identity card PRÉNOM(S) : un faible écho, une mélodie qui se noie dans des mirages perdus, un dernier murmure, un poison qui embrase les lèvres. phèdre est son nom. AGE : vingt-six années de tourmente. une échappée volage, une chute infinie. PROFESSION : ne trouvant rien d'autre à son goût, phèdre est serveuse au books&coffee. c'est simple, puis quelque fois on y fait des rencontres intéressantes. STATUT SOCIAL : elle est le cauchemar, la frayeur se propage lorsqu’on la croise. phèdre est une veuve noire. abandonnée dans le sang, meilleure complice de la mort. elle pleure son défunt amour chaque soir. RACE :  fragile humaine, minuscule lumière qui traverse les ténèbres et y perd son éclat petit à petit. NATIONALITÉ : > anglaise. la jeune femme a toujours vécu en grande bretagne avant de partir en irlande. ORIGINES : purement irlandaises. une surprise qu’à découvert phèdre dans d’anciens vestiges, vieux secrets gardés par cerbère lui-même. FAMILLE : tout était une douce illusion, une solide façade sur laquelle se reposait le mensonge. phèdre est en réalité pas de ce monde là, elle est adoptée. faux parents, fausse vie, fausses joies et faux bonheurs. elle considère son passé comme entièrement vide dorénavant. en faisant des recherches acharnées à s’en ronger les ongles jusqu’au sang, elle retrouva son cocon d’origine. malheureusement, ils étaient tous partis. ils n’étaient plus là, envolés dans les cendres d’une tragédie. mais sa moitié respire toujours, une sœur jumelle coincée dans une illusion parallèle. phèdre compte bien la retrouver, et elle sait où.

characterization phèdre est une femme brisée, torturée par des souvenirs sanglants. pour échapper à ses vieux démons elle passe son temps à faire le mal autour d’elle. la brunette est une psychopathe, manipulatrice, perverse narcissique, égoïste à souhait, une véritable garce. elle considère les autres comme de vulgaires marionnettes pour parvenir à ses fins, elle ne montre jamais aucun signe de culpabilité. ❋ elle n’a pas toujours été ce cauchemar ambulant. après la mort de son fiancé, toute sa vie bascula. atteinte d’un énorme traumatisme suite au massacre de son mariage, elle fut internée pendant deux ans en hôpital psychiatrique. sa sortie fut écourtée car étrangement, elle rayonnait de nouveau et semblait n’avoir plus aucun trouble. ❋ en réalité, elle avait mis huit mois à préparer son plan. ne pouvant plus rester entre ces immenses murs blancs et cris d’horreur, elle décida de déguiser sa maladie mentale et de jouer la comédie de la patiente qui renaît. c’est une chose ordinairement impossible car les médecins ne sont pas dupes. mais pourtant, avec le temps cela finit par marcher. ❋ phèdre est hantée par sa propre mémoire. elle est souvent prise par des visions dignes de film d’horreur mais pourtant ce n’est juste que des fragments de la réalité, de ce qu’il s’est passé ce jour-là. alors elle fait pareil que ces assassins, et essaye de comprendre ce qu’ils ressentent. elle tranche la gorge d’innocents pendant les pleines lunes, remplie de frénésie et d’un sentiment d’euphorie et récite des maximes indéchiffrables. la brunette se demande souvent pourquoi elle a survécu, et se répond elle-même que c’est parce qu’elle fait parti des leurs. ❋ après avoir découvert qu’elle était en réalité adoptée, elle chercha d’où elle venait vraiment, ses racines. elle retrouva sa vraie famille, les agallon, et pris la décision de reprendre son nom d’origine. ses parents biologiques étaient décédé, cela faisait donc d’elle une pauvre orpheline. mais elle ne le voyait pas comme ça, d’une certaine façon, elle n’était pas seule. désormais, elle n’était plus phèdre furler, mais phèdre agallon. ❋ elle a une obsession pour l’eau. la puissance des vagues et la sensation de liberté qu’elle procure la fascine. lorsqu’elle est prise par de violentes émotions et qu’elle sent mal, elle plonge et se laisse couler. quand les premiers étourdissements apparaissent, elle remonte à la surface. phèdre utilise cette sorte de "noyade" lorsqu’elle est extrêmement blessée. ❋ à son arrivée à glencullen, nombreuses sont les personnes qui ont confondu phèdre avec une certaine "isadora". la jeune femme comprit tout de suite qu'elle fut au bon endroit, et commença à jouer de cette confusion. se faire passer pour sa jumelle devint un véritable loisir. ❋ elle est devenue l'alliée d'un puissant sorcier désirant à tout prix obtenir le don de nécromancie. sous des caresses, de sombres murmures, il lui demande de tuer. et elle aime ça. un lien malsain s'est créée entre les deux, une connexion obscure. il la manipule, elle joue double-jeu, il l'a fait souffrir, elle lui fait vivre un cauchemar. elle ne peut plus se passer de lui. à part sa sœur, cet homme est la seule chose qui la retient à glencullen. ou peut-être pas finalement, cette commune regorge d'amusements.

depuis quand habitez-vous à Glencullen ? Et pourquoi avoir choisi cette ville ? : phèdre a posé ses fesses dans ce trou perdu dans l'unique but de retrouver les dernières pièces de sa famille, ou du moins ce qu'il en reste. elle a commencé à jouer l'usurpatrice, un rôle qui l'amuse énormément. au fond, tout ce qu'elle veut c'est être auprès de sa moitié et de ne plus jamais la quitter. qu'elles ne soient plus jamais séparées. quiconque se mettra sur le passage d'effy le regrettera. elle est une humaine oui, mais une humaine dont il faut se méfier. Avez-vous remarqué la présence de plusieurs créatures surnaturelles ? Croyez-vous en leur existence ? Si vous êtes vous-mêmes une de ces créatures, avez-vous conscience de la présence de chasseurs, ou vous pensez-vous plus fort qu'eux de toute manière ? : les ténèbres habitent ce monde, oui. elles sont omniprésentes, détruisent les plus faibles. phèdre a pris connaissance du monde surnaturel il y a de ça trois ans. les créatures pour lesquelles elle avait un profond dégoût se sont changées en véritables objets de fascination. effy se prend pour une sorcière, massacre des innocents sous l'astre mère qui règne dans un ciel aussi noir que le cœur de la jeune femme. ce n'est qu'un autre jeu, un passe-temps. ou peut-être le fragment d'un désir impossible. les ténèbres habitent ce monde. elles dévorent les plus faibles et les rend plus fort. Croyez-vous en l'existence de divinités quelconques ? Avez-vous une religion ? Si oui, laquelle ? La pratiquez-vous sur une base régulière, ou pas du tout ? : une nuit, la lune descendra elle-même. porteuse d'un message annonçant la fin, notre fin à tous. la mort est prête à nous accueillir, chacun de nous, nous brûlerons pour nos pêchés. au fond, l'enfer est déjà sur terre, il suffit de voir les monstres qui l'y habitent. effy aime les histoires, les légendes mais ne s'implique pas dans quelconque croyance. cependant, la lune est une chose fascinante à ses yeux.

PSEUDO : trust no one. PRENOM : thomas. AGE : dix-sept ans. COMMENTAIRE, SUGGESTION ? : vous êtes toujours moches AVATAR : phoebe tonkin. GROUPE : humans. PERSONNAGE : inventé.

I. La petite fille se tenait au bord de sa fenêtre, rêvassant en comptant les nuages qui traversaient le ciel. Phèdre adorait s'y plonger et imaginer des choses impossibles. Dans cet univers qui nous regardait de haut, la petite y plaçait ses sentiments en voyant les couleurs arborer ce ciel. Une peinture d'une extrême beauté, d'une durée si éphémère mais pourtant infinie. La brune se mit à sangloter, elle entendit vaguement ses parents se disputer en bas, dans le salon. Cela faisait quelques jours que ça durait. Elle ne pouvait pas tout entendre à chaque fois, mais ça concernait son grand frère. L'autre soir, Effy s'était cachée sous la table du salon et elle avait tout entendu. Ils parlaient du fait qu'ils avaient peur qu'il découvre qu'il n'était pas vraiment d'ici. La mère de Phèdre était déterminée à ne rien dévoiler pour le moment, c'était beaucoup trop tôt. Le père, lui, avait un air grave et un regard empli de tristesse. Que cela voulait-il dire ? Nikola n'était pas vraiment son frère ? Il aurait été adopté ? Tout était flou. La fillette se posait milles-et-une questions.
Ce soir elle allait encore les espionner, pour en savoir davantage. Elle descendit tout doucement les marches des escaliers en bois en veillant à ne faire aucun bruit. Si ses parents la trouvaient là, ils la tueront. Effy colla sa fine oreille contre le mur. On pouvait y entendre les petits secrets le traverser, atteindre la fillette. « c'est ça que tu veux ? qu'on avoue à nikola et phèdre qu'ils ne sont pas nos enfants ? que tout deux proviennent de familles trop irresponsables pour s'en occuper ? » La fillette était abasourdie. Elle n'avait pas connaissance de cet autre murmure. Nikola n'était pas le seul. Effy était  mûre pour son très jeune âge et tout fit tilt dans sa tête. Elle vécu cette révélation comme une véritable trahison. Elle n'en parlera jamais à personne, sa décision était prise. Elle allait jouer la comédie, faire semblant jusqu'au fameux « les enfants, il faut qu'on vous parle ». En remontant à sa chambre, ses yeux s'humidifièrent pour former des larmes qui roulaient sur ses joues rosies par le chagrin. Le ciel n'était plus coloré dorénavant, seulement noir. On pouvait remarquer un croissant lumineux accroché à ce tableau qui représentait parfaitement l'état d'âme de la fillette.

II. Les prunelles pétillantes, les lèvres savoureuses d'une nouvelle vie, une longue robe éclatante d'espoir. C'était le reflet de la femme dans le miroir. Le reflet de Phèdre. La jeune femme n'en croyait pas ses yeux, aujourd'hui elle allait se marier. Elle allait épouser son âme-sœur, celui qui fait battre son cœur depuis quelques années déjà, celui qui fait son bonheur. Effy était devenue une magnifique fleur en grandissant, adorable et bienveillante, elle a toujours veillé à ce que son entourage nage dans le bonheur. Sa mère entra dans la chambre, toute émue de voir sa fille se marier. Elle était très jeune, vingt-deux ans c'est tôt selon les gens. Mais l'amour qui unissant Louis et Phèdre était plus fort tout ces préjugés. Des mèches tombaient sur son visage angélique. Sa mère les remirent en place, couvée par une magnifique broche munie d'une pierre d'un bleu très intense. « ma chérie, j'ai un cadeau pour toi » dit-elle en sanglotant. « c'est un collier qui se donne de mère en fille dans la famille, tu sais le genre de tradition qu'on voit dans les films.. il se trouve qu'on l'a aussi » rit-elle, gênée. Phèdre avait apprit a pardonné à ses parents le secret qu'ils n'avaient jamais avoué d'ailleurs. Ils lui avaient donné un amour incommensurable, ce que tout enfant aurait rêvé. Lorsque Phèdre les regardait, elle ne pouvait pas rêver de meilleurs parents, elle les aimait vraiment. Penser à sa famille biologique devint rare avec le temps. Nikola était parti voler de ses propres ailes. Trop loin pour être au mariage, il avait annoncé ses vœux dans une très jolie lettre. Son frère, son demi-frère.  Un être qui comptait autant que ses parents à ses yeux. Toujours protecteur envers elle dans leur enfance et toujours un peu maintenant. La jeune mariée gloussait rien qu'à se rappelait de toutes les bêtises qu'ils faisaient plus jeune. Oui, le reflet dans le miroir c'était bien Phèdre, tout était aussi réel que sa propre image. Elle se retourna puis prit sa mère dans ses bras tremblant.  Des larmes coulèrent sur l'épaule de sa mère, des larmes de joie. Elle était au summum du bonheur, rien ne pouvait lui arracher ce sentiment, rien ni personne.

Ils gisaient tous, un par un, sur le sol, une entaille profonde à la gorge. Phèdre s'était cachée sous un cadavre pendant tout le massacre. Emplie de frisson, elle tenta de se dégager de la marre de sang. Elle hurla, tout ce liquide pourpre la dégoûtait. En essayant de se relever elle tomba sur un autre corps sans vie. Pourquoi ? Plus aucune force ne lui permettait de se relever. Le ciel était sombre, le ciel n'était que ténèbres. La lune régnait dans le ciel, la responsable, la reine sanglante. Phèdre ne voyait qu'a moitié, prise de vertiges et de vision d'horreur. Aidez-moi.. La jeune femme s’agrippa sur des ronces qui ornaient le jardin pour se relever. Les épines des plantes lui déchirèrent la chair. Désormais debout, face à l'effroyable scène dont elle était l'unique survivante, elle cherchait ses proches. Complètement défigurés, les cadavres étaient tous méconnaissables. Phèdre se mit à la recherche de survivant, elle ne pouvait pas être la seule rescapée de ce cauchemar, c'était impossible. La robe de la mariée n'était plus que pourpre, le sang ayant bu toute la blancheur du tissu. Soudain, un bruit sourd entre les morts. La plainte d'un agonisant, dernier soupir d'un rêve. Effy se pressa dans la direction du faible écho. C'était Louis. Elle se jeta sur le sol. Pleurant toutes les larmes de son corps et hurlant le nom de son bien-aimée, Phèdre était inconsolable. Louis souriait, les blents rougies par le sang frais, la gorge baignant dans un océan pourpre. « mon coeur, mon amour, t'en fais pas ça va aller, tu vas t'en sortir » la mariée parlait sans s'arrêter, hurlant à l'aide. Il n'y avait personne. Seule la lune était spectatrice, tout là haut dans le ciel. Son visage se tourna vers son âme-sœur. Il ne pouvait pas parler, mais il persistait à sourire, comme si cela allait changer la mort de tout ces innocents, de sa propre mort. « on va trouver une solution, chut, ne parle pas je suis là » l'hystérie prit possession du corps de Phèdre. Ce n'est pas réel, ce n'est qu'un cauchemar..elle se mit à appuyer sur l'énorme plaie de son mari, voulant à tout prix sauver ce qui lui reste de plus précieux. Elle ne plus la force de chercher les autres, chercher ses parents, chercher le bonheur. Souffle saccadé, tourbillon, flou total. Elle ne savait plus ce qui était réel ou non. Sa vie avait atteint un nouveau tournant. Elle attrapa la broche tombée sur le sol, l'approcha de sa gorge. Son geste s'arrêta, comme si un fantôme l'y avait empêchée. Louis n'était plus. Elle posa sa tête sur son torse ensanglanté, les ténèbres l'envahirent. Vide. Cette nuit, elle avait tout perdu, tout, absolument tout. Phèdre releva la tête, elle sourit à la lune. La promesse d'une vengeance a sonné.

III. La tête entre les jambes, la jeune femme comptait le nombre de bleus qu'elle s'était fait sur les jambes. Elle se frappait elle-même, cognait ses poings sur ses murs. Phèdre se punissait d'avoir été faible cette nuit là. Elle se punissait d'avoir survécu. De vivre, tout simplement. Ces choses, ces créatures, ces démons. Ils lui avaient tout prit. Elle jeta un regard noir a sa porte. Un cri retentit de la chambre d'à côté. Phèdre ne réagissait même plus, plus rien ne lui faisait peur. Plus maintenant. Cela faisait un an qu'elle était dans ce trou. « L'affaire de la mariée pourpre » c'est ça qui l'avait emmenée dans cet hôpital psychiatrique. Elle était destinée à y passer le restant de ses jours. Une idée qui restait impensable pour Effy. Il fallait qu'elle se bouge, qu'elle trouve une solution. Cet endroit l'avait complètement brisée. Les murs, les gens, la nourriture, tout lui rappelait ce qu'elle avait vécu. Et surtout, comment elle se sentait. Elle était prisonnière d'un désespoir tellement profond qu'elle finit par s'y plaire. La moindre lumière lui causait davantage de douleur.  Phèdre s'était noyée dans sa tristesse, dans son  ombre. Elle était sa propre destruction, sa propre fin. La jeune femme se mit à rire. Elle avait un plan pour sortir d'ici. Cela allait prendre du temps, une éternité, mais cela valait le coup.

Huit long - extrêmement long - mois passèrent et pendant tout ce temps, elle avait prévu d'avoir un comportement exemplaire. Il fallait qu'elle fasse la comédie, qu'elle s'amuse à jouer la patiente qui renaît miraculeusement. Ce n'était pas évident, elle faillit craquer des milliers de fois mais elle tint. Rester ici jusqu'à ce qu'elle ait la peau sur les os était insupportable. Après cette période passée, elle rayonnait. Un sourire était plaqué sur ses lèvres, faisait même des rides sur ses joues. Elle réussissait chaque test, faisait bonne impression devant chaque médecin. Tout était possible d'accélérer sa sortie. Rien n'était sûr, mais il fallait essayer. Jusqu'au glorieux jour où, on annonça sa sortie. Peut-être le meilleur jour de sa vie. Elle avait revêtu une belle robe, un rouge à lèvres pétant. Non, pas de talon, ça ferait too mutch. On lui avait gardé des vans. Elle enfila sa veste en cuire et fit des clin d’œil aux patients qu'elle ne reverra plus jamais. Les grilles s'ouvrirent, le soleil tapait, l'avenir ouvrait ses bras. Phèdre était prête à les écraser.

IV. Glencullen était le genre d'endroit parfait pour Effy. Un endroit perdu, peu connu et caché de l'univers. Un endroit parfait pour quelques meurtres. Il semblerait aussi que le surnaturel grouille dans les environs. Les rumeurs disent que l'Irlande est le berceau de la magie, alors autant en profiter. C'était sa première nuit à Glencullen et la jeune femme avait décidé de faire un petit tour dans les bois. Ce n'était pas n'importe quelle nuit, c'était la pleine lune. Phèdre s'était trouvé un beau garçon comme proie, elle l'attira dans les bois en lui faisait croire qu'elle a toujours rêvé de le faire dans les bois. Ils se déshabillèrent, le jeune homme embrassa le coup de la veuve noire et quand il s'y attendait le moins, elle l'égorgea vif. Le sang ruisselait sur ses vêtements, il y en avait partout sur ses doigts délicats d'assassin. La brunette adorait ça. Elle souffla, sourit d'un air narquois et planta ses prunelles sur la reine de la nuit. Soudain, une légère complication - ou une nouvelle distraction - surgit. Une jeune femme se tenait là, les yeux écarquillés, abasourdie. Elle semblait avoir vu le diable. « Isadora ? » Phèdre comprit. Elle se mit à sourire de nouveau. Let the game begin.

Wow, trop cool, t'es enfin des nôtre mon p'tit ! Alors avant de commencer le blabla un peu chiant, je vais quand même te dire ce que j'ai pensé de ta fiche : j'aime trooop effy omg tu nous fais un remake de kill bill haha.

Et maintenant, parlons bien parlons peu, parlons de tout ce que tu peux faire maintenant que tu es validé. Alors déjà sache que la première chose que tu dois faire, et c'est très important, c'est de recenser ton avatar. Si tu ne le fais pas et que quelqu'un d'autre le prend, c'est toi qui devra changer. Tu peux donc faire ça ici. Ensuite, tu auras peut être envie de te trouver des potes, non ? Tu peux aller t'ouvrir un répertoire de liens, mais si jamais ce n'est pas assez, tu peux aussi te faire un scénario. N'oublie pas non plus d'aller te recenser dans les différents répertoires. Et puis si tu cherches un rp, ne cherche plus, va directement faire une demande !
Voilà, c'est tout ! N'hésite pas à venir flooder avec nous !