identity card PRÉNOM(S) : Nils - pauvre petite syllabe balancée dans le néant. Donne une appellation à l'existant. Insuffle l'identité et la glaise s'anime. Mot-clé permettant de toujours revenir au commencement. A l’appellation maternelle. Y renoncer n'est pas envisageable. Pour toi il est aisé de comprendre que père et mère n'étaient pas préparés à l'éventualité d'avoir une fille. Dénominatif que l'on oublie pas. Victoire du demos. Protectrice du bien commun. AGE : vingt ans - c'est tout. C'est suffisant. Le devoir, la jeunesse en sa fleur, la fauche. Ne pas se soucier du temps qui passe. Profiter de l'instant, car il peut être le dernier. Ne pas se retourner en arrière. Jamais. Fuir le passé car il est moche. Prier pour un futur plus clément. PROFESSION : actuellement en recherche d'emploi - tu es plutôt débrouillarde et habile de tes dix doigts même si tu n'es jamais allée au bout du secondaire. Volontaire et consciencieuse - prête à te rendre indispensable à ton futur employeur. STATUT SOCIAL : célibataire - l'amour...il est dure de le considérer. Pour se reconstruire il apparait comme une nécessité. Cependant, est-il possible d'aimer un monstre comme toi. Aimer c'est s'ouvrir et ce que tu as à offrir filerait la gerbe à n'importe qui...au mieux ils te cracheraient à la figure...au pire...il vaut mieux ne pas y penser. RACE : lycan mordu  - le loup transforme l'agneau en bête sanguinaire. Akela sauve une fois de plus le petit d'homme. Le verre est dans le fruit. L'homme reste un loup pour l'homme. NATIONALITÉ : Anglaise - ne rien garder de sa terre natale pas même son accent chantant. Vivre depuis de longues années dans le nouveau monde, dans les mythiques marécages de la Louisiane, sur les berges du Bayou méphitique. ORIGINES : Gallo-cajun - un mélange explosif, bouillonnant - suintant la rage de vivre. La fierté des peuples insoumis brille dans ce regard clair qui a pourtant tout oublié de ses lointaines racines. FAMILLE : Meute : anéantie - tyrannicide, parricide on t'accuse ici-bas de biens des noms et l'univers juge un criminel en ta personne. Un choix. Celui de la paix. A quel prix ? Celui du sang des tiens. Innocents et porteurs de morts. Annihiler pour éviter l'escalade de violences menant au massacre. Funeste destin - ironie du sort. Les premiers violents se retrouvent six pieds sous terre. Ta chaire comprise. Toi pour seule bouc émissaire.

characterization Collier de chien ◊  Un lacet de cuir autour d’un cou fragile. Dépourvu d’ornements. Sans prétention aucune. Il permet de te remémorer à chaque bouffer d’air emplissant ta cage thoracique où se trouve ta place ici bas, à chaque emportement lorsque les muscles se contractent il brûle l’épiderme et étrangle ta colère car tu as perdu ce droit. Symbole de la servitude. Idéal de pénitence. Tes choix ne sont plus tiens. Bête sauvage domptée. La captivité frise la limite de l’insupportable, endurer chaque jour ses caprices est et sera ton chemin de croix. Tu as tout sacrifié pour la paix. Pour le protéger lui. Marcher au côté d’une des leurs n’est-il pas déjà un progrès ? Le jeu en vaut la chandelle. Mascarade ◊ Un sourire amusée, une nature avenante - toujours prête à se tailler une bonne tranche de rires. Apparaitre sous le plus pur des astres comme une personne de bien, une louve solitaire mais attentive aux besoins des hommes. La nature tourmentée des pensées qui hantent ta tête est recouverte par un vernis de valeurs - planche de salut pour ne pas te flinguer immédiatement. Animal politique avant d’accueillir en ce sein d’infante la bestialité, perpétuellement en recherche de la reconnaissance de ton prochain. Dévouée et sincèrement fascinée par l’humanité dans son ensemble sans discrimination. Protectrice du bien commun. Personne n’oserait imaginer tes crimes. La corde au cou ◊ Une épée de Damoclès se trouve au dessus de cette tête couronnée d'épines. Les pulsions suicidaires ne sont jamais loin et tu ne comptes plus le nombres de fois où elle t'a retenu de t'auto-mutiler. Un mélange de haine et d'un profond dégout de toi-même laisse sur tes lèvres un goût amer. L'haleine du meurtrier, les loups peuvent sentir émaner de ton souffle bestial une odeur de sang coagulé et de chaires en décompositions. Tu n'es plus une chasseuse mais bien une charognarde - une cannibale se repaissant du sang de tes congénères. Créature dégénérée sous bien des aspects. Lettre à un otage ◊ Il est celui qui a poussé ton choix. Ta décision de mettre un terme à cette haine. Pour le protéger. Pour protéger l'avenir et maintenir la paix. Tu as été mordue parce qu'il se sentait seul. Tu l'as haïe profondément pour ce caprice...toujours distante. Pourtant tu as appris à l'aimer sincèrement comme une soeur. Vous étiez comme des frères. Se chamaillant. Il tentait désespérément de te surpasser. Le seul moyen de le sauver de cette boucherie...Il te déteste à présent et n'a qu'une idée en tête...te faire la peau. Petites infos en vrac : Passe son temps libre à dessiner ◊ Peur du noir ◊ Joueuse d'échec(s) ◊ Maitrise rudimentaire d'un chasseur qu'on lui a appris sur le tas ◊ Optimiste ◊ Opportuniste ◊ Joue du saxophone et de la guitare folk dans la rue en attendant de se faire embaucher ◊ A tendance à s'émerveiller sur les petites choses du quotidien elle peut facilement passer pour quelqu'un de naïf ◊ Déteste la violence gratuite ◊ Irréfléchie et impulsive elle s'attire très facilement des ennuis ◊ Adore jouer dans les flaques d'eau quand il pleut ◊ Aimerait avoir un chat... ◊ N'aime ni le feu ni la fumée - elle préfère s'en tenir éloignée le plus possible ◊ Parfois somnambule ou sinon elle parle dans son sommeil ◊ Sujette à des terreurs nocturnes d'une violence inouïe ◊ Amoureuse de la nature elle est déjà arrivée en retard en cours parce qu'elle avait été distraite par un papillon... ◊ Fume beaucoup et un peu tout ce qui lui passe par la main ◊ Évite de boire ◊ Si on ne la forçait pas à trouver un travail elle passerait ses journées devant son ordinateur sur Netflix à mater des séries et des animes.

depuis quand habitez-vous à Glencullen ? Et pourquoi avoir choisi cette ville ? : On a réquisitionné les services de ma maitresse en ces lieux et j'ai suivi sans hésiter. Ma place n'est qu'à ses côtés, elle est la seule à vouloir d'une traitresse et d'une parricide à ses côtés. Je dois faire parfois des choses qui ne me plaisent guère, mais je n'ai nulle part où aller de toute façon. Alors parfois il vaut mieux être mal accompagné que seul. Cela doit faire deux semaines que nous sommes arrivées.Avez-vous remarqué la présence de plusieurs créatures surnaturelles ? Croyez-vous en leur existence ? Si vous êtes vous-mêmes une de ces créatures, avez-vous conscience de la présence de chasseurs, ou vous pensez-vous plus fort qu'eux de toute manière ? : Plutôt la question que je me pose c'est comment les humains n'ont pas remarqué la masse d'animaux surnaturelles grouillant dans cette ville, c'est surprenant qu'ils ne se soient pas déjà tous exterminés. Je ne croyais pas en leur existence avant mon adolescence croyant que c'était des histoires que l'on se raconte tard le soir mais j'ai bien vite compris que le grand méchant loup et baba jaga existait en chair et en os. Croyez-vous en l'existence de divinités quelconques ? Avez-vous une religion ? Si oui, laquelle ? La pratiquez-vous sur une base régulière, ou pas du tout ? : Avant la morsure de la bête j'étais une catholique pratiquante, enfant de choeur, allant à la messe tous les dimanches, confirmée...depuis c'est un peu confu. J'aime toujours autant les lieux saints pourtant je crois avoir perdu la foi. Dieu serait-il vraiment miséricorde ? Le sang que j'ai sur mes mains à peine adulte me dit le contraire.

PSEUDO : ethanol PRENOM : anna AGE : dix-neuf ans COMMENTAIRE, SUGGESTION ? : superbe fow AVATAR : barbara palvin GROUPE : wolves PERSONNAGE : inventé

Quelques rayons de lumière transpercent le bois pourri d'une grange abandonnée. La terre pour seule couche : la notion de confort résonne comme un lointain souvenir, écho du passé. Entendre sa respiration régulière, profondément endormie, perturber les murmures de la nuit. Les humains ont oublié depuis bien longtemps comment écouter réellement la nature. Harmonie au tempo des battements de cœurs sauvages, le tien compris depuis maintenant quelques années déjà. Les arbres ploient sous les bourrasques, et aussi imperceptible que la râle d'une souris, sentir sous ses pattes la terre expirer, percevoir la lente agonie de cette forêt rongée par la maladie. L'homme gâte ce qu'on lui a offert. Il est maitre et possesseur de la nature. Qu'il ne soit pas surpris que celle-ci crée des êtres de ta sorte pour la défendre. Massacrer les hommes c'est régresser. Leur apprendre à aimer la nature, à réparer le mal qui a été commis. Cesser de s'entretuer car la mort est un abandon. Pour cette raison tu veilles sur ton ennemie. Car tu ne dors presque jamais. Elle ne le sait peut-être pas car tout inspire le sommeil dans cette position fœtale que tu abhorres. Les oreilles de la bête invisible à l'homme reste dressée à l'affut du moindre bruit étranger.

Tu n'es plus vraiment une louve. Non tu es un chien de garde. Apprivoisée. La bestialité est un mal que tu combats - car c'est en allant contre sa nature que l'évolution se fait, qu'on survit ensemble - chien ou loup / homme ou chasseur. Cela n'est pas si différent. La nature est indifférente de ses enfants. Mère cruelle. Elle t'as pris à ta famille, à ta race. Passer dans le camp des loups pour le caprice d'un enfant. Le petit dernier. Toujours un peu frêle. Priam. On l'a contenté de ta garde. L'enfant gardé à distance. Le premier violent. Arrachée d'une enveloppe charnelle, la première naissance à la lune déchire une fois de plus ce corps à sa simple évocation. Apprendre à protéger ce que l'on déteste. Trouver pour ce petit loup beaucoup d'admiration et quitter lentement le village des hommes pour la boue et les marécages de la Louisiane. Vivre une double vie. Protéger l'enfant et le voir grandir. Louve nourricière sous la coupe d'un chef de meute vieux comme le monde. Vénérable en bien des endroits. Père d'une harde plus qu'une meute - aussi nombreuse que puissante.

La fierté des loups coulent encore dans ton sang mais elle est devenue un poison lorsque la vérité fut révélée. Son orgueil les perdrait. Suffisamment nombreux pour déclarer la guerre au cercle de Shreveport. Un engrenage d'alliances, piège implacable et cruel aurait été la dernière danse macabre subit par la région. La créature cruelle ayant portée le premier coup fut une dame du nom de Katerina. La seconde serait la folie des loups. L'unique mission ici-bas. L'unique tâche confiée était de protéger le garçon. Si la guerre s'était déclarée, sa tête aurait été la première à se retrouver éclater sur le sol d'un trottoir. Par devoir, par amour et pour l'honneur de cette meute...tu ne voyais pas d'autres choix. La solution apparait aussi infâme que la mort, à faire pâlir un génocide. Trouver l'ennemi. Se compromette. Assassiner un à un ta famille. Ressentir chacun des coups qui leur sont portées. Tu es morte trente-deux fois - pour deux pauvres naissances ici-bas. Le coup de grâce : le regard de Priam lorsque tu arrachais la vie à ses deux parents. L'alpha de la meute - perdu à jamais car convulsant sous l'infâme sérum. La fleur d'aconit. Pleurer encore quand ces souvenirs refonds surface. Il n'y avait pas d'autres solutions. Prendre le sacrifice et la haine sur toi, insignifiante bête.

L'opprobre pour manteau et les ombres pour refuge personne ne saura que cet acte de folie fut héroïque. Seuls les chasseurs survivants de cette nuit. Ils sont peu nombreux. Elle en fait partie. Elle t'accepte, te traite comme un chien mais comprend ce choix et t'a trouvé une nouvelle utilité. Chasser ceux menaçant l'équilibre. Pas la bête apaisé - mais celle ayant la bile hargneuse dégoulinante de ces babines retroussées. Chasser le Fenrir de chaque loup pour éviter qu'un jour l'une de ces bêtes sanguinaire ne dévore le soleil - éclipse de l'humanité. Il n'y a pas d'autre avenir pour une parricide.

Probablement que l'univers juge un criminel en ma personne. Si je suis une bête écumante à qui le monde remonte avec la bave il serait très simple d'en finir. Ce n'est pas la pâleur de l'amour, ce n'est pas la pâleur de la mort mais celle des loups qui est sur mon visage. Tout se terminera d'une façon sauvage. Je le tuerais froidement pendant son sommeil tandis qu'il est nu et blême que les loups surgissent autour des cimetières où dorment les belles journées qu'on a eues ensemble. — Aragon

Wow, trop cool, t'es enfin des nôtre mon p'tit ! Alors avant de commencer le blabla un peu chiant, je vais quand même te dire ce que j'ai pensé de ta fiche : j'ai beaucoup aimé l'histoire de nils. c'est trop tragique sérieux .

Et maintenant, parlons bien parlons peu, parlons de tout ce que tu peux faire maintenant que tu es validé. Alors déjà sache que la première chose que tu dois faire, et c'est très important, c'est de recenser ton avatar. Si tu ne le fais pas et que quelqu'un d'autre le prend, c'est toi qui devra changer. Tu peux donc faire ça ici. Ensuite, tu auras peut être envie de te trouver des potes, non ? Tu peux aller t'ouvrir un répertoire de liens, mais si jamais ce n'est pas assez, tu peux aussi te faire un scénario. N'oublie pas non plus d'aller te recenser dans les différents répertoires. Et puis si tu cherches un rp, ne cherche plus, va directement faire une demande !
Voilà, c'est tout ! N'hésite pas à venir flooder avec nous !