identity card PRÉNOM(S) : Teddy Lewis AGE : Né le 12 Septembre 1994, Teddy a donc 21 ansPROFESSION : Etudiant en Psychologie STATUT SOCIAL : Célibataire. Entre sa vie étudiante et celle de chasseur, il n'a pas beaucoup le temps pour se préoccuper de ces choses là. A vrai dire, Teddy se cache derrière cette excuse pour ne pas avoir à affronter une vérité dont il a conscience depuis un long moment déjà... RACE : C'est un humain, mais pas un de ceux qui vivent dans l'ignorance du monde surnaturel. Comme le reste des membres de sa famille depuis des générations, Teddy est un chasseur, et il en est fier NATIONALITÉ : Irlandais ORIGINES : Américaines. Il est en fait le premier à être né hors des Etats-Unis, mais ses parents mettent un point d'honneur à ce qu'il soit bien conscient des origines de sa famille FAMILLE : Il est issu d'une famille de chasseurs qui remonte sur plusieurs générations, principalement basée aux Etats-Unis. Ses parents ont déménagé à Glencullen avant sa naissance pour venir en aide à un groupe de chasseurs, et ils ont décidé de s'y installer pour de bon lorsque la mère de Teddy est tombée enceinte de sa soeur aînée, Chanel. Aujourd'hui, après le meurtre de cette dernière par une nuit de pleine lune, il ne reste que Teddy et ses parents, bien décidés à avoir leur revanche

characterization Φ 01 : Pensif - Ambitieux - Rusé - Avide de savoir - Très bon stratège - Persévérant - Impulsif - Pointilleux - Froid - Narcissique - Calculateur - Secret Φ 02 : Il ne s'est jamais vraiment remis du décès de sa soeur, et est devenu un chasseur redoutable par soif de vengeance. Cependant, Teddy est trop conscient de la part d'humanité dans chacune de ses proies, et ne peut s'empêcher d'avoir des regrets une fois que l'adrénaline de la chasse est passée Φ 03 : Si être un chasseur signifie savoir se défendre, ça veut aussi dire savoir réfléchir et ne pas foncer tête baissée, et c'est une chose que Teddy fait très bien. En fait, il est beaucoup plus cérébral qu'il ne le laisse paraître, et adore les études qu'il fait Φ 04 : Après le départ de Cassiopé, il s'est renfermé et ne s'est pas fait de réel amis, préférant se jeter corps et âme dans son entraînement de chasseur et dans ses cours. Même après le retour de sa meilleure amie, il n'a jamais pu s'ouvrir à quelqu'un, bien qu'il puisse tout à fait donner l'image du jeune homme sociable et fêtard. Φ 05 : Son replis sur lui-même est en fait grandement dû au secret dot personne, pas même Cassiopé, est au courant : Teddy a d'énorme doute sur sa sexualité, bien qu'il se refuse à se l'avouer, et encore moins aux autres. Il est perturbé par la relation qu'il entretient avec Cassiopé, persuadé que c'est la cause de ses doutes. Paradoxalement, il a toujours été très ouvert et n'a de problèmes sur le sujet que lorsqu'il s'agit de lui Φ 06 : Dans le monde du surnaturel, c'est de la magie don Teddy se méfie le plus, parce qu'il considère que ses détenteurs doivent faire preuve de beaucoup plus d'intelligence que les loups-garous qui utilisent leur force bestiale, ce qui les rend aux yeux de Teddy bien plus dangereux Φ 07 : Son arme de prédilection est l'arc, pour lequel il a un talent inné. Il se défend plutôt bien avec les diverses armes blanches, mais ne peut supporter les armes à feu, sans qu'il puisse s'expliquer pourquoi

depuis quand habitez-vous à Glencullen ? Et pourquoi avoir choisi cette ville ? : J'habite ici depuis que je suis né. Je n'ai rien connu d'autre que la vie à Glencullen, mis à part quelques expéditions dans le pays et une visite occasionnelle à ma famille restée aux Etats-Unis. Ce sont mes parents qui ont décidé de s'installer ici après une chasse mouvementée, et avec l'augmentation de la population surnaturelle au cours de ces dernières années, je sais déjà que je ne suis pas près de partir, et ça me va très bien ! Avez-vous remarqué la présence de plusieurs créatures surnaturelles ? Croyez-vous en leur existence ? Si vous êtes vous-mêmes une de ces créatures, avez-vous conscience de la présence de chasseurs, ou vous pensez-vous plus fort qu'eux de toute manière ? : Comme nous sommes une famille de chasseurs, j'ai toujours vécu dans la confidence en ce qui concerne le monde surnaturel, pour que je sache m'en protéger et m'en méfier. Je n'ai jamais eu le droit d'en parler à personne, pas même à Cassiopé. Pourtant, je n'ai réellement connu ce monde-ci qu'au dbut de mon entraînement de chasseur et depuis, je me considère comme en faisant partie, même si je me tiens du côté de ceux qui le combattent et non de ceux qui en renforcent les rangs. Croyez-vous en l'existence de divinités quelconques ? Avez-vous une religion ? Si oui, laquelle ? La pratiquez-vous sur une base régulière, ou pas du tout ? : Je suis très au courant de la mythologie surnaturelle, de toutes les choses qui se disent sur les créatures de ce monde, et s'il est difficile de distinguer le vrai du faux, la rumeur du fait avéré, il y a certaines choses dont je suis absolument certain, comme l'existence des loups-garous et des sorciers ainsi que de leurs créateurs respectifs. Dans ma famille, nous n'avons aucune religion puisque nous côtoyons un monde qui contredit la plupart d'entre elles.

PSEUDO : Jet PRENOM : Charlie AGE : 21 ansCOMMENTAIRE, SUGGESTION ? : Rien à dire si ce n'est que je suis fan du forum, j'aime beaucoup le design et l'univers en général        AVATAR : Matthew Daddario   GROUPE : HuntersPERSONNAGE : Scénario de la belle Cassiopé  

Elle est parfaitement ronde et haute dans le ciel. Comme une immense luciole qui répand sa lueur glaciale sur les bois en-dessous, seule lumière par cette chaude nuit d'été. La jeune fille zigzag entre les arbres, chacun de ses pas faisant craquer les feuilles mortes qui recouvre le sol. Elle ne sait pas où elle va, seulement qu'elle s'enfonce plus loin dans la forêt. Plus loin du campement qui la protégeait. Elle était tombée dans un piège et elle le savait. Il était après elle. Pourtant, elle ne chassait pas, cette nuit-là. En fait, elle n'avait jamais chassé de sa vie. Elle n'avait que douze ans, son entraînement venait à peine de commencer. Mais il ne prenait pas ce genre de chose en compte. C'était son instinct animal qui le dirigeait. Elle continue de courir, mais comment échapper à cette créature enragée ? Elle peut entendre ses grondements et le son de sa course, se rapprochant toujours plus. Soudain, un rocher se dresse sur sa route comme une pierre tombale dans un cimetière. Sa pierre tombale. Elle lève les yeux au ciel, les larmes et la sueur coulant sur son visage. Ce qu'elle pense ? Qui pourrait le dire ? Les bruits de courses ont cessés, mais elle sait qu'il est juste derrière elle, la regardant, avant de lui infliger le coup de grâce. Lentement, elle se tourne pour affronter la mort. Elle s'appuie sur le colosse de pierre pour se donner du courage, la froideur minérale la rassurant un peu. Puis ses yeux rencontrent ceux du loup. C'est le dernier signe qu'il lui faut : le regard résolu de sa proie, qui n'attend que sa mise à mort. Il bondit, griffes et crocs déployés.

Je me réveille en sursaut, trempé par les gouttes de sueur glaciale qui dégoulinent le long de ma colonne vertébrale. J'ai le souffle court, et je jurerais pouvoir entendre le dernier cri de ma sœur. Mes yeux cherchent dans la pénombre de ma chambre l'interrupteur de ma lampe de chevet. J'entends le clic familier tandis que la lumière trop vive m'aveugle. Ma tête s'enfouit dans le creux de mes mains et je concentre pour tenter de calmer ma respiration. Toujours le même cauchemar, la même vision. Le soucis de ce cauchemar, c'est qu'il me poursuit même quand je me réveille, parce que la mort de ma sœur a bien eu lieu il y a 14 ans, alors qu'elle campait avec sa classe dans une des nombreuses forêts qui bordent Glencullen. Je ne sais pas vraiment les exactes circonstances de sa mort, mais mon imagination est suffisamment fertile pour construire ses derniers moments passés dans la terreur. Elle n'a pas été la seule victime, toute sa classe a été massacrée par une soi-disant meute d'animaux sauvages, tragédie qui a marqué toute la région évidemment. J'ai l'habitude maintenant de ce cauchemar. Si les premiers mois ont été difficile à surmonter pour tout le monde, les années se sont chargées de refermer la blessure du mieux possible, et il ne m'arrive que très rarement maintenant de me réveiller de cette façon.

Ma respiration enfin revenue à la normale et mon calme retrouvé, je glisse un regard vers mon réveil : 5h30. Je soupirs, calculant mentalement qu'il serait inutile d'essayer de me rendormir à deux heures de mon levé habituel. J'enfile ma tenue de sport, attrape mon portable et mes écouteurs, et sort le plus discrètement possible de la maison pour aller faire un jogging matinal. C'est comme ça que je me vide la tête : que ce soit en courant, nageant, boxant ou tout autre activité, le sport est la seule chose qui me permet d'évacuer complètement les tensions quotidiennes ou passagères. J'arrive devant la maison et aperçois du coin de l'oeil Mme Jenkins, notre voisine, me regarder par sa fenêtre. Avec un sourire malicieux, je m'étire en veillant à bien montrer juste ce qu'il faut. J'ai un beau corps, inutile de le nier, ça fait partie des avantages d'un chasseur, donc si je peux m'en servir pour faire plaisir à une sexagénaire et pour me donner un peu d'auto-satisfaction par la même occasion, pourquoi ne pas en profiter ? Je rentre juste le temps de me doucher et de prendre un petit-déjeuner et je suis parti pour une journée de cours à l'université de Dun Laoghaire. J'étudie la psychologie, et je dois admettre que je suis plutôt doué. Ce n'est pas très dur, vraiment : la scolarité n'a jamais été un problème pour moi. J'ai toujours aimé apprendre de nouvelles choses, découvrir toujours plus, comprendre autant que possible. Et comme ma grand-mère me répétait souvent : De gros bras ne peuvent pas venir a bout de tous les problèmes, mais il n'est pas de situation trop compliquée qu'un esprit aiguisé ne puisse résoudre. Pour moi, c'est plutôt le côté social de la fac qui pose problème. Il est dur de se faire des amis quand on ne peut pas être sincère envers eux. Ni envers soi-même, d'ailleurs. N'allez pas croire que je suis du genre à rester seul dans mon coin, bien au contraire, je suis en fait le genre de stéréotype de la star du club d'arts martiaux que les gens surnom Teddy Riner et qui est invité à toutes les soirées parce qu'il est populaire. Mais tous ces gens ne sont pas de vrais amis. Ce sont plus des divertissements pour passer le temps que des gens avec qui je peux être moi-même...

C'est mon père qui me ramène, aujourd'hui, et comme d'habitude, Madonna est à fond dans la voiture. Je sais ce que vous vous dîtes : un père de famille qui maîtrise les arts martiaux et la plupart des armes créées et qui chasse des créatures surnaturelles, fan de Madonna ? Ne jugez pas, on a tous nos péchés mignons, et pour mon père, il se trouve que c'est une chanteuse pop des années 80 qui a du mal à réaliser que sa carrière est terminée. Mon père, c'est un peu un mélange entre Chuck Norris et Mr Beans, si vous arrivez à imaginer. C'est tout à fait le genre de paternel qui fait des blagues nulles et des sous-entendus lourds tout en chantant sur Hung Up, et c'est pour ça que je l'aime. Aujourd'hui aussi, j'ai le droit à un classique du genre quand il me demande si je vais voir ma petite-amie ce soir. Il parle de Cassiopé, évidemment. Il sait aussi très bien que ce n'est pas ma petite-amie, même s'il est vrai que nous avons souvent droit à cette remarque, parce que nous sommes un peu les inséparables de Glencullen. En vérité, elle est ma seule véritable amie. Je la connais depuis... En fait, je ne me rappelle pas avoir vécu sans la connaître. Elle est comme une sœur pour moi, la personne sur qui je peux compter en toutes circonstances, quoi qu'il arrive, celle qui n'a pas de secret pour moi, et pour qui je suis un livre ouvert. Du moins, c'était comme ça avant qu'elle parte. Nous avons passé notre enfance ensemble, toujours chez l'un ou l'autre, et notre relation était fusionnelle. Mais la vie nous a séparé quand Cassiopé a déménagé juste avant la mort de ma soeur. Ces années là ont sûrement été les plus dures de ma vie, et lorsqu'elle est revenue à Glencullen, nous avons repris notre relation là où nous l'avions laissé, et j'ai eu l'impression de revivre. Seulement, quelque chose en moi avait déjà changé à ce moment là, et lorsque j'ai commencé mon entraînement de chasseur, j'ai eu mon premier secret pour elle. Évidemment, nous ne sommes pas supposés nous révéler, mais j'avais quand même l'impression de la trahir, en un sens. Puis est venu le deuxième et dernier secret que j'ai maintenant pour elle. Celui dont je n'ai parlé à absolument personne. Celui dont je ne veux parler à absolument personne. Mais en contrepartie, j'ai veillé à ne jamais m'éloigner d'elle, parce qu'elle est ce que j'ai de plus précieux. En bon fils du 21eme siècle, je lève et yeux au ciel et prétends trouver la remarque de mon père lourde, mais il sait très à mon sourire en coin que ses réflexions m'amusent toujours. Et puis, il n'a pas totalement tord : sur le trajet du retour, j'envoie un message à Cassiopé pour lui dire que je passerai la voir dès que je serais arrivé. Ça nous arrive presque tous les jours, de débarquer chez l'autre sans y être invité, et pour tout dire, si ça venait à changer je ne trouverai pas ça naturel du tout. La voiture se stoppe dans l'allée de la maison, et je me dépêche d'entrer pour poser mes affaires et filer chez Cassiopé. Mais en poussant la porte, mon regard croise celui de ma mère, et je comprends instantanément que ma petite sortie est annulée, parce que nous partons chasser.

Il n'y a pas de discussions possibles dans cette situation : quel que soit ce que mon ou mon père avions prévu de faire en rentrant, ça devra attendre la fin de la chasse, parce que ma mère a déniché quelque chose qui nous a mené tout droit à une proie. Nous ne protestons pas, et de toute façon, ni mon père ni moi n'avons envie de protester, parce que c'est dans notre nature de chasser. Parce qu'à chaque fois qu'une chasse s'ouvre, je sens l'excitation s'emparer de moi et je ne peux pas me concentrer sur autre chose que ça. Aujourd'hui, c'est un sorcier qui sera notre proie. Je serre la mâchoire à cette nouvelle : je n'aime pas les sorciers. Ils sont vicieux, et savent se servir de leur tête beaucoup plus que les loups-garous. Mais ce n'est pas ça qui va m'arrêter, bien au contraire. Rôdés par des années de pratiques, mon père et moi saisissons ce dont nous avons besoin pour la chasse, et sautons dans la voiture. Nous allons faire un tour en forêt, a priori. C'est ma mère qui est à la tête de l'opération, mon père et moi ne faisons qu'exécuter ses ordres, comme c'est le cas dans la plupart des familles de chasseurs. Nous suivons tous les mêmes règles, mais chaque famille a des traditions différentes. Dans ma famille, la plus importante est de ne tuer que les meurtriers. Il est interdit de s'en prendre à une créature qui n'a pas encore tué, et mes flèches n'ont jamais trouvé le chemin du cœur d'un innocent. Ça ne veut tout de même pas dire que je pourrais fréquenter des êtres surnaturels innocents, loin de là, moins je les côtoies, mieux je me porte.

Cette fois-ci, il s'agit d'un sorcier qui a effectué son premier sacrifice et qui a mal cacher ses actes, probablement un novice sans mentor. Il ne devrait pas être trop dur à traquer, mais mon père et moi devons tout de même nos montrer prudents, parce que le risque n'est jamais nul. Nous nous séparons dans le secteur de la forêt où le sacrifice a été effectué dans la nuit. Hier, la nuit de pleine lune, pas étonnant que mon cauchemar soit revenu...La traque n'est pas longue et je tombe sur lui à l'orée d'une clairière, marchant le couteau de rituel à la main, s'éloignant au hasard du lieu du crime.  Il doit probablement être désorienté, je sais ce que tuer pour la première fois peut faire à un homme. J'encoche ma flèche, bande mon arc, expire calmement, et tire. Je regarde le corps du jeune homme s'effondrer quand ma flèche traverse son cœur. Ça n'avait rien de difficile, quelques heures de traques pour quelques secondes de tuerie. Je sais que j'ai accompli mon devoir, et je sais aussi que j'ai aimé les sensations que ça m'a procuré. Mais, comme après chaque fois que je tue une proie, je ne peux m'empêcher de ressentir un mal être profond. Parce que j'ai tué un humain. Parce que la nature a fait de lui ce qu'il était, et qu'il n'avait probablement rien demandé à personne, mais je me devais de le tuer. Pour protéger les miens...

Sur le trajet du retour, je regarde mon portable. Six appels manqués et plusieurs messages, tous de ma meilleure amie, pour me demander si oui ou non je compte venir chez elle. J'appuie mon front contre la vitre froide dans la nuit tombante et ne peux m'empêcher de soupirer.

Désolé, Cassiopé, ce sera pour une autre fois...

Wow, trop cool, t'es enfin des nôtre mon p'tit ! Alors avant de commencer le blabla un peu chiant, je vais quand même te dire ce que j'ai pensé de ta fiche : Un chasseur doué avec un arc, il nous faudra un lien. j'aime beaucoup Teddy et tout est bon pour Cassiopé donc je valide avec plaisir. .

Et maintenant, parlons bien parlons peu, parlons de tout ce que tu peux faire maintenant que tu es validé. Alors déjà sache que la première chose que tu dois faire, et c'est très important, c'est de recenser ton avatar. Si tu ne le fais pas et que quelqu'un d'autre le prend, c'est toi qui devra changer. Tu peux donc faire ça ici. Ensuite, tu auras peut être envie de te trouver des potes, non ? Tu peux aller t'ouvrir un répertoire de liens, mais si jamais ce n'est pas assez, tu peux aussi te faire un scénario. N'oublie pas non plus d'aller te recenser dans les différents répertoires. Et puis si tu cherches un rp, ne cherche plus, va directement faire une demande !
Voilà, c'est tout ! N'hésite pas à venir flooder avec nous !