identity card PRÉNOM(S) : Eithne. Prononciation à l'irlandaise. La langue fourche, écorchant les syllabes d'une prénom qui ne te colle pas à la peau. Douce ironie, empreinte de jalousie pour une demoiselle qui a donne plus qu'elle ne reçoit. AGE :La vingtaine ne semble plus aussi proche, elle s'aventure dans les dernières années qui la sépare de la trentaine. Vingt sept année. Elle n'est pas à plaindre, la jeunesse encore à portée de main, loin de vouloir s'offrir une vie bien rangée. STATUT SOCIAL : Le cœur libre, nullement régit par les contraintes de l'amour. Elle ne s’intéresse pas à ces choses là, indifférente à ces promesses d'éternité , elle chérit son indépendance. RACE : Inconsciente du monde qui l'entoure, l'humaine ferme les yeux face aux étrangetés qui bouleverse sa ville. Aveuglée, elle ne veut tout simplement pas voir... NATIONALITÉ : Un morceau d'Irlande sur le bout de la langue, un accent trahissant son appartenance à ce pays qui l'a vu naître. ORIGINES : L'Irlande lui colle à la peau, le sang qui sillonne ses veines pourrait tout autant être vert. FAMILLE : Des parents débridés, qui ont offert à leur quatre filles l'indépendance que n'importe quel enfant souhaiterait, sans comprendre que les règles et limites servent à leur éducation. Elles se sont construites seules, les filles Rhodes, elles en ont fait leur force, unie et solitaire... Déplorant la présence de l'une d'entre elles.

characterization 1# Eithne est une voleuse d'instant. Elle immortalise les instant, les moindres instants d'une vie, même ceux qui peuvent passer inaperçu, ceux qui paraissent sans importance. Elle les emprisonne dans des images, pour toujours et à jamais, elle offre à ces moments un second souffle, une éternité. Récemment, certaines de ses photos ont attirés des spécialistes, des connaisseurs. Des jeux de lumières étranges, mystiques et savoureux qui subliment les clichés de la photographe. 2# Eithne est une vague de normalité dans cette océan de couleur loufoque et surréaliste. Elle s'accroche obstinément à cette vie banale, refusant de voir à quel point le monde est étrange et dangereux. Elle vit dit le déni, préférant ne pas voir ce qui se trouve juste sous son nez, préférant que rien ne change, parce qu'elle aime sa vie telle qu'elle est. 3# Eithne a une collection de vieux t-shirt qu'elle s'amusait à concevoir lorsqu'elle était adolescente. Souvenir d'une époque où elle se laissait bercé par l'illusion que le monde pouvait changer, évoluer à coup de beau slogan, de belles images. Idéaliste désillusionnée, si elle n'a pas renoncé à se battre pour l'opprimer, elle sait que l'humanité causera sa perte. 4# Eithne voue une passion curieuse pour la cuisine. Elle invente ses propres recettes, ajoutant les ingrédients au gré de ses envies, avec des mesures approximative. Elle aime servir des plats riches et varier qui ravirons les papilles de quiconque s'inventent à sa table. L'ironie du sort a voulu que cette reine des fourneaux ne prennent aucun plaisir à déguster ses propres plats. Pas qu'elle ne les aime pas, mais cuisiner lui coupe l'appétit. De ce fait, elle mange peu, très peu, lorsque c'est elle qui cuisine. 5# Eithne, elle ne tient pas l'alcool. Elle s'enfile du genièvre mélangé à du jus de cerise et finit  danser sur les bars. Et elle adore ça, danser sur les bars, oublier, s'éclater, s'abandonner. Elle se fiche des regards accusateurs et désapprobateurs, parce qu'elle sait ce qu'elle est, elle sait ce qu'elle vaut et ce n'est pas un déhanché alcoolisé qui changera quoi que ce soit.

depuis quand habitez-vous à Glencullen ? Et pourquoi avoir choisi cette ville ? : Ma famille a toujours vécu ici, ce n'est pas plus compliqué que cela. Lorsque l'on vient d'une petite ville comme Glencullen, il n'y a que deux choix possibles, soit tu restes, soit tu pars pour ne plus jamais y revenir. Nombreux ceux qui s'y sont essayé et qui sont revenus à la case départ. Moi pas. Il y a trop de souvenirs, trop de personne pour que je partes sans jamais me retourner. Avez-vous remarqué la présence de plusieurs créatures surnaturelles ? Croyez-vous en leur existence ? Si vous êtes vous-mêmes une de ces créatures, avez-vous conscience de la présence de chasseurs, ou vous pensez-vous plus fort qu'eux de toute manière ? : Aha. Tour a fait, c'était juste après avoir pris une tasse de café avec le yéti. Très sympa ce garçon. Non mais sérieusement, je suis bien trop vieille pour croire à ce genre d'épouvante pour midinette. Croyez-vous en l'existence de divinités quelconques ? Avez-vous une religion ? Si oui, laquelle ? La pratiquez-vous sur une base régulière, ou pas du tout ? : Je crois que j'aurais voulu, croire en quelques choses, ou en quelqu'un... Malheureusement, aucune divinité ne m'a jamais donné l'opportunité de croire en elle. Alors je tourne mes espoirs vers l'humanité, espoir peut-être vain puisque cette humanité semble disposée à provoquer sa propre fin.

PSEUDO : VOYOU.PRENOM : Elodie. AGE : Vingt six ans. COMMENTAIRE, SUGGESTION ? : On est chez nous !!!! AVATAR : Suki Watherhouse. GROUPE : humans. PERSONNAGE : scénario de la plus jolie, j'ai nommé ma syren.

Go away. This isn't your room, now. Pas plus haute que trois pommes, la voix de Nerys s'élève dans la pièce alors que les peluches de Noahm volent à travers la pièce pour finir leur course dans le couloir. Les hurlements de la benjamine s'élèvent en réponse alors qu'elle se confond en sanglot bruyant pour manifester son mécontentement, faute d'avoir les mots pour s'exprimer. Et l'autre est bien loin de la ménager, refusant de supporter d'être dans une chambre de la tienne plus longtemps. Parce qu'elle était en âge d'avoir une chambre, Noahm avait complètement bouleversé l'ordre établi depuis des années. Tu te retrouvais avec votre aînée alors que Nerys se trouvait dans votre ancienne chambre avec la dernière arrivée. Une nuit était passée et c'était bien plus que ce qAT ue ta cadette. Elle avait pris les choses en main, renvoyant vulgairement la petite dernière pour que tu puisses retrouver ton lit, dans votre chambre, comme elle l'avait toujours été et qu'elle le serait toujours. Elle te saisissait la main pour t'attirer dans votre sanctuaire avant de claquer la porter, laissant sur le pallier la naine. Les pas s'éloignèrent jusqu'à l'autre chambre, de l'autre côté du couloir. Tu collais ton oreille contre la porte pour mieux entendre, plaquant la main sur la bouche de Nerys pour ne pas obstruer ce qui se tramait du côté d'Eilis.  WHAT? You're be kidding? Des bruits de pas, dans l'autre sens, plus déterminé. Une paume qui frappe contre la porte contre vous étiez toutes les deux lovées. Le drame. Des cris et des larmes plus tard, vos parents avaient tranché en votre faveur.



Eilis était partie. Elle était partie, simplement. Elle était partie, pour ne plus jamais revenir. Les soeurs Rhodes ne semblaient plus complète, plus réelle, puisque l'une d'entre vous manquait cruellement à l'appel. Elle t'avais laissée derrière elle, sans un mot, sans une une explication, avec le poids de sa place d'aînée. Tu n'étais pas aussi proche d'elle que tu pouvais l'être de Nerys, mais elle restait ta sœur, ta grande sœur. Son départ résonnait en toi comme un abandon, comme si elle avait renoncé à être cette grande sœur dont tu n'aurais jamais cru avoir tant besoin. Et comme un écho à ce vide qu'elle laissait derrière elle, l'incompréhension dansait dans le regard de la benjamine, mêlée à une tristesse sans précédent. Les larmes de Noahm coulaient le long de ses joues rosies, révélant les morceaux de son petit cœur brisé. Tu l'avais laissée se lovée contre tes cuisses, caressant ses cheveux pour l'apaiser, faute de pouvoir les mots pour panser ses blessures. La silhouette de Nerys apparaît dans le salon, elle contemple l'étreinte fortuite avec une désinvolture qui la caractérise. Elle se laisse tomber à tes côtés, déposant son visage contre ton épaule. Elle n'est pas en quête de réconfort, non, pas Nerys. L'absence de votre aînée résonne comme une délivrance à des années de confrontations, des cris et d'incompréhension. Elles ne se sont jamais entendue, elles se contentaient de se supporter l'une et l'autre, sans avoir à être proche l'une de l'autre. Leur mésentente demeurait u mystère sur lequel aucune des deux ne voulaient s'étendre, s'abandonnant à la fatalité de leur relation gâchée. Tu ne t'étais jamais sentie aussi proche des tes cadettes, unies comme un noyau solide, alors que la présence de la plus grande creusait ton coeur d'une absence qui s'annonçait bien trop longue pour être pardonnée. Au delà de la tristesse, la colère, annonciatrice de toutes la rancune que tu te devais d'encaisser. Eilis était partie, simplement partie.



Seriously, for real? Poupée blonde, tu croises son regard à travers le reflet du miroir. La petite brune est couchée sur ton lit, pour ne pas dire vautrée, son menton est nichée contre le dos de ses mains alors qu'elle scrute méticuleusement le moindre de tes mouvements. Un sourire prend possession de tes lèvres. Tu hausses les épaules avec désinvolture. It doesn't matter. Non, cela n'en avait aucune. Et si toutes les filles de te promotion avaient rêvé de cette nuit, fantasmant sur toutes les possibilités que cette nuit ridicule pourrait leur offrir, comme si cette seule petite nuit avait la capacité de changer leur vie. Mais toi, toi, tu ne devais pas avoir été faites dans le même moule, parce que cette soirée n'avait pas la moindre importance. Tu n'y allais que pour photographier le défilé de couples spécialement formés pour l'occasion. C'est tout ce que tu aimais. Tout ce que tu adorais. Tu emprisonnais des instants de bonheur, tu essayais de capter cet instant précis où l'émotion submergeait un visage, l'instant exquis où la spontanéité s'emparait d'un être, faisant disparaître toute la superficialité superflue. Alors, si ce stupide bal de promotion n'avait pas le moindre sens à tes yeux, la perspective de te saisir de ce genre de moment était bien trop exquis pour t'y refuser. Tu étais une voleuse d'instant, à la quête d'un sourire, un regard, un soupçon d'âme dans le flot des apparences. Are you sure? Un rire léger alors que tu te laisses retomber sur le lit. Les mèches blondines encadrent ton faciès alors que tu portes ton attention sur elle. Yes, don't worry. I don't need all of that... And especially a boy. Elle s'inquiète la môme, elle s'inquiète pour toi, mais elle ne devrait pas. Les choses sont curieusement simple lorsque l'on sait ce que l'on veut.



We've to go. Tu portais ton attention vers cette voix de mauvaise augure. Tu laisses échapper un soupire alors que ton regard en revenait à l'écran d'orinateur, seul et unique contact avec les tiens depuis les dernières semaines. Tu pinçais les lèvres, détestant les instants où l'on t'arrachait à elle. It's ok. Talk later. L'ombre d'un sourire plane sur les lèvres de ta sœur. Vous n'aviez jamais été séparé aussi longtemps et l’absence se faisait plus pesante, elle oppressait ton cœur, le chargeait d'un poids de plus en plus pénible à porté. Love you. Le souvenir d'un cœur brisé. Chaque conversation avortée est une raison de plus de rentrer. Tu aimes ce que tu es en train d'accomplir ici, mais ce n'est pas ce qu'il te faut? ce n'est pas ce qui te convient. peu importe à quel point tu as l'impression d'appartenir à quelques choses, peu importe à quel point tu sais qu'il est important de partager ce qu'il se passe ici, à l'autre bout du monde, tu ne peux supporter de vivre loin de ta vie. Et tes doigts se soulèvent pour effleurer l'écran où le visage de ta cadette se mouve toujours. Love you more. Ta voix n'est qu'un murmure. Tu n'oses parler plus fort, de peur qu'elle n'entende les brisures provoquées par l'émotion. L'écran se brouille et son visage disparaît. Ta mâchorie se crispe, ravalant les larmes qui menacent tes orbes azurés. Tu te laisses retomber sur ton siège, alors que tu laisses l'air emplir tes poumons. Tu prends du temps, ce temps, pour que nulle en dehors de ta tente de fortune de puisse se douter de la difficultés de ce voyage. Tu n'as pas les épaules pour en supporter d'avantage. Une inspiration plus tard, tu te redresses, attrappant ton appareil photo pour offrir une vérité que nulle ne suspecte en dehors de ces frontières.



Tu l'avais laissée entrer dans ta vie, loin de te douter du malentendu sur lequel reposait cette amitié. Une orientation sexuelle faussé par des incertitudes que tu avais pris pour de la timidité face à une homosexualité à peine avoué. Tu n'avais pas vu les signes qui juraient le contraire, qui trahissaient son attirance pour ta personne. T'étais aveuglée par l'idéale que représentait cet amitié qui ne pouvait être entaché par une quelconque ambiguïté. Trop aveuglée pour voir ce qui était en face de toi. Cette belle amitié c'était muée en une complicité sans précédent, forgée dans les non-dits. Et tu perdurais dans l'illusion, façonnant ta vie sans en tenir compte, allant au delà de vos limites respectives, sans s'en douter une seule seconde. Tomas !? Interrogation qui s'élève alors que tu viens de franchir le seuil de l'appartement que tu partages avec l’intéressé. Un sourire reste ancré sur tes lèvres, bien trop excitée par ce qu'il t'arrive pour le voir disparaître de si tôt. Tu te débarrasses de tes chaussures tout en avançant, cherchant du regard une quelconque trace de ton meilleur ami. Tomas !? Nouvelle interrogation alors que tu te débarrasses de tes fringues en poursuivant ton avancée jusqu'à ta chambre, voisine à la sienne. Tu pousses la porte de ta chambre, non sans avoir jeté un coup d’œil par dessus ton épaule pour voir s'il répond à ton appel. Silence radio. Tu laisses échapper un soupire alors que tu fonces vers la garde robe pour te chercher une tenue adéquate. Tu te saisis d'une robe, puis d'une seconde. Tu les toises, perplexe et indécise, incapable de trancher par toi même. Tu lèves les yeux au ciel, marmonnant des insultes inaudibles à l'adresse de ton fidèle acolyte qui manque clairement à ses devoirs. Tu emportes les fringues, traversant le couloir pratiquement nue. Tu ouvres la porte à la volée pour voir le visage ensommeillé de celui qui partage le lieux. Un grognement s'extirpe de tes lèvres alors qu'il se réveille, la vision embrumée par le sommeil dont tu viens de le tirer. Tu brandis les deux robes, les mettant l'une et l'autre devant ton corps. So, Wich one? Son regard baigné d'interrogation qui se pose sur toi, sur ton corps à moitié dénudé que tu affiches sans la moindre pudeur, parce qu'il est cet ami idéal, celui qui ne te désireras jamais. C'est du moins ce que tu plais à croire, c'est du moins ce que tu veux croire. Il fronce les sourcils, sans comprendre de quoi il s'agit. Il fronce le sourcil, pour masquer le désir que tu lui inspires. I've an interview, for my photography. So, Wich one? Impatiente, tu pointes à nouveau les deux robes sous son nez. Il pointe vaguement du doigts l'une d'entre elle. Agacée, nerveuse et excitée, tu roule à nouveau des yeux pour disparaître. Tu ne le vois pas retomber mollement sur son lit. Tu n'entends pas son soupire désespérée... Parce que si tu ne sais pas, lui, il sait, il sait à quel point son mensonge pourrait tout détruire le jour où tu l'apprendras.

Wow, trop cool, t'es enfin des nôtre mon p'tit ! Alors avant de commencer le blabla un peu chiant, je vais quand même te dire ce que j'ai pensé de ta fiche : au début je voulais pas te valider puis j'ai vu que t'étais canon alors j'me suis dis "ALLONS-Y"

Et maintenant, parlons bien parlons peu, parlons de tout ce que tu peux faire maintenant que tu es validé. Alors déjà sache que la première chose que tu dois faire, et c'est très important, c'est de recenser ton avatar. Si tu ne le fais pas et que quelqu'un d'autre le prend, c'est toi qui devra changer. Tu peux donc faire ça ici. Ensuite, tu auras peut être envie de te trouver des potes, non ? Tu peux aller t'ouvrir un répertoire de liens, mais si jamais ce n'est pas assez, tu peux aussi te faire un scénario. N'oublie pas non plus d'aller te recenser dans les différents répertoires. Et puis si tu cherches un rp, ne cherche plus, va directement faire une demande !
Voilà, c'est tout ! N'hésite pas à venir flooder avec nous !