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| JAZZ ; « Monsters always make more trouble before they die. » | |
| Auteur | Message |
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| Sujet: JAZZ ; « Monsters always make more trouble before they die. » Jeu 21 Jan - 10:52 | |
| jazlyn johnson « ...our souls may be consumed by shadows, but that doesn't mean we have to behave as monsters. » - Emm Cole, The Short Life of Sparrows. identity card PRÉNOM(S) : JAZLYN, la tradition italienne semble s'être perdue quand le choix du prénom s'est imposé. C'est son père qui a tranché, qui a pris la décision. Le diminutif Jazz est communément admis, si bien que beaucoup ignorent qu'il ne s'agit que d'un surnom. ORIANA, dont l'origine signifie "or", se lie déjà plus aux racines de cette lignée de chasseurs, qui n'en oublie pas la tradition. AGE : 20 ANS tout juste, trop jeune pour cette existence, trop jeune pour ce monde cauchemardesque qui s'est trop tôt dévoilé à son regard. PROFESSION : ETUDIANTE en histoire de l'art , elle ambitionne de devenir antiquaire, un emploi qui permettrait non seulement de gagner convenablement sa vie mais qui justifierait les errances dans des lieux plus ou moins anciens. STATUT SOCIAL : CELIBATAIRE, comment pourrait-il en être autrement ? RACE : HUMAINE, comme tout le monde elle saigne, elle ressent, elle survit. Elle survit en sachant ce qui entoure les innocents. NATIONALITÉ : Née sur le sol IRLANDAIS, Jazlyn aurait dû être une pure petite américaine au sang italien mais son éducation fait surtout d'elle une enfant du monde, ouverte aux cultures de toutes les contrées. ORIGINES : Ses racines sont invariablement ITALIENNES, malgré les voyages, malgré le côté nomade inhérent à la chasse, Jazz et les siens conservent une mentalité profondément ancrée dans cette culture, dans la proximité et l'amour des siens. FAMILLE : JOHNSON. Ca sonne dans le sang et la vengeance. Ca sonne comme l'insolence siffle sur les langues d'une jeune génération un peu trop passionnée. Elle tient la chasse de ses gènes, elle tient la dextérité et le talent pour pister l'ennemi de cette famille qui, même si elle est décriée, reste un atout certain quand il s'agit de tuer ce qui n'est pas naturel. Tuer avant d'être tué. | | characterization - Elle aime contempler la lune, dont la beauté indéniable lui rappelle le premier amour perdu. Elle passe parfois ses soirées installée près de la fenêtre avec un livre à la lueur de l’astre, quand elle ne part pas en chasse. - Elle se méfie des hommes, parfaitement consciente de l’empathie dont elle est capable. Mieux vaut nier son coeur, rester seule, protéger sa famille qu’être à nouveau prise au piège de sa fascination dérangeante pour le surnaturel qu’elle chasse. - Excellente étudiante, elle apprend vite, elle est capable de retenir énormément de connaissances en très peu de temps, chose qui rend sa famille extrêmement fière. Elle assimile des notions extrêmement complexes en bien moins de temps que ses frères, cependant cela va de paire avec une curiosité sans bornes, pour tous les domaines, dont ceux décriés. - Jazz se tient à l’écart des querelles entre les familles de chasseurs, elle se veut neutre puisque ses excès ne se positionnent pas de la même manière que ceux des siens. Ses méthodes ne sont pas douteuses dans la brutalité, elles le sont dans le savoir qu’elle cherche à engranger. - Elle est gourmande, ce qu’elle assume parfaitement, et sans cela ses frères seraient privés de bons petits plats pour se contenter de vulgaires toast et autres sandwich. - Ses nuits sans des cauchemars sans fin où elle revit chaque chasse, chaque instant où les myocardes cessent de battre. La culpabilité qu’elle traine est cependant extrêmement bien cachée, tout comme sa compassion. Elle passe pour une bonne chasseuse, bien qu’insolente et sarcastique. |
titre depuis quand habitez-vous à Glencullen ? Et pourquoi avoir choisi cette ville ? : « Je n'ai pas choisi, j'y suis née. Les Etats-Unis ont été abandonnés par ma famille pour cette ville suite à la recrudescence de phénomènes surnaturels, autant dire que j'ai baigné dans cette culture de la chasse depuis.. aussi loin que je me souvienne. Ca n'est pas franchement un endroit paisible mais je n'ai rien connu d'autre, contrairement à mon frère aîné, bien qu'il soit trop jeune pour avoir de réels souvenirs de cette période.. enfin je crois. On parle peu de nos parents, tous les deux. On parle peu tout court, d'ailleurs. » Avez-vous remarqué la présence de plusieurs créatures surnaturelles ? Croyez-vous en leur existence ? Si vous êtes vous-mêmes une de ces créatures, avez-vous conscience de la présence de chasseurs, ou vous pensez-vous plus fort qu'eux de toute manière ? : « Bien sûr que j'en ai conscience. Je Chasse, c'est mon rôle, c'est ce qu'on attend de moi. Je sais que les monstres existent, que les Contes de Grimm sont finalement presque moins terribles que la réalité. Mon job, c'est de les tuer. C'est d'éradiquer ces présences, ces êtres qui, selon les miens, n'ont pas leur place sur cette terre. Parfois j'ai pitié d'eux et je suis forcée de me faire violence. On vit dans un monde cruel. » Croyez-vous en l'existence de divinités quelconques ? Avez-vous une religion ? Si oui, laquelle ? La pratiquez-vous sur une base régulière, ou pas du tout ? : « Je Crois, et c'est tout ce que vous avez besoin de savoir. Développer ? Soit. Je doute simplement que vous y compreniez quelque chose, l'humanité est souvent trop étriquée pour ça. Disons que s'il y a des maudits, des sorciers et de la magie, j'estime qu'il y a donc des forces qui nous dépassent. Je ne m'affirmerais pas foncièrement catholique ou autre forme religieuse bien distincte, j'ai seulement l'esprit assez ouvert pour concevoir que la Lune ait pu prendre forme, que la Mort puisse faire des choix ou qu'une puissance encore invisible à notre regard puisse jouer aux échecs avec nos existences. Pourquoi pas, après tout ? Les dieux païens doivent bien trouver leurs origines quelques part et je ne crois pas que tous les miracles aient des sources néfastes. A dire vrai, en ayant fréquenté un sorcier plusieurs mois, j'ai compris combien nous ne sommes qu'éphémères, j'ai aussi constaté sa souffrance, parce que rien ne pouvait arrêter ce qui s'enclenchait lors des pleines lunes. Il a refusé que je sois victime, il a toujours fait en sorte de s'attaquer aux criminels sans remords. Alors oui, même si c'est contre mon éducation, je crois que nous ne sommes pas toujours maîtres de ce qu'il nous arrive, que ce soit l'amour ou l'attrait pour le sang. » the cool kids PSEUDO : WW. PRENOM : M., parce que je déteste qu'on utilise mon prénom sur le net AGE : 23 ans, j'suis vieille. COMMENTAIRE, SUGGESTION ? : C'est dynamique dans le coin, j'aime AVATAR : Phoebe Tonkin. GROUPE : Hunters. PERSONNAGE : Inventé.
Dernière édition par Jazlyn Johnson le Ven 22 Jan - 15:12, édité 3 fois |
| | | | Sujet: Re: JAZZ ; « Monsters always make more trouble before they die. » Jeu 21 Jan - 11:01 | |
| if we burn you burn with us. Les monstres existent. Ils prennent forme dans l’ombre et hantent le monde, âmes en souffrance qui hurlent à la lune, leur mère, cette douleur qui les déchire. Les monstres sont une cruelle réalité dont Jazlyn avait toujours entendu parler, d’abord comme des histoires que papa, ce héros, rapportait puis au travers de récits plus angoissants les uns que les autres, témoignages de victimes sauvées in extremis. Les monstres existent, ils murmurent leurs incantations à la lueur de la lune, ils pleurent sur la beauté de la nuit et font couler le sang des innocents. Ce sont là les premières leçons que la fillette a appris, bien avant de comprendre la nuance entre la vie et la mort, bien avant de comprendre la notion d’amour, elle a intégré l’idée de méfiance. L’hémoglobine qui tombe, goutte après goutte, est devenu un quotidien, au fil des années écoulées, si peu et déjà si douloureuse pour une gamine qui rêve d’une insouciance dont son nom l’a privée. Johnson. Ca se signe à l’encre des veines ennemies. ...*... « Jazz, derrière toi ! » La dague s’est plantée dans le coeur, précise et vive. Superbe dague en argent, fidèle amie, rassurante présence. Le sang a coulé entre ses doigts, comme les larmes sur les joues de la jeune fille, tout juste majeure. Elle pleurait sur le sort de ces personnes qui n’avaient pas choisi leur condition et qu’elle était forcée d’éliminer, pour le bien commun, pour les valeurs de sa famille, parce qu’elle non plus, n’avait pas vraiment eu le choix. L’astre nocturne brillait dans le ciel, baignant de sa triste lumière la scène macabre. Le corps est tombé, éteignant avec son dernier souffle les flammes d’un regard de braise. Les billes mordorées ont quitté le cadavre pour se tourner vers son frère, à la recherche de certitudes que Jazlyn n’avait déjà plus. Elle savait se battre, elle savait pister, elle était douée. Bianca la trouvait prometteuse, la voyait déjà reprendre le flambeau, cet héritage qu’elle juge sans doute prestigieux mais l’adolescente n’était pas de cet avis. Elle avait perdu son père, elle avait perdu ses repères pour une bataille qui n’en finissait jamais et chaque jour elle tremblait à l’idée de perdre l’un de ses deux frères. C’est un métier dangereux, petite soeur, lui répondait toujours l’aîné pour la rassurer, un peu arrogant tout de même. Parce que c’était dans ses gènes, parce que la chef de famille la jugeait prodige dans l’art de donner la mort aux abominations peuplant le monde, chacun attendait qu’elle prête Serment, qu’à son tour elle marque de son empreinte l’histoire familiale. Elle devait sécher ses larmes et endurcir son coeur, elle devait grandir, laisser l’enfance qu’elle n’avait pas eu l’impression d’avoir pour le statut de Chasseuse, pour une mission plus grande que leur simple individualité. ...*... Caresses tendres sur sa peau, baisers doux dans son cou. Deux corps liés dans le secret de la nuit. Elle a posé sa tête contre l’épaule masculine, le coeur battant encore la chamade de cette attirance incontrôlable, pulsion déraisonnable. Jazlyn n’avait pas le droit et ça rendait l’instant d’autant plus délectable. Il était sorcier, elle était destinée à une chasse sans fin contre ceux de son espère, contre ceux qui tuent lorsque la lune étend sa domination. C’était comme laisser la lumière et l’obscurité s’aimer. Elle goûtait pour la première fois à la liberté de ses choix, à la liberté d’exister par et pour elle-même, hors des considérations du Code. Elle n’avait pas encore prêté serment, l’année de ses dix-huit ans touchant à sa fin et chaque jour elle doutait de plus en plus de la mission qui leur incombait. Elle savait ce qu’était l’homme entre ses draps, elle savait ce qu’il était capable de faire mais lorsque ses doigts courraient sur son épiderme, elle oubliait tout, elle oubliait les oppositions, les douleurs, les promesses de malheur. Elle ne pensait plus à rien, nichée contre lui, si ce n’était à la sensation de plénitude qui l’envahissait. Jazz ne s’estimait pas mieux que les autres, elle ne se voyait pas comme une justicière dans l’âme - au fond, elle savait qu’elle avait autant de sang que les surnaturels sur les mains. Si elle avait appris : soit c’est humain, soit ça ne l’est pas, elle avait aussi compris que parfois, le choix n’était pas laissé à ceux que la Lune avait désigné comme ses enfants, à ceux qu’elle avait béni ou maudit de son essence enchanteresse. ...*... « Non ! » Elle l’a poussé. La balle a frôlé le bras du sorcier mais lui a évité la mort. Famille de despotes sanguinaires. L’unité chère aux Johnson venait de voler en éclat. Jazz s’est interposée entre ses frères et l’homme qu’elle avait appris à aimer malgré ses travers, malgré ses facultés hors normes. La fracture était consommée dans la fratrie, ornée de violence et de paroles acerbes. Toucher à leur petite soeur chérie était un crime passible d’une mort lente et douloureuse. Si la jeune femme a pu épargner son amant durant plusieurs mois, l’inévitable s’est produit : l’amour n’a pas suffit. Rien n’a pu empêcher l’aîné d’éradiquer ce qu’il considérait comme une menace, quand bien même cela ferait souffrir Jazz, quand bien même elle lui en voudrait éternellement, parce qu’il se devait de la protéger de ses faiblesses, de son coeur trop tendre à l’égard des monstres. Ils avaient un Serment à respecter et si les Johnson composaient régulièrement avec les règlementations, leur folie avait des limites ; ils n’accueilleraient pas d’hérétique dans leur lignée, pas plus qu’il n’en garderaient une. Pour ne pas être forcé d’éliminer sa soeur, il a opté pour supprimer l’élément perturbateur. « Comment est-ce que tu as pu.. comment ?! » Elle a pleuré durant des heures. Elle l’a frappé, elle s’est débattue contre la haine qui lui rongeait la raison, et à l’aube, quand le sommeil a eu raison de sa colère, elle s’est enfin endormie, coupable. ...*... « T’es drôlement amère comme nana. » Les yeux se lèvent vers le ciel dans un signe d’agacement évident. Vingt ans. Vingt années écoulées. Elle a prêté le Serment exigé, elle a refermé son empathie profonde pour devenir une chasseuse accomplie, aussi redoutable que l’espérait Bianca. L’art de pister les menaces surnaturelles avait été acquis et perfectionné, elle était la digne descendante de ses ancêtres, à l’exception près qu’elle ne le faisait jamais par plaisir, elle n’était pas dans la surenchère de meurtres aux justifications douteuses. Elle faisait son job, point. Sarcastique, celle qui était autrefois une gamine pleine d’amour et de coeur n’était plus que l’image amère des siens, l’image du sang qu’elle avait sans cesse la sensation d’avoir sur les mains. « Et toi t’es drôlement con, comme frère. » Les femmes gouvernent, les hommes se battent. Disons simplement que Jazz n’était pas encore entièrement considérée comme une femme. Elle était le petite soeur, quoiqu’elle fasse, elle était la benjamine qu’on aimerait surprotéger, malgré l’évidence, malgré le fait qu’elle ne paraisse plus si enfantine ou fragile. Elle savait se défendre, se battre, cogner et se débrouiller seule. Le nez dans les livres anciens, elle emmagasinait avec ferveur les théories des différents cultes. Pour vaincre, connais ton ennemi comme tu te connais toi-même. C’était ainsi qu’elle voyait les choses et elle ne rechignait pas à chercher des sources fiables, à comprendre les liens mystérieux liant chaque être au surnaturel, à cette magie particulière qui dormait dans les zones d’ombre. Elle était une débrouillarde, autodidacte de l’apprentissage culturel, pas réellement effrayée par le monde étrange des sorciers ou des lycans. Pire encore, une forme de fascination avait fini par naître dans son regard mordoré. Solitude, le maître mot du job qu’elle faisait, entre les cours d’Histoire de l’Art qu’elle prenait, curieuse de nature. Sa vie n’était pas faite pour être partagée, elle en avait une conscience aiguë, et quoiqu’en dise son entourage, quoiqu’elle parvienne à leur faire croire, jamais le décès de son premier amour ne fut pardonné, ni digéré. Tristement coupable et seule.
Dernière édition par Jazlyn Johnson le Ven 22 Jan - 15:23, édité 13 fois |
| | | Nerys Rhodeswe pledge ourselves to the goddess
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Pseudo : (marine) velvety.
Avatar : lily collins.
Crédits : (av.) myself; (sign.) anaëlle.
Image : Âge : vingt-cinq ans.
Statut civil : vulnérable. éperdument éprise d'un jeune homme aussi autodestructeur qu'elle.
Occupation : restauratrice de meubles anciens, elle possède sa propre boutique depuis six mois. c'est petit, mais c'est sa boutique à elle.
Élément : l'eau, aussi douce que déchaînée, à son image.
Date d'inscription : 15/01/2016
TO KNOW MORERelations: | Sujet: Re: JAZZ ; « Monsters always make more trouble before they die. » Jeu 21 Jan - 11:26 | |
| la jolie phoebe. bienvenue parmi nous. |
| | | Azilis Harkwoodwe hunt those who hunt us
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Avatar : holland roden
Crédits : hepburns (ava) ; .endlesslove (signa)
Double compte : ola skrzdlewska
Image : Âge : vingt-quatre années que le monde l'a vue naître - vingt-quatre années qu'elle vagabonde et qu'elle essaie.
Statut civil : elle sait que son coeur bat pour quelqu'un - mais pour qui, cela lui a toujours échappé.
Occupation : on la voit souvent vendre des fleurs et des plantes en pots, mais rares sont ceux qui savent que la nuit, elle sort et chasse ceux qui la chassent.
Armes de prédilection : les armes blanches ; elle ne sort pas sans un couteau à la cheville gauche, et lors de ses chasses, sans deux grandes lames dans le dos, parfois même accompagnées d'une épée à la ceinture. elle sait aussi manipuler les hormones et les parfums, comme le reste des membres de sa famille.
Date d'inscription : 10/01/2016
TO KNOW MORERelations: | Sujet: Re: JAZZ ; « Monsters always make more trouble before they die. » Jeu 21 Jan - 11:58 | |
| phoebe est tellement asdfghjklm bienvenue chez toi bon courage pour ta fiche, et n'hésites pas si tu as la moindre question |
| | | Nolan Breslinwe pledge ourselves to the goddess
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Pseudo : flyingsquirrel. (maëlle)
Avatar : sam claflin.
Crédits : mon bae (velvety.)
Double compte : leith le merveilleux et nyx la plus belle.
Image : Âge : vingt-six ans, des années qui ont défilé beaucoup trop vite à ses yeux.
Statut civil : seul, sans vraiment l'être. toujours entouré, jamais attaché. il n'aime pas, mais il a besoin que les autres le fassent. il reste célibataire, car il se lasse beaucoup trop vite.
Occupation : ambulancier, il sauve des vies au quotidien. ça compense avec celle qu'il est forcé de prendre chaque pleine lune.
Élément : l'élément destructeur, le feu qui brûle, qui ravage tout sur son passage.
Date d'inscription : 04/01/2016
TO KNOW MORERelations: | Sujet: Re: JAZZ ; « Monsters always make more trouble before they die. » Jeu 21 Jan - 13:52 | |
| phoebe bienvenue parmi nous et bonne chance pour ta fiche si t'as la moindre question, hésite surtout pas |
| | | | | | | | | | | Nolan Breslinwe pledge ourselves to the goddess
Messages : 1431
Pseudo : flyingsquirrel. (maëlle)
Avatar : sam claflin.
Crédits : mon bae (velvety.)
Double compte : leith le merveilleux et nyx la plus belle.
Image : Âge : vingt-six ans, des années qui ont défilé beaucoup trop vite à ses yeux.
Statut civil : seul, sans vraiment l'être. toujours entouré, jamais attaché. il n'aime pas, mais il a besoin que les autres le fassent. il reste célibataire, car il se lasse beaucoup trop vite.
Occupation : ambulancier, il sauve des vies au quotidien. ça compense avec celle qu'il est forcé de prendre chaque pleine lune.
Élément : l'élément destructeur, le feu qui brûle, qui ravage tout sur son passage.
Date d'inscription : 04/01/2016
TO KNOW MORERelations: | Sujet: Re: JAZZ ; « Monsters always make more trouble before they die. » Ven 22 Jan - 17:02 | |
| Tu es des nôtres ! T'as bouffé ton humain comme tous les auuutres ! Wow, trop cool, t'es enfin des nôtre mon p'tit ! Alors avant de commencer le blabla un peu chiant, je vais quand même te dire ce que j'ai pensé de ta fiche : omg, je suis fan du personnage et de ta plume. vraiment j'ai adoré lire ton histoire et tout ce qui va avec. j'espère que tu te plairas parmi nous . informations pratiques Et maintenant, parlons bien parlons peu, parlons de tout ce que tu peux faire maintenant que tu es validé. Alors déjà sache que la première chose que tu dois faire, et c'est très important, c'est de recenser ton avatar. Si tu ne le fais pas et que quelqu'un d'autre le prend, c'est toi qui devra changer. Tu peux donc faire ça ici. Ensuite, tu auras peut être envie de te trouver des potes, non ? Tu peux aller t'ouvrir un répertoire de liens, mais si jamais ce n'est pas assez, tu peux aussi te faire un scénario. N'oublie pas non plus d'aller te recenser dans les différents répertoires. Et puis si tu cherches un rp, ne cherche plus, va directement faire une demande ! Voilà, c'est tout ! N'hésite pas à venir flooder avec nous ! |
| | | | Sujet: Re: JAZZ ; « Monsters always make more trouble before they die. » | |
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| | | | JAZZ ; « Monsters always make more trouble before they die. » | |
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