identity card PRÉNOM(S) : Nathanael, c'est en fait le prénom qui lui a été donné lorsqu'il a été recueilli à l'orphelinat. Son véritable prénom est Aleksy. Sa famille est originaire du l'est de l'Europe, mais a migré en Angleterre entre les deux guerres. Son véritable nom de famille est Stilinski. AGE : 26 ans. Il ignore sa vraie date de naissance... Enfin, il l'ignorait, jusqu'à ce qu'il pose la question à sa soeur jumelle. Officiellement - d'après les papiers légaux - il est né 3 mois plus tard que sa véritable date d'anniversaire.PROFESSION : Nathanael est un consultant spécialisé dans les relations publiques et plus spécifiquement orienté en gestion de crise. C'est lui qu'on appelle quand le précédent a mal fait son job et qu'il faut rétablir l'image d'une entreprise ou, plus fréquemment, d'une personnalité publique. STATUT SOCIAL : En couple... Mais pas officiellement. Parce qu'il sort avec le copain de sa soeur... Et sa soeur. C'est une relation que tous ignorent, mais qui les rend heureux quand ils sont ensemble. Nathanael, cependant, se sent parfois un peu de trop, il faut bien l'admettre... RACE : Sorcier. NATIONALITÉ : Anglais. ORIGINES : Il a des origines polonaises. FAMILLE : écrire ici, vous pouvez développer un peu. Racontez très brièvement l'histoire de votre famille.

characterization Nathanael se fait souvent appeller Nate. Ca ne le dérange absolument pas, c’est plus court et puis il a plus l’habitude d’entendre les gens l’appeller comme ça. + Il adore la mode, il fait toujours très attention à son apparence. Il n’est pas rare de le voir rentrer chez lui avec un sac, d’ailleurs, parce qu’il aura craquer sur une paire de chaussure ou une chemise… Les chemises, c’est vraiment le pire. Il en possède beaucoup trop. + Nathanael a la langue aiguisée comme un couteau de chasse. Le sarcasme, il l’use avec délice et c’est même devenu très naturel pour lui. + Le jeune homme déteste les loups. Une meute de loups a tuer sa mère, et sa petite amie de l’époque (qui s’entrainait pour devenir une chasseuse, mais il l’ignorait à l’époque). Il les a traqué avec son père et a tué l’alpha, puis le reste de la meute – ou du moins les membres qu’ils pouvaient trouver. + C’est un grand amoureux de la liberté. Il n’y a rien de plus important à ses yeux. Il déteste se sentir contraint. Tout ce qui ressemble de près ou de loin à une contrainte est une torture. Aussi, il ne parlera jamais de mariage, ni d’enfants. +  Nathanael n’aime pas son père. Son vrai père. Il se considère comme un enfant abandonné, c’est le plus gros sujet de mésentente entre lui et sa soeur, d’ailleurs. Parce qu’elle, elle sait que leurs parents l’ont cru mort. Nathanael reproche à son père de ne pas avoir chercher assez, d’avoir abandonner trop vite. + Nathanael a intégré la culture anglaise sans aucun problème. Il a l’accent, le flegme et il préfère le thé au café ou à toutes autres boisson, en se levant le matin. Il boit d’ailleurs souvent des décoctions d’aconit. +

depuis quand habitez-vous à Glencullen ? Et pourquoi avoir choisi cette ville ? : Je suis revenu à Glencullen il y a quelques mois, déjà. Moins d’un an. C’est après terminé de traqué les loups de la meute qui ont tués ma mère, que mon père et moi avons décidé de venir vivre ici. Lui ne voulait plus vivre à Londres, où tout lui rappellaient sa vie d’avant. Moi, c’est autre chose qui m’a attiré ici… L’instinct est la réponse la plus proche de la réalité que je puisse vous donner. Quelque chose à Glencullen m’a attiré, et je l’ai trouvée.
Avez-vous remarqué la présence de plusieurs créatures surnaturelles ? Croyez-vous en leur existence ? Si vous êtes vous-mêmes une de ces créatures, avez-vous conscience de la présence de chasseurs, ou vous pensez-vous plus fort qu'eux de toute manière ? : réponse ici, essayez de développer un peu votre réponse. Croyez-vous en l'existence de divinités quelconques ? Avez-vous une religion ? Si oui, laquelle ? La pratiquez-vous sur une base régulière, ou pas du tout ? : réponse ici, essayez de développer un peu votre réponse.

PSEUDO : incaendo PRENOM : lise AGE : 22 ans COMMENTAIRE, SUGGESTION ? : bow down bitches, here comes nate      AVATAR : jack falahee GROUPE : sorcererPERSONNAGE : inventé

Diana ouvrit la porte à son père. Un sourire étira ses lèvres fines, alors qu’elle s’écartait pour le laisser entrer. « Je vais juste te laisser prendre Aleksy, papa. Róża va rester avec moi, elle est malade. » Le vieil homme hocha la tête et s’avança dans la maison. Un petit garçon lui fonça dessus et s’accrocha à sa jambe. « Aleksy ! » Le garçon riait, alors que dans une autre pièce, le père des jumeaux donnait un médicament à Róża. « On va quand même aller au zoo, hein ? Même si Róża est malade. » L’homme sourit et hocha la tête à nouveau. Ils ne furent pas long à sortir. La mère de Diana attendait dans la voiture, que son mari et leur petit-fils les rejoignent. Avant de partir, Aleksy avait sourit à son frère, qui lui avait sourit en retour.

Le feu brûlait autour de lui. Les flammes léchaient l’habitacle de la voiture, mais il ne touchait pas Aleksy. Le petit garçon ne comprenait pas, il se sentait simplement… Incroyablement bien. Bientôt, les flammes s’arrêtèrent de brûler ce qui était devenu cendres et carrosserie fondue. Et alors, une vieille femme vint chercher Aleksy. Elle le sortit de la carcasse de la voiture, et l’emmena avec elle. Elle avait la même aura que lui – même si il ignorait que ça s’appelait comme ça -. Ca brillait de la même manière, et ça le fit se sentir bien, encore. Aleksy ne pleura pas, il mangea avec elle, et s’endormit. Le petit garçon n’avait que deux ans, un peu plus, il ne se méfiait pas encore. Pendant que l’enfant dormait, la sorcière lui apposa un verrou. Elle était puissante, elle qui avait vécu toute sa vie au service de leur Mère. Le sacrifice venait d’être fait, et pour protéger l’enfant de potentiels chasseurs, elle devait cacher ses pouvoirs. Le lendemain, il dormait encore quand elle le déposa à l’orphelinat, sans indications, sans rien.

Nathanael avait cinq ans quand ses parents décidèrent de retourner vivre à Londres. Il avait oublié sa vie d’avant, ses souvenirs les plus récents remontaient à ses trois ans, quand il s’était cassé le poignet en tombant mal. Il ignorait que Nathanael n’était pas son véritable prénom. Au début, quand on l’appelait comme ça, il ne comprenait pas mais son cerveau d’enfant a vite comblé ce vide et oublié Aleksy.

Les voix, elles parlaient encore dans sa tête. Nate essayait de ne pas les écouter, d’agir comme si elles n’existaient pas. Mais il se dépêcha de rentrer chez lui, à la fin des cours, et s’enfermer dans sa chambre. Ses parents étaient riches, ils vivaient dans un quartier aisé de Londres. Déjà, ils vivaient à Londres, ça voulait tout dire. Le jeune garçon n’y pensait jamais, il laissa son dos heurter la porte en bois, après qu’il l’eut refermée, et ses doigts se glissèrent sur son crâne. Il voulait hurler, pour les faire sortir. Et puis, pour une fois, il comprit ce qu’elles disaient. C’était venu d’un coup, parce qu’il n’écoutait même pas, il essayait juste de ne pas hurler. Parfois, ça lui arrivait, il crier de se taire à des inconnus. Il pleurait sans raison devant le regard impuissant de ses parents, ou écoutait la musique beaucoup trop fort. Jusqu'à aujourd’hui. « Libère-toi ! » « De quoi ?! » Il cria en retour, sa voix résonnant contre les murs de sa chambre, lui donnant l’impression d’être effectivement enfermé. Il tomba à genoux, les voix étaient redevenues des chuchotements incompréhensibles. Des larmes se mirent alors à couler contre ses joues, alors que son front se posait sur le sol. « De quoi… ? » ses doigts grattaient l’arrière de sa tête, il y avait toujours senti une petite démangeaison. Sans qu’il ne s’en rende compte, sa voix pris des accents différents, ceux d’une langue qu’il n’avait jamais apprise, mais qu’il connaissait. « Dites moi… Aidez moi ! S’il vous plait. » Il n’avait que seize ans, l’âge auquel la Mère considère que ses enfants sont aptes à faire les rituels. Et il en avait fait, oh oui, déjà quelques-uns, sans le savoir. A nouveau il ne bougea plus, comme ces nuits d’absences, et la Mère pris le contrôle sur son fils.

Les lèvres de Cassie étaient incroyablement douces. Nathanael sourit dans le baiser, alors que ses mains se glissaient sous son t-shirt, sur ses hanches. Elle ne dit rien, se laissa faire alors que le jeune homme mordillait la lèvre inférieure de la brune. Elle posa ses deux mains sur son torse, et éloigna son visage juste assez pour pouvoir le regarder. « Tes parents sont là. » Ce n’était pas leur première fois, c’était plutôt loin de l’être, en fait. Nathanael avait dix-huit ans, il était en couple avec la jeune fille depuis quelques mois et ils s’aimaient beaucoup. C’était ça l’amour, selon lui. Le vrai, celui qui faisait battre son cœur et qui lui faisait dire et faire des choses stupides, sans qu’il ne puisse y réfléchir avant. Il avait envie de la couvrir d’attention, absolument tout le temps. Et elle lui souriait comme si le monde se trouvait dans ses yeux. Son aura était celle d’une humaine, désormais Nathanael les connaissait et les différenciait. Lui et son père ne se méfiaient que des loups, les humains, que pouvaient-ils leur faire ? « Je m’en fiche, Cassie… » Souffla-t-il en la tirant un peu plus. « Tu te tairas, pour une fois. » Et sa bouche s’écrasa contre celle de la brune, alors qu’elle allait protester. Il sourit à nouveau dans le baiser, mais un bruit attira leur attention, en bas. « Qu’est-ce que c’était ? » Nate lâcha sa petite amie, et s’approcha de la porte. « J’en sais rien. » répondit-il. « Reste là. » Il ouvrit la porte mais à peine arriver en haut de l’escalier, c’est son père qu’il entendit, dans leur langue, celle des sorciers. « Nate, court !» Il se passait quelque chose, et son père ne voulait pas qu’on sache qu’il était là. Il retourna à sa chambre en courant, mais en ouvrant la porte il vit qu’un homme s’était faufiler par la fenêtre. Et tenait un couteau sous la gorge de Cassie. « Crois moi mon petit, je te rend service là. » Le feu dansait dans les prunelles du brun. « Lâchez-là. » Et le feu brûlaient aux doigts de Nate, qui se fichaient que Cassie sache sa vraie nature. Il ne voulait que la sauver, à cet instant.
Tout bascula très vite, l’homme planta son couteau dans la gorge de la brune, avant de s’élancer sur Nate, qui plaqua ses mains enflammées sur son torse. L’homme mourut en quelques minutes, tandis que le feu léchait la peau et arrivait aux organes. C’était une attaque de loups, une meute qui les avait longtemps traqués, son père et d’autres sorciers, avant qu’ils ne s’installe en Angleterre. Ils avaient un vieux grief, mais le cercle s’était dissout pour la sécurité de ses membres. Ils avaient retrouvé son père, cependant, et Nate et lui avaient dû se battre avant de prendre la fuite. A nouveau. Laissant le corps de Cassie sans vie. La maison brûla sous un seul mot de Nate – son père étant un sorcier de l’eau – et ils quittèrent Londres.



Et c’est pire, depuis quelques temps. Nathanael glisse ses doigts à l’arrière de sa tête, il gratte. Il gratte plus fort, avec plus de volonté. Il devient fou et il hurle alors qu’il tombe à genoux. « Que ça cesse… » Il souffle, au départ, c’est un soupire à peine exhalé qui s’échappe d’entre ses lèvres. Mais ça continue, c’est une sensation indescriptible, qui se rapproche le plus de la démangeaison. Il a toujours vécu avec, plus ou moins. Depuis qu’il s’est débarrassé de son verrou, c’est plus fort encore. Nathanael finit par crier « Que ça cesse ! Arrêtez ! » et il en a tant besoin, que l’anglais se transforme en cette autre langue, celle des sorciers. Il ne s’en rend même pas compte, mais il L’implore. Et elle l’entend, son fils, mais elle ne l’écoute pas. Elle ne peut rien faire, il est une moitié incomplète et ce qu’il ressent, c’est comme un cadeau. Pour la trouver. Mais il ne comprend pas ! Jusqu’à ce que l’idée se fasse dans sa tête. Il a les doigts rougis, et la nuque en feu. Il s’est gratté à sang, cherchant à atteindre ce point inaccessible, contre sa moelle épinière.

Régulièrement, ses doigts de glissent dans sa nuque. Il sait que c’est ici. Glencullen. Il ne se souvient pas, mais c’est ici qu’il a vécu ses deux premières années. Lentement, Nathanael laisse retomber ses doigts contre son corps, quand son regard tombe sur une humaine. Son aura est spéciale, elle est un peu plus brillante. Et puis son regard se tourne vers lui, et il sait. Il sait au fond que c’est elle. Ce qu’elle représente, ce qu’elle est exactement il n’en sait rien. Mais son instinct lui souffle que c’est elle qu’il cherche depuis si longtemps. Alors il s’avance. « Excusez-moi. » Elle lui semble familière, mais de loin. Un visage refoulé il y a longtemps. Une sensation oubliée depuis l’enfance. Il se sent plein, il se sent complet, il se sent bien. Nathanael sourit, alors qu’elle le regarde à nouveau. « Oui ? » Elle a une voix qui glisse contre ses tympans avec délice, un sourire qui le fait sourire automatiquement en retour, comme si il était son miroir un peu faussé. Et son regard pétille d’un quelque chose de plus, d’autre de ce que les humains ont habituellement. « Je m’appelle Nathanael. Je viens d’arriver en ville. » Il ne sait pas trop ce qu’il était censé faire, mais Nathanael n’a habituellement pas de mal avec les relations humaines. « Je ne connais pas du tout cette ville, ni les habitants. Je me suis dis qu’il fallait que je commence avec quelqu’un. » Et l’approche fonctionna.

Rosa... Ce nom agitait les souvenirs depuis longtemps enfouis dans la mémoire du jeune homme. Elle venait tour juste de se présenter, que le regard de Nathanael se perdait déjà quelque part au dessus de l'épaule de l'autre. Rosa. Pourquoi est-ce que ce nom lui semblait être étrangement familier ? "Tu m'écoutes ?" Nate secoua la tête, doucement et acquiesça. "On dirait que t'as vu in fantôme" le sorcier lâcha un rire. "C'est juste que ton prénom... Je crois que je connaissais quelqu'un qui s'appelait comme ça." La brune hausse un sourcil, son expression était claire et facilement lisible sur son visage taillé par les anges - si ils existaient -. "C'est pas courant pourtant, en Irlande." surtout que Stilinski, il connaissait aussi ce nom. Mais les souvenirs étaient trop enfouis, trop profondément cachés pour qu'il puisse vraiment se souvenir de quoi que ce soit. Le jeune homme hausse les épaules. "Coïncidence." et il reprit sa marche en direction d'un café qu'il avait repéré, en arrivant en ville. Après l'avoir rencontrée, il lui avait demande d'aller boire un café, pour faire connaissance. Ce à quoi la brune avait répondu par l'affirmative. Elle dégageait une aura que le brun ne comprenait pas. C'était si intriguant... Nate ne pouvait pas s'empêcher de la regarder longuement. Alors qu'ils étaient installés depuis un petit temps, la discussion tomba sur leurs origines. "On m'a adopté" avoua le brun. Il n'avait aucun problème à le dire, en fait. Il n'en éprouvait aucune honte. Selon lui, la honte était plutôt a imputer a ceux qui l'avaient abandonné. Sa famille biologique. "J'avais deux ans, plus ou moins. En fait personne ne sait." il porta la tasse de the brulant à ses lèvres. Rosa dégustait une autre boisson. Lui, il optait toujours pour le thé. Il le préférait à l'aconit, mais il s'accommodait de ce thé a la fleur de bergamote. La saveur de son enfance. "Comment ça... Personne ne sait ?". Rosa le dévisageait également depuis quelques minutes, tandis que les informations qu'elle avait depuis qu'elle était gamine se recoupaient avec celles du brun. "Quelqu'un m'a déposé a l'orphelinat. Ma mère ou mon père, j'imagine." la haine, désormais, envahissait sa voix et la rendait plus grave, plus lourde. "Pas de nom, pas d'âge, rien." elle semblait étrangement insensible a son histoire. Nate avait l'habitude que les gens se montrent compatissants. Ou horrifiés. Elle , elle continuait de le dévisager. Longtemps. "Quoi ?" finit-il par demander, un peu abruptement. "Quel orphelinat ?". Rosa avait l'esprit vif, mais il ne le savait pas. Douée pour les énigmes, elle se révélait être une enquêtrice de talent, quand elle s'y mettait. "Celui du comté, il se trouve a quelques kilomètres d'ici." il la vit prendre sa cuillère et la plonger dans son café. Elle tourna longuement dedans, sans regarder le sorcier. Il se sentait bien, près d'elle. Un sentiment de plénitude l'envahissait et il ne voulait pas partir. "J'avais un frère jumeau..." sa voix s'étrangla dans sa gorge. Elle se mordit la lèvre inférieur et inspira difficilement. Ses doigts lâchèrent la cuillère "il est mort, quand on avait deux ans". Et leurs regards se croisèrent encore.