identity card PRÉNOM(S) : mes parents ont toujours été attachés à leurs origines, ils l'ont ancré chez moi avec mon prénom, thalia, je ne l'affectionne pas particulièrement, pour ne pas dire que je préférerai que l'on m'appelle par mon second prénom: grace PROFESSION : indépendante depuis enfant, je jongle entre mes études de droits ainsi que mon travail de serveuse dans l'un des restaurants à proximité de l'université pour passer outre les fin de mois difficiles STATUT SOCIAL : je n'ai jamais été très disposée à parler et jamais, ô grand jamais, je n'ai eu envie de plaire à un homme – ou une femme – je suis libre comme le vent, inaccessible RACE : en tant que fille de loup-garous, il était inévitable que je naisse louve, c'était écrit au fer rouge dans le ciel, il en pouvait en être autrement NATIONALITÉ : je suis irlandaise, je n'ai pas le souvenir d'avoir quitté mon pays une seule fois ORIGINES : papa grec, maman allemande et quelques souches norvégiennes font une thalia FAMILLE : aussi loin que remonte une mémoire d'homme, la famille de mes géniteurs ont toujours été des loups, nous sommes certainement l'une des familles les plus anciennes et, parfois, je m'autorise à me demander ce que serait ma vie si il n'y avait pas tout ceci, si nous étions de simples humains, loin de tout

characterization la rumeur dit que nous étions deux, deux enfants unis, ayant vécu ensemble pendant neuf mois jusqu'à ce que la vie ne nous sépare en une fraction de seconde ⊰ mes parents ont toujours eu peur, peur de perdre un nouvel enfant, que le bonheur ne soit qu'éphémère, enfermée, emprisonnée, choyée au point d'être étouffée par cet amour envahissant ⊰ mais je n'ai jamais aimé être le centre d'attention, être aimée au point d'en avoir la nausée, au fond, la solitude est la meilleure des amies, silencieuse, sans jugements ⊰ nous sommes énormément, les jefferson sont unis par les liens, idéaliste à la définition du mot famille, comptant cousins par dizaine et tantes à ne plus savoir quoi en fait ⊰ courir est une leçon de vie, une raison d'être, chez moi, j'ai perpétuellement un besoin d'évacuer cette énergie qui se creuse au milieu de mon estomac, trouvant des alternatives pour ne pas me lasser dans une routine morbide : boxe, arts-martiaux et tir à l'arc font de moi une personne à craindre, c'est tout du moins l'idée que j'aime me faire ⊰ depuis des générations, notre nom de famille fut rayé de a liste des menaces, tous dans la meute contrôlons notre transformation, de peur d'être démasqué ou de ne plus avoir cette fierté dans notre cœur ⊰ on dit de moi que je suis dans ma bulle, à l'ouest car je n'aime pas me mêler aux autres, personne ne me connait réellement, personne ne cherche à savoir qui je suis, je leur fis peut-être peur avec mes répliques cinglantes ?

depuis quand habitez-vous à Glencullen ? Et pourquoi avoir choisi cette ville ? : je n'ai jamais quitté cette ville, elle est ma vie, personne n'a cherché à m'emmener loin de ma famille, si ce n'est les quelques sorties scolaires dans la capitale irlandais que j'ai adoré, elles m'ont donné une envie d'évasion, de liberté, loin de cet routine morbide... mais il en  été autrement car je suis une jefferson Avez-vous remarqué la présence de plusieurs créatures surnaturelles ? Croyez-vous en leur existence ? Si vous êtes vous-mêmes une de ces créatures, avez-vous conscience de la présence de chasseurs, ou vous pensez-vous plus fort qu'eux de toute manière ? : parfois, je réfléchis à ce que ma vie serait si tous était au courant de ma véritable nature, peut-être que certains hommes me prendraient pour une folle, me riant au nez en hurlant que les loups-garous n'existent pas avant de partir après m'avoir livré à la police pour motif de folie... je pense que, si je ne faisais pas partie de ce cycle, je n'aurai cru personne déblatérant sur les sorciers, les loups-garous et les chasseurs qui les traquaient corps et âmes mais je sais une chose : je suis une force de la nature mais rien ne m'empêche d'avoir peur d'eux, rien Croyez-vous en l'existence de divinités quelconques ? Avez-vous une religion ? Si oui, laquelle ? La pratiquez-vous sur une base régulière, ou pas du tout ? : je ne crois qu'en moi, je suis certainement la seule personne fiable à mes yeux, la seule qui puisse me défendre du monde extérieur. jamais il ne me serait venue à l'esprit de croire à une personne vivant là-haut ou six pieds sous terre, je ne crois que ce que je vois, c'est un fait

   PSEUDO : lesjoliesfleurs PRÉNOM : héloïse ÂGE : vingt ans, bientôt vingt-et-un COMMENTAIRE, SUGGESTION ? : aucune, vous êtes parfaits  AVATAR : chloë grace moretz, la belleGROUPE : WOLVESPERSONNAGE : scénario de liraco (killian mayers)
   

« On se remue Jefferson, cette course ne se fera pas à cette vitesse. » Son accent français me donnait envie de l'assassiner à chaque parole, à chaque syllabe mais, jusqu'à présent, j'avais utilisé toute cette rage accumulés pour courir, courir toujours plus loin, toujours plus vite, toujours dans le même but. Mes jambes étaient à peine capable de tenir mon frêle corps alors que mes poumons étaient en feu. Courir autant de temps et aussi rapidement en ayant uniquement deux jambes étaient impossibles, surhumains. Bien que la majorité de mes facultés étaient multipliées et sur-développées, je restais tout de même une humaine moyenne – bien que meilleure lorsque je me comparais au stéréotype américain. Je finis par mettre fin à cette entrainement d’un signe de la main avant de m’écrouler sur mes genoux déjà écorchés par les anciens et, de loin, je pouvais entendre le rire moqueur de mon coach qui revint vers moi d’une vitesse affolante et d’une délicatesse à en rendre jaloux un papillon. Cependant, il ne fit aucun commentaire, il attendit, face à moi, sans dire un mot, alors que je reprenais mon souffle, les larmes aux yeux, l’estomac retourné et la gorge brulée par ses efforts. Quelques minutes s’écroulèrent avant que je ne lève les yeux vers lui, le front suant à grosse goûte et mes cheveux d’or humides. « Je vais finir par croire que vous n’aimez que me torturer. » Une nouvelle fois, il garda le silence et me tendit la main à saisir, que je pris pour me relever avec difficulté. « Ceci n’est pas de la torture, il est simplement bon de connaitre ses propres limites… pour les dépasser au moment venu. Rentrons. »

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La pleine lune se révéla après avoir été cachée un long moment derrière les nuages denses de cette nuit d’hiver. Je sentais la pluie me transperçait la peau, bien que ma fourrure se soit épaissie avec le froid. Je me secouai, comme un chien pourrait me faire lorsqu’il reste trop longtemps dehors avant de reprendre ma route, les pattes dans la boue et les oreilles tombantes, le nez sensible à la la moindre odeur différente ou dangereuse. Les chasseurs aimaient roder, en hiver, car beaucoup d’entre nous faiblissez avec l’arrivée de la neige, le froid et ses autres inconvénients mais j’avais été programmée de telle façon à être constamment sur mes gardes. J’accélérai le pas pour ensuite me mettre au courir, slalomant entre les arbres sans un bruit, le pas léger, ne laissant derrière moi que des projections de boue qui seraient certainement une piste à suivre si j’avais été une chasseuse mais je n’en étais pas une, le destin en avait décidé autrement. Ma course folle s’arrêta près du lac où j’avais l’habitude de m’arrêter chaque nuit où je me sentais assez audacieuse pour sortir ma fourrure et mes crocs pour regarder quelques instants la forêt se refléter sur l’eau, me risquant à jeter un œil sur mes poils blancs écumes de mes yeux bleus océans, loin des jugements et des autres loups. Un hurlement me sortit de ma rêverie, il était proche, à un kilomètre de ma position, pas plus, je pouvais reconnaitre un mâle à son odeur, ce qui me fit faire volte-face, les crocs sortis face à cet intrus qui s’était risqué sur le territoire de ma meute. Il avait la fourrure brune et les extrémités blanches ainsi qu’une balafre sur le museau et quelques cicatrices marquées par l’absence de poil sur le corps et les pattes, jamais je n’ai oublié cette nuit, jamais mon corps ne s’est remis cet affrontement.

Je détestais les fêtes et, encore aujourd’hui, je ne sais pas ce qui m’avait poussé à accepter, à faire exception à faire exception à mes habitudes mortelles et ennuyeuses, certainement mes parents qui pensaient que voir des humains me seraient bénéfiques – bien qu’eux-mêmes n’en fréquentaient pas réellement. J’avais revêtu l’une des plus belles robes que j’avais, elle était noire avec quelques détails en dentelles. Maman m’avait dit, avant que je ne parte, que j’étais jolie, avec autre chose qu’un jean et un t-shirt. Il y avait une tonne de personne, je ne connaissais personne, si ce n’est que quelques visages familiers que j’avais pu enregistrer en vingt ans à Glenncullen mais je n’avais jamais parlé à quiconque. Un verre de soda dans les mains, j’étais appuyée contre le mur, observant chacun d’eux, déjà saoule. Je soupirai devant tous ces jeunes qui s’amusaient alors que j’étais recroquevillée sur moi-même, solitaire. « Je vais te défoncer, sale con ! » Une fête n’en serait pas une sans la bagarre qui pouvait être déclenché par deux mecs, trop bourré pour se rendre compte de l’absurdité de la chose. Curieuse, je m’approchais un peu de ses deux garçons, poussant un peu les plus grands. Ils étaient encore au stade où ils s’insultaient, sans pour autant s’assommer à coup de poings. Autour d’eux, quelques personnes s’étaient rassemblées et la tension montée, on pouvait entendre quelques filles jubiler en les regardant en venir aux mains. Puis, mon ouïe sépara chaque note, chaque syllabe, je n’entendais plus que la respiration saccadée de l’un des garçons, il ne semblait pas être humains… je pouvais sentir toute son agressivité et sa rage. Nous, les loups, avions pour habitudes de savoir nous différencier des autres, nous pouvions nous sentir à des dizaines de kilomètres à la ronde mais, idiote que je suis, je n’avais que sentie l’autre loup qu’avec cette agitation. Prendre le risque que les autres le voient se transformer par cette nuit de pleine lune. Rapidement, j’attrapai le garçon par le bras pour le reculer de l’autre qu’il avait déjà amoché, pour le plaquer contre le mur derrière nous. Un simple regard suffisait pour communiquer, la fuite n’était pas dans mes habitudes, ni dans les siennes, visiblement.

Wow, trop cool, t'es enfin des nôtre mon p'tit ! Alors avant de commencer le blabla un peu chiant, je vais quand même te dire ce que j'ai pensé de ta fiche : ta fiche est parfaite, et si elle convient à Killian c'est encore plus parfait. J'aime beaucoup Thalia et j'ai hâte de la voir évoluer sur le forum.

Et maintenant, parlons bien parlons peu, parlons de tout ce que tu peux faire maintenant que tu es validé. Alors déjà sache que la première chose que tu dois faire, et c'est très important, c'est de recenser ton avatar. Si tu ne le fais pas et que quelqu'un d'autre le prend, c'est toi qui devra changer. Tu peux donc faire ça ici. Ensuite, tu auras peut être envie de te trouver des potes, non ? Tu peux aller t'ouvrir un répertoire de liens, mais si jamais ce n'est pas assez, tu peux aussi te faire un scénario. N'oublie pas non plus d'aller te recenser dans les différents répertoires. Et puis si tu cherches un rp, ne cherche plus, va directement faire une demande !
Voilà, c'est tout ! N'hésite pas à venir flooder avec nous !