Azilis Harkwoodwe hunt those who hunt us
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Pseudo : vae solis (paula)
Avatar : holland roden
Crédits : hepburns (ava) ; .endlesslove (signa)
Double compte : ola skrzdlewska
Image : Âge : vingt-quatre années que le monde l'a vue naître - vingt-quatre années qu'elle vagabonde et qu'elle essaie.
Statut civil : elle sait que son coeur bat pour quelqu'un - mais pour qui, cela lui a toujours échappé.
Occupation : on la voit souvent vendre des fleurs et des plantes en pots, mais rares sont ceux qui savent que la nuit, elle sort et chasse ceux qui la chassent.
Armes de prédilection : les armes blanches ; elle ne sort pas sans un couteau à la cheville gauche, et lors de ses chasses, sans deux grandes lames dans le dos, parfois même accompagnées d'une épée à la ceinture. elle sait aussi manipuler les hormones et les parfums, comme le reste des membres de sa famille.
Date d'inscription : 10/01/2016
TO KNOW MORERelations: | Sujet: (M/LIBRE) EDDIE REDMAYNE Mer 25 Mai - 14:19 | |
| audric harkwood citation en guise de titre ici, à changer pour votre personnage PRÉNOM(S) : audric, avec un a comme argent, à la fois dur et doux, reflet parfait du sang celte qui coule dans ses veines. sa mère l'a autrefois appelé ricky et, depuis son départ, il ne supporte plus ce surnom. PROFESSION : il cache ses activités de chasseurs derrière une blouse blanche ; prétend être chercheur en pharmaceutique pour le laboratoire des harkwood alors qu'il les aide à concevoir les armes chimiques que lui et sa famille utilisent lors des traques. STATUT SOCIAL : up to you RACE : humain, mais humain au courant du monde sans pitié dans lequel ils vivent, car c'est ce monde qu'il chasse. NATIONALITÉ & ORIGINES : les harkwood sont une large famille implantées dans plusieurs régions de l'europe. les siens vivent à glencullen depuis des générations, mais il sait disposer de cousins en france et de parents éloignés en allemagne. trait de caractère ◊ trait de caractère ◊ trait de caractère ◊ trait de caractère ◊ trait de caractère ◊ trait de caractère ◊ trait de caractère x audric est né il y a vingt-sept ans, bientôt vingt-huit, dans le manoir de la famille harkwood à glencullen – comme son frère avant lui, quatre ans plus tôt, et sa petite sœur, trois ans plus tard.
x les premières douze années de sa vie ont été les plus ‘banales’, normales même, diront certains. c’était avant qu’il apprenne qu’il allait être élevé pour devenir un chasseur – chasseur du surnaturel. il s’est alors consacré à sa formation.
x il est un scientifique, comme la majeure partie de sa famille historique. c’est avec brio qu’il a réussi ses études, élèves ni brillant ni moyennement doué. comme précisé plus tôt, tout le monde le voit comme un laborantin, alors qu’il participe à la création des armes chimiques pour lesquels les harkwood sont célèbres au sein de l’ordre.
x en plus des points un peu plus psychologiques, dirons-nous, précisés ci-dessous, c’est à peu près tout ce qu’il y a à savoir sur ce p’tit gars. le reste t’es complètement libre, en fait, du moment que tu respectes cette trame et que tu pars pas en gros live avec des trucs improbables, tout ça, ça devrait le faire.
audric, c’est le type silencieux, qui reste dans l’ombre et qui écoute. on ne l’entend pas beaucoup, maos il sait tout sur tout le monde, à l’affût du moindre détail qui pourrait se révéler crucial. dans les bois, lors des chasses, il est celui qui entend les bruits en premier – celui qui dit « shh, taisez-vous, y en a un derrière le buisson là-bas. » il est calme, doux, élève très rarement la voix. sa colère ne se traduit pas par des cris et des gestes qui brassent l’air, mais plutôt par la parfaite petite pique, par les mots qui touchent là où ça fait mal. il sait écouter, n’est pas forcément doué pour trouver les mots qui consolent ou qui font sourire. alors souvent, il opte pour le silence et une étreinte – pour lui, c’est ce qui a le plus de sens. il se sent obligé d’aider, tout le temps. a l’école, c’était le gamin qui prêtait toujours ses affaires à tout le monde, qui parfois même donnait ses cahiers pour que tout le monde puisse recopier. sa générosité est ce qui le caractérise le plus, avec sa loyauté et l’aura de protecteur qui semble émaner de sa personne. ceux qui le connaissent bien savent qu’il a un grand sens de l’humour, qu’il rigole pour à peu près tout et n’importe quoi – mais seulement ceux qui le connaissent bien. les autres, ils ne voient qu’un jeune homme à l’apparence timide, mais pas froide, réservée, mais pas secrète. carapace translucide, solide, qu’il ne laisse s’effriter que pour ceux qui, selon son propre jugement, en valent la peine. nature de la relation - Azilis HArkwood Il lui adresse un sourire, quand il la trouve enfin, le jour où elle a eu douze ans. Ce jour où Meredith est venue la trouver, celui où on lui a enfin tout dit. Elle était allée s’asseoir sur la rambarde de son balcon, balançant ses jambes dans le vide – et il l’avait rejointe, comme d’habitude. Parce qu’Audric, peu importe l’heure, peu importe la situation, il était là, coûte que coûte. Il a commencé à balancer ses jambes aussi, prenant soin de caler son rythme sur celui de sa sœur – ce que la fit sourire. Elle tourne la tête, serre les lèvres, passe la manche de son pull trop grand sur ses joues. Ce pull, c’était celui de son frère, avant. Un jour qu’elle avait eu trop froid, elle l’avait trouvé dans le salon, nonchalamment posé sur le dossier du canapé. Il lui avait dit de le garder, sous prétexte qu’il avait l’air plus confortable pour elle que pour lui. « Ça va, t’encaisses ? » Elle hausse les épaules, Azilis, parce qu’elle ne sait vraiment pas. Les mots de sa tante résonnent encore à ses oreilles, autant que le regard – mi fier, mi inquiet – de son père lui brûle encore la nuque. Elle l’entend encore parler, lui raconter tout ce qu’on lui cache depuis sa naissance. Voilà d’où venait cette rigueur, cette droiture. Ces armes, aussi, qu’elle avait parfois aperçues. Elle lui avait tout dit. Tout sur tout. Sur eux, sur ceux qui les attendait dehors. Sur les quatre prochaines années, qu’elle passerait à s’entraîner. Et elle n’avait aucune idée de ce qu’elle en pensait. Pour le moment, elle avait arrêté de réfléchir, se contentait de se repasser sa conversation avec Meredith, comme quand on découvre une nouvelle chanson et qu’on ne peut pas s’empêcher de la rejouer, encore, et encore. « C’est pour ça que maman est partie ? » C’est d’un geste vif qu’il tourne la tête vers elle, les sourcils froncés. Il finit pour soupirer, et hausser les épaules à son tour. « Je me suis posé la même question, le jour où ils m’ont dit. Artor m’a dit que non. Mais bon. Pourquoi elle serait partie, alors ? » Elle acquiesce. C’est surtout à ça qu’elle pense, Az, depuis tout à l’heure. Les membres de sa famille étaient des tueurs, des chasseurs. Elle était au courant depuis à peine deux heures, et savait parfaitement qu’elle avait encore beaucoup de choses à apprendre sur eux. Sur les siens. Comment supporter ça ? Comme supporter une vie pareille, quand on n’y était pas forcé ? Ç’aurait fait peur à n’importe qui. Leur mère avait probablement et simplement voulu fuir un monde qu’elle n’acceptait pas. Elle avait certainement essayé de rester, aussi longtemps que possible – assez longtemps pour donner la vie à trois enfants. Mais à peine sa fille avait-elle poussé son premier cri qu’elle avait pris sa décision. Elle n’en savait rien, la rouquine. Elle ne pouvait que faire des suppositions. Elle soupire, lourdement, bruyamment, avant de passer une main dans ses boucles et de les nouer en un chignon ; avant de se rappeler qu’elle n’avait pas de quoi les attacher, et donc de les laisser retomber sur ses épaules. Elle sent le bras de son frère qui les entoure, et elle ne peut pas résister à l’envie de se blottir contre lui. « On devrait rentrer. » Elle approuve d’un hm silencieux, attends qu’Audric soit passé de l’autre côté de la rambarde pour faire de même. Elle referme la porte vitrée qui mène à son balcon derrière elle, regarde son frère s’avancer vers la sortie de sa chambre. « Audric ? » Il se retourne, lui adresse un énième sourire. Elle remue son nez, croise ses bras sous sa poitrine. « Tu restes ? » Il hoche la tête, elle copie son geste. Et c’est la joue contre son épaule qu’Azilis s’endort, sans savoir que cela lui arrivera de plus en souvent – car elle n’a pas fini d’être perdue. LIBRE / RESERVE / PRIS - Eddie Redmayne bonjour/bonsoir/bonne nuit j'vais commencer par te remercier de t'intéresser suffisamment à ce scénario pour arriver en bas de cette page peut-être même que tu t'aventures à penser 'dis-donc, il est vraiment cool, c'bonhomme, ça m'tenterait bien de le jouer' - et si c'est le cas, sache que tu es le ou la bienvenu(e)! mais tu dois certainement t'en douter, il y a plusieurs petites conditions dont tu dois prendre connaissance, et elles sont juste en dessous bonne lecture petit chat le pseudo comme tu l'auras peut-êter compris, il est nom négociable. harkwood étant le nom d'une famille de chasseurs prédéfinie, déjà porté par plusieurs membres, tu ne peux évidemment pas en choisir un autre quand au prénom, audric est celui que j'ai choisi pour le frère d'azi avant même l'ouverture du forum, utilisé dans ma fiche et dans plusieurs rp... alors, ce sera assez compliqué de me faire changer d'avis (et j'suis plutôt du genre bornée, alors je serais toi, je ne m'y aventurerais pas non, plus sérieusement, c'est réellement un prénom auquel je tiens énormément, donc voilà ) l'avatar eddie, c'est mon chouchou, mon petit baby. et puis, je trouve que c'est la célébrité qui pourrait le plus se rapprocher de l'apparence de holland - et leur ressemblance, nottament leur différence physique avec leur frère aîné et le reste des harkwood en général, est un point important pour leur lien avec l'aîné, tout ça à moins que tu me trouves son sosie parfait, là encore, ce sera dur de me convaincre de te laisser mettre eddie sur le banc de touche ouais ouais j'suis grave exigeante i'm sorry mais audric, il compte beaucoup, tu comprends la présence j'suis la première à parfois mettre mille ans à répondre, donc là-dessus, voilà, t'es tranquille bon, évidemment, c'est toujours agréable de pas avoir une réponse tous les trois mois, mais il est facile de comprendre que parfois les obligations de nos vies irl, ou parfois des circonstances atténuantes, nous empêche de poster rapidement nos rps et tout mais si t'es sûr(e) de ne pas déserter, moi ça me va le petit plus prendre un de mes scénarios, c'est se voir construire un temple. peu importe le matériau que tu demande - or, chocolat, marshmallow - ben tu l'auras, ton temple j'te fais des bisous petite chose, et à très vite j'espère |
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