identity card PRÉNOM(S) : Caleb, le nom d'un père, d'un frère, d'un fils indigne, d'une bête. Autant de visage que de secret en seulement deux syllabes. AGE : 27 ans, Du jeune enfant parfait par l’adolescent destructeur jusqu’à l'adulte protecteur. PROFESSION : Homme à tout faire, le boulot qu'il te fallait. Iseult te laisse gérer ton horaire comme tu veux pour t'occuper de Lysander. STATUT SOCIAL : Célibataire , un humain de 4 ans, une louve de 15 ans et ton instinct bestiale sont déjà suffisamment durs à gérer. Une femme ne ferait que rompre l'équilibre fragile de ta vie. RACE : Loup, cette morsure a bien failli te faire perdre Lys, tu retrouveras ce fumier pour le tuer. Désormais, tu vis avec la meute les nuits de pleines lunesNATIONALITÉ : Islandais jusqu'au bout des ongles, Glencullen est ta ville natal. ORIGINES : L'Islande, encore et toujours depuis ta naissance de la poussière, jusqu'à ton retour à la poussière. FAMILLE : Les Westfall, famille fait de papier glace, des parents aux espérances démesuré, un fils incapable de correspondre au moule de la famille parfaite avec le gros chien et tout le tralala.

characterization 1. Dans cette maison pleine de gens de tout âge et de toute race, tu as dû poser quelque règles étant l'adulte. Tu as donc déclaré "Faites ce que voulez, tant que vous ne m'emmerdez pas ou que vous ne risquez pas de mourir" Cette phrase pose les bases de l'éducation que tu  inculque et des règles de la maison. Chacun se respecte tout en vivants sa propre vie, c'est à ça que tu pensais en lâchant cette phrase, espérons que les deux petites louves aillent bien compris ton message subtil. 2. Lysander, Iris, Lula, ces trois là forme ta famille, peu traditionnel certes, mais une famille dont tu es le chef, le meneur, le plus fort. Au vu de ta position, tu te dois de protéger les membres de cette familles si unique, de les préserver du danger et tu t'acquittes de cette mission avec joie. En échange, ils te respectent et t'obéissent comme le ferait une meute pour son alpha. Vous n'avez pas besoin du contrôle pour que cette meute fonctionne, vous utilisez la confiance, un pouvoir bien plus grand que n'importe quelle capacité d'alpha. 3. Le risotto, pas chère et facile à faire en grande quantité. Toutes les semaines tu trouves un jour pour placer ce plat que ton plat préféré, le déclinant à toutes les sauces, parfois peu conventionnel, mais la plupart du temps délicieux. 4. On te reproche souvent d'être bourru, agressif et peu adroit de tes mots. La vérité c'est que tu te fous complètement de l'image renvoyée aux gens, tu as vécu asses longtemps dans une famille aux membres fabriquer de toute pièces que pour ne plus avoir à mentir durant une bonne dizaine de vie. Un jour, tu as pris la décision de dire la vérité cash, sans l'embellir de fioriture adoucissant l'amertume et donc la vérité. Les vérités sur lequel nous pensons devoir mentir sont toujours les vérités amers, celle qui font mal, celle qui peuvent déchirer le coeur, l'écraser au sol avant de t'achever d'un coup de "Je ne voulais pas te blesser, désolé". 5. Grâce à Lula, tu as redécouvert la joie du temps libres, de ces heures que tu peux passer sans rien faire... Non, mais qu'est ce qu'on peut se faire chier sérieusement. Quand tu as la moindre seconde, tu prends un bouquin, non, pas un roman, une réel perte de temps ceux là, toi tu prends un livre scientifique, religieux ou tout autre bouquin touchant de près ou de loin à ton environnement. Ton corps réclame toujours de nouveau savoirs, tu as toujours été un touche à tout, curieux, intéresser par le monde qui l'entoure. Depuis trois ans, tu lis encore et toujours sur le même sujet, le surnaturels. Les explications que la meutes te donnent ne te suffise pas, il t'en faut plus pour comprendre cet univers invisible pour les simples humains et pourtant présents tout autour d'eux. 6. Ton fils étant cardiaque, tu prend le plus grand soin de ne jamais le laisser sans surveillance.

depuis quand habitez-vous à Glencullen ? Et pourquoi avoir choisi cette ville ? :Tu as toujours vécu ici, aucune raison de partir et toutes les raisons de rester. Un boulot pratique, Lula qui vit chez toi, Lysander mérite de voir sa mère, ta petite soeur et la meute. Autant de chaînes que tu gardes volontiers. Puis, où aller si ce n'ai dans ce petit appartement plein de vie que tu affectionnes sans jamais le montré. Où aller les nuits de pleines lunes à part dans cette grande meute t'aillant tant appris sur ta nouvelle nature? Avez-vous remarqué la présence de plusieurs créatures surnaturelles ? Croyez-vous en leur existence ? Si vous êtes vous-mêmes une de ces créatures, avez-vous conscience de la présence de chasseurs, ou vous pensez-vous plus fort qu'eux de toute manière ? : Depuis 3 ans tu ne fais qu'en rencontré de plus en plus, de voir ton monde s'effondrer sous les créatures de la nuit.Cette femme pour qui tu travailles, une sorcières, la petite Lula vivant chez toi, une louve. Tant de gens fond partis du monde obscure autour de toi sans que tu ne l'aies jamais remarqué. Comment les humains peuvent-ils être aussi aveugle ? Croyez-vous en l'existence de divinités quelconques ? Avez-vous une religion ? Si oui, laquelle ? La pratiquez-vous sur une base régulière, ou pas du tout ? : Pour toi, les religions ne sont que des façades creuses, des mensonges permettant au plus "sain" de se racheter une conscience pour pas grand chose. Tous ces menteurs devraient brûler dans les flammes de leur propre enfer. Tu ne crois qu'en une chose, la destruction et la propension dans laquelle l'homme l'exerce d'une manière si précise.
PSEUDO : spfPRENOM : J'ai oublié    AGE : 18 ans COMMENTAIRE, SUGGESTION ? : Arrêtez, vous faites du trop bon boulot avec ce forum   AVATAR : Kit Harington GROUPE : LOUW-GAROUW PERSONNAGE : inventé

Tu attends, devant cette porte massive, papa et maman t'ont toujours interdit de franchir cette porte, le bureau de papa n'est pas un endroit pour jouer. On te le répète suffisamment. Tes mains tremblote en atteignant la poignet que tu n'oses même pas tourné, de peur d'être réprimandé. Finalement, maman l'ouvre. "Bonjour Caleb, j'espère que tu n'es pas trop triste d'avoir raté ton cours de violon." Maman te parle étrangement doucement aujourd'hui, ce simple fait te laisse afficher une sourire gigantesque. Tu te fiches complètement du violon, c'est maman qui a voulu que tu en joues, donc en sage petit garçon, tu as accepté et tu en joues tout les jours, juste pour que maman ne sois pas triste. "Caleb, vient ici." La voix grave de papa raisonne dans la grande pièce. Impossible de désobéir à papa, tu avances vers lui, admiratif devant tous ses livres que tu n'as jamais vu avant. "Caleb, maman et moi avons quelque chose d'important à te dire." C'est incompréhensible, s'ils voulaient te parlé, il suffisait de le dire plus tard, pourquoi tes parents qui tiennent tant à te voir devenir un grand violoniste t'ont fait rater un cours, rien que pour parler. Même pour un enfant de neuf ans, cette idée semble étrange. Maman, s'agenouille devant toi et d'une voix toujours aussi douce t'explique qu'être grand-frère est un rôle important, qu'il faut faire attention à ne jamais blesser son petit-frère ou sa petite-soeur. Pourquoi maman te parle de ça? Tu n'as pas de frère, ni de soeur, tu es leur unique enfant et ils ont déjà tant de mal à être là pour toi. Retournant à sa place, maman se relève pour se mettre debout derrière le grand fauteuil de papa, ils te fixent tous les deux, attendant une réaction de te part... Papa rompt le silence. "Tu vas avoir une petite soeur." Quoi? Ah tu fais quelque chose de mal? Tu n'es pas l'enfant qu'il leur faut? Papa et maman n'ont pas besoin d'un autre enfant, ils t'ont déjà toi. Tu fait pourtant tout pour ne pas qu'il t'abandonne "Je n'en veux pas." Dis-tu, sans détourner le regard, sans broncher une seul secondes. Papa se met debout, il est si grand qu'il te fait peur, papa ne doit pas être content. "Ce n'est pas la question Caleb ! Tu seras grand-frère et ton rôle sera de protéger ta soeur, c'est tout !" Son ton ne laissait aucun doute, tu as fait une bêtise."Oui, papa..." Les larmes montent à tes yeux, pourquoi papa est en colère, tu es pourtant toujours sage et obéissant, tu ne fais jamais de bêtise alors pourquoi. Maman t'attrape l'épaule "Roh, arrête de faire l'enfant, tu es un grand garçon maintenant." Les larmes coulent sur tes joues, c'est injuste, tout cela est injuste. Pourquoi es-tu engueuler alors que tu n'as rien fait de mal. C'est alors que tu te retrouve à nouveau seul, dans ta chambre. Pour réfléchir à ce que tu as fait t'a dit maman, tu n'as rien fait, c'est sûr et pourtant, ils te punissent, encore une fois. Demain, ils quitteront la maison et te laisseront seul, à nouveau.


Encore une dispute, vous lacérant l'un l'autre d'insulte, de reproche pendant des heures, avant que mère débarque et vous hurle dessus, comme si tout allait mieux en criant. Cette fois-ci est celle de trop. A minuit, cette nuit tu te casses d'ici. Tout ce que tu trouves part dans ton voyage, tes vêtements, des provisions, une couteau de cuisine, on ne sait jamais ce qu'il peut t'arriver. Tu fait un raffut de tous les diables, t'es mains s'agitent en tous sens, remplissant tes bagages, jusqu'à ce qu'elles tombent sur ton violon, cet instrument démoniaque, tu as appris a en jouer pour ne pas devenir violoniste, ce serait trop d'honneur pour eux. Depuis déjà longtemps tu prépares cette fuite, inutile de la garder, autant le jeter. "Caleb ?" Une petite voix fluette te surprend dans ta fuite. "Oh, Iris, qu'est ce qu'il y a?" Elle a dû le remarquer, elle. C'est pour elle que tu ne partais pas, mais tu sais désormais que si tu restes tes parents vont finir par te tuer avec toute leurs attentes, devenir un grand violoniste, en jouer quatre heures pas jour, avoir de bonnes notes à l'école, jamais en dessous de quatre-vingts pourcent. Ces demande hors de portées t'oblige à quitter Iris, ton petit rayon de soleil, sans elle tu serais surement déjà mort et enterrer. La solitude, cette amie qui t'a côtoyer neuf ans durant, te traquant sans relâche jusqu'à l'arrivée d'Iris. Depuis sa naissance vous êtes toujours ensemble. Tu l'as aimés dès le premier jour, ce petit être fragile dont tu es responsable par manque d'autre personne. Demain, elle se réveillera seul, sans son grand-fère, sans personne pour parlé et elle connaitra alors la même solitude que toi.
"Tu vas quelque part grand-frère?" Ses yeux laisses déjà paraitre de petites larmes. Elle n'est définitivement pas stupide, rien ne sert de lui mentir. "Je vais partir de la maison, je reviendrais te voir de temps en temps." Sa y est, les larmes coules sur ces joues enfantine, tordant son visage d'enfant doux en un enfer de tristesse. "Vient ici, je ne vais pas t'abandonner Iris, je dois juste partir." Ta voix se voulant douce s'enroue dans une gorge serrée et asséchée par la peine. La prenant dans tes bras, effaçant ces larmes, tu respectes parfaitement ton rôle de grand-frère, mais cette fois tu le veux, ce ne sont pas les parents qui t'ont ordonné d'aimer ta soeur. Non, ton premier choix dans la vie, toujours t'occuper d'Iris, ne jamais la laisser tomber et surtout, ne jamais, jamais, jamais la laisser pleurer. "Iris, j'ai un cadeau pour toi." Sa tête recule, laissant transparaitre ces  yeux rougis de douleur. Tu sors de ta poche un vieux portable, avec ton numéro dedans. "Si jamais quelque chose t'arrive, utilise le, je viendrais tout de suite. Tu te souviens de comment on l'utilise?" Les pleures cesse, hochant la tête, elle attrape avidement le portable et l'enserre contre elle. Dégageant les mèches de ses cheveux, tu la regardes dans les yeux, un sourire faussement joyeux sur le visage. "Iris, tu veux autre chose?" Elle qui habituellement te parle tant, elle restait sans voix, elle ne parlait presque pas aujourd'hui, la langue liée par son petit coeur lourd et pour la délier, tu serais prêt à tout. Son doigt tendu pointe vers ton violon. "Aha, mon vieux violon? Tu es sûres? Prend le si tu veux." C'est peut-être pour elle aussi que tu en joues au final, pour cette raison que tu ne la jamais détruit, résistant à cette furieuse envie de l'éclater au mur. Emportant tous ses trésors a bout de ses minis bras, elle court tout caché dans sa chambre, sans même lui dire de le faire. Vous savez comment réagirait les parents devants ton violon et le portable. Avant de partir, tu laisses un dernier au revoir à Iris qui n'arrive pas à lâcher un mot correct tout en s'empêchant de pleurer. C'est drôle, mais ça te soulages qu'elle essaye d'être forte pour te protéger.


Ton fils est sorti des entrailles de sa mère depuis à peine quelques heures que tu veux l'emporter loin d'elle, persuader de faire ce qu'il faut pour qu'il ait la meilleur vie possible. Entrant dans la chambre d'Isa, tu la regardes un air grave. Elle avait encore les yeux rouges d'avoir pleuré. Depuis le début de la grossesse, elle pleurait tous les jours, déprimer par l'idée d'avoir un enfant. Quelle mère peut bien pleurer à l'idée de voir son enfant venir au monde quelle parents peux voir un malheur dans cet évènement? Toi tu as toujours attendu cette enfant, tu n'imaginais pas l'avoir avec elle, une femme que tu ne connaissais que depuis une semaine, mais c'est elle qui t'a offert l'occasion de te prouver que toi, tu peux faire un bon père, comparé à ton simple géniteur."Tu n'es pas capables d'être mère, j'emporte le gosse." Tu vois la stupeur s'afficher sur son visage, mais bien vite elle laisse la compréhension prendre sa place. Elle sait tout autant que toi que ce que tu dis est vrai, qu'elle ne sera jamais capables d'assumer son rôles. Sans lui adresser" le moindre regard, tu prends le petit et l'emporte loin de sa mère. Isadora n'a même pas protesté, elle n'a pas bouger le petit doigt, une vrai mère se battrait pour son fils, elle tuerait pour empêcher qui que ce soit, même le père d'emmener son enfant. Sans même te retourner, tu fermes la porte de sa chambre d'hôpital et part sans te retourner, jetant le bracelet nominatif sur sol du bâtiment grisâtre. Ce petit bout d'homme n'auras pas de mère, elle l'a abandonné, c'est ce que tu lui raconteras, c'est la vérité au fond. Ne fessant rien pour le reprendre, elle a décidé de l'abandonner. "Coucou toi, tu vas bien?" Le petit bout ne réagis pas plus que ça. "Ton nom sera Lysander" Un nom magnifique pour le plus beaux des enfants que tu n'aies jamais vus.


Tu te promènes avec Lysander dans les bois, l'air frais devrait lui faire du bien, surtout pas une journée d'été comme celle-ci. Il a déjà atteint un an, cela fait déjà un ans que tu l'as arraché à sa mère et pourtant, tu ne ressens plus aucun regret. Elle n'a pas cherché à le retrouver, elle n'a pas daigné lever le petit doigt, quelle mère digne de ce nom réagirait de la sorte? Tu sais que tu as fais le bon choix pour que Lys vive une vie convenable, sans déchirement famille. "Papa" Le petit gazouille dans la poussette, lâchant de temps en temps un papa de joie. Un large sourire s'affiche sur ton visage terni de fatigue, à chaque fois qu'il prononce ce mot, tu ressens une étrange fierté, tu es papa et malgré toute la fatigue qu'il te cause, tu adores ça. Votre petite promenade dans les bois continue durant plusieurs heures, profitant de la fraîcheur des bois de Glencullen, ceux-là mêmes que tu n'avais jamais vu enfant.
Lys arrête soudainement de gazouiller, il ne dit plus rien, ne bouge plus. Tu t'arrêtes inquiet et regarde s'il est toujours bien installé. "Et ben petit bonhomme? Qu'est-ce qu'il y a?" Petit bonhomme, un surnom débile, mais tu aimes bien lui donner des petits surnoms mignon en plus de son prénom. Même si tu ne devrais pas, selon les bouquins que tu as lus, les enfants ont besoin d'un prénom comme repère, pour savoir qui ils sont, mais bon, tu ne peux pas être le père parfait. Il se met à pleurer, le petit Lys, habituellement si sage et si joyeux pleure alors que quelques secondes avant il riait. "Tu as fait dans ta couche?" Non, aucune odeur, rien. Il est peut-être temps de rentrer, la promenade à suffisamment duré. Alors que tu reprenais la marche, un grognement surgit des bois, surpris par le choc, tu t'étales de tout ton long par terre, dans la boue. Tu sens les crocs traversés le tissu de tes vêtements jusqu'à la chair de ta jambe. Tu tentes de l'attraper, arrachant des touffes de poils noirs. Finalement, le loup te lâche, s'avançant vers le bébé. Sans même réfléchir, tu te relèves ne ressentant aucune douleur, aucune souffrance venant de cette jambe déchirée, rouge de sang. Sautant sur cette bête, lui ordonnant de ne pas toucher à un cheveu du bébé, tu tentes de l'étrangler. Elle se débat, te griffe, te mord pour ensuite aller se réfugier dans les bois. Tu prends Lysander dans tes bras et cours vers la maison, ne portant aucune attention au sang coaguler sur ton pantalon, ni à aucune de s blessures sur ton corps. L'adrénaline te permets de sauver Lys, mais si toi tu risques d'y passer au vu tes blessures. Etrangement, la bête ne vous a pas suivie, si elle l'avait voulu, elle aurait juste pu vous tuer, sans se fatiguer, un loup cours plus vite qu'un humain, pas besoin de bouquin pour le savoir.
C'est le lendemain matin que tu comprends. Cette bête n'avait pas voulu te tuer, elle a voulu te transformer. Toutes tes blessures ont disparues, même pas cicatriser, elles n'ont laissé aucune trace et se sont résorber. Puis, cette nuit, ce rêve si réel qui n'en est pas un. Tu t'es changé en loup, tes os se sont brisé et remis en place dans une douleur impitoyable, tu t'es approché dangereusement de Lys, tu as renifler son odeur, tournant autour de lui avant de quitter la maison. Tout ça n'est pas un rêve, c'est la réalité, mais comment est-ce possible, putain? Comment a tu pus être aussi proche de tuer ton propre fils?

Wow, trop cool, t'es enfin des nôtre mon p'tit ! Alors avant de commencer le blabla un peu chiant, je vais quand même te dire ce que j'ai pensé de ta fiche : hâte de voir caleb et les aventures de son auberge .

Et maintenant, parlons bien parlons peu, parlons de tout ce que tu peux faire maintenant que tu es validé. Alors déjà sache que la première chose que tu dois faire, et c'est très important, c'est de recenser ton avatar. Si tu ne le fais pas et que quelqu'un d'autre le prend, c'est toi qui devra changer. Tu peux donc faire ça ici. Ensuite, tu auras peut être envie de te trouver des potes, non ? Tu peux aller t'ouvrir un répertoire de liens, mais si jamais ce n'est pas assez, tu peux aussi te faire un scénario. N'oublie pas non plus d'aller te recenser dans les différents répertoires. Et puis si tu cherches un rp, ne cherche plus, va directement faire une demande !
Voilà, c'est tout ! N'hésite pas à venir flooder avec nous !