identity card PRÉNOM(S) : Théia. Déclinaison infinie, résonnant comme une marque de fabrique. Aspiration mythologique gonflant le cœur de ta mère d'un espoir irréel qui semble avoir porté ses fruits. AGE : Dix huit grains de sable écoulés dans le sablier du temps. Furieuse obsession des années qui passent et marquent ton corps et souille ton âme. Tu aspires à l'immortalité de ta personnification. PROFESSION : Etudiante en perdition, se lassant bien trop facilement, Tu suis les cours au gré de ses envies, changeantes et dérangeantes. Tu cherches encore comment marquer les esprits. STATUT SOCIAL : Battement de cœur avortée pour une solitude sans fin. Jusqu'à ce qu'elle ne vienne illuminé ton cœur d'un bonheur inespérée. Elle illumine obscurité qui couvre ton âme, apaise ton coeur, sans que jamais tu n'oses cueillir cette fleur. RACE : humanité morte avant l'heure, la lune t'a insufflé un souffle de vie, elle t'a offert une nouvelle chance. Le pouvoir sillonne délicieusement tes veines, couronnant ta chevelure de succès. NATIONALITÉ : L'Irlande coule dans tes veines pour atteindre ton cœur. Ce n'est qu'un mot sur un vulgaire bout de papier, cela ne signifie rien à tes yeux. ORIGINES : Fille de l'astre lunaire et de son compagnon macabre. Originaire d'un amour impossible, revenue d'entre les morts pour satisfaire la déesse esseulée. FAMILLE : Famille détraquée par le culte qu'elle voue à la déesse lunaire et à ses enfants. L'obsession de votre génitrice pour porté l'un des enfants de sa reine astrale l'a rendue aigrie et violente evrs le reste de ta fratrie. Vous n'êtes pas égal, l'emprunte de leur humanité pèse sur votre relation. Élevée comme une reine alors qu'ils étaient traîné dans la boue, tu ne t'es jamais soucié d'eux, comme s'il n'avait jamais eut que ta jumelle qui en vaille la peine.

characterization 1# Des photographies sont collées contre la porte intérieur de ton placard, visage maudit de ceux qui tu comptes sacrifiés, personnification de ceux qui t'ont blessés lorsque tu étais une môme et que tu ne possédaient pas tout ce pouvoir. Chaque visage barré d'une croix ensanglantée est une cible abattue, une vengeance obtenue. 2# Alors que tu soufflais ta dix-huitième bougie, ta génitrice t'a offert les clé d'un paradis inavouée. Un caprice d'une cruauté sans pareille, un vieux bâtiment isolé à l'orée de la forêt, transformée en une prison capable de contenir les créature les plus immondes qui aient foulé cette terre. Les monstres de la nuit sont entraîné ici par les membres de ta fratrie qui t'ont prêté allégeance. Ils ont vendu leurs âmes pour te satisfaire. Ils ont jouer avec un danger pour que tu puisses jouir de l’excitation provoquée par l'adrénaline. 3# Voleuse compulsive. Tu dérobes subtilement les effets personnels de ceux qui t'entourent, comme si tes caprices n'étaient pas suffisamment assouvi par la folie de sa mère. Des objets qui n'ont aucune valeur, aucune utilité pour toi, juste le plaisir de savoir que tu emportes un bout de souvenir, un objet qui manquera à son possesseur. 4# Victime d'un harcèlement sans précédent durant ton adolescence, tu as profondément été blessée par ses années de supplices, en contradiction constante avec le trône familiale que tu occupais. Tu éprouves un besoin d'être aimée, adulée et vénérée, sans pour autant rendre ce que tu désirs. Tu veux que les regards se posent sur toi, désireux, avides et désirables. 5# Tu écris. Tu couches inlassablement tes mots sur le papier, comme pour en garder une trace indélébile. Les cahiers s'accumulent sous ton plancher, sans que nul ne soupçonne son existence. Chaque mots contenus est une ode à ta cruauté et seraient apte à te faire enfermé pour de bon.

depuis quand habitez-vous à Glencullen ? Et pourquoi avoir choisi cette ville ? : Glencullen a accueilli ton premier souffle, ton dernier et ta renaissance. Portée par l'histoire de ta famille, ta mère ne pouvait quitté la terre qui avait accueillie le premier sorcier du clan Westfall. Cela ne pouvait être qu'en ses lieux qu'elle porterait un enfant de la lune, toi. Avez-vous remarqué la présence de plusieurs créatures surnaturelles ? Croyez-vous en leur existence ? Si vous êtes vous-mêmes une de ces créatures, avez-vous conscience de la présence de chasseurs, ou vous pensez-vous plus fort qu'eux de toute manière ? : Bien entendu, puisque tu es l'une de ses créatures. Sorcières de la nuit, tu savoures l'obscurité qui assiège ton cœur, marchant au milieu des rues bordées de cadavre en devenir, riant de leur triste sort et de leur ignorance, vulgaire humain sans importance. Ils ne savent pas ce qui se trame lorsque ta mère est haute et ronde, ils ne savent pas ce que tu leur ferras.Croyez-vous en l'existence de divinités quelconques ? Avez-vous une religion ? Si oui, laquelle ? La pratiquez-vous sur une base régulière, ou pas du tout ? : Culte adressée à lune, vénérée déesse à laquelle je dois la vie. Je la couvrirais de tus le pouvoir qu'elle désire, assiégeant l'humanité pour qu'elle perdure, délicieuse sur son trône astrale. Elle est belle et désirable, elle a fait ses enfants à son image, elle t'a fait à son image.

PSEUDO : VOYOU. PRENOM : Elodie. AGE : Wesh, appelez moi mamy. COMMENTAIRE, SUGGESTION ? : Pfiou, vous pouvez arrêter d'être aussi inspirant? AVATAR : Teresa Oman. GROUPE : sorcerers PERSONNAGE : inventé par mes soins, lors d'un tête à tête avec mon frère au restaurant

La consigne était simple. Dessiner. Tu n'y voyais aucun piège. Tu ne connaissais pas encore les rouages de cette famille, adoratrice de la déesse astrale et de ses merveilleux enfants. Tu pinces les lèvres alors que la môme que tu es ne penses qu'à réaliser un dessin qui puisse plaire à ta mère. Elle rôde autour de toi, tel un requin, désireuse de percé les secrets de votre nature. Sourire jumelée, vous vous échangés les crayons, naturellement, vous n'avez nullement besoin de vous parler pour vous comprendre. Il n'y a pas de frontière ni barrière au lien psychique qui unit vos cœurs et vos âmes. Relation indéfectible par dessus les anges. L'innocence personnifiée. Corps enfantin qui s'anime sans décelé la perfidie de celle qui prétend être votre mère. Cette femme là est rongée par l'ambition et ne connait nullement la maternité des autres femmes, elle souille chacun de ses enfants parce qu'ils n'ont pas été façonné dans le moule d'une lune ronde et aimante. Vous n'avez jamais affronté la rage provoqué par la déception d'un échec. Vos corps n'ont jamais été abîmé par la colère d'un rejet lunaire. Vous. Nyx et toi. Toi et Nyx. Vous baignez dans un espèce de purgatoire, attendant la sentence ultime pour découvrir le sort qui vous est réservée. Des mômes qui ne comprennent pas grand chose du monde dans lequel elles sont en train de grandir. Deux mômes, une seule âme. Il n'y a pas d'identité, seulement une coque qui vous englobe. Il n'y a pas de disparité... Il n'y en avait pas, jusqu'à ce que tu ajoutes des couleurs qui enveloppes délicieusement les silhouettes humaines. Juste quelques touches de couleurs ont créer cette différence flagrante qui ne cessera de vous poursuivre. Un séparation impensable et pourtant inévitable. Les orbes inquisitrices de ta génitrice se glissent sur vos coloriages. Et se saisit d'abord du bout de papier que lui brandit fièrement ton double. Une lueur étrange vient s'emparer de son regard alors qu'elle déchire le dessin et le broie dans ses mains. Pour quelques couleurs manquantes. Tu baisses le bras, tu veux dissimulés tes coloriages d'enfant, persuadée qu'il subira le même sort que celui de ta jumelle. Et pourtant elle le saisit alors qu'un sourire que tu ne lui avais vu vient déformé ses traits. Tu pinces les lèvres, échangeant un regard inquiet avec ton propre reflet personnifié dans le corps de ta sœur. Elle hausse les épaules alors que ta mère s'abaisse pour t'enfermer dans son étreinte et écraser ses lèvres contre tes joues. Tu ne comprends pas. Tu ne sais pas. Pourtant, ton existence vient de se métamorphoser.


Nyx et toi. Toi et Nyx. Semblable. Différente. Non, pas différente, c'était impossible. Vos cœurs battaient à l'unisson depuis le jour de votre naissance. Vous ne pouviez être différenciée aussi vulgairement. Si tu voyais ces nuances colorées envelopper les gens, Nyx devait les voir également. Cela ne pouvait en être autrement. Elle était sœur. Des âmes sœurs. Des âmes liées, tellement étroitement qu'elles n'en formaient qu'une. Cela ne devait être qu'une question de temps. Alors, en attendant que Nyx puisse voir ces couleurs qui sublimaient les êtres, vous vous étiez créer un langage dans lequel chaque geste était rapportés à une couleur. Dans tes yeux d'enfant, ce n'était pas un mensonge, non, juste un trompe l'oeil en attendant qu'elle ne redevienne ton parfait reflet. Tes mains se nouaient l'une contre l'autre. Jaune. Un jaune avec plein de paillette dorée. Ta génitrice la toisait curieusement avant de porter son regard sur ta personne, vérifiant les hallucinations grotesques de celle qu'elle ne prenait que pour une moins que rien. Dans ses yeux fanatiques, Nyx avait déjà échoué. Tu hochais vivement la frimousse, accentuant le mensonge enfantin que vous partagiez. Elle enr revenait à ta sœur, perplexe, alors que vous échangiez l'un de ces regard silencieux et intime qui signifiait tout, tout ce qu'elle, imbécile d'humaine ne pouvait pas voir. Manque de cœur. Manque de pouvoir. Cela veut dire que Nyx est comme moi? Comme toi. C'était évident. Cela signifiait la fin des tourments qu'elle faisait vivre à ta douce et tendre Nyx, ton double parfait. Le fin de son calvaire. Sa rédemption. Le reste de la fratrie importait peu en comparaison de l'amour que tu vouais à ton égal.


les flammes lèchent son bras, dévore sa chair, lui arrache un hurlement douloureux et insoutenable. Lorsqu'elle souffre, c'est toi qui souffre également. Ta mère saisit brutalement son bras pour la dégager de l'étreinte brûlante de ce feu ardent. Mais plutôt que de la serré contre son cœur, elle s saisit de ses épaules et la secoue furieusement, comme si son corps n'était qu'une vulgaire poupée de chiffon. Tu n'es qu'une incapable. Une bonne à rien, ne jour pas avec un élément, misérable créature, comme si la lune voulait de toi.. Haine distillé dans des propos acides qui la blessent tout autant que la brûlure. Ton te redresse, les larmes dévorant tes yeux alors qu'elle violente une partie de toi même. Sentiments jumelés, entremêlé. Le hurlement s'extirpe de vos lèvres, s'élevant comme une seule voix. Vos mains s'agrippent contre vos tempes battantes, essayant de stopper la douleur. Une âme séparée dans deux corps. Une seule souffrance qui éclate et irradie tout. Et s'accrochant à ta détresse les flammes s'élèvent pour s'abattre sur cette mère instable. Une seule pensée : éloigner ta précieuse Nyx cette furie, la sauvegarder, la protéger. Les flammes encerclent ta mère, prison immatériel qui finit par retomber dans la cendre lorsque tes bras se referment sur ta sœur. Parmadouma. Pardonnes-moi, dans un langage que vous êtes les seules à comprendre. Une connexion unique, au delà de celle qui vient de te lier au feu. Tu ne penses pas, parce que tout ce qui comptes c'est elle, sa souffrance que tu essayes de partager avec elle. Vos corps tremblant se serre l'un contre l'autre. Au milieu de ce pentacle des éléments, vous n'êtes qu'une seule et même personne. Un seul être. Une seule âme. Tu enfouis ton visage dans son cou alors que tes doigts jouent dans sa tignasse. La lune ne peut rien faire contre ce que vous représenter l'une pour l'autre. C'est à cause d'elle si tu n'as pu te relier à ton élément que maintenant. Elle veut t'empêcher de briller, mon ange. Tes orbes s'ouvrent se heurtant au regard cruel de cette mère qui rejette l'humanité de ses propres rejetons. L'obscurité et la noirceur s'empare de ton cœur, bien trop consciente du mal qui ronge les êtres et gâche l'humanité. Lorsque tu regardes ta génitrice, tu ne vois que l'ampleur de la cruauté humaine. Tu sers encore d'avantage ta sœur, proférant des menaces silencieuses pour que jamais plus elle ne blesse ton double. T'es qu'une môme mais d'un seul regard tu la condamne au silence. Si elle veut élever la sorcière qu'elle a ardemment désiré, elle doit se prier aux caprices d'une jumelle incapable de vivre sans sa moitié.  


Impératrice de ta demeure. Princesse dévouée à la lune. Pourrie gâtée. Enfant lunaire ardemment décidée. Tes parents t'ont élevée sur un trône reposant sur la souffrance et les sacrifices de ta fratrie. Déesse illusoire, ils te vénèrent et t’exècrent dans un même temps, ne bénéficiant pas des attentions idylliques et fantasques de tes parents. Complicité gâchée et avortée par un pouvoir dont tu n'as pas voulu. Ton univers s'est façonné autour de ta petite personne si exceptionnel aux yeux de ceux qui t'ont donnés la vie. Il ne voit que la sorcière, mais qu'importe, l'enfant obtient tout ce qu'elle possède, un sifflement, un grognement et le moindre de ses souhaits et exhaussé. Les fées se sont penchées sur ton berceau pour t'offrir tout ce qu'elles possédaient, au détriment de tes frères et sœurs qui subissent chaque jour le gourou d'une mère qu'ils ont bien trop déçue par leur humanité. Tu es la perle sacrée, l'accomplissement d'une vie, la récompense qu'elle était persuadée de mérité après tant d'année de servitude. Tu t'es métamorphosée en un monstre d'égoïsme auquel on pardonne tous les caprices et les vices. Instinct de mort, garce adoratrice du sang, tu es avide de pouvoir et d'amour, ne te satisfaisant pas de ce que l'on te donne, tu rêves de ce que tu ne possèdes pas encore. Ta magnificence et nourri par le regard fanatique d'une mère avide du pouvoir des éléments.  Tu es la promesse d'un avenir glorieux pour la famille. Tu es la clé de pouvoir utilisée pour prendre le contrôle du clan Westfall. Tu jouis de cette place, inconsciente que le monde extérieur ne cultive pas la même passion à ton égard. Tu brilles et marches en territoire conquis, loin de t'imaginer que la chute sera longue et douloureuse. Tu es dicte et fait les loie dans cette maison. Tu as abandonné le sort de tes aînés au profit unique de ta douce nyx. Confrontation douloureuse. Les différence qui vous sépare sont bien trop cruelles et insupportables. Tu t’aplatis face à elle, ne sachant que trop bien le prix qu'elle doit payer pour le pouvoir que tu lui as volé. Et si tu diriges, tyrannique petite garce, c'est Nyx qui étire les ficelles et se joue de toi. Tu donnerais tout pour elle. Connexion à double tranchant.


Il y a des regards qui disent beaucoup, assortis de grands mots qui n'ont rien de vulgaires mais sont tout aussi blessant. Ces mots-là, ces bruits de couloir, ils te heurtent et te blessent, ils attendent que tu courbes l'échine et que tu sombres. Ils ne voient pas la grandeur qui émane de chaque parcelle de ton corps, ils ne voient pas le pouvoir qui dégouline délicieusement de tout tes ports, ils ne voient pas la puissance dangereuse qui sommeil en ton cœur, ils ne voient pas l’obscurité qu'ils nourrissent en distillant leur haine, ils ne voient pas la monstruosité sanguinaire qu'ils alimentent de leur rejet. Ils t'ont condamnés aux ténèbres parce qu'ils ont été incapable de te comprendre. Des paroles vénéneuses qui te font crever de douleur, le sang des loups n'est qu'un poison doucereux à côté de leur brimade constante. Tu es une énigme, une curiosité atypique. Les gosses ne cherchent pas plus loin que le différences flagrantes qui t'opposes à eux. Les gosses jugent ce qu'ils ne comprennent pas. Et alors qu'ils ont hisser ta sœur en reine du lycée, ils t’entraînent dans un enfer sans fin que tu leur ferra regretter. Pas aujourd’hui, pas demain, mais dans un avenir pas si lointain. Elle leur ferra regretter leur affront. Elle leur ferra regretter de l'avoir enfermée dans des cases. Elle leur ferra regretter cette détresse insupportable à chaque fois qu'elle croise son reflet dans le miroir. Oh oui, elle leur ferra regretter d'être devenue une ombre, détestable microbe avec lequel on refuse de se montrer. Elle leur ferra regretter la solitude qui pèse sur ton cœur, alimentée par des jugements incertains et des propos déplacés. Ils te souillent de leurs insultes constantes, ils t'agressent de leurs répliques acerbes et de leurs sourires moqueurs. Et finalement, tu t'en veux de les avoir laissé faire, de t'être laissé réduire en esclavage par ces misérables créatures fragilisés par une humanité répugnante. Tu t'en veux d'être devenue l'objet de leur médisance. Tu t'en veux de ne pas avoir pu être comme Nyx, de ne pas avoir réussi à te faire aimé d'eux. Tu n'as pas su être banal et rentrée dans le moule de l'adolescente. Toi, tes lunettes, ton corps frêle et ta carcasse squelettique. Toi, tes troubles alimentaires et tes bizarreries. Toi, la sorcière de la famille. Tu lui en veux pas à elle, de briller, tu lui en veux pas à elle, d'attirer la lumière. Tu prends seul ton déjeuner, invisible, c'es toujours mieux que de subir leurs attaques constantes.  


Ta langue glisse sur la lame de ta dague, laissant le sang de ton dernier sacrifice chatouiller délicieusement tes papilles. Tu fermes les yeux savourant le pouvoir qui s'infiltre dans ton corps, nourrissant chaque parcelle de ton âme sorcière. Puis tes genoux fléchissent alors ue ton regard s'abat sur le visage immobile de l'innocent auquel tu viens d'enlever la vie. L'innocent. Ce mot résonne étrangement dans ta tête. L'humanité est beaucoup de chose, mais certainement pas innocente. Elle déverse le mal, le venin des mots, le venin de maux. L'humanité rejette ce qu'elle ne comprend pas, l'humanité déteste ce qu'elle ne connait pas. Tu as été tellement de fois repoussée et insulté que tu as finis par te détourner de cet humanité putride. A chaque lune, tu savoures le prix du sacrifice, arrachant à la terre l'une de ces abominations qui a essayé de te faire croire que tu ne valais rien. Éliminée de la surface de la terre, sans que nulle ne s'en doute. Tu caresses la carcasse de ton ancien tortionnaire, te délectant de la froideur de sa peau cadavérique, tes doigts distillent le feu qui détruira son corps. Un sourire macabre et horriblement joyeux déforme tes traits alors que tu te relèves. La présence de ta moitié sublime cet instant et alors que tu te redresses, sa main se glisse dans la tienne. On ne devrait pas trop traîner... Ils sont tout autour de nous. La mise en garde d'arrache un grognement alors que tu t'accroches encore quelques instants aux flammes qui consument le corps de ta victime. Tu sens la pression de sa main contre la tienne, elle t'arrache à ta sublime contemplation pour te ramener à la réalité. Regard implorant. Elle craint plus pour ta vie que pour la sienne. D'accord, on y va. Et c'est d'un soupire que tu répond à ses supplications. Tu rassembles ton précieux matériel dans un sac prévu à cet effet. Nyx est en alerte, elle toise les environs avec une méfiance qu'elle peine à dissimuler. Tu lui attrapes la main et l'entraîne à travers les bois. La démarche assurée se fait un passage dans ses lieux mythiques qui ont bercés votre enfance. L'adrénaline ronge tes entrailles. Tu idolâtres ces nuits où le danger te poursuit dans une danse sensuelle et maccabre, tu vénères ces nutis où tu peux rendre à la lune ce qu'elle t'a donné, tu adores ces nuits où tu offres la justice qui t'a longtemps été refusée. La maison n'est plus très loin. Les membres de ta fratrie responsable de ta protection reviennent eux aussi. Regard sombre portée à ton encontre. Tu es leur bénédiction maudite, leur plus beau malheur. Tu ouvres la marche, précieuse reine que tu sembles être pour eux. Indifférente, il n'y a que Nyx qui peut siéger auprès de toi. Tu te fiches à quel point ton dédain est une source de souffrance, ils n'existent que pour toi, tu es l'accomplissement de leur vie. Gavée par les mensonges de votre mère, tu t'es persuadée d'être extraordinaire. Tu montes dans ta chambre, excitée à l'idée d’effacer un nouveau visage dans cette photographie de tout ceux qui s'en sont pris à toi auparavant.


Usine désaffectée. Grange putride et abandonnée. Les cages en fer forgé s'alignent. Le bruissement des chaînes font échos aux grognements bestiales qui parviennent des prisons de fortune. Tu ouvres une trappe, laissant les rayons de lune venir caresser le fruit d'une malédiction aussi vieille que le monde. Un sourire vient déformer tes traits, anéantissant toutes traces de douceur et d’innocence sur ton visage de porcelaine. Dans ces lieux tu es reines, maître d'un destin que tu façonnes à ton image. Tu tortures ses infâmes créatures, comme si la punition qui leur avait été infligée par la lune n'était pas suffisante. Les années t'avaient transformées. Une fille de la lune impétueuse et sanguinaire, avide du sang de ces pauvres humains qui grouillaient dans les environs, sans comprendre le danger auquel ils ne cessaient de se heurter. Et comme si l'humanité n'était pas suffisante, tu t'octroyais le luxe de torturer les monstres maudits, descendant lycaon. Ta fratrie les traquaient et te les servaient sur un plateau, pour que tu puisses jouir de leur perdition, que tu puisses savourer leur transformation douloureuse et savourer la bête qui se mutilait, faute de pouvoir lacérer la chaire humaine. Une cage demeurait vide. Elle était spéciale, particulière, pour un loup qui l'était tout autant. Le traître des Westfall. La menace suprême. Il était l'ultime pouvoir dont tu attendais ardemment la venue. Tout n'était qu'une question de temps. Tu flirtais avec le danger constant de leur proximité. Tu t'approchais des cages, effleurant les barreaux pour voir les créatures de la nuit se tordre d'une douleur infinie pour rejoindre l'extérieur. Le rire cristallin s'élevait, agitant les monstres féroces que tu maintenais dans ces lieux pour un caprice de môme, un plaisir personnel et particulièrement malsain. Impératrice de la famille, tu siégeais en reine illusoire, assouvissant les membres de ta fratrie avec un délice à peine dissimilée. Un raclement de groge. Ton visage se tournait vers elle, double presque parfait, délicieusement envelopper d'une aura dorée. Tu es prête? Nulle autre qu'elle ne pouvait t'accompagné lors de ces nuits de pleine lune. Nulle autre qu'elle était tolérée. Battement de cœur jumelée alors que vous ne partagiez qu'une seule et même âme. Tu t'extrayais à la cage, laissant tes doigts traînée un peu trop longtemps, flirtant avec la morsure mortelle qu'il pourrait t'infliger. Tu te croyais immortel et ce malgré le supplice que chaque lune pleine te faisait ressentir. Tu savais que ce n'était qu'une douleur infime en comparaison à la puissance que tu ressentais lorsque tu regagnais le pouvoir qui t'étais dû. Les crocs lacérés claquaient dans le vide alors que tes pas retentissaient auprès de ton double. Tu lui prenais la main, mêlant délicieusement tes doigts au sien, comme pour ne former qu'une seule personne. Allons-y. L'excitation à fleur de peau.


Tu t'étais enfermée dans une sphère de confort dans laquelle la seule présence de Nyx était acceptable, protégeant ton cœur contre les intrusions fortuites qui t'avait blessé plus de fois que tu ne voudrais l'admettre. Et pourtant Ciara avait réussi à s'y infiltrer presque naturellement, bouleversant ton cœur, fragilisant ton âme d'un espoir que tu ne t'étais jamais permise de ressentir depuis bien longtemps. Si Nyx était une évidence, une partie de ton âme disposé dans un corps semblable au tient, Ciara était une bouffée d'air frais que tu n'essayais même pas de comprendre. Elle était entrée dans ta vie pour ne plus jamais en sortir, s'accaparant ton cœur avec une facilité déconcertante. Et si l'ombre de ta sœur planait, elle n'entachait en rien la pureté de cet amour incommensurable, parce qu'il ne trahissait en rien ce que tu ressentais pur l'une et l'autre. Tu te mordais la lèvres inférieur, dévorant le moindre des mots qui s'extirpaient de sa bouche, avide de sentir son souffle caresser ta peau tant elle se trouvait proche. Proximité déconcertante qui faisait ronronner la sorcière sanguinaire, l’alanguissant d'un amour incontestable, mais silencieux. Capricieuse môme, tu la désirais pour toi, sans qu'elle ne t'appartiennent. Elle était d'une beauté chimérique, intouchable. Tu te contentais de sa présence alors que pour d'autre, tu le lui aurais arrachés les faveurs demandés. Mais pas pour elle, non, parce qu'elle était différente. Elle te changeait, elle faisait ressortir ce qu'il y avait de beau en toi, alors que nyx ne faisait que sortir la noirceur et l'obscurité de la garde que tu avais toujours été. Deux amours qui complétaient si parfaitement ta personne. Puis l'ombre assourdissante de Cain était venue se plaquer entre vous. La noirceur était revenue rongée son cœur alors qu'un sourire sardonique venait peindre tes lèvres. Une nuance assassine et malicieuse dansais dans tes yeux clairs. La sorcière aux aguets, menaçante et invulnérable. Tu te redressais pour lui faire face. Tu viens de rompre le charme. Sous entendu douteux, insinuation parfaitement dosée. Tu déposais tes lèvres contre les tempes de la rouquine, l'abandonnant dans les griffes de son affreux cousin. Aigrie et vindicative, tu cherchais mille et une façon de le pervertir... Peut-être devrais-tu le lâcher dans ta fosse aux loups. On se voit plus tard, d'accord? Un dernier regard pour elle, ton regard échouait vers le jeune chasseur, sans perdre ce sourire abominable qui ne trahissait que trop bien la jalousie qui empoisonnait ton sang. Tu savais ce que c'était de la désiré, puisqu'elle était devenu ta propre obsession.

Wow, trop cool, t'es enfin des nôtre mon p'tit ! Alors avant de commencer le blabla un peu chiant, je vais quand même te dire ce que j'ai pensé de ta fiche : omg théia le chaton enfin c'est pas trop un chaton, mais j'aime tellement le personnage puis ta plume, comme d'hab .

Et maintenant, parlons bien parlons peu, parlons de tout ce que tu peux faire maintenant que tu es validé. Alors déjà sache que la première chose que tu dois faire, et c'est très important, c'est de recenser ton avatar. Si tu ne le fais pas et que quelqu'un d'autre le prend, c'est toi qui devra changer. Tu peux donc faire ça ici. Ensuite, tu auras peut être envie de te trouver des potes, non ? Tu peux aller t'ouvrir un répertoire de liens, mais si jamais ce n'est pas assez, tu peux aussi te faire un scénario. N'oublie pas non plus d'aller te recenser dans les différents répertoires. Et puis si tu cherches un rp, ne cherche plus, va directement faire une demande !
Voilà, c'est tout ! N'hésite pas à venir flooder avec nous !