identity card PRÉNOM(S) : un prénom plutôt rare et pourtant innocent qu'il chuchote à l'oreille de ses victimes à chaque pleine lune. il s'appel maven. AGE : cela fait vingt-sept ans qu'il ère en quête de pouvoir. PROFESSION : manipulateur hors pair, il aide et il nuit, et ça le rend riche. il est un avocat réputé de dublin. STATUT SOCIAL : il a été aimé, il a aimé. elle était gentille et douce, elle était son opposé, elle était la seule chose qui le retenait dans sa chute aux enfers, mais elle a été tuée, et il s'est vengé. il fait son chemin seul, à présent. RACE : esclave de la lune, il enlève des vies sans scrupule. avide de pouvoir, le beau brun est un puissant sorcier. NATIONALITÉ : il n'a jamais quitté l'irlande, ce pays bercé de légendes et de secrets dont il fait partie. ORIGINES : purement irlandais, il a les mêmes origines que ses parents. FAMILLE : orphelin depuis trop longtemps, maven ne se rappel plus ce que ça fait d'être entouré d'une famille. il a massacré la sienne alors qu'il était encore jeune, après que sa mère ait tenté de l'assassiner.

characterization maven n'a toujours eu comme seul but que d'être tout puissant, le plus puissant de tous. il sacrifierait tout pour arriver à son but, et c'est pour cela qu'il ne faut le sous estimer en aucun cas. après tout, c'est la seule chose qui lui reste. ≡ le jeune homme est l'incarnation de l'orgueil, un expert en manipulation, un menteur né. ≡ maven a connecté avec l'eau le soir où sa propre mère a tenté de le noyer. ses poumons ont eu le temps de se remplir d'eau, il s'est senti faiblir, puis soudain, il n'a plus rien senti du tout. il pouvait respirer, et lorsqu'il s'est relevé, sa mère était en train de se noyer, crachait de l'eau, la tête pourtant bien hors de celle-ci.  ≡ depuis ce soir-là, le brun a une peur tiraillante de sentir de nouveau l'eau emplir ses poumons. il craint la noyade, même si sa mère, sa nouvelle mère, lui a donné un don qui l'empêcherait d'en mourir. ≡ il a développés ses pouvoirs de façon quasi inimaginable, mais il en veut toujours plus. il ne sait pas se satisfaire de rien. ≡ maniaque, le jeune homme nettoie toujours derrière lui. il ne laisse jamais de trace de lui, mais aime qu'on le craigne. ≡ maven n'est tombé amoureux qu'une seule fois, dans sa vie. elle s'appellait emilia, et elle était parfaite. elle a été assassinée par un chasseur qui haïssait le brun, parce qu'il voulait le faire souffrir. c'est à ce moment-là, avec plus rien pour le retenir dans sa descente aux enfers, que maven a perdu la tête pour de bon. le sorcier s'est vengé en assassinant sa famille entière, ses proches, et mêmes ses voisins. il n'a rayé le chasseur de la carte qu'en dernier pour qu'il soit bien conscient que tout ce qui lui arrivait était de sa faute à lui et à personne d'autre.

depuis quand habitez-vous à Glencullen ? Et pourquoi avoir choisi cette ville ? : maven fearghal a toujours vécu en irlande, mais n'est débarqué à glencullen que depuis quelques mois. après tout, une ville qui déborde de surnaturel, mais que les humains ne quittent pas... une ville où personne ne le connait vraiment: qu'est-ce que le sorcier pourrait demander de mieux? Avez-vous remarqué la présence de plusieurs créatures surnaturelles ? Croyez-vous en leur existence ? Si vous êtes vous-mêmes une de ces créatures, avez-vous conscience de la présence de chasseurs, ou vous pensez-vous plus fort qu'eux de toute manière ? : les chasseurs? pour maven, en autant qu'il fait un minimum attention à ne pas laisser de traces, ils ne sont pas biens dangereux, pour le plupart. Croyez-vous en l'existence de divinités quelconques ? Avez-vous une religion ? Si oui, laquelle ? La pratiquez-vous sur une base régulière, ou pas du tout ? : le sorcier, il croit en son astre mère, la lune. il sait qu'elle est puissante, qu'il lui doit beaucoup, et il la respecte pour ça. toutefois, s'il avait un autre moyen pour lui d'acquérir davantage de pouvoir... il le prendrait.

PSEUDO : xradioaktiv. PRENOM : joanie. AGE : dix-huit ans. COMMENTAIRE, SUGGESTION ? : je vous aimes toujours autant. AVATAR : chris wood. GROUPE : sorcerers. PERSONNAGE : scénario de phèdre agallon.

≡ Elle riait. Un rire doux, cristallin, sincère. Elle riait toujours. «Maven!» s’exclama-t-elle en me poussant gentiment l’épaule. Je souris, amusé. «Qu’est-ce qu’il y a?» demandai-je, faussement étonné. Elle secoua la tête sans jamais me quitter des yeux, son regard brillant accroché au mien. «Ne me regarde pas avec ces yeux-là.» sourit-elle à son tour. «Quels yeux?» «Ceux-là!» Et elle riait de plus belle avant de se pencher vers moi pour m’embrasser. Je répondis doucement à son baiser en prenant son visage délicat entre mes mains. Elle décolla ses lèvres des miennes pendant un court instant, juste le temps de me souffler : «Je t’aime.» En réalisant ce qu’elle venait de m’avouer, j’ouvris les yeux pour la regarder, mais elle m’embrassa de nouveau. Elle n’attendait aucune réponse de ma part, parce qu’elle savait que celle que je lui aurais donné, à l’instant même, n’aurait pas forcément été celle qu’elle voulait entendre. Celle qu’elle voulait entendre, c’était la réfléchie, la sincère, et je savais qu’elle allait être patiente. Elle l’était toujours, avec moi. Lentement, elle passa une main dans mes cheveux, et posa son front contre le mien. Honnêtement, je ne comprenais pas pourquoi, ni comment elle était tombée amoureuse de moi. Elle avait pleinement conscience de ce que j'étais, de ce que je faisais, pourtant elle semblait se sentir parfaitement en sécurité, avec moi. Elle n'avait pas peur, et elle n'était pas non plus repoussée. Elle m'acceptait pour tout ce que j'étais, le bon comme le mauvais, et Dieu savait que le dernier était plus présent que le premier, chez moi. Décidément, je n'avais jamais compris ce qu'elle aimait de moi. J'étais toutefois très heureux qu'elle voit ce que je ne voyais pas, parce qu'avec elle, je me sentais bien. En fait, je ne m'étais jamais sentis aussi bien que lorsque j'étais avec elle. Emilia était la seule à réussir à me distraire de ma quête de pouvoir, et peut-être aussi la seule à pouvoir me freiner.



≡ Elle ne pouvait plus supporter de m’imaginer en train de tuer des innocents. C’était comme si, un jour, elle avait réalisé que c’était réel, ce qui m’arrivait… ce que je faisais. Ainsi, je n’étais pas sorti à la pleine lune suivante. Elle ne voulait pas me voir souffrir, mais elle savait que c’était la seule autre alternative. Elle savait aussi que, puisque j’en avais pris la décision, elle ne réussirait plus à me faire changer d’avis, et ce même si je devais en mourir. Évidemment, je ne lui avais jamais dit que cela pourrait aller jusque-là, mais cette nuit-là, en me voyant vomir mes tripes, tremblant et en sueur, je crois qu’elle l’avait compris par elle-même. C’était d’ailleurs un peu ce que j’espérais, parce que je ne voulais pas en arriver là. Tout ce que je voulais, c’était de lui prouver que pour elle, je pourrais le faire.

Elle apparut de nouveau dans la chambre, un grand verre d’eau à la main, et son expression me confirma que je n’avais l’air bien du tout. J’esquissai un sourire ironique alors qu’elle accourait presque dans ma direction, l’air plus inquiète que jamais. Elle me tendit le verre, mais je refusai d’un signe de tête avant que mon corps soit de nouveau secoué de tremblements. J’attrapai rapidement le bol qu’elle m’avait laissé et vomi de nouveau. Je crachai à quelques reprises et déposai le bol à côté de moi de façon à ce qu’elle n’ait pas à voir tout ce sang. «Ça va.» chuchotai-je, la voix roque. Elle soupira et posai le revers de sa main contre mon front. «Tu es brûlant.» «Ça va, je te dis.» «Je voudrais tellement pouvoir faire quelque chose...» Elle avait les larmes aux yeux, et ça me fendait le corps. «Je vais passer au travers, Em.» Je n'avais jamais été du genre à me laisser faire, et ce n'était pas une pleine lune qui allait m'achever. «Je sais... Tu passerais au travers de n'importe quoi.» sourit-elle en caressant ma joue. J'appuyai un peu la tête contre sa main et lui souris à mon tour. «Je t'aime.»

≡ Un cri déchira le ciel, et je me sentis plus puissant que jamais. Je marchais lentement, très lentement, dans la direction de la trentenaire qui me suppliait de l’épargner, qui me suppliait de ne pas lui faire de mal. Si je la laissais s’en aller, elle ne dirait rien à personne, qu’elle me disait. Elle me laisserait disparaître, qu’elle m’assurait. Elle n’avait rien fait, qu’elle pleurait. Arrivé à sa hauteur, je secouai la tête en lâchant un rire amer. Elle voulait s’enfuir, mais assise par terre, le dos appuyé au mur, elle n’avait nulle part où aller. Elle m’avait décidément rendu la tâche trop facile. Elle savait qu’elle ne m’échapperait pas. Ses voisins, le reste de sa famille… ils ne m’avaient pas échappés, eux non plus. Il ne restait plus qu’elle, elle et son mari, dont elle espérait sans aucun doute la venue. En fait, je l’espérais aussi. À quoi bon tous les avoir réunis ici si ce n’était pour qu’il les voit en sang? Je m’accroupie pour me retrouver à sa hauteur, et elle paniqua, se mit à pleurer encore plus. Je tendis la main et caressai sa joue. «Chuut…» murmurrai-je tout doucement, et elle se tue pour planter ses yeux apeurés dans les miens, durs et froids. «Je n’ai rien fait. Je n’ai rien à voir là-dedans…» répéta-t-elle. Je penchai la tête sur le côté et haussai les épaules, l’air faussement désolé. «Mais… Je le sais, ça, ma belle.»

La porte d’entrée de la petite cabane fut soudainement défoncée, et en une seconde, j’étais de nouveau debout, face à son mari, le chasseur, avec elle comme bouclier humain. «Tu as vu… Ton cher mari est venu à ta rescousse.» chuchotai-je à l’oreille de mon otage. «Arrête… J’ai compris, arrête, maintenant.» «Tu crois vraiment qu’il a eu sa leçon, chérie?» soufflai-je de nouveau à la femme, qui ne répondait rien, figée par la peur. «Je suis là! C’est moi que tu veux!» La mâchoire serrée, il ne tenait pas en place. «James, pourquoi est-ce qu’il fait ça?» gémit-elle. Je lâchai un petit rire et raffermis ma prise sur son cou. «Il ne te l’a pas dit? Il ne t’a pas expliqué pourquoi vous alliez tous mourir?» «Ça suffit!» «Ton cher mari a tué la femme de ma vie, la seule chose qui comptait vraiment pour moi.» Et le regard de sa femme qui changeait, le regard de sa femme qui regardait son chasseur de mari comme si elle en avait peur, comme si elle ne le reconnaissait plus. Je souris à la seule idée que cela puisse le faire souffrir. «Ma chérie, ce n’est pas ce que tu-» «Ah-ah!» le coupai-je en levant un doigt. «Si tu vas mourir, c’est de sa faute... Tu comprends?» chuchotai-je finalement à la trentenaire. Il était complètement désespéré, détruit, et ça me réjouissait. «Lâche-là...» finit-il par m’ordonner, me supplier. Je n’aimais pas vraiment les ordres, en fait, mais les supplications, ça, je pouvais sans doute m’y plaire. Je laissai passer quelques longues secondes, l’air de réfléchir à ce qu’il venait de me demander, et hochai la tête. «D’accord.» Un craquement horrible, celui de son cou, et elle s’écroula au sol en un bruit sourd. Un nouveau cri résonna dans les bois, le sien, et ses yeux passèrent du corps, des corps, à moi. Sourire aux lèvres, le visage ensanglanté, je penchai de nouveau la tête sur le côté. «Alors?» Il se rua vers moi en hurlant, et j’écartai légèrement les bras pour l’accueillir, avant de l’éviter soigneusement et de le pousser au sol. Il était plus costaud que moi, c’était certain, mais il était tellement empli de colère que je pouvais facilement avoir le dessus sans même utiliser mes pouvoirs. Il grimaça, gémit, et je crois même qu’il se mit à pleurer, face contre terre. J’étais presque embarrassé pour lui, à ce moment-là. Pleurer devant son assassin, sérieusement? «Tout ce qui arrive, c’est de ta faute. À toi et à personne d’autre.» soufflai-je, amusé et bien décidé à prendre mon temps pour le tuer. «T’es un vrai psychopathe.» J’haussai les épaules en continuant à marcher autour de lui. «On me l’a déjà dit.» Je n’avais même pas daigné utiliser mes pouvoirs pour tous les tuer, je n’avais pas attendu à la pleine lune, j’avais préféré les tuer de mes mains, les faire saigner… est-ce que cela faisait de moi un psychopathe? Peut-être, oui. Soudain, une douleur stridente me transperça la cuisse, et je poussai un grognement de douleur, puis de colère, en me concentrant pour ne pas poser un genou au sol. Il venait de me planter son petit couteau de chasseur dans la jambe. J’attrapai le manche de l’arme blanche et la retirai lentement de ma cuisse en grimaçant  et en jurant. «Je lui ai rendu service en la tuant...»  «J’ai changé d’avis.» Je raffermis ma prise sur le manche et passai par-dessus le chasseur. «Va en enfer.» «Tu vas mourir tout de suite.» La lame s’abattit dans son torse, puis sans jamais le quitter des yeux, j’attendis de voir la vie s’échapper de lui. Je voulais qu’il sache que c’était moi, que j’avais le pouvoir de tuer tous ceux qu’il aimait comme il avait tué celle que moi, j'aimais. «C'est elle qui m'a demandé de la tuer, tu sais. Elle ne pouvait plus te supporter... Supporter de vivre avec un monstre comme toi.» Sans que je n'y puisse rien, la lame s'abbatit de nouveau sur lui, encore... et encore. Lorsqu’il parut commencer à perdre connaissance, à mourir, je le secouai : «Regarde-moi!» hurlai-je.

Une coupure entre qui j’étais, qui j’aurais pu être, et qui j’allais devenir. En une fraction de seconde, j’avais tout perdu, et j’étais devenu ce que j’aurais toujours dû être. J’étais devenu un monstre. Et les larmes ont commencées à couler le long de mes joues, diluant le sang qui y était encore frais. Je ne pouvais plus m’arrêter de pleurer, et lorsque je lâchai enfin le chasseur pour me laisser tomber à ses côtés, le souffle saccadé, mon corps était secoué de légers soubresauts, et j’avais mal. Mon corps entier me faisait mal, ma cuisse me faisait mal, mais je sentais aussi que mon cœur état compressé par ma cage thoracique. J’avais mal comme si on me l’avait arraché, et je décidai que c’était la dernière fois que je ressentirais ça, que c'était la dernière fois que j'aurais aussi mal. Plus jamais je ne me laisserai aller à aimer, plus jamais je n'y arriverai, de toute façon. Emilia, elle aura été la seule et l'unique. Emilia, elle aurait voulu que je m'arrête là, que je sois meilleur que ce chasseur, mais je n'avais pas ça en moi. La bonté, l'infime partie de bonté que je montrais parfois, elle me venait d'elle, et uniquement d'elle. Maintenant qu'elle n'était plus là, il ne me restait plus que la colère... Je sentais déjà la noirceur qui, doucement, douloureusement, souillait la partie de mon âme que l'amour avait jusque là su préserver.



Phèdre, elle était une manipulatrice de génie, et ça me plaisait de la voir user de ses charmes, de l’entendre me dire que j’avais besoin d’elle. Ce qui me plaisait le plus, en fait, c’était qu’elle y croyait, une fois sur deux. Peut-être qu’elle avait raison, au fond, mais ça, je ne lui laisserais pas le plaisir de me l’entendre lui dire. Ce serait trop facile pour elle, trop rabaissant pour moi. De toute façon, entre elle et moi, ce n’était pas comme ça, et ça ne l’avait jamais été. Nous n’étions pas du genre à nous dire des mots doux ni à nous insulter, nous n’étions ensemble que pour prendre ce que l’autre pouvait nous offrir. C’était une relation malsaine, mais dans laquelle je me sentais affreusement libre, terriblement moi. Une relation dans laquelle nous trouvions tous les deux notre compte, et c’était bien comme ça. Le visage à quelques centimètres du mien, elle me souffla que si je le désirais, que si je voulais qu’elle reste avec moi ce soir-là, je n’avais qu’à le lui demander, et j’esquissai un sourire en coin. «Ah ouais?» murmurrai-je. Elle hocha la tête en se rapprochant encore un peu, et je lâchai un petit rire ironique. Les sourcils froncés, je lui demandai où était le petit blond qu’elle malmenait depuis quelques jours. Elle me regarda comme si je posais la plus ridicule des questions, amusée, et je regrettai immédiatement d’avoir fait mention de sa dernière conquête. Elle ria et secoua la tête. Elle se moquait de moi, parce que je venais de montrer de la jalousie. C’était ridicule, j’étais ridicule, puisque je faisais la même chose, en fait, mais c’était plus fort que moi. Plus je passais du temps avec elle, plus l’idée qu’un autre la touche m’horripilait. J’avais cet étrange besoin de savoir qu’elle était à moi, rien qu’à moi. Parfois, je me disais qu’elle réussissait peu à peu à me rendre fou, à me rendre accro, et je savais qu’elle aimait ça. Elle adorait avoir ce genre d’effet sur les hommes, et j’avais l’impression que sur moi, c’était encore mieux. Mon orgueil piqué au vif, je détournai la tête, un sourire amer collé au visage. Je n’étais toutefois pas du genre à faire comme si de rien était, pas du genre à la laisser me glisser entre les doigts. Elle allait me lancer une des remarques sanglantes dont elle avait le secret, mais je la coupai en lui ordonnant de se taire. Elle sourit, parce qu’elle savait ce qui suivrait. Je la pris par le bras et posai des lèvres avides contre les siennes. Ce soir-là, elle avait gagné, elle avait marqué un point, mais je comptais bien lui faire comprendre qu’elle ne gagnerait jamais la partie. Pas contre moi.

Wow, trop cool, t'es enfin des nôtre mon p'tit ! Alors avant de commencer le blabla un peu chiant, je vais quand même te dire ce que j'ai pensé de ta fiche : ça promet d'envoyer du louuuuuuurd .

Et maintenant, parlons bien parlons peu, parlons de tout ce que tu peux faire maintenant que tu es validé. Alors déjà sache que la première chose que tu dois faire, et c'est très important, c'est de recenser ton avatar. Si tu ne le fais pas et que quelqu'un d'autre le prend, c'est toi qui devra changer. Tu peux donc faire ça ici. Si tu as peur d'avoir du mal à t'intégrer sur le forum, ou si tu as encore quelques questions, le système de parrainage a été mis en place pour permettre aux nouveaux de se sentir chez eux. Tu peux trouver toutes les informations par ici et t'inscrire dans le même sujet si tu en ressens le besoin. Ensuite, tu auras peut être envie de te trouver des potes, non ? Tu peux aller t'ouvrir un répertoire de liens, mais si jamais ce n'est pas assez, tu peux aussi te faire un scénario. N'oublie pas non plus d'aller te recenser dans les différents répertoires. Et puis si tu cherches un rp, ne cherche plus, va directement faire une demande ! Pour finir, tu peux créer un journal de bord à ton personnage, pour y retracer son histoire, son évolution, etc.
Voilà, c'est tout ! N'hésite pas à venir flooder avec nous !