identity card PRÉNOMS : Mason, un prénom ancien qui n'a pas toujours été du goût de tout le monde mais il en est fier. Il le tient de son arrière-grand-père maternel irlandais. Il se sent proche et partie intégrante de sa famille ainsi. Cooper est son deuxième prénom qu'il tait, car il renie toute affiliation avec son sang issu de la branche paternelle. Des êtres vraiment peu recommandables. Vraiment. Enfin, Edmund est son troisième prénom. Oui, il n'a pas été vraiment gâté, à croire qu'il fallait absolument attirer l'attention de la Déesse pour qu'elle sauve son cas d'état civil désespéré et désespérant. AGE : vingt-huit ans, il est né un premier mai à Geelong, en Australie dans l'État du Victoria. PROFESSION : auparavant ethnologue à l'Université de Georgetown, il est en voyage d'étude et a décidé de consacrer une thèse sur l'Histoire de la culture irlandaise et la criminologie. Il lui arrive de collaborer avec la Garda, rarement mais c'est assez pratique pour éplucher les dossiers des suspects classés sans suite pour la Pleine Lune. Il flâne dans le monde entier grâce à son travail. STATUT SOCIAL : célibataire, malgré son air enjôleur et ses impressions de fin charmeur chevaleresque sans cheval blanc, il est célibataire et sa vraie priorité est son travail. RACE : sorcier, sauvé par la Déesse. Cependant, même si elle l'a sauvé, qu'elle lui a réellement donné la vie, il ne la considère pas comme sa mère. Ce rejet a eu pour conséquence de nombreux sacrifices, jusqu'à ce qu'il embrase pleinement sa nature brûlante et devienne le sorcier que la Déesse exigeait de voir. NATIONALITÉ : bien qu'il se dise irlandais de coeur, il possède deux passeports. Un australien et un américain.  ORIGINES : du sang irlandais et aborigène coule dans ses veines par sa mère, il est mêlé à la chaleur aride de l'Afrique du Sud, par son géniteur, qu'il n'a jamais connu. C'est ce que l'on appelle avoir une mémoire sélective. FAMILLE : La famille Aherne est irlandaise, depuis des générations. Cependant, lors de la Grande Famine qui entraîna la Diaspora irlandaise, la famille particulièrement unie s'est retrouvée éclatée dans les quatre coins du monde. Très peu sont restés en Irlande. Mason fait partie de la branche australienne des Aherne. Les temps de prospérité qui ont suivi la Grande Famine ont permis à la famille de conserver un lien fort, même à distance. La branche australienne de la famille a une particularité bien à elle. Tous les nouveaux-nés, peu importe leur sexe, sont soumis au baptême du feu. Il s'agit d'une tradition aborigène dont la famille a hérité quelques générations auparavant. Un trou est creusé au sol, de l'herbe est embrasée et le nouveau-né y est plongé. S'il ne pleure pas, cela signifie que l'enfant est un sorcier du feu. S'il pleure, c'est que le feu n'est pas son élément. Ou pire encore, qu'il n'est pas sorcier. Si au début, la plupart des Aherne étaient des sorciers, la tendance s'est inversée désormais. Ce fait est logique, du fait de l'avancée médicale et des traitements efficaces contre les malformations cardiaques.

characterization surdoué hyperactif ⇝ altruiste ⇝  instable ⇝ chevaleresque ⇝ possède un sens de l'humour bien à lui ⇝ cinglant ⇝  inaccessible ⇝ violent ⇝  un peu trop formaliste ⇝ intrépide ⇝ parfois réfléchi ⇝ possessif ⇝ sait être immature dans les pires moments ⇝ fin observateur et possède une excellente capacité d'analyse et de concentration. ⇝ il est polyglotte et parle couramment huit langues (français, russe, italien, espagnol, gaélique irlandais et écossais, indien, roumain). Il baragouine quelques dialectes aussi. ⇝ sa connexion à l'élément feu s'est fait en deux temps. Lorsqu'il n'était qu'un nourrisson, l'amour de sa mère était tel qu'il a interféré dans le lien entre la Déesse et Mason. ⇝ Cette gêne a été sévèrement punie puisqu'elle a fini par prendre la vie de sa mère dans d'affreuses souffrances. ⇝ le deuxième temps de la connexion s'est fait à la mort de sa mère lors d'un grave accident de voiture. Ce n'est qu'à partir de ce moment-là qu'il a embrasé sa nature et qu'il a pu apprendre à maîtriser d'autres éléments. Jusque là, le feu était son élément exclusif. ⇝ l'accident n'a pas marqué uniquement son esprit mais également son corps. Il conserve des cicatrices béantes au niveau du dos, des bras, de la partie inférieure de son torse et des jambes. Il déteste les montrer et porte toujours des manches longues ou alors, il ne quitte jamais sa veste ou manteau. ⇝ bien que le feu soit son élément, il possède une cicatrice de brûlure qui prend la forme de quatre bandes en dessous de son pectoral gauche. Son baptême du feu ne s'est pas très bien passé lorsqu'il était nouveau-né, il s'agit en réalité du signe aborigène pour le feu. ⇝ en bon natif australien, il aime les barbecues et boire de la bière et du whisky. A moins que ce soit son sang irlandais qui ne ressorte. ⇝ il a pris le nom de famille de sa mère, reniant ainsi tout le côté de son père. Il était chercheur d'or et préférait participer à l'économie du tabac et de l'alcool. Il a quitté le domicile lorsque Mason avait trois ans, après qu'une violente dispute éclate et que ce dernier renverse le petit garçon sans faire exprès, lui laissant une marque de la tempe à la pommette droite. ⇝ il fume, de temps à autre et généralement en période de stress. Lorsqu'il est seul, il n'utilise jamais de briquet. ⇝ Mason a longtemps voulu être un pompier ou un secouriste pour se sentir utile dans la société mais ce sont les bancs de l'université qui l'ont séduit au final. C'est un ethnologue reconnu, apprécié et redouté à cause de son caractère parfois un peu trop changeant, ses piques verbales ainsi que son côté inaccessible qui fait qu'on ne sait jamais sur quel pied danser avec ce bougre.  ⇝ il possède un accent australien et américain, ce qui le fait passer naturellement pour un étranger en Irlande. Ce statut ne le dérange pas, au contraire. ⇝ Mason aime voyager et grâce à son travail, il a été amené visiter de nombreux pays et à relativiser sur le monde qui l'entoure, aussi bien celui des humains que le sien. ⇝ il est ceinture noire quatrième dan de taekwondo. Bien qu'il déteste les armes de façon générale, il sait viser juste. ⇝ c'est un fan de rugby et de hurling, le sport irlandais par excellence. Il aime s'y adonner le dimanche ou aller voir des matches à Croke Park. ⇝ c'est un grand et bon vivant, mesurant près de deux mètres (1,98), qui engloutit tous les styles de nourriture possibles et imaginables. ⇝ il ne se sépare jamais de sa chevalière, représentant les armoiries de sa famille ainsi que de sa chaîne au tour de son cou qui a pour pendentif la cascade d'Awen.

depuis quand habitez-vous à Glencullen ? Et pourquoi avoir choisi cette ville ? :
Glencullen n'est une ville que j'ai choisi au hasard en faisant tourner le globe miniature de mon bureau à l'aveugle. Non, ce village a été celui de mon enfance, de mes étés. J'ai toujours été très proche de ma famille irlandaise, et en particulier de ma tante. Il y a les choix et il y a le destin. Cela faisait plusieurs années que je n'avais pas remis les pieds dans cette charmante bourgade irlandaise. Ma tante s'en est allée. Elle m'a mis sur son testament pour m'occuper de ses dernières affaires alors j'en ai profité pour rejoindre le professionnel au personnel -malheureusement. J'ai décidé de partir en voyage d'étude de l'Histoire de la culture irlandaise et de la criminologie sur les lieux, ce qui me permet de conserver un certain lien avec la Garda et de pouvoir écumer certains dossiers non-résolus pour trouver des criminels à supprimer de ce monde lors de la Pleine Lune. Cela fait presque un mois que je suis ici et je ne vois pas le temps passer.
Avez-vous remarqué la présence de plusieurs créatures surnaturelles ? Croyez-vous en leur existence ? Si vous êtes vous-mêmes une de ces créatures, avez-vous conscience de la présence de chasseurs, ou vous pensez-vous plus fort qu'eux de toute manière ? :
Il n'est pas compliqué de rencontrer le surnaturel. Au contraire, c'est lorsqu'on veut lui échapper que tout devient un enfer. Si l'apparence des auras des créatures m'est apparue très tôt, leur signification approfondie, elle, n'a été possible que plus tard. Ce n'est pas parce que l'aura d'un sorcier est blanche que son âme, elle, n'est pas noircie. J'ai appris à discerner les auras des loups, ces bêtes étranges et comment leur aura traduisait leur rang dans leur meute. Mais je ne les déteste pas, au contraire, ils m'intriguent à cause de ma curiosité maladive de les étudier. A défaut de les approcher, j'ai trouvé des bouquins et j'ai lu, énormément, pour les comprendre et les connaître. Je ne les considère pas comme des ennemis, je refuse de les mettre dans un même sac, contrairement aux chasseurs. Ils sont effrayants, mauvais. Ils se disent protecteurs mais ils ne sont bons qu'à détruire des vies pour un but qu'ils disent noble. Foutaises, conneries, mensonges et balivernes. Ils ne supportent tout simplement pas de rester sans utiliser leurs jouets quelques instants. Je déteste les armes, blanches ou non mais ce que je déteste le plus, ce sont les gens qui les utilisent. La violence gratuite à cause d'une condition qui leur échappe me débecte. Ce sont des amoureux du cuir. L'Histoire en a connu d'autres. Leur chef était petit et moustachu. Alors, je ne fais pas de vague, je ne montre rien et passe pour le plus banal des êtres humains.
Croyez-vous en l'existence de divinités quelconques ? Avez-vous une religion ? Si oui, laquelle ? La pratiquez-vous sur une base régulière, ou pas du tout ? :
La Lune et la Mort. Ce n'est pas qu'une simple histoire, une simple légende. Je crois en ces divinités car j'ai vécu les ravages du sang pour l'avoir versé. A chaque pleine Lune, je lui donne la vie d'un criminel. J'enquête, je collecte des preuves de façon totalement interdite et une fois que sa culpabilité est établie, j'attends patiemment que l'instant vienne. Et je lui ôte la vie, je débarrasse le monde d'une vermine. Par chance, il existe beaucoup de vermines, assez pour chaque pleine Lune mais je redoute le temps où les gens deviendront raisonnables et cesseront tout crime. Bien sûr, je ne lui donne pas la vie de petits malfrats, non. Je cherche ceux qui ont ôté des vies, sans regrets, sans remords. Cela rend la tâche plus convaincante, plus juste. Tuer me débecte mais ainsi va la vie. Ou la mort plutôt. Je crois aussi en un équilibre des éléments, des forces de la nature. Les autres religions m'intéressent parce qu'elles font partie de mes objets d'étude, mais ce n'est pas pour autant que je les pratique. Je cherche à comprendre le monde qui m'entoure, pour mieux m'y intégrer et échapper à tout soupçon.
PSEUDO : pucàn dubh. PRENOM : Ian. AGE : vingt-et-un ans. COMMENTAIRE, SUGGESTION ? :   sinon merci pour votre accueil, ça fait super plaisir    AVATAR : scott eastwood. GROUPE : sorcerers. PERSONNAGE : inventé.

Mason est de retour à Glencullen. Tous les souvenirs de son enfance et de son adolescence ressurgissent, ce qui est quelque peu déstabilisant. Mais, pour le moment, il n'a pas le temps de s'y attarder, bien trop occupé à finaliser les obsèques de sa tante, retournée à notre Père.

Tout est clair, limpide et pur. Il n'y a plus de douleur ni de peine. Juste une sorte de transe trouvée dans la béatitude d'un corps abîmé. Je n'entends rien, mes oreilles refusent tout son alors que mes yeux eux, sont hypnotisés, dépendant de cette quiétude acquise. Pourtant, mon corps est meurtri mais je n'en ai plus la sensation. Le feu, cette caresse, cette énergie fascinante. J'en étais tombé amoureux, bien loin de ces pleines lunes maudites. Soudainement, le blanc devient pourpre mais jamais noir. Parce que je sais que ce que j'ai fait est juste. C'est nécessaire. Et cela fait partie de moi. J'ouvre les yeux et contemple le pentacle. L'odeur du sang enivre mes sens. J'aime cette odeur. Elle est bien plus agréable que celle de la chair brûlée. L'énergie du sacrifice est renversante. Parce qu'elle me dégoûte, parce qu'elle me plait. Je ne suis pas un monstre. Ceux que je tuais, eux, ne méritaient qu'une seule chose, retrouver la Mort et subir les conséquences de leurs actes néfastes. Des criminels, des meurtriers, violeurs et autres joyeuseries. Des êtres abjectes. Mais parfois, j'avais peur de me tromper, peur de m'égarer et de devenir comme eux. Des monstres sanguinaires. Mes paupières s'ouvrent, le corps devient cendre et retourne à la terre. La vie continue.

Face au rebord de la cheminée, mes doigts effleurent un portrait de famille. La mienne. Les jours heureux n'étaient jamais bien loin mais je doutais de leur retour véritable. Elle me manquait et je sentais le manque de sa présence. L'absence de son aura coruscante était probablement le plus flagrant. Elle n'était pas simplement blanche, elle était pure, grande, légère. Et elle inspirait les gens à faire de bonnes choses. Elle m'avait inspiré. Elle avait été mon mentor et elle me manquait, parce qu'un lien spécial nous unissait. Je l'adorais mais je savais qu'elle demeurait heureuse au côté de notre Père. Elle, qui avait accompli de grande chose, continuait à m'influencer. Certains de ses objets étaient imprégnés de sa force, de son énergie. C'était comme si elle n'avait pas complètement quitté les lieux. Ces derniers étaient habités par son souvenir et sa bienveillance, je pouvais les ressentir. Finalement, je replace la photographie à son endroit exact avant de m'asseoir sur un des fauteuils du salon, allumant un feu de cheminée d'un simple revers de main. Je finis par allumer un cigarillo, ouvrant l'Irish Independent. Tous ces meurtres commis étaient de mauvaise augure. Je repensais aux paroles de ma tante, et j'étais inquiet mais aussi et surtout intrigué. J'avais besoin d'en savoir plus. Ce n'était pas ma priorité mais cette curiosité devenait presque maladive.

Depuis le départ du père de Mason, la mère de ce dernier a décidé de partir de l'Australie pour s'installer à La Nouvelle-Orléans. Ils mènent une existence paisible, presque prospère sans excès. Alors qu'elle pensait que la page australienne était tournée, la Déesse, elle, ne l'a pas oubliée. Sa fureur n'a cessé de s'accumuler au fil des années.

« M'man, ça te manque pas l'Australie ? » Elle hausse les épaules avant d'arborer un large sourire. Les bourrasques de vent les surprennent, alors qu'ils se pensent en sécurité dans leur immeuble. L'adolescent, encore chétif, s'installe nonchalamment contre le comptoir et observe le gombo aux crevettes cuire et inonder la pièce de sa délicieuse odeur. Il déglutit, impatient de goûter au plat qu'il a confectionné. Il a tout prévu ce soir. Mason veut lui parler de son avenir et de ses projets. Depuis que sa mère est au courant pour ses sacrifices, quelque chose à changer dans son regard. Elle pense avoir élevé un monstre, il le sent et il le sait. Alors ce soir, il a décidé de la convaincre qu'il était encore son fils à elle, quelqu'un de bien, un humain et un adolescent comme tous les autres. Les bourrasques de vent deviennent ininterrompues, violentes, abîmant une des vitres de la cuisine. Ils sursautent alors que Mason attrape plusieurs dépliants d'université. Sa mère arque un sourcil, ses traits se ferment. « Quoi ? Tu pensais que j'allais à Poudlard ? Ils avaient plus de brochure, ça a un succès fou.. » L'adolescent se mit à ricaner bêtement, forçant ainsi sa mère à se détendre et à l'écouter. Le jeune sorcier laissant sa mère prendre connaissance des diverses universités, le temps qu'il pose la table et commence à servir. « Brown, Harvard, Georgetown et UCLA ? Je suis vraiment fière de toi tu sais Mase, tu le mérites. » Elle lui offrit un sourire chaleureux, caressant sa joue tendrement. Mason est touché et rougit. Tous deux commencent leur repas, la lumière de la Lune transperce les rideaux. Elle se fait pressante, oppressante. Un instant, le vent et la pluie se calment. Et puis, les éléments se déchaînent.

La pluie, battante, inonde les rues de la Nouvelle-Orléans alors que le vent lui, sème la destruction avec les objets qu'il ramasse.  L'ordre est donné d'évacuer la ville, mais il est tardif. Bien trop tardif. Ils se précipitent alors dans la rue légèrement inondée. Le sorcier démarre le véhicule, un Land Rover, alors que sa mère, finit de charger la voiture avec les quelques souvenirs facilement transportables. Et puis, ils fuient. Ils roulent le plus vite et le plus loin possible de cet Ouragan. Mais l'Ouragan, lui, ne peut pas être fui. Il est là et détruit tout sur son passage. Lorsque la pluie permet une meilleure visibilité, le vent, lui, se charge de rendre la fuite impossible. Mason ne quitte pas la route des yeux, tente d'éviter les obstacles. Et puis l'inévitable arrive et la voiture percute de plein fouet un bout de toit en taule, brisant le pare-choc. Le véhicule tourne, part en tonneaux pour au final s'écraser brutalement contre un arbre. Une odeur d'essence perturbe les sens de Mason, le poussant au réveil. Il tousse et éprouve une grand douleur. Il veut tourner la tête mais il ne peut pas pas. Quelque chose l'empêche, au delà de son corps endolori, c'est la peur qui le retient. Il n'y arrive pas mais il doit le faire. Alors, il détache sa ceinture et celle de sa mère. Ignorant la peine, il tire son corps inanimé hors du véhicule et se précipite à nouveau dans l'habitacle pour sauver un souvenir, ou deux. Mais l'essence se déverse sur le sol et s'embrase. Mason se retrouve  confronté à son élément et ne fait plus qu'un avec lui. Il ne ressent pas la douleur du feu, contrairement à celle de ses os brisés et de ses plaies ouvertes. Le feu est comme une caresse salvatrice dans ce chaos environnant. Ses iris bleutées se pose sur ses mains, et puis il s'égare quelques secondes avant de se retrouver essoufflé, avec un plein d'énergie inédit. Mason parvient à sauver les quelques souvenirs  pas encore totalement calcinés avant de marcher vers sa mère. Il s'effondre et, pressentant l'explosion, il la protège. Mais il est trop tard. Son esprit est déjà parti, seule son enveloppe corporelle est là. Vide de toute vie. La connexion est totale. La Lune a récupéré son fils, sans aucune crainte de voir quelqu'un interférer entre elle et ce dernier.  

La branche australienne de la famille Aherne n'est plus uniquement de sang irlandais. L'amour a parlé, mêlant diverses origines et différentes cultures, ce qui a rendu cette branche unique -alors que certains y verraient un abomination, heureusement, ils ne sont plus de ce monde. Les rites irlandais ont mouvé, s'adaptant à certaines traditions aborigène. Elle fait partie de l'héritage familial désormais, sorcier ou non. Tous les nouveaux-nés y sont présentés.

Une jeune femme creuse un trou, alors qu'une autre allume un grand feu d'une maîtrise incroyable. Elles sont sœurs et se comprennent, s'acceptent même si leur sang est différent. Elle a fait le voyage depuis la Terre des montagnes de pluie et de soleil. L'Irlande est son pays mais son sang, lui, ne connait pas de frontière. Elle vient pour aider à ce rituel qui lui échappait, craintive à l'idée que son neveu, Mason, ne connecte pas et soit blessé. Alors sa mère le protège, tente de trouver la bonne technique pour éviter que le feu ne brûle la peau de l'enfant. Mais telle est la tradition. Telle est l'obligation. La meute d'herbe s'enflamme. La soeur sorcière mêle une étrange fleur violette à l'herbe avant de les jeter sur la fumée blanche. La mère de l'enfant pose délicatement ce dernier en retenant ses larmes. Son coeur est serré, des larmes finissent par perler sur ses joues, tombant sur Mason. Quelque chose ne va pas. L'amour de la mère interfère avec le lien de la Déesse et protège l'enfant de sa véritable nature de sorcier. Le novueau-né pleure, ressentant les affres du feu. La fleur violette brûle contre la peau du nourrisson, laissant la marque de ses branches sur son corps. Quatre bandes horizontales, sous son pectoral gauche. Symbole aborigène du feu. Pourtant, Mason pleure encore et ressent la douleur, la chaleur du feu. Dès que le rite est terminé, sa tante essaie de le retirer de l'herbe devenant brasier mais elle est rejetée. Alors, sans hésiter, la mère de l'enfant plonge ses mains, malgré la chaleur, malgré la douleur et retire ce dernier, mettant fin à son baptême du feu. Les mains de la mère sont brûlées, blessées. L'enfant, lui, n'a rien, si ce ne sont ces quatre brûlures sur son torse. Les pleurs s'en vont, la douleur n'est plus mais les marques, elles, résistent. La connexion est partielle. Les deux jeunes femmes retournent à leur voiture, intriguées par ce qui vient de se passer. La tante de Mason, elle, est inquiète. Car nul ne saurait interférer entre la Lune et son enfant. Et elle connait sa Mère. Assez pour savoir que cet acte aura sa conséquence. Elle déglutit et offre un sourire rassurant à sa sœur humaine, espérant se convaincre elle-même que tout allait bien se passer.

Wow, trop cool, t'es enfin des nôtre mon p'tit ! Alors avant de commencer le blabla un peu chiant, je vais quand même te dire ce que j'ai pensé de ta fiche : j'adoore ce que t'as fait de mason, notre mère est vraiment pas possible .

Et maintenant, parlons bien parlons peu, parlons de tout ce que tu peux faire maintenant que tu es validé. Alors déjà sache que la première chose que tu dois faire, et c'est très important, c'est de recenser ton avatar. Si tu ne le fais pas et que quelqu'un d'autre le prend, c'est toi qui devra changer. Tu peux donc faire ça ici. Ensuite, tu auras peut être envie de te trouver des potes, non ? Tu peux aller t'ouvrir un répertoire de liens, mais si jamais ce n'est pas assez, tu peux aussi te faire un scénario. N'oublie pas non plus d'aller te recenser dans les différents répertoires. Et puis si tu cherches un rp, ne cherche plus, va directement faire une demande !
Voilà, c'est tout ! N'hésite pas à venir flooder avec nous !