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| i'd rather be spitting blood than have this silence fuck me up. | |
| Auteur | Message |
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| Sujet: i'd rather be spitting blood than have this silence fuck me up. Dim 17 Jan - 19:06 | |
| bailey barrett wrapped in glittering barbwires and explosives. identity card PRÉNOM(S) : bailey. ça sonne bien, bailey, deux syllables qui claquent en l’air comme un coup de fusil. bailey, crié, scandé dans ses rêves ; bailey murmuré contre son oreiller lorsqu’une fois de plus le sommeil la fuit ; bailey qu’elle épelle pour briser son terrifiant silence. bailey la battante, et son rire enjoué ; bailey l’insolente et chaque mot susurré. bailey la transcendante, enfin, bailey de ces humains qui, l’espace d’un instant, parviennent à donner le change. AGE : dix-neuf ans, dix-neuf printemps. bailey, c’est ce genre de fille qui, tout juste sortie de l’adolescence, jongle déjà entre les extrêmes. un coup, elle a la tête haute des vétérans, l’air de ces femmes adultes portant chacune de leurs cicatrices aussi fièrement que des médailles ; et l’instant d’après, elle est revenue à la gamine moqueuse, à l’explosion et l’ouragan réincarnés dans un corps qui peine à les contenir. peter pan moderne, un pied dans son passé et l’autre dans l’avenir, elle n’a jamais eu de mal à mentir sur son âge, se rendant plus jeune ou plus âgée de quelques années à peine, au gré de ses caprices. PROFESSION : bailey, elle étudie les sciences militaires, ou, comme elle aime l’appeler, l’art de la guerre. stratégies, techniques d’espionnage et information, technologie au service des combattants, tout y passe ; elle étudie presque furieusement, la môme, ne serait-ce que pour oublier la vraie bataille qu’ils mènent, se plonger dans les combats imaginés pour faire abstraction, rien qu’un instant, que la vie de chasseuse qu’elle mène en est un. peut-être bien que la guerre et le commandement sont dans son sang, allument une mèche dans ses veines, menacent la détonation ; peut-être que tout ceci n’est qu’un moyen de les dompter, de mettre un nom sur ses démons pour mieux les tuer. STATUT SOCIAL : le premier mot qui vous vient à l’esprit pour décrire la vie amoureuse de bailey, c’est célibâtarde. garçon ou fille, avec leurs cadeaux de st-valentin et leurs mots chuchotés — aucun de leurs cœurs ne lui échappe, et tous finissent en miettes, écrasés sous ses talons. elle n’arrive pas à faire preuve de pitié lorsqu’elle les brise ; souvent, c’est à coup de mots, de cette fureur qu’elle ne parvient pas à dompter. comme si elle ne pouvait s’empêcher de les tester, encore et encore, mesurer l’affection qu’ils lui portent et la détruisant au passage. peut-être que ça vaut mieux, se dit-elle le soir, dans le noir. bailey, au fond, elle est plus romantique qu’on ne le croit ; son plus grand peut-être, son dernier défi, c’est de trouver la personne qui saura lui résister. RACE : bailey, c’est une fille pétrie d’illusions. elle a beau marcher comme si la terre était son terrain de jeu, rire comme l’antéchrist quand on lui parle du paradis, elle ne courra jamais assez vite pour échapper à cette désolante humanité. c’est trop simple, dit-elle entre ses dents serrées ; trop simple, pour une môme qui a toujours voulu être plus. NATIONALITÉ : née, élevée et attachée à l’irlande, bailey n’a jamais connu d’autre maison. elle en a même l'accent, celui-là même qui adoucit ses voyelles et taille ses consonnes au couteau. sa famille vient peut-être d’ailleurs, mais le cœur de la jeune fille restera toujours lié à la terre d’émeraude qui l’a vue naître. ORIGINES : les barrett, sont, comme les argents, originaires de france. cependant, leurs racines se sont étendues sur bien d’autres pays au fil des années, et leur pays d’origine n’existe qu’en quelques images pour bailey, qui ne s’y est rendue que deux fois, tout au plus. FAMILLE : certains ne retiennent, du nom des barrett, que le déshonneur, en oubliant ce qu’ils avaient de meilleur. il était une fois, leur famille était l’une des plus anciennes et respectées de l’ordre, gardienne d’un fabuleux bestiaire auquel chaque génération a contribué. bailey n’avait que quatre ans lorsque les barrett, drapés dans leur honneur blessé, ont quitté la communauté des chasseurs et vu la protection du code disparaître au-dessus de leurs têtes. mais le dernier événement l’ayant vraiment marquée est l’incendue de leur domaine, les flammes dévorantes s’élevant, colonnes infernales, embrasant tout sur leur passage. elle ne le dira jamais à voix haute, bailey, mais elle se demande si leur gloire est bel et bien éteinte, fumant parmi les décombres du manoir en ruines. | | characterization bailey a toujours pris un malin plaisir à provoquer son monde, que ce soit sa famille ou les autres. elle teste, encore et toujours. tâte le terrain, repousse ses limites. ne supporte pas de rester figée, de se plier à quelqu’un d’autre qu’elle-même dans sa vie de tous les jours, même si le soldat en elle reconnaît l’autorité de ses supérieurs. peut-être est-ce aussi un moyen de prouver à elle-même que rien ne pourra jamais la briser. ⋆ le besoin d’éprouver ceux qui l’entourent est presque vital. m’aiment-ils ? ont-ils vraiment besoin de moi ? sans le dire, elle se doit d’au moins essayer de fracasser les liens qu’elle a tissé avec les autres, ne serait-ce que pour tester leur résistance. elle aime comme elle hait, bailey ; avec passion. la simple idée de ne pas voir ses sentiments retournés, dans quelque situation que ce soit, la terrifie. alors, elle se dit qu’il vaut mieux ne rien avoir qu’un simulacre d’affection, de n’avoir que des choses qui durent, et éliminer le reste sans la moindre pitié. c’est sa propre forme d’auto-destruction, à bailey, et elle ne fait rien pour la corriger. au contraire, laisse cette anxiété perpétuelle faire partie d’elle, au point de se convaincre que quoi qu’il lui arrive, personne ne parviendra jamais à lui briser le cœur. ⋆ bailey vit en musique. elle en a besoin pour rythmer sa journée, sa vie, et il n’a jamais été rare de la retrouver les écouteurs vissés aux oreilles ou dansant dans sa chambre au rythme d’une basse qu’elle seule peut entendre. les paroles des autres sont devenues un refuge, là où elle déverse ses émotions au lieu d’en faire part à quiconque. on dit même qu’elle a une belle voix, qu’elle ferait une bonne chanteuse ; l’ennui, c’est que personne ne l’a jamais entendue pour en juger. ⋆ bailey, elle est excellente lorsqu’il s’agit de donner le change. elle surfe d’un extrême à l’autre sans difficulté, passant de l’hilarité à une rage froide en quelques secondes. elle se dit que c’est plus sûr, de ne montrer que quelques facettes soigneusement choisies à tout le monde, mais vit dans la hantise qu’ils finissent par détester ce qu’elle leur cache sans même savoir de quoi il s’agit. elle y cherche en vain la logique, n’en trouve pas une trace, hausse les épaules et continue. après tout, elle a vécu dix-neuf ans comme ça ; elle se dit qu’elle tiendra encore, s’il le faut. ⋆ elle adore les chiens, et possède elle-même un chien berger du caucase nommé cerbère, qui, en toute ironie, n’est qu’une peluche sur pattes une fois les crocs et les griffes passés. elle a presque pleuré de joie en apprenant que la brave bête avait échappé à l’incendie du manoir, et ne supporte généralement de passer trop de temps sans s’assurer qu’il va bien. cerbère l’a même accompagnée pendant quelques chasses, et les cicatrices qu’il arbore sur son flanc droit, laissées par les griffes d’un loup-garou transformé, en témoignent. ⋆ bailey elle-même n’a pas vécu dix-neuf ans sans marques. si certaines, comme une très légère claudication du pied gauche, témoignent d’accidents d’enfance, d’autres, comme la série de marques zébrant son bras droit, sont autant de rappels que la vie qu’elle mène en tant qu’humaine n’est que la moitié de sa véritable existence. ⋆ elle déteste pleurer en présence de quelqu’un d’autre. et s’ils prenaient ça pour une marque de faiblesse ? et si son image en était abîmée ? alors elle a appris à toujours retenir ses larmes, quitte à enfoncer ses ongles dans sa paume jusqu’à s’en faire saigner pour se faire. elle n’a pas pleuré après l’incendie, ni quand on lui a annoncé la mort de son propre père. j’suis au-dessus de ça, se dit-elle avec détermination ; elle serre les dents, continue. n’a jamais réussi à faire autrement. ⋆ le commandement lui fait envie et l’effraie en même temps. la perspective d’exercer un certain contrôle sur sa vie, de faire de l’illusion une réalité, la tente, mais chaque éventuel échec est une pierre sur son chemin. elle a toujours eu du mal à admettre ses défauts et ses erreurs, bailey, et c’est pas aujourd’hui que ça va changer. ⋆ bailey, elle ne donne jamais l’impression d’être sérieuse. peut-être que c’est dans son choix de mots, soigneusement pesés sans en avoir l’air, ou dans le ton même de sa voix, sous-entendant une latente insolence. elle a cet air de la fille qui ne prendra jamais le monde au sérieux, et rajoute d’un ton assuré : pourquoi faire ? prétendre qu’elle n’aura jamais de souci, qu’elle n’aura jamais à s’occuper de quelque chose plus que de raison, l’indolence, la nonchalance, la prise de risques inconsidérés dont elle arrive tout de même à se sortir en une dernière pirouette, tout a une même cause. ⋆ peut-être que bailey attend encore le moment où elle accordera de la valeur à sa propre vie. |
kiss your knuckles before you punch me in the face. depuis quand habitez-vous à Glencullen ? Et pourquoi avoir choisi cette ville ? : bailey n’a jamais vécu dans une autre ville que glencullen, et y comptabilise ses dix-neuf années ; mais cette décision a été prise bien avant sa naissance, il y a maintenant plus de quarante ans, lorsque les barrett s’y sont installés, attirés par l’aura de ce lieu. elle a toujours été curieuse, bailey. pourquoi tant de créatures surnaturelles ici ? qu’avait leur petite ville de si spécial pour regorger de loups, de sorciers, tout cela au milieu des humains pour la plupart inconscients ? peut-être y-a-t-il en effet une explication logique, mais personne n’a pris la peine de lui en faire part. elle a simplement appris à considérer glencullen comme sa maison, même maintenant que le manoir des barrett est devenu une ruine fumante. elle se refuse à ce que cette perte la chasse ; après tout, pourquoi être le prédateur si un simple feu, allumé par des lâches, pouvait vous détrôner ? Avez-vous remarqué la présence de plusieurs créatures surnaturelles ? Croyez-vous en leur existence ? Si vous êtes vous-mêmes une de ces créatures, avez-vous conscience de la présence de chasseurs, ou vous pensez-vous plus fort qu'eux de toute manière ? : elle fait mieux que croire en les créatures surnaturelles, bailey ; elle les chasse. vieilles légendes ou faits prouvés, elle ne considère jamais une hypothèse comme farfelue avant qu’on n’ait définitivement renoncé à la prouver. elle ne tue jamais inutilement, la môme, et bien moins qu’elle ne le prétend parfois, ne serait-ce que pour tester la crédulité de ceux qui l’entourent. le plaisir qu’elle prend à les achever n’est rien comparé à celui de la traque, et les monstres à visages humains sont des distractions à ses yeux, une occasion comme une autre de sentir l’adrénaline s’enflammer dans ses veines, de se jeter dans l’excitation d’une chasse comme d’autres ont besoin d’une drogue. c’est dans ses os et dans son sang, une bénédiction et une malédiction à la fois, une satisfaction douce-amère. Croyez-vous en l'existence de divinités quelconques ? Avez-vous une religion ? Si oui, laquelle ? La pratiquez-vous sur une base régulière, ou pas du tout ? : bailey a été élevée sans religion, et n’a jamais éprouvé le besoin de se reposer sur quelqu’un ou quelque chose de plus haut et plus puissant qu’elle. si elle ne nie pas l’existence d’un dieu quelconque, elle a fini par croire, au rythme des événements, que s’il y a véritablement une entité supérieure tirant les fils de leurs vies tel un marionnettiste céleste, celle-ci ne mérite pas qu’on la vénère, qu’on l’adore. elle croit en elle-même avant tout, bailey, en ce qu’elle peut faire et voir, et l’idée même d’imputer ce qui arrive dans le monde réel à quelque chose qu’elle ne peut pas voir et qui ne s’est jamais manifesté pour elle la répugne. après tout, qui a-t-elle à blâmer pour sa destruction, si ce n’est elle-même ? the cool kids PSEUDO : magnus effect. PRENOM : kim AGE : plus qu'un mois et j'ai quinze ans, wéééééééé COMMENTAIRE, SUGGESTION ? : AVATAR : hailee steinfeld. GROUPE : hunters. PERSONNAGE : inventé.
Dernière édition par Bailey Barrett le Lun 18 Jan - 19:32, édité 6 fois |
| | | | Sujet: Re: i'd rather be spitting blood than have this silence fuck me up. Dim 17 Jan - 19:08 | |
| it's all fun and games before someone makes a promise. « Co-o-o-ora ! » La gamine trébuche sur son chemin, manquant de se prendre les pieds dans le tapis avant d’enfin atteindre la brune et refermer fermement ses petits bras sur la jambe de cette dernière. Peut-être que l’ambiance de la maison n’est pas au beau fixe, qu’elle ne peut s’empêcher de remarquer les traits tirés de sa mère lorsqu’elle la soulève pour la faire tourner en l’air, que papa a l’air encore plus fatigué que d’habitude mais crie quand même de temps en temps. Mais à quatre ans, qu’est-ce qu’on y comprend ? Bailey, elle a plus ou moins saisi que quelque chose de grave s’est passé, mais du haut de ses quatre balais, tout passe bien loin au-dessus de sa tête. Tout ce qu’elle sait, c’est qu’elle n’a pas vu sa sœur depuis plus de cinq heures, et que c’est une situation qui doit à tout prix être arrangée. A ses yeux, Cora, c’est une grande. Après tout, c’est beaucoup, neuf ans, non ? Les yeux qu’elle lève vers la fillette sont grands, remplis d’admiration. Sa sœur. Ou pas tout à fait — les adultes n’arrêtent pas de la corriger quand elle l’affirme haut et fort, lui répètent que Cora n’est pas vraiment sa sœur mais sa cousine. Ils ont tort, bien sûr, se répète fermement la gamine. Ses amis, à l’école, ils ont bien des frères, des sœurs ; alors, rien ne la prive d’en avoir une aussi. Elle se souvient, Bailey, de s’être blottie sous un fort de couvertures avec Cora, une fois. Qu’elle lui avait parlé, d’une voix boudeuse, de la sœur d’Ethan Lewis, qui, selon ses dires, réussissait tout dans la vie. Qu’elle voulait en avoir une aussi, mais qu’apparemment, il fallait que le ventre de maman soit tout rond d’abord, et celui de Johanna Barrett restait désespérément plat, peu importe combien de regards suppliants sa fille unique lui lançait. J’serais ta sœur, alors, Bai. C’est pas compliqué. Et cette phrase d’enfant est restée une vérité. « Tu pars pas comme ça. » intime la môme, enfonçant un index autoritaire dans le genou de sa sœur-pas-cousine. « M’ennuie à la maison. » Le rire de Cora ressemble à celui de n’importe quelle fille de son âge, haut perché et semblable à une cascade de clochettes. « T’as juste à grandir un peu, Bai. T’as vu ? Presque ma taille. » Et pour ponctuer ses propos, elle soulève la petite, la calant dans ses bras, chancelant juste une seconde avant d’assurer sa prise. Leurs yeux sont désormais à la même hauteur, avant que Bailey ne cale sa tête dans le creux du cou de Cora et passe ses bras autour de celui-ci. « Promis que tu me laisseras pas tomber ? » Pas l’ombre d’une hésitation. « Promis. » go forth, and have no fear. Il lui semble presque que sa vision s’est réduite à la cible. Bailey ne voit qu’elle, les couleurs vives semblant la narguer, la défiant de toucher le centre. Le couteau qu’elle tient semble peser plusieurs tonnes dans sa main, la lame renvoyant un éclat de lumière argentée lorsqu’elle la regarde du coin de l’œil. Elle peut presque sentir le regard de sa mère sur sa nuque, le visage sévère de Johanna Barrett attendant un mouvement de sa part, ne s’attendant pas plus à une réussite qu’à un échec. La jointure de ses doigts blanchit, ses épaules se tendent dans l’attente de ce seul geste. Elle est presque tentée de lever la tête, la gamine, de prendre une grande inspiration et profiter de la brise de printemps qui lui caresse doucement le visage, si seulement elle ne craignait pas de briser du même coup la concentration durement gagnée sur son corps d’hyperactive. C’est seulement en fournissant un effort qu’elle peut s’empêcher de passer son poids d’un pied à l’autre, de bouger, rien qu’un peu – mais cette seule distraction serait assez pour détourner son attention de l’exercice, et elle ne peut pas se permettre de le rater. Pas quand sa mère est là, l’observant ; pas quand elle est la plus jeune des Barrett, la dernière à avoir besoin de faire ses preuves. C’est tout ce qui la tient en place, cette envie de rendre ses parents fiers. Qu’ils n’aient pas honte de leur diablotin de gamine, de celle qui semble opposer une résistance farouche à la discipline qu’on lui impose dès que la personne en question lui déplaît. Qu’est-ce qu’on va faire d’elle ? C’est la phrase qu’elle craint le plus d’entendre de la bouche de la matriarche des Barrett, qu’elle redoute presque à chaque dîner en famille, ou lorsqu’elle passe devant la porte close de la chambre de papa et maman. Bailey a douze ans, et une peur bleue du pouvoir des autres. Elle inspire. Expire. Change légèrement de position, prend de l’élan, et lance. Le couteau traverse l’air en sifflant, et elle ne peut s’empêcher de suivre du regard l’éclair argenté qui fonce à toute allure vers la cible. Deux mètres. Un mètre. Cinquante centimètres. S’il-vous-plaît, se surprend-elle à prier, à l’adresse de n’importe qui qui l’entendra. Habitude à perdre, note-t-elle au passage. Au moment-même de l’impact, elle ferme les yeux, et ne les rouvre qu’une fraction de seconde plus tard, rendue nauséeuse par le silence. Une paupière d’abord. Puis la deuxième. L’arme vibre toujours, plantée au cœur de la cible. Johanna Barrett pose une main qui se veut rassurante sur l’épaule de sa fille. « C’est bien, Bailey. » Une pause. « Un jour, tu n’auras plus à hésiter. » how to be a heartbreaker? « Quoi, t’es surprise qu’on casse ? Dis-moi que c’est pas vrai. » Bailey est l’image même du mépris, bras croisée, perchée sur des talons qui lui ajoutent facilement une dizaine de centimètres. Elle hausse les épaules, se penchant dangereusement près de la fille qui lui fait face, ses longs cheveux bruns encadrant son visage. Elle a presque l’air d’un ange, comme ça, si les mots qui franchissaient ses lèvres rouges n’étaient pas ceux d’un démon. « Tu fais pitié, ma pauvre. Me dis pas qu’tu pensais qu’on était quelque chose de sérieux. » Sa bouche forme un sourire narquois. « J’sais même pas pourquoi on s’est mises ensemble de base. Quoique, réflexion faite, j’étais probablement bourrée. Pas possible autrement. » Elle peut presque voir l’expression d’Ashera se décomposant devant ses yeux, à mesure que chaque coup qu’elle porte ouvre une énième fissure dans cette façade soigneusement composée. Bailey se redresse, lisse les pans de sa veste avec l’air indolent de celle qui pense à tout ce qu’elle aurait pu faire de mieux, au lieu d’avoir cette discussion. « Le dernier truc qui me fait rire, c’est que t’aies sincèrement pensé que j’avais des sentiments pour toi. Comme si j’étais lesbienne. C’te blague ! » Elle ment, la môme. Elle ment encore et encore, en espérant qu’Ashera soit la première à voir au-delà des apparences. Mais vu l’expression que l’autre arbore, c’est encore un faux espoir. Elle secoue la tête, ramène une mèche chocolat derrière son oreille, et assène le coup de grâce sans sourciller. « T’as besoin que j’répète, ou quoi ? Sois pas conne, Ash. Prouve au moins que t’as assez de cellules grises pour comprendre ce que j’te dis. » Elle voit la claque venir, aurait eu le temps de stopper la main de la jeune fille aux cheveux caramel deux fois avant que celle-ci ne touche sa joue. Mais elle n’en fait rien, et la laisse la frapper, sans même tenter de reculer pour amoindrir l’impact qui la fait chanceler sur ses talons. « T’es qu’une connasse, Bailey. Quand j’ai cru…j’ai cru… » Lorsqu’elle relève la tête, c’est pour lancer un sourire méprisant à celle qui est maintenant son ex (une de plus dans une longue, longue liste) avant qu’elle ne parte en courant, ses sanglots commençant à raisonner avant même qu’elle n’ait tourné à l’angle du couloir. Lentement, mécaniquement, elle porte une main à sa joue, se mord la lèvre. Encore un test. Encore un échec. Tant pis.we're kings of the killing, we're out for blood. Elle a fini par ne plus sentir le froid, ou la faim qui lui tiraillait l’estomac au début de la chasse. Même la présence de son père à ses côtés semble s’être estompée, noyée par la neige qui tombe à gros flocons. Bailey en a presque oublié son irritation initiale — quelle poisse, qu’il y ait autant de neige le jour de sa première chasse ! Chaque pas laisse une empreinte nette sur la neige, ce qui a fait grommeler ses parents au début de la journée ; mais à présent, elle tombe avec une telle abondance que leurs marques sont vites effacées par la tourmente, et il ne reste qu’à braver le vent qui lui taillade les joues. Ses doigts gèlent sur la détente de son revolver, mais l’adrénaline que charrie ses veines est assez pour lui tenir chaud, si ce n’est que temporairement. « On devrait plus être très loin, Bai. » La voix de Papa est étouffée par les capuches qu’ils portent tous les deux, et elle ne parvient à distinguer de lui que ses lunettes infrarouges. Elle hoche la tête, sachant que son propre ton ne serait que peu audible, et ils poursuivent leur route, la tête rentrée vers les épaules. Seules cinq minutes passent avant qu’elle n’entende le premier hurlement. Un cri humain, féminin, noyé par celui d’un loup. Son père jure, et ses doigts se crispent sur la détente. Mais ce n’est pas encore le bon moment – pas encore, pas encore. Juste quelques pas. Son cœur bat à l’en étouffer. Juste un buisson. Et il est là. Le loup, une fois transformé, est plus gros qu’elle ne l’aurait cru, et plus intimidant aussi, avec le rouge qui macule ses griffes, laissant une trace ensanglantée sur la neige blanche. Un peu plus loin gît une femme, qui remue encore faiblement, les mains crispées sur son visage (une randonneuse, peut-être) ; mais l’arrivée des deux chasseurs a détourné l’attention de la créature de sa victime, et c’est vers ces derniers qu’elle s’avance. La main de Bailey ne tremble qu’à peine lorsqu’elle lève le bras, vise, et appuie sur la détente. La balle d’argent traverse l’air en sifflant, et touche sa cible ; le loup-garou recule avec un gémissement qui aurait presque pu sonner humain. « Finis-le, Bailey ! » siffle son père, qui s’est précipité vers la blessée d’abord, tentant d’évaluer la gravité de ses blessures. Elle hoche la tête, ferme les yeux pendant une fraction de seconde et tire à nouveau. Une fois. Deux fois. A la troisième balle, la bête s’effondre, et ne bouge plus. Etrangement, elle en tire bien moins de plaisir et de satisfaction qu’elle l’aurait cru. Le frisson de la chasse a disparu dans un silence de mort. flames, they lick the walls ; slowly they turned to dust all that i loved. « Réveille-toi ! » Un grognement. Puis un sursaut d’énergie lorsqu’elle enregistre enfin la touche d’urgence dans la voix qui l’interpelle. « …S’passe quoi ? » Une lampe-torche projette un violent éclat sur le visage de Johanna Barrett, et la matriarche de leur famille ne fait preuve d’aucune douceur en tirant sa fille hors de son lit, lui balançant un manteau sur les épaules avant de la pousser dans le couloir. Ce n’est que là que Bailey remarque ce qui va vraiment de travers : les vrilles de fumées qui passent sous la porte du fond, s’enroulent presque paresseusement autour de ses chevilles. « Maman ? » Pour la première fois depuis un bon moment, elle sonne véritablement comme une enfant effrayée, se tournant de nouveau vers sa mère en espérant qu’elle puisse régler tous ses problèmes. « Le manoir est en train de brûler, Bailey. Pour l'amour du ciel, dépêche-toi ! » L’expression du visage de Johanna achève de persuader la jeune fille que l’urgence n’est pas mince, et elle ne met qu’une poignée de secondes à échapper à l’étreinte de sa mère et dévaler les escaliers à toute vitesse. Par chance, eux ne sont pas encore envahis par la fumée, bien qu’une odeur âcre lui agresse les narines dès le premier pied qu’elle pose sur les marches. Presque arrivée en bas, elle se retourne, retombant nez-à-nez avec sa mère, dont les traits sont devenus un masque de ce calme terrifiant qu’elle n’associe qu’aux pires situations. « M’ma…et la bibliothèque ? » La douleur est quasi-audible dans le ton de Johanna. « On la laisse, Bailey. Elle vaut cher, mais pas autant que nos vies. » Un court moment de faiblesse, avant que celle qui dirige les Barrett ne réapparaisse, obnubilant la femme. A deux, elles se ruent vers la sorties, les portes grandes ouvertes, et l’air frais au dehors. Pieds nus dans l’herbe, Bailey a un instant de choc en levant les yeux vers le ciel. D’ordinaire, elle aurait vu les étoiles ; mais celles-ci sont obscurcies par l’épaisse fumée s’élevant de leur manoir, et le crépitement des flammes couvre les cris des autres membres de sa famille. Elle reconnaît Cora, un peu plus loin, l’air hagarde, mais rapidement, trop rapidement, ses pensées reviennent à la demeure de laquelle sa mère l’a sortie, et à ceux qui restent dedans. « Papa ? » La voix de la jeune fille monte dans les aigus, devient stridente, hystérique, « PAPA ! —Laisse-moi y aller, laisse-moi y aller ! » Ces dernières paroles sont adressées, ou plutôt jetées à la figure de Johanna. En cet instant, elle est prête à braver le brasier, ne serait-ce que pour tenter d’en sortir ceux qui y sont restés. « Bailey, tu vas m’écouter, oui ? » La claque est brûlante sur sa joue, et il lui faut une seconde pour s’en remettre, clignant des yeux avant que le visage de sa génitrice arrête d’être floue et de danser devant ses pupilles. « Ca ne sert à rien, Bai. » De près, elle croirait presque voir…serait-ce vraiment des larmes qui scintillent dans les yeux de la matriarche ? « On a fait ce qu’on a pu. » C’est pas assez, a-t-elle envie de crier. C’est même carrément pathétique. A quoi ça sert, de savoir se battre, de chasser et tuer d’autres que nous, si au final on peut même pas protéger ceux qu’on aime ?Mais elle garde le silence. Se contente d’arrêter de résister à l’étreinte de sa mère et se détourne, dos à l’incendie qui dévore, peu à peu, pièce par pièce, ce qu’elle a un jour aimé. i wanna scream and i wanna shout, but all my tears have been used up. Le jour des funérailles, la chaleur est étouffante – et la robe noire qu’elle porte, qu’on l’a forcée à enfiler, ne fait rien pour arranger l’affaire. Elle déteste tout, ici : le soleil qui lui tabasse la nuque à coups de rayons, les larmes qu’elle ne supporte pas de voir sur le visage de sa mère, les autres, les condoléances, aussi, tous ces gens qui lui disent que ça doit être terrible, pour Cora et elle, de perdre leurs pères à leur âge. Y’a pas de ‘à notre page’ qui tienne. J’aurais quatre-vingts ans que j’trouverais toujours ça horrible. C’est ce qu’elle a envie de leur dire, de leur cracher à la figure, Bailey, mais elle se retient, ne serait-ce qu’à cause de la pensée que son père n’aurait probablement pas apprécié sa fille se disputant avec quelqu’un juste au-dessus de son cercueil. Lorsque la jeune fille baisse les yeux sur ses mains, c’est pour les trouver maculées de sang, le rouge ayant coulé en une minuscule rigole de ses paumes au bout de ses doigts à partir de l’endroit où elle s’est enfoncé les ongles dans la peau jusqu’à la déchirer. Et pourtant, elle n’a pas pleuré. C’est qu’elle ne trouve pas les larmes, pas l’énergie. Qu’il n’y a aucun moyen de décrire le trou noir qui l’avale petit à petit avec quelque chose d’aussi futile que quelques gouttelettes sur ses joues. A la place, elle fait une promesse, encore une : ils paieront. Quiconque a allumé l’incendie devra le payer de sa vie. Alors elle supporte. Elle garde un visage de marbre d’un bout à l’autre de la cérémonie, et s’esquive dès que la politesse le lui permet. Il y a quelque chose d’insupportable, dans ces tombes nettement alignées ; peut-être est-ce simplement la pensée que dorénavant, sa propre famille gît elle aussi sous ces pierres blanches.
Dernière édition par Bailey Barrett le Ven 22 Jan - 22:05, édité 9 fois |
| | | Cora Barrettwe hunt those who hunt us
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Image : Âge : vingt-quatre ans, déjà. vingt-quatre années qu'elle n'a pas vu défiler et qu'elle regrette déjà.
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Occupation : elle étudie la médecine avec une passion dévorante, mais elle chasse avec une passion encore plus grande, consumante.
Armes de prédilection : arc, poignards, ses armes de prédilection sont nombreuses. elle ne peut cependant pas nier que l'élégance de l'arc l'attire un peu trop. la rapidité des flèches est impressionnante, elles se fondent dans le paysage et sont silencieuses. le silence est sans doute le point fort de cora.
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TO KNOW MORERelations: | Sujet: Re: i'd rather be spitting blood than have this silence fuck me up. Dim 17 Jan - 19:08 | |
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| | | | Sujet: Re: i'd rather be spitting blood than have this silence fuck me up. Dim 17 Jan - 19:38 | |
| Bienvenue à toi |
| | | Nerys Rhodeswe pledge ourselves to the goddess
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TO KNOW MORERelations: | Sujet: Re: i'd rather be spitting blood than have this silence fuck me up. Dim 17 Jan - 20:04 | |
| comme t'es belle. bienvenue parmi nous. |
| | | Astrée Harkwoodwe hunt those who hunt us
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Crédits : avatar @juice | Signature @ Alaska
Double compte : Iseult, Théïa et Eithne
Image : Âge : Vingt année qui glisse sur le fil du temps.
Statut civil : Tu vises et le touche en plein cœur, c'est pas l'amour, c'est la mort.
Armes de prédilection : Un médaillon inlassablement autour de cou qui se change en une chaîne d'acier tranchant. Sans oublier tes précieux desert eagle dont les balles sont empoisonnées.
Date d'inscription : 15/01/2016
TO KNOW MORERelations: | | | | | Sujet: Re: i'd rather be spitting blood than have this silence fuck me up. Dim 17 Jan - 20:12 | |
| laura, CEY LA BGTUDE FAMILIALE. merci. nyméria, nina merci à toi. nerys, et tu m'dis ça avec lily collins. thanks astrée, barrett rpz et oui, victoire / blondie / la pyromane de service sur feudeymon, c'était moi aussi. (le flash-back. et la coïncidence, c'est que maintenant elles sont deux à les incendies. ) |
| | | Nolan Breslinwe pledge ourselves to the goddess
Messages : 1431
Pseudo : flyingsquirrel. (maëlle)
Avatar : sam claflin.
Crédits : mon bae (velvety.)
Double compte : leith le merveilleux et nyx la plus belle.
Image : Âge : vingt-six ans, des années qui ont défilé beaucoup trop vite à ses yeux.
Statut civil : seul, sans vraiment l'être. toujours entouré, jamais attaché. il n'aime pas, mais il a besoin que les autres le fassent. il reste célibataire, car il se lasse beaucoup trop vite.
Occupation : ambulancier, il sauve des vies au quotidien. ça compense avec celle qu'il est forcé de prendre chaque pleine lune.
Élément : l'élément destructeur, le feu qui brûle, qui ravage tout sur son passage.
Date d'inscription : 04/01/2016
TO KNOW MORERelations: | Sujet: Re: i'd rather be spitting blood than have this silence fuck me up. Dim 17 Jan - 20:21 | |
| hailee bienvenue parmi nous et bonne chance pour ta fiche |
| | | | Sujet: Re: i'd rather be spitting blood than have this silence fuck me up. Dim 17 Jan - 21:05 | |
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| | | | Sujet: Re: i'd rather be spitting blood than have this silence fuck me up. Dim 17 Jan - 21:12 | |
| bienvenue |
| | | Azilis Harkwoodwe hunt those who hunt us
Messages : 1222
Pseudo : vae solis (paula)
Avatar : holland roden
Crédits : hepburns (ava) ; .endlesslove (signa)
Double compte : ola skrzdlewska
Image : Âge : vingt-quatre années que le monde l'a vue naître - vingt-quatre années qu'elle vagabonde et qu'elle essaie.
Statut civil : elle sait que son coeur bat pour quelqu'un - mais pour qui, cela lui a toujours échappé.
Occupation : on la voit souvent vendre des fleurs et des plantes en pots, mais rares sont ceux qui savent que la nuit, elle sort et chasse ceux qui la chassent.
Armes de prédilection : les armes blanches ; elle ne sort pas sans un couteau à la cheville gauche, et lors de ses chasses, sans deux grandes lames dans le dos, parfois même accompagnées d'une épée à la ceinture. elle sait aussi manipuler les hormones et les parfums, comme le reste des membres de sa famille.
Date d'inscription : 10/01/2016
TO KNOW MORERelations: | | | | | Sujet: Re: i'd rather be spitting blood than have this silence fuck me up. Dim 17 Jan - 22:24 | |
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| | | Cilian O'Callaghanwe stole from death
Messages : 1600
Pseudo : incaendo, lise.
Avatar : thomas brodie sangster.
Crédits : kiddo.
Double compte : not yet.
Image : Âge : 23 ans.
Statut civil : Célibataire. A vrai dire, son coeur, il lui a été arraché violemment de la poitrine et il gise là, désormais, à ses pieds et dans une flaque de sang grandissant à vue d'oeil.
Occupation : Etudiant en médecine, pour se spécialiser en chirurgie.
Élément : Terre. Il a connecté lorsqu'il avait 16 ans, lors d'un accident de voiture dans les bois. La terre l'a sauvé.
Date d'inscription : 22/07/2015
TO KNOW MORERelations: | Sujet: Re: i'd rather be spitting blood than have this silence fuck me up. Dim 17 Jan - 22:29 | |
| KIIIM, omg t'es belle wesh. Bienvenue |
| | | | Sujet: Re: i'd rather be spitting blood than have this silence fuck me up. Lun 18 Jan - 14:56 | |
| Bienvenue. |
| | | | Sujet: Re: i'd rather be spitting blood than have this silence fuck me up. Mer 20 Jan - 22:09 | |
| TEDDY ET BAILEY 4EVER je sais, j'arrête de faire ma furie t'es bien bonne jotem, love, et finis vite ta fiche que je puisse faire ma shipwhore |
| | | Adam Harkwoodformer resident of hell
Messages : 474
Pseudo : Summer Child, Co
Avatar : Dylan O'Brien
Crédits : bigbadwolf (avatar), Yourdesigndiary(gif),
Double compte : je soigne ma schizophrénie
Image : Âge : 23 ans qu'il vit dans ce monde et que ce poids accable ses épaules
Statut civil : plus vraiment célibataire, mais le cœur déjà volé par des yeux noirs
Occupation : étudiant en médecine, spécialisé dans les drogues, il suit le parcours classique des membres de sa famille. Il pourra sans doute tenir un laboratoire pharmaceutique dans une dizaine d'années.
Armes de prédilection : couteaux de lancer sont ses armes préférées
Date d'inscription : 24/07/2015
TO KNOW MORERelations: | Sujet: Re: i'd rather be spitting blood than have this silence fuck me up. Jeu 21 Jan - 9:26 | |
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| | | | Sujet: Re: i'd rather be spitting blood than have this silence fuck me up. Ven 22 Jan - 22:10 | |
| nolan, sam mercii charlou, LA BGTUDE A L'ETAT PURE merci ma charlou olya, thaanks, et superbe choix d'avatar azilis, PAULAAAA. jotem aussi. momo, (oui, ceci est une réponse. ) lise, mais tu m'parles avec tbs en ava. thanks aleksei, merci et colton ludi, CALME TES HORMONES DE SHIP WHORE. j't'aime. co, c'est pas grave, je te pardonne. ( ) |
| | | Cora Barrettwe hunt those who hunt us
Messages : 511
Pseudo : sparks, laura.
Avatar : shelley hennig.
Crédits : tennessee.
Double compte : faith nichols.
Image : Âge : vingt-quatre ans, déjà. vingt-quatre années qu'elle n'a pas vu défiler et qu'elle regrette déjà.
Statut civil : seule. coeur vide. esprit vagabond. cora ne s'attache pas, le goût de la liberté est beaucoup trop plaisant, addictif.
Occupation : elle étudie la médecine avec une passion dévorante, mais elle chasse avec une passion encore plus grande, consumante.
Armes de prédilection : arc, poignards, ses armes de prédilection sont nombreuses. elle ne peut cependant pas nier que l'élégance de l'arc l'attire un peu trop. la rapidité des flèches est impressionnante, elles se fondent dans le paysage et sont silencieuses. le silence est sans doute le point fort de cora.
Date d'inscription : 22/07/2015
TO KNOW MORERelations: | Sujet: Re: i'd rather be spitting blood than have this silence fuck me up. Ven 22 Jan - 22:45 | |
| JE VALIDE PAS CEY NUL. Tu es des nôtres ! T'as bouffé ton humain comme tous les auuutres ! Wow, trop cool, t'es enfin des nôtre mon p'tit ! Alors avant de commencer le blabla un peu chiant, je vais quand même te dire ce que j'ai pensé de ta fiche : Non. Mais. C'est. Parfait. tu sais que je suis toujours aussi fan de ta plume kimouille, nan mais genre j'ai vraiment aimé ta fiche, beaucoup beaucoup, elle est juste magnifique. puis Bailey jolem fort, jotem fort, bref, bienvenue chez toi. . informations pratiques Et maintenant, parlons bien parlons peu, parlons de tout ce que tu peux faire maintenant que tu es validé. Alors déjà sache que la première chose que tu dois faire, et c'est très important, c'est de recenser ton avatar. Si tu ne le fais pas et que quelqu'un d'autre le prend, c'est toi qui devra changer. Tu peux donc faire ça ici. Ensuite, tu auras peut être envie de te trouver des potes, non ? Tu peux aller t'ouvrir un répertoire de liens, mais si jamais ce n'est pas assez, tu peux aussi te faire un scénario. N'oublie pas non plus d'aller te recenser dans les différents répertoires. Et puis si tu cherches un rp, ne cherche plus, va directement faire une demande ! Voilà, c'est tout ! N'hésite pas à venir flooder avec nous ! |
| | | | Sujet: Re: i'd rather be spitting blood than have this silence fuck me up. | |
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| | | | i'd rather be spitting blood than have this silence fuck me up. | |
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