|
| Auteur | Message |
---|
Clarissa Killingworthwe hunt those who hunt us
Messages : 747
Pseudo : ganseys (kat).
Avatar : zoey deutch.
Crédits : av/ faust, icons sign/ kush coma.
Double compte : isadora agallon, la reine de beauté.
Image : Âge : dix-neuf années qu'elle partage avec sa fausse jumelle, ciara et qui s'écoulent brutalement. dix-neuf années qu’elle s’éloigne de la petite fille qu’elle était avant le drame, avant la trahison et la mort. les mains immaculées se souillent, le coeur perd l’espoir, la légèreté d’autrefois.
Statut civil : célibataire, elle fuit l'amour, préfère s’égarer le temps d’un instant bref dans des étreintes inconnues.
Occupation : jolie stagiaire aux airs naïfs, elle s'est confortablement installée dans le poste de police de glencullen et plus particulièrement dans leurs archives.
Armes de prédilection : mis à part son corps qui est une arme à part entière, clare a une nette préférence pour les armes blanches. notamment son tashi ainsi que ses karambits, qui, avec son agilité, forment une combinaison mortelle entre ses mains.
Élément : mémoire effacée, souvenirs oubliés, pouvoirs mis sous verrou, clare ignore tout de ce qu'elle est véritablement; la nature de son vrai élément instaure en elle une peur d'enfant, terrible.
Date d'inscription : 16/01/2016
TO KNOW MORERelations: | Sujet: (M/LIBRE) MAX IRONS Jeu 28 Jan - 13:49 | |
| Dorian Warner citation en guise de titre ici, à changer pour votre personnage PRÉNOM(S) : son prénom est dorian, bien que clarissa a pris l'habitude de l'appeler par son nom de famille qu'est warner. AGE : entre vingt-deux et vingt-quatre ans. sa date et son lieu de naissance sont au choix. PROFESSION : à votre guise, bien que warner est actuellement en fuite et donc ne possède pas de métier stable. STATUT SOCIAL : comme précisé au dessus, il est en fuite, ce qui met en péril toute relation amoureuse qu'il a pu avoir avant de "mourir". + warner et clarissa avaient des sentiments l'un pour l'autre, mais clare est partie à glencullen il y a de cela cinq mois, et ils n'ont pas eu contact depuis. RACE : il était humain, autrefois, warner. il saignait, se blessait, comme tous les autres. né dans une famille des chasseurs, il a consacré sa vie entière pour leur cause: une cause qui lui tenait à coeur, car il a toujours voulu protéger les autres. mais voilà, le jeune homme est mort. aux yeux du monde, du moins. une version officielle inventée par ses parents, qui ne voulaient pas que les rumeurs se rependent à propos de leur fils. en vérité, il a été mordu par un loup lors d'une chasse où tout a tourné de travers. NATIONALITÉ & ORIGINES : au choix. il est en irlande depuis au moins dix ans. trait de caractère ◊ trait de caractère ◊ trait de caractère ◊ trait de caractère ◊ trait de caractère ◊ trait de caractère ◊ trait de caractère ◇ Aux premiers abords, le caractère de Dorian semble s’opposer totalement à celui de Clarissa, qui se montre plus agressive et inconsidérée dans sa façon d'être. Derrière sa nature calme et sympathique, qui peut en estamper certains, il partage cependant des nombreux traits identiques à ceux de la brunette. S’il est plus chaleureux et naturel dans sa façon d’être avec les autres, le garçon est tout autant téméraire que Clare et se lance tête la première contre tout danger. Paradoxalement, la Killingworth n'est expressive qu'avec sa colère, alors que Warner est sujet à des crises de rage silencieuses et vénéneuses, ce qui ne le rend d'autant plus dangereux. Il n'a pas dans ses habitudes de perdre son sang froid ce qui rend tuer, pour lui, presque facile. Il sait pourquoi il le fait, alors il ne s'occupe pas avec des remords inutiles. ◇ Chasser les créatures surnaturelles était sa façon de s’impliquer. Warner était de ceux qui essayaient de faire une différence dans le monde. Il ne se contentait pas de survivre dans sa petite bulle, il estimait que sa connaissance du monde surnaturel l'obligeait à égaler la balance de la nature. ◇ Ses parents ne lui ont pas laissé le choix quand il a été mordu, ils l’ont directement poussé au suicide. Il n’a cependant pas suivi le Code, chose que le jeune homme n’aurait pas hésité à faire dans d’autres circonstances. Pour une raison au choix (on pourra en discuter ensemble), Warner a longuement réfléchi avant d’ôter sa propre vie. Au final, il a préféré prendre la fuite. C’est à vous de voir s’il s’en mord les doigts, aujourd’hui, s’il regrette d’avoir tout laissé derrière sans regarder en arrière. En tout cas, je le vois vraiment détester, sans pour autant le constater de vive voix, ce qu’il est devenu: un monstre. Et savoir que tout le monde le croit mort (car il sait que ses parents lui ont organisé des funérailles) ne fait que le rendre d’avantage malade. ◇ Je vous laisse carte blanche sur son enfance et sa famille, sauf sur le fait qu’ils sont chasseurs depuis plusieurs générations déjà. Les Warner et les Killingworth sont unis par une loyauté et une amitié tissées au fil des décennies, Dorian a longtemps fait des sauts chez les parents de Clarissa pour que les enfants s’entrainent tous ensemble. Ils ont côtoyé les mêmes endroits pendant longtemps, sans jamais faire connaissance. Lui avait entendu parler des jumelles Killingworth, contrairement à Clari qui ne le connaissait pas, leur première rencontre s'est pourtant réalisée que bien plus tard, alors que la demoiselle avait déjà treize ans. ◇ Depuis sa morsure, le caractère de Dorian a quelque peu changé. Influencé par la lune et les émotions qu’il ne s’était jamais autorisé à ressentir, une colère enfouie semble imbiber chacun de ses mots et chacune de ses actions. Le garçon mélancolique semble avoir disparu, ravagé par l'amertume. nature de la relation - Clarissa Killingworth Le lien qui unit Clarissa et Warner a toujours été impossible à retranscrire durant les six années qui les ont liés. Les mots, les étiquettes n’étaient que trop simples pour qualifier deux êtres aux natures complexes. Regards échangés en silence, phrases inachevées en compagnie commune, sourires privés que seul l’autre comprenait, ce n’était pourtant pas de l’amitié. Si Warner n’affirmait et ne contredisait pas cette allégation, Clarissa lâchait sèchement que ce n’était jamais, ô grand jamais, de l’amitié. Et puis, en quoi ça vous concerne ? Grande allergique des sentiments, de l’amour et de l’attachement, c’est avec la peur constante de perdre des êtres chéris que Clarissa dénie l’évidence encore aujourd’hui. Conviction tremblante répétée et répétée et répétée au fil des années, son ventre se noue par automatisme dès que le sujet sensible est abordé. Plus personne ne mentionne son nom, à Warner. La vérité est difficile à accepter, à avaler. Elle a été stupide. Elle s’est attachée. Aussi facilement et malgré elle, Clare s’est attachée au garçon aux yeux calmes, aux regards lointains, dès leur premier échange, dès le premier étirement de ses lèvres. Ils étaient amis. Amis sans juste milieu. Il n’était pas rare de les apercevoir se battre, se faire mal mutuellement avec des paroles plus que cruelles, des répliques créées avec pour seul but de blesser l’autre. Et puis on les retrouvaient, un peu plus tard, plongés dans un silence confortable, une intimité révérée. Ils étaient amis. Ils étaient peut-être même plus. Personne ne l’a jamais su. Personne n'a jamais eu connaissance de quelques baisers échangés en l'absence des regards curieux. Personne n'a jamais découvert que Warner a été la première fois de Clarissa, alors qu'ils étaient tous les deux sous l'influence d'adrénaline après la première chasse de la brunette (ils ne regrettent pas). Personne n'a jamais su qu'il était le premier à qui la demoiselle ouvrait véritablement son coeur depuis la mort de sa soeur ainée. Mais Clare est partie. Pas sur un autre continent, pas dans un autre pays, pas vraiment loin. Elle était toujours en Irlande, toujours à quelques heures de lui. Pourtant, le contact n'a pas été gardé, d'un accord mutuel, une promesse passée sous silence. C'est donc par le bias de ses parents que Clarissa a découvert que Warner a été touché lors d'une chasse. Elle le croit mort. Comme tout le monde. Elle le croit mort et enterré, alors elle devient encore plus téméraire, elle ne réfléchit plus concrètement avant de se jeter dans la gueule du loup. Les yeux fermés, le souvenir de sa soeur et celui de son meilleur ami logés dans ses entrailles, Clarissa court droit à sa perte. (+ ma fiche.)- snapshots warner/clarissa:
it keeps my veins hot, the fire's found a home in me « Encore. » Le coup part avant qu’elle ne puisse le bloquer. Il la frappe en pleine poitrine, puis entre ses omoplates quand elle se plie sous la douleur qui lui ravage les os. Deux percussions secs et violentes, qui ne laissent rien à l’imagination à part peut-être les ecchymoses qui vont se former sur sa peau demain matin. Soufflant entre ses dents pour contenir sa fureur, Clarissa se remet droite après seulement quelques secondes. Elle est habituée à ce que les coups pleuvent et la plupart du temps, elle arrive à les bloquer ou à les éviter avant qu’ils ne l’atteignent. Mais aujourd’hui, elle est distraite et cela se voit. Ses yeux ne sont pas focalisés sur son opposant, son attention est ailleurs. Elle se demande où est Ciara. « Encore. » La voix tranchante de son père la coupe dans son élan, elle n’a que le temps de refermer sa bouche avant que les mains du garçon avec lequel elle s’entraine se posent sur ses épaules et sa jambe se coince derrière son genou. Il tire, essaie de renverser son centre de gravité, ce qui marche bien puisqu'elle se retrouve à balancer dangereusement dans l'air, sauvée d'une chute par là où il la tient. Mais il lâche et Clare en a soudainement assez. La colère lui tiraille le ventre. Il ne représente rien, n’est rien. Inutile, inintéressant, insignifiant. Il est plus âgé, mais n’est pas un challenge, n’est même pas un obstacle. Clarissa peut le mettre sur le tapis sans ciller d’une paupière. Ses mains et ses coudes viennent arrêter sa chute et avec un peu de force dans ses jambes pliées, elle se remet débout à une vitesse impressionnante. L’ambiance change. Avec un banal flip en arrière, elle lui envoie un coup violent sur le torse pour le faire reculer et profitant d’une seconde de surprise chez celui-ci face à ses capacités en gymnastique, elle continue en lui assenant un coup vigoureux entre ses jambes puis dans son nez. Un autre dans son dos, puis dans ses côtes. Il est à terre. Les garçons sont des requins. Il suffit de les désorienter un peu pour avoir sa chance. Mais Clarissa n’a rien d’une proie, n’a rien de quelqu’un qui fuit en premier. Surtout face au sexe opposé. Une caractéristique qu’elle a du apprendre de la manière forte. Les fois où la victoire lui a échappé et est allée à des hommes –principalement à ses débuts, quand elle ne connaissait rien au combat corps à corps–, l’adolescente n’a jamais pu arrêter d’en entendre parler. Remarques arrogantes à la fin d’un match, ils finissaient tous par la sous-estimer. Ils disaient qu’elle n’était qu’une gamine, et eh regarde moi ce corps, on dirait un gringalet de dix ans, c’est pas avec ça que tu vas tuer des monstres, retourne jouer dans ton bac à sable, petite. Même la réputation de sa famille n’y faisait rien. Elle a du gagner leur respect, même si elle n’avait rien à leur prouver. Travailler jusqu’à l’épuisement, jusqu’à ce que ses mains finissent en sang et les courbatures la ravagent toute entière. Elle avait tout à prouver à elle-même. Cela en a valu la peine, au final. La brunette se sent soudainement accablée. Elle est au courant de ce qu’elle vaut, au courant qu’elle peut mettre son adversaire k.o en quelques minutes – preuve à l’appui –, mais elle est lassée. Et furibonde. Une colère générale qui se retrouve focalisée sur le pauvre garçon à ses pieds, qui se tient son nez en sang. Elle a l’envie de lui flanquer un autre coup à la tête, l’assommer violemment. Mais son père ne sera pas content. Elle sait à quel point il tient à ce que les combats se fassent de manière juste. Frapper un adversaire à terre n’est pas juste, n’a rien de moral. Elle a brusquement l’envie de lui crier, de lui gueuler au visage que les sorciers, les loups, toutes ces créatures n’ont rien à faire d’être amoraux. D’être justes. Ils ne connaissent pas l’honneur, ne se battent pas de manière juste. Ils tuent et ils tuent et ils tuent. Des innocents, des enfants, des personnes qui n’ont rien demandé. Elle a envie de le prendre par les épaules et le secouer, de lui brailler que se battre ainsi ne fera que leur donner une chance. Une chance de viser droit, de toucher quelque chose de vital. Mais elle ne le fait pas, elle n’ouvre même pas ses lèvres. Clarissa s’est toujours soumise à ses parents, et à leur meilleur jugement. Mais peut-être pas cette fois. La colère est trop grande. Et son père doit le savoir, doit le voir dans la raideur de sa posture, à la lueur meurtrière qui brille dans ses prunelles. Il l’interrompt alors qu’elle lève sa jambe pour asséner une dernière collision. « Ça suffit, Clarissa. Ce n’est pas en perdant le contrôle de tes émotions que tu arriveras à achever Thaddeus. » Elle cligne. S’arrête. Baisse son pied. Reporte son regard sur son géniteur, pantoise. Le prénom de son frère fige sa colère, fige son être entier. Elle ne s’autorise pas à ressentir le maelstrom des émotions qui la guette. Elle n'est qu'une statue, faite de marbre, intouchable. « Bien. On arrête pour aujourd’hui. Clarissa, Ciara a fini son entrainement physique un peu plus tôt après un… accident avec l’ainé de la famille Winter. Elle doit être dans la bibliothèque ou dans le grand bureau avec ta mère. Va. Dorian, bon boulot... » Elle cligne, une nouvelle fois. Sent l'amusement la gagner en entendant les péripèties de sa sœur. Arrête d’écouter quand son père commence à donner des compliments et des conseils au garçon qu’elle a mis par terre. Ne montre pas que ces paroles lui font mal. Ses mots sont une façon comme une autre de la congédier calmement, elle le sait. Mais ça brûle, ça brûle de se sentir aussi insignifiante pour son père, d’être rejetée aussi froidement. Se pinçant les lèvres pour contenir une remarque déplacée, elle revient vers le dit Dorian, toujours au sol, toujours son nez entre les mains (pour arrêter le saignement probablement), et lui tend sa main. Dès qu’il est débout, elle hoche poliment de sa tête et n’attend pas sa réponse pour tourner les talons. Elle ne s’arrête pas non plus quand il prend la parole. « On m’a prévenu qu’il ne faut pas se frotter aux jumelles Killingworth de trop près, je suppose que j’aurais du écouter ce conseil. » Oh. Elle ne peut pas s'empêcher. Pour la première fois de la soirée, un sourire vient illuminer ses traits poupins. Il accepte qu'elle l'ait battu, accepte sa défaite. C’est… nouveau. Inhabituel. Elle est positivement surprise, les coups de tout à l’heure déjà oubliés. « Je suppose, oui. Ça t’apprendra. » Elle ne tourne son visage qu’à moitié, le laisse entr'apercevoir ses faciès ornés de malice, ses lèvres étirées. « À la prochaine, garçon pirate. » Une référence à l’arme de prédilection du jeune homme, un fusil à platines. Une référence qu’elle laisse échapper et qui les surprend tous les deux, Clarissa n’ayant pas prévu de révéler qu'elle l’a observé tirer sur des cibles, plus tôt dans la journée. Elle ne s'arrête pas pour réfléchir à ce qu'elle a dit, ne s'arrête pas pour rougir de honte parce qu'elle l'a regardé pendant plus d' une demi-heure. Elle sort par les portes, oubliant déjà cet échange au profit de la localisation de sa soeur. Toujours sa soeur. i'm wasted, losing time, i'm a foolish, fragile spine Elle n’a que sa robe courte d’été sur les épaules. Elle n’a que sa robe courte d’été sur les épaules quand ses parents lui annoncent sa nouvelle destination, celle pour laquelle elle part dès demain. Elle n’a que sa robe courte d’été sur ses épaules alors qu’elle s’en va dans la forêt surplombant la seule maison qu’elle n’ait jamais connue. Elle n’a que sa robe courte d'été sur les épaules quand elle revient le lendemain, tremblante comme une feuille, quelques égratignures sur ses bras et ses jambes nues. Elle n’a que sa robe courte sur les épaules quand elle monte dans sa chambre et voit Dorian, Warner lire l’un de ses livres –Jane Eyre de ce qui lui indique la couverture, which is… hilarious, si elle y pense-, installé sur sa chaise de bureau. Warner. Dans sa chambre. En train de lire l’un de ses livres. À elle. Sur sa chaise. Dans sa chambre. Une situation si absurde, qu’elle se sent obligée de rester plantée, là, dans l’embrassure de sa porte, la moue déconfite. Elle n’a pas les mots. « Je sais que tu ne comptais pas me dire au revoir, alors je suis venu. Ciara m’a appelé. Elle était inquiète que tu ne sois pas rentrée hier soir. » Elle se demande ce qui a bien pu passer par la tête de sa sœur pour qu’elle appelle … Warner ? Qui habite à des kilomètres de Waterford ? Pour lui dire qu’elle n’est pas rentrée ? Pourquoi ? Elle ne comprend absolument pas ce qui se passe. Ce n’est rien de nouveau pour elle de partir dans la forêt et de ne revenir qu’au petit matin. Les questions s’accumulent et elle ne peut pas s’empêcher de se renfrogner, ce qui la sort de sa torpeur. Franchement.. Warner ? Elle ne voulait pas lui dire au revoir avant de partir, elle ne voulait pas qu’il sache qu’elle s’en allait tout court. Ce n’est pas comme s’ils ont quelque chose à faire ensemble. Ils ne sont même pas amis. La notion d’amitié avec ce garçon qu’elle connaît, qu’elle connaît bien, depuis presque cinq ans est plus qu’étrange. Clarissa ne fait pas dans l’amitié. Elle a des connaissances, oui, des gens qui font un passage rapide dans sa vie et qui en sortent. Mais, des amis… Non. Elle n’en veut pas. Ce n’est pas une peur de l’engagement comme s’acharnera à lui dire sa jumelle. Absolument pas. Elle ne veut juste pas être dépendante de quelqu’un. Une seule personne lui suffit. Alors voir Warner dans sa chambre, sur sa chaise, lui fait quelque chose. Une émotion nait au fond de son ventre, mais elle n’arrive pas à mettre le doigt dessus ; Essaye de ne pas mettre le doigt dessus pour ne pas finir horrifiée, paniquée, comme elle en a l’habitude quand ça concerne ses sentiments. « Eh bien, écoute, je te félicite. Tu es là, tu as accomplis ta mission auprès de Cia. Je suis rentrée, saine et sauve. Tu peux partir. » Elle ne le regarde plus, se souvient qu’elle part, elle aussi, qu’elle part dans seulement quelques heures et qu’elle ne sait pas quand elle va rentrer ; si elle va rentrer. Ce n’est qu’un voyage avec comme but une quête d’informations, mais les imprévus ne sont que trop communs dans la vie d’un chasseur. Elle doit se forcer à avancer jusqu’à son placard pour sortir une valise, tout en lui tournant le dos, tout en lui adressant sa réponse. Pas de bonjour, comment ça va. Que des mots acérés, presque agressifs. Warner en a l’habitude. Il la connaît aussi bien qu’elle le connaît lui. Et Clarissa est toujours agressive, sauf quand elle n’est l’est pas, sauf quand elle a une tantième saute d’humeur. Il la connait. Des mots se manifestent dans son esprit. Je ne suis pas Misty, je ne suis pas une poupée, je ne suis pas faite en porcelaine, je n'ai besoin de personne, je vais me battre, je ne laisserais pas Ciara seule. La litanie qui la tenait debout à une époque, lui revient brusquement en tête. Elle doit sommer les tremblements dans ses mains pour sortir une caisse de sous son lit ; celle où se trouvent tous ses couteaux et ses armes, offerts pour des anniversaires, des noëls, fête futile sur fête futile. Elle ne prête plus attention au garçon dont le regard lui enflamme la nuque, tente de se concentrer sur le choix des ressources qu’elle aura à ses côtés lors de son périple. Plusieurs de ses karambits, son tachi, un 9mm, deux dagues, des munitions.. Sa liste mentale se coupe brutalement quand elle sent un poids s’appuyer entre ses épaules. Elle sait que c’est le jeune homme au mince soupir qui lui arrive aux oreilles et qui la paralyse, l'électrifie, de la tête aux pieds. « Tu vas me manquer, Claryberry. » La brunette n’a pas de réponse à cette phrase; N'a jamais de réponse aux choses qui font frémir son coeur endurci. Clarissa n'est courageuse que quand ça concerne la mort. Mais elle ne se dégage pas, ça doit compter pour quelque chose non ? Elle ferme ses yeux et reste, ne le repousse pas. Se laisse faire quand il écarte l'une des bretelles de sa robe courte d'été et dépose ses lèvres sur son épaule. Une inspiration rapide est sa seule réaction. Ils ne s’enlacent pas. Ils ne sont pas amis après tout. Ils ne se disent pas au revoir, non plus. Ils restent juste comme ça. Lui, son front sur son dos, ses lèvres sur sa peau. Elle, ses phalanges blanchies refermées autour d’une arme, les paupières closes. Quelques heures plus tard, Clarissa est déjà loin. Loin de sa ville natale, de Warner, de tout ce qui aurait pu être. how light carries on endlessly, even after death
Elle ne répond à son téléphone que quand il ne reste plus aucun dossier sur son bureau provisoire, dans son lieu de stage provisoire, dans sa ville provisoire. C’est la troisième fois que le numéro familier de sa mère la sonne, mais sa patience a été grande aujourd’hui. « Oui ? » Agacée, cela s’entend à son ténor. Clare aime ses habitudes, aime le calme qui l’enveloppe dans les archives, aime quand on ne la dérange pas. À l’autre bout du fil, la voix de la matriarche Killingworth est toute aussi agacée que celle de sa fille. Elle ne lui demande pas ce qui lui a pris si longtemps, ne s’interroge pas sur son bien-être. Elle passe directement aux interrogations. Elle la brigue à propos de Glencullen, des créatures qui se trouvent ici, de ce qu’elle a vu et entendu. Et Clarissa n’est plus qu’un robot. Sa voix n’a plus de ton. Ses mots et ses phrases sont calculés. Elle dit à la femme ce qu’elle veut entendre, lui donne un rapport détaillé de a à z. Mais les informations s’épuisent au bout d’un moment et bientôt le silence s’installe, écrasant, dense. Sa génitrice l’appelle chaque semaine à la même heure, le même jour et leurs conversations se finissent toutes de la même manière. Sans partages affectifs. Parce que Clarissa et Natalie, elles ne sont que deux miroirs placés face à face. Frigides, incapables d’exprimer leurs sentiments. Telle mère, telle fille. « … Très bien. Je te rappelle la semaine prochaine, tâche d’en savoir plus. » Et quand elle est sur le point de raccrocher, de reprendre la lecture passionnante d’un ouvrage ancien emprunté à une bibliothèque de Dublin, la voix de sa mère l’arrête. L'arrête. La fige. Fige tout son être. « Au fait. Je sais que toi et … Dorian Warner, vous trainiez ensemble de retour à la maison. Sa, um, sa famille a annoncé son décès, ce lundi. Les circonstances de sa mort sont assez floues, probablement une chasse qui a mal fini. Ses parents n'ont pas exactement dit ce qui lui est arrivé. Ses funérailles seront tenues ce jeudi. » Quelque chose se brise dans sa colonne vertébrale. Se contracte dans ses articulations. Se pétrifie dans ses os. Elle cesse de respirer. Serre la mâchoire pour que l’envie soudaine d’hurler s’estompe. On est pas amis, qu'elle a répété et répété et répété à Warner, tant des fois par le passé. Ils ne sont pas amis. Ils sont... quelque chose d'autre. Étaient quelque chose d'autre. Warner est mort, Warner est mort, Warner est mort. Le deuil la frappe, l'annihile de plein fouet. Warner est mort. Et on était même pas amis. La rage la prend aux tripes. Il est mort lors d'une chasse. Un sorcier -ou, potentiellement, un loup- a blessé Warner, a tué Warner. Il est mort. Clarissa redevient la petite fille d’autrefois. Redevient l’enfant, la gamine ayant tout juste retrouvé le corps ensanglanté de sa sœur. La tristesse dans le ventre, les larmes dans les yeux. Elle est en colère. Toujours, toujours en colère. Ce n’est qu’un cercle vicieux. Ils finissent tous de la même manière. On était même pas amis, elle veut dire à sa mère, on était même pas amis et il est mort et ce n’était pas de l’amitié et il est mort, mort, mort. Comme si le répéter ferait quelque chose. Comme si le répéter le ramènerait à la vie. Comme si le répéter le vengerait. Les vengerait. Misty et Warner. Ils ne sont plus là et la rage est terrible. Le surnaturel prend et prend et prend. Mais ne rend jamais, ne redonne jamais ce qu'il vole. Clare est fatiguée. Elle raccroche sans même dire au revoir. Elle est fatiguée, alors elle compose un autre numéro, celui de sa soeur. N'attend pas qu'elle lui demande ce qui ne va pas, lui murmure juste qu'elles iront chasser ce soir-là et s'il te plaît, essaye de rentrer un peu plus tôt aujourd'hui. Son ton n'est pas celui de Clarissa, sans sentiments, Clarissa, sans remords. Clarissa, elle a des sentiments, des remords -même s'ils sont mal placés-. Elle est humaine. Mais elle n'est pas (plus) en porcelaine, et elle peut se battre. Alors elle le fera. Elle se battra. LIBRE - MAX IRONS tout d'abord merci d'avoir lu le scénario. celui-ci est important pour clarissa, car warner est un personnage clé à sa psychologie. bref, jôtem déjà un peu pour lire ceci. <— ne résiste pas face à mon amour, il est beau et grand comme le soleil. sur ces jolies paroles, voici les petits trucs à savoir: pseudo: négociable. j'ai mentionné "dorian" dans ma fiche, un prénom tiré de throne of glass/the picture of dorian gray, le nom quant à lui m'est venu de shatter me. ce sont des livres que j'aime énormément, mais franchement, n'hésitez pas à les changer pour autre chose. même s'ils sont souvent indiqués dans ma fiche, je ne suis pas difficile et ça me dérange pas de modifier, du moment que vous restez. avatar: négociable. j'ai pensé aussi à douglas booth ( ), theo james, bob morley ainsi qu'aaron taylor-johnson. lien: la base du lien n'est pas négociable, par principe. dorian et clarissa sont amis avant tout, des meilleurs amis. alors oui, il y a toujours eu de l'ambiguë entre ces deux-là, des sentiments fragiles et indéchiffrables, mais leur évolution ne promet rien de concret pour le moment. (à part des rps plein de feels ) du coup, ça serait vraiment à discuter ensemble. tout comme la raison pour laquelle il se retrouve à glencullen. (et pourquoi pas la psychologie du personnage aussi, parce qu'il a vraiment plusieurs facettes, warner et également bc j'adore discuter et avoir des headcanons ) le reste: je ne demande pas de victor hugo, une personne qui ne fait pas trente milles fautes toutes les deux phrases me suffit. la longueur de mes rps varie, je m'adapte à mon partenaire. quant à la présence, je ne vous sors pas le discours habituel de "on a tous une vie en dehors des rpgs", du moment que vous vous investissez un minimum (en tissant des liens avec d'autre membres et en allant dans le flood, de temps en temps, par exemple), ça me va. (puis si vous avez un skype, c'est encore mieux, on pourrait discuter plus facilement de nos petits chérubins et leur avenir, ensemble. ) un dernier point, très important: s'il vous plaît, évitez de vous inscrire si vous n'avez pas la motivation/le temps pour le personnage. je déteste les fausses-joies et la déception qui arrive quand la fiche de présentation n'est jamais achevée ou pire encore, quand la personne disparait du jour au lendemain. (donc les déserteurs, passez votre chemin. ) voilà, voilà. si vous le tentez, je vous dévouerai mon corps et peut-être même un bout de mon âme. PRENEZ LE. (CLARIAN RPZ. ).
Dernière édition par Clarissa Killingworth le Jeu 19 Mai - 21:03, édité 7 fois |
| | | | Sujet: Re: (M/LIBRE) MAX IRONS Dim 31 Jan - 9:52 | |
| le personnage + le lien + douglas + tu aimes shatter me (c'est une broutille mais je suis contente de tomber sur quelqu'un qui adore aussi ). je suis là si tu veux bien de moi. |
| | | Clarissa Killingworthwe hunt those who hunt us
Messages : 747
Pseudo : ganseys (kat).
Avatar : zoey deutch.
Crédits : av/ faust, icons sign/ kush coma.
Double compte : isadora agallon, la reine de beauté.
Image : Âge : dix-neuf années qu'elle partage avec sa fausse jumelle, ciara et qui s'écoulent brutalement. dix-neuf années qu’elle s’éloigne de la petite fille qu’elle était avant le drame, avant la trahison et la mort. les mains immaculées se souillent, le coeur perd l’espoir, la légèreté d’autrefois.
Statut civil : célibataire, elle fuit l'amour, préfère s’égarer le temps d’un instant bref dans des étreintes inconnues.
Occupation : jolie stagiaire aux airs naïfs, elle s'est confortablement installée dans le poste de police de glencullen et plus particulièrement dans leurs archives.
Armes de prédilection : mis à part son corps qui est une arme à part entière, clare a une nette préférence pour les armes blanches. notamment son tashi ainsi que ses karambits, qui, avec son agilité, forment une combinaison mortelle entre ses mains.
Élément : mémoire effacée, souvenirs oubliés, pouvoirs mis sous verrou, clare ignore tout de ce qu'elle est véritablement; la nature de son vrai élément instaure en elle une peur d'enfant, terrible.
Date d'inscription : 16/01/2016
TO KNOW MORERelations: | Sujet: Re: (M/LIBRE) MAX IRONS Dim 31 Jan - 10:32 | |
| |
| | | | Sujet: Re: (M/LIBRE) MAX IRONS Dim 31 Jan - 10:51 | |
| |
| | | Nolan Breslinwe pledge ourselves to the goddess
Messages : 1431
Pseudo : flyingsquirrel. (maëlle)
Avatar : sam claflin.
Crédits : mon bae (velvety.)
Double compte : leith le merveilleux et nyx la plus belle.
Image : Âge : vingt-six ans, des années qui ont défilé beaucoup trop vite à ses yeux.
Statut civil : seul, sans vraiment l'être. toujours entouré, jamais attaché. il n'aime pas, mais il a besoin que les autres le fassent. il reste célibataire, car il se lasse beaucoup trop vite.
Occupation : ambulancier, il sauve des vies au quotidien. ça compense avec celle qu'il est forcé de prendre chaque pleine lune.
Élément : l'élément destructeur, le feu qui brûle, qui ravage tout sur son passage.
Date d'inscription : 04/01/2016
TO KNOW MORERelations: | Sujet: Re: (M/LIBRE) MAX IRONS Dim 28 Fév - 23:20 | |
| scénario remis en jeu. |
| | | | Sujet: Re: (M/LIBRE) MAX IRONS Lun 21 Mar - 12:15 | |
| Moi qui m'étais dis que je serais sage J'ai complètement craqué Tu veux bien de moi ? |
| | | Clarissa Killingworthwe hunt those who hunt us
Messages : 747
Pseudo : ganseys (kat).
Avatar : zoey deutch.
Crédits : av/ faust, icons sign/ kush coma.
Double compte : isadora agallon, la reine de beauté.
Image : Âge : dix-neuf années qu'elle partage avec sa fausse jumelle, ciara et qui s'écoulent brutalement. dix-neuf années qu’elle s’éloigne de la petite fille qu’elle était avant le drame, avant la trahison et la mort. les mains immaculées se souillent, le coeur perd l’espoir, la légèreté d’autrefois.
Statut civil : célibataire, elle fuit l'amour, préfère s’égarer le temps d’un instant bref dans des étreintes inconnues.
Occupation : jolie stagiaire aux airs naïfs, elle s'est confortablement installée dans le poste de police de glencullen et plus particulièrement dans leurs archives.
Armes de prédilection : mis à part son corps qui est une arme à part entière, clare a une nette préférence pour les armes blanches. notamment son tashi ainsi que ses karambits, qui, avec son agilité, forment une combinaison mortelle entre ses mains.
Élément : mémoire effacée, souvenirs oubliés, pouvoirs mis sous verrou, clare ignore tout de ce qu'elle est véritablement; la nature de son vrai élément instaure en elle une peur d'enfant, terrible.
Date d'inscription : 16/01/2016
TO KNOW MORERelations: | Sujet: Re: (M/LIBRE) MAX IRONS Lun 21 Mar - 18:06 | |
| non, je veux absolument pas de toi, même que je n'ai pas sacrifié mon premier né à satan pour que ce scénario trouve preneur. non. non non. personne ne me croit. bon. je rigole. JE RIGOLE. JE RIGOLE DESESPEREMENT POUR NE PAS MONTRER A QUEL POINT TU ME RENDS HEUREUSE LA. mon dieu. bien-sûr que je veux de toi et la sagesse c'est pour les faibles, donc tu as bien fait. sache que je suis à ta disposition si tu veux des précisions ou juste papoter. merci de le tenter, en tout cas. (et quel joli pseudo. ) |
| | | Eithne Rhodeshumanity in our veins
Messages : 103
Pseudo : Voyou.
Avatar : Suki Whaterhouse
Crédits : @Nympheas
Double compte : Hellow, it's me (AH, IO, TW)
Image : Âge : Vingt sept années accumulées avec son lot de joie et de souffrance.
Statut civil : Coeur libérée de toute entrave, trop volatile pour s'impliquer dans quoi que ce soit.
Occupation : Parce que les clichés valent parfois plus que des mots, tu vends tes photos pour tes causes humanitaires.
Date d'inscription : 05/04/2016
| Sujet: Re: (M/LIBRE) MAX IRONS Jeu 7 Avr - 9:46 | |
| |
| | | Saoirse O'Callaghanhowling at the moon
Messages : 204
Pseudo : songbird, chloé
Avatar : natalie dormer
Crédits : money honey.
Double compte : elijah morgenstern
Image : Âge : trente-deux ans
Statut civil : célibataire, lit grand ouvert
Occupation : juriste d'affaires à dublin
Armes de prédilection : le sarcasme et dix ongles manucurés
Date d'inscription : 21/02/2016
| Sujet: Re: (M/LIBRE) MAX IRONS Lun 9 Mai - 22:49 | |
| |
| | | | Sujet: Re: (M/LIBRE) MAX IRONS Mer 11 Mai - 18:46 | |
| quelqu'un me cherche ? |
| | | Clarissa Killingworthwe hunt those who hunt us
Messages : 747
Pseudo : ganseys (kat).
Avatar : zoey deutch.
Crédits : av/ faust, icons sign/ kush coma.
Double compte : isadora agallon, la reine de beauté.
Image : Âge : dix-neuf années qu'elle partage avec sa fausse jumelle, ciara et qui s'écoulent brutalement. dix-neuf années qu’elle s’éloigne de la petite fille qu’elle était avant le drame, avant la trahison et la mort. les mains immaculées se souillent, le coeur perd l’espoir, la légèreté d’autrefois.
Statut civil : célibataire, elle fuit l'amour, préfère s’égarer le temps d’un instant bref dans des étreintes inconnues.
Occupation : jolie stagiaire aux airs naïfs, elle s'est confortablement installée dans le poste de police de glencullen et plus particulièrement dans leurs archives.
Armes de prédilection : mis à part son corps qui est une arme à part entière, clare a une nette préférence pour les armes blanches. notamment son tashi ainsi que ses karambits, qui, avec son agilité, forment une combinaison mortelle entre ses mains.
Élément : mémoire effacée, souvenirs oubliés, pouvoirs mis sous verrou, clare ignore tout de ce qu'elle est véritablement; la nature de son vrai élément instaure en elle une peur d'enfant, terrible.
Date d'inscription : 16/01/2016
TO KNOW MORERelations: | Sujet: Re: (M/LIBRE) MAX IRONS Mer 11 Mai - 18:58 | |
| |
| | | | | | | Azilis Harkwoodwe hunt those who hunt us
Messages : 1222
Pseudo : vae solis (paula)
Avatar : holland roden
Crédits : hepburns (ava) ; .endlesslove (signa)
Double compte : ola skrzdlewska
Image : Âge : vingt-quatre années que le monde l'a vue naître - vingt-quatre années qu'elle vagabonde et qu'elle essaie.
Statut civil : elle sait que son coeur bat pour quelqu'un - mais pour qui, cela lui a toujours échappé.
Occupation : on la voit souvent vendre des fleurs et des plantes en pots, mais rares sont ceux qui savent que la nuit, elle sort et chasse ceux qui la chassent.
Armes de prédilection : les armes blanches ; elle ne sort pas sans un couteau à la cheville gauche, et lors de ses chasses, sans deux grandes lames dans le dos, parfois même accompagnées d'une épée à la ceinture. elle sait aussi manipuler les hormones et les parfums, comme le reste des membres de sa famille.
Date d'inscription : 10/01/2016
TO KNOW MORERelations: | Sujet: Re: (M/LIBRE) MAX IRONS Jeu 19 Mai - 12:01 | |
| |
| | | Saoirse O'Callaghanhowling at the moon
Messages : 204
Pseudo : songbird, chloé
Avatar : natalie dormer
Crédits : money honey.
Double compte : elijah morgenstern
Image : Âge : trente-deux ans
Statut civil : célibataire, lit grand ouvert
Occupation : juriste d'affaires à dublin
Armes de prédilection : le sarcasme et dix ongles manucurés
Date d'inscription : 21/02/2016
| | | | | Sujet: Re: (M/LIBRE) MAX IRONS | |
| |
| | | |
Sujets similaires | |
|
| Permission de ce forum: | Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
| |
| |
| |