temps pour elle de rentrer. Elle le fit donc sans plus attendre. Une fois dans son lit, elle s'endormit rapidement. Le reveil le lendemain fut un peu dure, mais elle avait l'habitude ces derniers temps de ne pas avoir beaucoup de sommeil. Sa première journée se passa sans problèmes, enfin au moins la matinée. Arrivé à la pause déjeuner, il se passa quelque chose d'étrange. Alors que Dalia prenait son repas, seule dans son coin, elle entendit un murmure.

*Aide moi*

Surprise, elle se retourna et regarda machinalement derrière elle. Rien. Elle reprit son repas, mais la voix reprit de plus belle.

*Viens à moi, s'il te plait, aide moi. *
Elle se leva, déposa son plateau et décida de trouver la source de ces paroles étranges. Pas à pas, elle fut guider vers les toilettes des filles. Une chance pour elle, elles étaient vides. Toutes les portent étaient fermés, sauf la dernière. Elle s'y approcha doucement, tendue. Quand elle arriva à la dernière porte, elle fut horrifiée. En effet, une jeune femme était pendue. Mais alors qu'elle s'apprêtait à aller prévenir quelqu'un, le corps souleva soudain la tête et la regardant droit dans les yeux, s'adressa à elle :

*aide moi*

Merci beaucoup

NOM DE VOTRE PERSONNAGE : Ezekiel Vitaïev.
NOM DU DON DÉSIRÉ : Transformation instantanée.
POURQUOI CE DON EST-IL IMPORTANT POUR VOTRE PERSONNAGE ?

Ezekiel est né Loup, dans une famille constituée uniquement de cette race. Une famille dans laquelle les traditions se doivent d'être respectées et où le futur de l'enfant est décidé dès sa naissance, selon son ordre. Le jeune adulte est l'ainé de la famille, il était donc destiné à prendre la tête de la famille après son père, une fois son âge mature atteint. De part son destiné tracé, il n'a pas eu d'autre choix que d'entraîner et d'affuter ses capacités de loup, sous le contrôle de l'Alpha, ce qui sous-entends la maîtrise de sa transformation, afin de garder un point non négligeable sur le reste de la meute.

Bien qu’au départ, il ne voyait pas cette maîtrise d’un bon œil, il a fini par y prendre goût et la tourner à sa propre façon de vivre. Pouvoir garder un contrôle son instinct animal, est un point non négligeable pour Ezekiel. La douleur procurer n’en est pas moins douloureuse, mais quand on s’amuse à se transformer aussi souvent qu’Ezekiel, on fini par s’y habituer. On peut en effet le voir comme un cabot, plutôt que comme un homme, tout simplement parce qu’il l’effet de liberté que procure ce don, mais surtout parce qu’il est possible de faire de nombreuses farce dont il à le secret. La transformation est donc une partie d’Ezekiel, au même titre que sa personnalité ou son corps, aussi bien au niveau de son caractère que de son histoire. Mais ne vous tromper pas, il est peut-être capable de se transformer, mais au vu de sa maladresse, il s’est retrouvé plus d’une fois bloqué sous forme lupine. Qui plus est il a souvent tendant à oublier que lorsqu’il récupère sa forme humaine, il la retrouve en tenue d’Adam.

D'un point de vue capillaire (poilinaire n'existant pas), la fourrure d'Ezekiel est un peu particulière. La Russie est loin d'être contenu pour ses hautes températures et son soleil brillant, mais pour l'inverse, des températures franchissant avec facilité les zéro. Elle est blanche comme la neige, douce comme la laine, il est donc normal qu'il apprécie énormément sa forme lupine.

TEST RP QUI INCLUT L’ÉVENTUEL DON : écrire ici/entre 300 et 600 mots grand max.

Août, Russie, il y a 13 ans

Ton doigt dansait sur la neige, dessinant les images qui te venaient à l'esprit. Tu attendais, patiemment, assis sur le banc en bois. Il y a bien une chose que tu aimais faire chez toi, c'était poussé ton paternel, enfin toute famille à vraie dire, tu es l'ainé, mais tu es surtout le vilain petit canard. Tu enchaînais les bourdes, les bêtises, comme lorsque tu t'amuses à dévaler la colline en roulant comme un rondin de bois. Ton destin était tracé, tu devais prendre la place de ton père une fois ton âge mature arriver, ce qui veut trente ans dans ta famille. C'est à cet âge là qu'ils te jugent assez mature et assez entraîné pour prendre la place d'Alpha, ce qui en autre veux dire, tuer tout père. Mais tu n'en as que faire de cette place de dominant, de ces traditions dépassées depuis des Lunes. En parlant de tradition, à l'heure actuelle, tu devrais être en train de saluer vos ancêtres, au lieu de ça tu avais décidé de n'en faire qu'à ta tête. Du haut de tes quinze ans, tu avais décidé qu'il était temps que tu montres ton mécontentement et comme ils ne semblaient pas comprendre les mots, tu avais pris la décision de le prouver par tes actes, en commençant par uriner avec amour et tendresse, sur les tombes de vos ancêtres.

Un acte qui n'avait pas plu. Tu pouvais entendre d'ici le grognement de ton père, ce qui laissait sous-entendre une petite punition. Ces derniers temps il avait par habitude de t'enfermer dans le donjon sous la maison. « Ciel… » Tu sentais d'ici la rage qui l'animait et tu n'avais guère besoin d'user de ton odorat pour le savoir, quand il t'appelait par le prénom de ton grand-père, ce n'était jamais bon signe. Au son de sa voix, tu t'apprêtais à prendre la poudre d'escampette, même si tu savais parfaitement qu'il t'aurait tôt ou tard, mais il valait mieux tard que tôt. Passant de la position assise à la position à quatre pattes, le corps recouvert de fourrure. Tes chances étaient légèrement plus grande sous ta forme de loup et cela allait te permettre de te dégourdir tes pattes. Ta fourrure était en harmonie parfaite avec la neige étendue sur le sol, alors que tu sentais les flocons se glisser avec furtivité entre tes coussinets, hérissant tes poils alors que tu commençais ta course. Peut-être que de cette manière, il allait comprendre, mais tu n'avais pas trop d'espoir, il était bien trop têtu, un peu comme toi, de côté-là tu tenais de lui, il n'y a aucun doute. « Tu veux courir petit louveteau, très bien. Je suis prêt à pardonner ton acte si tu ramènes de la viande. »

Pardonner ? Ce mot ne faisait pas partie du vocabulaire de ton père. Tu le savais parfaitement et de toute manière il s'est mieux que quiconque, que tu ne ramèneras jamais un corps humain. Ou peut-être qu'il espérait que tu comprennes finalement que ton destin était tracé et que tu ne pouvais pas y échapper. Bon Dieu, c'est mal te connaître. Si tu étais réfléchis et obéissant ça se saurait. Qui plus est, il n'avait pas précisé le type de viande, même s'il n'en avait pas besoin. Traditionnaliste comme ils sont, ta famille ne pratique qu'un seul type de chasse, celle de la chasse à l'homme. Quelques heures plus tard tu étais rentré à la maison, la bouche pleine, les poils de menton étaient recouverts de sang. L'odeur du lapin se répandait dans toute la forêt entourant la demeure, ton cadeau n'était donc pas une surprise, il avait dû le sentir à des kilomètres, mais sa tête, elle n'avait pas de prix. Cette veine sur son front, qui lui donnait un air de troll, ne pouvait que te faire rire intérieurement. Tes crocs étant occupé à tenir le petit Bugs Bunny, que tu venais de jeter au pied de ton père. Restant sous ta forme de loup, tu caressais la neige de ta patte, comme pour écrire. Sous cette forme tu n'es pas capable de parler, tu peux grogner ou parler en loup, mais c'était bien moins amusant. « Screw you Dad » le tout suivit d'une multitude de point d'exclamation et un sourire moqueur sur ton visage de loup. Autant dire que tu as passé le reste de la soirée pieds et mains liés dans le cachot, d'ailleurs tu avais fini par marquer le mur de ta présence à l'aide de tes griffes. À chaque fois tu étais attaché ici, tu faisais une marque.

J'ai un peu dépassé le maximum, mais j'étais lancé, je me suis forcé à arrêter sinon j'y serais encore.

c'est bon p'tit chien