identity card PRÉNOM(S) : Thalia, marque indélébile des origines grecques que sa mère lui a transmises, insufflant les mythes et légendes qui l'ont bercée dans son nom et dans son sang. Thalia est l'une des neufs muses dans la mythologie grecque, la joyeuse et fleurissante muse. Ironie du sort, la jeune femme doute fort que ces qualités soient celles qu'elle inspire naturellement. Rien ne la prédestinait à porter en second prénom Grace. Il était destiné à sa soeur jumelle… Ce prénom est un souvenir indélébile, le seul héritage qu'elle gardera de sa moitié manquante. AGE : Le sentiment d’avoir eu ses vingt ans beaucoup trop tôt. Vingt ans et déjà la conviction que la vie file trop vite, s'arrête trop brutalement, même si elle prétend s'en foutre. Thalia a déjà compris qu'elle ne doit jamais regarder en arrière ou la mélancolie la bouffera. Ses vingt ans elle veut les consumer, vivement, les dévorer, violemment, sans retenue, jusqu'à se brûler les ailes. PROFESSION : Lutter contre les injustices, défendre la veuve et l'orphelin, non, aucune vision idéaliste, aucun rêve d'enfance ou vocation à sauver le monde. Pourtant elle étudie le droit depuis deux ans. C'est un parcours brut, vaste, plein de détours où votre route croise le vice, et ça lui plait de les emprunter. Elle est serveuse dans un café et dépanne parfois son club de box ou de tir-à-l'arc pour financer ses études. STATUT SOCIAL : Célibataire, la blonde n’est pas du genre à donner son coeur au premier venu. Elle serait plutôt du genre à le planquer tout au fond de sa poitrine et à ne pas s'inquiéter de ne pas l'entendre battre quand elle croise un garçon. RACE : Louve de naissance, Thalia descend d’une longue lignée de loup-garous. Béta très attachée à sa meute, sa famille de sang, elle ne comprend pas tout du monde qui l'entoure, de ce monde dans lequel elle a été immergée au berceau, mais elle peut compter sur les siens pour la guider. Elle avance et continuera d'avancer car c’est ainsi qu'on survit, l’expérience des générations passées comme bagages. NATIONALITÉ : Irlandaise. Elle est né et a toujours vécu à Glenncullen. Son père y a grandit avant elle, et sa mère a obtenu la nationalité en l'épousant. ORIGINES : Son nom de famille témoigne de lointaines origines norvégiennes, vestige de la lignée paternelle, d'un exil dont seul les plus anciens de sa famille se souviennent. Elle a également des origines européennes, sa mère venant de Grèce. FAMILLE : Fille unique, Thalia est une solitaire qui n'aime pas s'épandre sur sa vie, souvent dans sa bulle. Elle aurait pu se sentir noyée au milieu de sa grande famille, quelques mains n'étant pas de trop pour compter ses tantes, oncles, neveux et cousins, mais elle s'est toujours sentie bien au sein de son foyer, à sa place, et a su embrasser (et maîtriser) sa nature grace à eux.

characterization Petite blonde aux pommettes roses saillantes et lèvres ingénues, Thalia a tout de la jeune fille innocente, de l’oiseau fragile que l’on veut couver. Il lui arrive d’en jouer, mais la plupart du temps elle s’emporte, ne supportant pas qu’on la prenne pour une faible, qu’on la couve comme sa famille peut encore le faire. Thalia est un animal sauvage, indomptable. L’oisillon sur sa branche, elle y ressemble pourtant lorsqu’elle est seule, profitant de sa solitude pour rêvasser. Mais cette image s’écroule dès qu’elle ouvre la bouche. Quand elle daigne ouvrir la bouche. Dans sa bulle, la jeune solitaire ne parle pas beaucoup. Pourquoi parler pour ne rien dire ? Débiter des banalités, quel intérêt ? Tout le monde s’en fiche de toute façon, et Thalia ne fait jamais semblant. Alors oui, quand les mots sortent de sa bouche, ils peuvent dérouter ou blesser ceux qui se les reçoivent. Comme un bon crochet du droit, qu’elle sait donner aussi. Sous ses airs de fille fragile, la louve sait s’affirmer et montrer sa force, peu importe qui lui tient tête. Elle est directe et donne des coups francs, parle comme elle se bat, et se fiche de passer pour la fille au sale caractère. Rebelle, elle ne s’en voudra jamais d’avoir fait fuir filles ou garçons qui n’en valaient pas la peine, ceux qui restent figés sur les apparences. Ces gens-là ne seront jamais bons pour elle. C’est une fille qui sait ce qu’elle veut, et ce qu’elle ne veut pas, tout simplement. Quoi qu’elle fasse, il est rare que la méchanceté l’y pousse. La louve patauge un peu dans les relations humaines et sociales. Elle ne sait pas bien ce qu’est l’amitié, l’amour, le désir, qu’elle différence il y a entre tout ça. Il n’y a qu’avec sa famille que tout à l’air simple. Sa force, elle n’hésite pas à la partager, à tendre la main aux autres, à sa façon, maladroite, mais c’est une poignée ferme qu’elle tend et qu’elle ne lâchera pas tant que vous aurez besoin de vous y accrocher. ☽ ☽ ☽ Fait de la boxe et du tir-à-l’arc, et n’hésite pas à user de ses "talents cachés" pour améliorer ses performances ✣ Le sport, c’est le moment où elle se sent légère, se défoule, ne pense à rien, se sent la force de déplacer des montagnes, mais surtout, ça l’apaise et la canalise. ✣ Dans ses moments-là elle ne voit pas le temps filer ✣ Pourrait également rester des heures dans sa chambre à bouquiner, dessiner et rêvasser ✣ N’apprécie pas trop son job au café, n’y voyant comme seul avantage de pouvoir taper dans les patisseries ✣ Elle n’aime même pas le café ✣ Ce ne serait pas étonnant de la retrouver serveuse derrière le comptoir d’un pub quand elle atteindra l’âge béni des vingt-et-un ans. ✣ Son âge l’empêche bien sûr d’y travailler, pas d’y boire… ✣ Contrôle assez bien ses transformations grâce à l’expérience de sa famille. ✣ A du taper du pieds pour chasser avec eux ✣ Ses parents l’ont couvée, sûrement le syndrome de l'enfant unique. ✣ Ca lui a appris à faire ses coups en douce, développant sa ruse. ✣ A une gueule de loup tatouée dans le bas du dos. ✣ Connait peu de détails sur l’histoire de sa famille, sur ce qui a poussé celle de son père à quitter la Norvège. ✣ Leur façon de se fondre dans le décors et de ne pas se faire remarquer, insoupçonnables, lui a plusieurs fois parue louche. ✣ A compris sur le terrain quel genre de proie chaussait sa meute, comprenant du même coup ce qu’était "l’instinct". ✣  A la manie de se mordiller la lèvre tout le temps. ✣ Ses éclats de rire, quand ça la prend, son tout sauf gracieux ✣ Ne sait jamais quoi faire de ses mains quand elle ne les utilise pas pour se battre, toujours dans ses poches quand elle marche, bras croisés quand elle parle ou attend ✣ Impossible de se souvenir de la dernière fois qu’elle a pleuré. ✣ Sa langue est souvent sa meilleure défense quand elle se sent attaquée ou blessée. ✣ Serait incapable de verser une larme en public.

depuis quand habitez-vous à Glencullen ? Et pourquoi avoir choisi cette ville ? : Je n’ai pas choisi cette ville. Du moins je n'ai pas choisi d'y naitre. Tout comme mon père avant moi. Et tout comme mon père, je ne voudrai pas la quitter, sûrement que j'y finirai mes jours. J’ai grandi ici, j'y ai ma famille et mes habitudes, je ne me vois pas vivre ailleurs. Je ne me vois surtout pas laisser les miens derrière. Sans eux, je n’irai sûrement pas bien loin…  Avez-vous remarqué la présence de plusieurs créatures surnaturelles ? Croyez-vous en leur existence ? Si vous êtes vous-mêmes une de ces créatures, avez-vous conscience de la présence de chasseurs, ou vous pensez-vous plus fort qu'eux de toute manière ? : Peut-on vraiment avoir conscience de quelque chose qui n'est pas concret ? Je n'ai pas de grand drame sur comment untel s'est fait assassiner par un chasseur, de larmes à verser pour une perte tragique doublée d'un meurtre cruel pour crier à l'injustice et à la révolte, pas plus pour avoir conscience du réel danger que les chasseurs représentent. Ma famille ne s'est jamais fait démasquer, pas à Glenncullen. Je sais qu'ils sont là, mais ils sont comme des ombres dans la nuit, je m'en méfie parce qu'on m'a appris la prudence, mais je ne les vois pas.  Croyez-vous en l'existence de divinités quelconques ? Avez-vous une religion ? Si oui, laquelle ? La pratiquez-vous sur une base régulière, ou pas du tout ? : Je crois en moi. Je crois en ma meute. Je reste éloignée de toute autre forme de croyance. Du moins j’essaie. Vingt ans de mythologie grecque et nordique en cours du soir, ça finit forcément par rentrer dans la caboche. Et comment ne pas croire en Zeus, en Lycaon et en Gaïa quand on est soi-même un enfant damné de Lycaon ?

PSEUDO : Chu PRENOM : Il est irlandais, et ouais    AGE : 22 piges. COMMENTAIRE, SUGGESTION ? : Il a l'air vachement bien c'tout c'que j'peux vous dire   AVATAR : Chloë Grace Moretz GROUPE : WOLVES PERSONNAGE : scénario du petit Kiki  

L’alpha est une louve. Anja Nygård-Holm. Un petit bout de femme blond aux yeux noirs aussi profonds qu’un gouffre. Ce gouffre avait aspiré l’âme d'un grand nombre de sorciers avant qu’ils rendent leur dernier souffle, laissant la neige hivernale recouvrir leurs cadavres abandonnés dans la foret de Larvik, bourgade norvégienne. Rien ne la prédestinait à rester dans cette ville. Elle aurait dû continuer ce qu’elle avait toujours fait, ce pour quoi elle avait été élevée depuis sa naissance : tuer. Un pion dans l’éternelle guerre contre les sorciers, c’est ce que son père avait fait d’elle, c’est comme ça qu’il l’avait laissée. N’écouter que son instinct, c’est ce qu’elle faisait, ne se laissant pas le temps de voir le printemps se lever deux fois dans la même ville, vagabondant dans le pays telle une bête traquée. Mais à Larvik, des semblables étaient venus la trouver, celui qui allait devenir son mari l’avait aidé à retrouver quelques frères et soeurs que son créateur avait semé dans le pays et sans qu’elle ne le réalise vraiment, la neige de Larvik avait recouvert son pelage bien des années, sa meute s’agrandissant chaque hiver. Peut-être était-ce l’instinct qui l’avait appelée à rester. C’était bien lui qui l’avait poussé à fuir sa terre quand un matin son mari et d’autres béta étaient revenus des bois chacun portant un petit corps branlant contre leur poitrine, leurs odeurs souillées par l’aconit.


Les ongles de Thalia percent le jean du cousin qui lui fait face. D’un coup, la jeune fille a envie de plonger ses ongles jusque dans sa chair, rien que pour enlever le petit air fier de vieux loup qu’il se donne devant elle. Ses sourires ne l’aident pas. Elle n’a pas besoin de ses grandes phrases philosophiques qui sont sensées la garder concentrée, juste de calmer cette putain de douleur qui la prend aux tripes. Elle n’est encore qu’une enfant qui aurait besoin des bras de sa mère pour la maintenir, ou plutôt contre lesquels se débattre, prouver qu’elle est forte. Mais sa mère n’est pas là pour la couver cette fois, ne pouvant rien pour elle. C’est une possession, son corps qui se décompose de l’intérieur, ses os qui se cassent, se brisent puis se ressoudent dans une métamorphose qui semble infinie. Et la petite blonde hurle sous la lune. Personne, personne ne l’avait prévenue de la douleur. Pas comme ça. Un dernier regard sur l’homme qui lui fait face, celui qu’elle a déjà du mal à reconnaitre, un regard avant que la forme lupine prenne totalement le contrôle, et alors elle comprend les petites allusions que lui glissaient les garçons de sa famille, leurs yeux qui se posaient sur elle parfois comme s’ils jouaient aux devinettes : survivra, ne survivra pas ? Le voile d’inquiétude installé dans les yeux de ses parents qui ne s’est jamais levé pour leur fille unique fait sens également. Thalia en comprend l’origine, et ses dernières pensées humaines s’envolent jusqu’à sa jumelle disparue, plus que déterminée à lui survivre. La pleine lune brille dans le ciel funeste et ce sont ses oncles avant ses parents qui entourent la louve que l'opaline révèle pour la première fois, des hommes qui ont la force et le sang froid nécessaire pour la maîtriser, éviter le sang versé. La Holm avait toujours su, et ce jour, celui où elle ferait enfin partie non plus simplement de la famille mais de la meute, elle l’attendait autant qu’elle l’appréhendait. Elle connaissait les règles, leurs préceptes bien avant de les mettre en pratique, élevée dans l’importance de la famille, de faire partie d’un tout, de rester à sa place et d’agir toujours ensemble. Combien de fois sa grand-mère Anja lui a rabâché, le regard perdu dans un ailleurs inconnu, qu’elle était spéciale, que pour elle, ce serait une bénédiction, que la famille en était la clef. Et la petite fille plongeait ses grands yeux bleus dans les siens, deux petits yeux noirs qui cachent toujours des larmes. Thalia ignore encore aujourd’hui pour qui Anja se retient de les verser. Ce n’était qu’une gamine bercée par une grand-mère radoteuse l’air toujours un peu triste, presque résignée à cette tristesse, qui essayait de comprendre ce qu’était une bénédiction. Toute les histoires que sa mère lui lisait le soir parlaient d’un mot proche de celui-ci qui sonnait pourtant très différemment : la malédiction, et Thalia savait comment cette malédiction avait emporté sa soeur qu’elle n’avait pas eu le temps de connaître. Mais elle refusait déjà de laisser la faiblesse atteindre son coeur. Elle a toujours voulu être forte Thalia, comme sa grand-mère, et comme sa mère. Ce qu’elle connait de sa génitrice, elle l’a compris sans aveu, sans confidence. Elle l’a lu dans la façon qu’elle a de la serrer contre elle, comme si elle tenait le dernier bien le plus précieux qu’il lui reste. Elle l’a lu aussi dans les oeillades nostalgiques qu’elle lui lance parfois, comme si elle imaginait ce à quoi ressemblerait sa jumelle si elle se tenait auprès d’elle, comme si elle s’imaginait sa famille dans un monde où ses filles seraient encore deux. Elle voit la perte, le deuil, une forme de  solitude forcée et surtout une grande responsabilité dans la façon dont sa mère lui transmet ses origines grecques, parce qu’il n’y a plus qu’elle pour les transmettre dans la famille. Thalia a remarqué dès l’enfance l’écart entre sa famille paternelle, les ribambelles d’oncles, neveux et cousins accumulés à mesure qu’elle grandissait, et sa mère, intégrée mais fatalement seule malgré cela, privée de liens de sang autre que sa fille.


Les années ont fait de la jeune fille une solitaire, un électron libre forgé dans une carapace solide que seul sa meute parvient à canaliser. Au collège, au lycée, elle était la fille discrète mais qu’on a pas trop envie d’aller emmerder planquée au dernier rang, la petite blonde au teint pâle un peu mystérieuse parce qu’elle disparaissait parfois de son siège quelques jours dans le mois. Rebelle aussi, parce qu’elle avait l’attitude de la marginale et l’air de n’avoir peur de rien. C’est peut-être son sale caractère qui l’a préservée de tout soupçon sur elle ou sa famille très discrète au sein de la ville de Glencullen, sa franchise, sa nature pure et non truquée l’empêchant de faire semblant, préférant ne pas faire du tout. Son coeur solitaire ne vibre pas pour les amitiés ou les romances, rares sont celles qui ont durées. L'université n’a pas changé grand-chose, à l’exception des soirées étudiantes auxquelles elle doit se mêler de temps en temps, même si elle préfèrerait les passer à prolonger ses entrainements à la salle de boxe. Boire, ça elle sait faire. Plutôt très bien, sa descente ayant souvent du succès. Mais parfois ça ne suffit pas, parfois elle doit participer à des conversations, se mêler à la foule, et quand cet élan de socialisation et de chaleur humaine survient un soir de pleine lune, Thalia se sent étouffer et aurait envie de disparaitre. C’est arrivé une fois, suffisante pour qu’elle prie tous les dieux de la terre de la sortir de là, piégée dans cette soirée avant d’avoir eu le temps de cligner des yeux. Ca aurait pu être une énième ruse de sa famille pour l’évincer d’une chasse "trop dangereuse", un test un peu tordu pour tester son contrôle, mais ça ne l’était pas. Elle n’aurait pas dû être là et ses yeux cherchaient désespérément une échappatoire quand une bagarre à attiré son attention, aiguisant ses sens. Y’avait un mec, juste un gars qui cherche la merde à voir comme ça, le gars qui a bu le verre de trop, mais Thalia a compris que c’était plus que ça. Elle a beau prétendre qu’elle a agi par égoïsme, lui avoir gueulé dessus parce qu’il aurait pu se transformer et faire un massacre, la forçant à démasquer sa vraie nature au passage, ce n’est pas ça qui l’a poussée à agir malgré la peur qu’elle a ressentie en imaginant le pire. C’était la première fois qu’elle rencontrait quelqu’un comme elle en dehors de sa famille. Peu importe qu’elle ait pris un malin plaisir -non sans une certaine fierté- à le calmer à coup de crochet du gauche, tomber sur quelqu’un capable de lui tenir tête lui a plu, et elle a souhaité que ça ne se limite pas à quelques coups. Peut-être que pour la première fois elle pourrait être pleinement elle-même avec quelqu'un, et peut-être qu'il la supporterait. Elle pourrait toujours essayer l’amitié, pour voir, même si elle ne sait pas trop ce qu'est l'amitié ni quelles en sont les limites et, butée comme elle est, elle avait déjà décidé de le découvrir.


quotes (c) J.D Salinger & D. Bowie.

Wow, trop cool, t'es enfin des nôtre mon p'tit ! Alors avant de commencer le blabla un peu chiant, je vais quand même te dire ce que j'ai pensé de ta fiche : ta plume, elle me plaît beaucoup et ce personnage aussi, bordel déjà que le scénario envoyait du lourd, mais alors à bref, bienvenue chez toi, et bon jeu .

Et maintenant, parlons bien parlons peu, parlons de tout ce que tu peux faire maintenant que tu es validé. Alors déjà sache que la première chose que tu dois faire, et c'est très important, c'est de recenser ton avatar. Si tu ne le fais pas et que quelqu'un d'autre le prend, c'est toi qui devra changer. Tu peux donc faire ça ici. Ensuite, tu auras peut être envie de te trouver des potes, non ? Tu peux aller t'ouvrir un répertoire de liens, mais si jamais ce n'est pas assez, tu peux aussi te faire un scénario. N'oublie pas non plus d'aller te recenser dans les différents répertoires. Et puis si tu cherches un rp, ne cherche plus, va directement faire une demande !
Voilà, c'est tout ! N'hésite pas à venir flooder avec nous !