identity card PRÉNOM(S) : Talia, un prénom choisi par une mère voulant un surnom comme prénom. Allez donc savoir pourquoi! AGE : on dit que 30 ans est le bel âge, mais pour moi, il n'y a pas pire moment. On se sent vieille, pleine de rides et on craint le 40 qui s'approche à grand pas. PROFESSION : détective de police, et si jamais vous avez un problème avec ça, vous pouvez en glisser un mot à mon badge. STATUT SOCIAL : célibataire, surtout vu mon emploi du temps. RACE : je suis humaine, parbleu! Bon, d'accord, humaine, avec un certain  plus.  I see dead people. NATIONALITÉ : j'ai obtenu, il y a un certain temps déjà, la nationalité irlandaise. ORIGINES : j'ai des origines anglaises, venant du côté de mon père et des origines canadiennes de ma mère. FAMILLE : on a toujours été trois; moi, ma mère et mon père. Au début, j'étais ballottée d'un côté et d'autre, mais mes parents se sont bien vite épris pour Dublin. Cependant, vu leur tendances un peu ... hippie, ils décidèrent de me laisser derrière et de partir à la découverte de l'Europe. Maintenant, je suis seule, à Dublin.

characterization 001. Malgré l’apparition d’un nouvel homme dans le cadre familial, Talia a gardé les séquelles de l’abandon de son père biologique. En effet, elle ne fait que très peu confiance aux hommes, sauf peut-être à ses collègues de travail. 002. Un grand problème, chez Talia, c’est que son manque de confiance envers les hommes s’ajoute à une aversion complète pour les femmes mesquines. Son groupe d’ami devient très petit, mais c’est un choix de vie qui lui permet de se sentir plus saine dans ses relations sociales. 003. À chaque fois qu’une fructueuse enquête se termine, elle va célébrer au bar du coin. En fait, dès qu’elle se trouve une raison d’aller boire, elle y va. Mais ne vous en faites pas, elle n’est pas alcoolique. 004. Lorsqu’elle ressent un certain stress, la jeune femme se ronge les ongles et mordille sa lèvre inférieure. Voilà ce qui explique ses lèvres rouges. 005. Talia est du genre à autant aimer manger à un restaurant cinq étoiles de temps à autre, mais elle apprécie surtout une bonne bière et une pizza, devant la télé. 006. En parlant de télé, la jeune policière adore passer le dimanche devant les séries qu’elle ne réussit jamais à regarder pendant la semaine. Essayez-donc d’éviter cette journée si vous ne voulez pas vous attirer sa colère. 007. Qu’il neige, qu’il pleuve ou que le soleil soit haut dans le ciel, on retrouve toujours Talia à l’extérieur, le matin, en train de faire son jogging. Elle profite également de ses heures de congés pour aller s’entraîner. 008. S’il y a bien une chose que la policière adore, c’est la musique rock. Dès que quelqu’un embarque dans sa voiture, c’est la première chose qu’on entend! 009. Le café, les sucreries et les pâtisseries, voilà les trois faiblesses de la jeune femme. Ces collègues le savent et profitent bien souvent de ce fait pour la soudoyer. 010. Puisque ses parents lui ont laissé la maison, elle a sauté sur l’occasion pour s’acheter un chien, un Husky de Sibérie qu’elle a appelé Shadow, puisqu’il la suit comme son ombre.

depuis quand habitez-vous à Glencullen ? Et pourquoi avoir choisi cette ville ? :  Cela fait 12 ans que je suis à Glencullen et, malgré le fait que je ne suis pas celle qui ait choisi cette ville, je ne regrette pas d’avoir suivi ma mère et mon père adoptif. Cet endroit me fascine, par la beauté du paysage ainsi que par la beauté d’une culture complètement différente. Chaque jour qui passe est comme une aventure. Cela ne veut pas dire que je ne m’ennuis pas des étendues de neige du Canada, de mes amies et de la familiarité de l’endroit. Toutefois, il me fallait tourner la page, et mon arrivée à Glencullen marqua un nouveau tournant pour moi. Un nouveau métier et une nouvelle réalité qui me forcèrent à grandir, à m’épanouir. Peut-être que Paris est la ville de l’amour, mais je sens que Glencullen me réserve encore bien des surprises bien plus grandioses que la ville lumière.  Avez-vous remarqué la présence de plusieurs créatures surnaturelles ? Croyez-vous en leur existence ? Si vous êtes vous-mêmes une de ces créatures, avez-vous conscience de la présence de chasseurs, ou vous pensez-vous plus fort qu'eux de toute manière ? : Quoi, des créatures? Si vous parlez de fantômes, bah ouais. Ils tournent toujours autour de moi, sachant, par je-ne-sais-qu’elle-manière, que je suis capable de les voir et de communiquer avec eux. Je ne me suis toutefois jamais posé la question à savoir si d’autres avait cette même capacité. Et puis c’est quoi que ces chasseurs? Bah ça se trouve partout, si vous voulez parler de ces gens qui se baladent en forêt à la recherche de viande pour consommation. Tout ce qui attrait au surnaturel et qui ne parle pas de mon lien avec les morts, bah non, désolé, je suis trop occupée avec mes enquêtes pour me soucier de ça. Quoique … *regarde quelques dossiers* c’est vrai qu’ils y en a des cas de morts suspectes. Vous avez parlé de créatures, c’est ça? *prend son carnet de note* Allez-y, apprenez-moi en plus. *voit la voix-off qui part et court après* Non mais attendez! Croyez-vous en l'existence de divinités quelconques ? Avez-vous une religion ? Si oui, laquelle ? La pratiquez-vous sur une base régulière, ou pas du tout ? : Niveau religion, vous avez sonné à la mauvaise porte. Ma mère, malgré qu’elle ait grandi dans une famille de catholiques très dévots, ne manque pas de faire savoir au monde qu’elle est athée. Moi, dans mon cas, je vogue en eaux troubles. Bien sûr, je crois à la présence de forces bien plus puissantes que vous et moi. Je ne saurais toutefois vous dire de noms. Quant à la pratique … non plus. S’il s’agissait d’aller à l’église non loin et de prendre l’eau bénite, j’ai bien trop peur qu’elle me brûle par le fait que je n’ai pas mis le pied dans un tel endroit depuis trop longtemps. Maintenant que j’y repense, c’est peut-être pour ça que mon père nous a laissé là, lui qui se disait si croyant … Je sens que je vous perds, oubliez donc ce détail, cela n’est rien. En résumé, pas de prières ni de croyances spécifiques de mon côté. Allez voir le voisin d’à côté *lui ferme la porte au nez*.

PSEUDO : dumbass*angel PRENOM : Vanessa AGE : 24 ansCOMMENTAIRE, SUGGESTION ? : rien à redire, je suis en amour avec le forum    AVATAR : Sophia Bush GROUPE : Humans PERSONNAGE : inventé

Il était une fois, au Canada, une fille du prénom de Talia. Elle est née en plein hiver et fit le bonheur d’un père et d’une mère.

Bon, on va arrêter ces rimes de conte de fée, parce que, malgré la banalité de mon enfance, elle est loin d’être rose bonbon. Effectivement, lorsque je suis venue au monde, mes parents ne purent étouffés leur joie. Je crois, toutefois, que cela n’arrive qu’en voyant un poupon dans les bras. Avec le temps, je sentis une certaine tension entre moi et mon père. Celui que je voyais comme aimant et joyeux devint bien vite aigri et critique de chaque geste posé. Certains diront : s’il était si négatif que ça, pourquoi n’en as-tu pas parlé à ta mère? Eh bien, je me suis plainte, à plusieurs reprises même, mais ma pauvre mère ne pouvait malheureusement rien y faire. Mon père était celui qui avait une plus grande paye et qui soutenait la famille. Enragée, je devins moi-même aigrie par son inaction. Je passais donc, pendant les premières années de mon adolescence, la plupart de mes journées avec des fréquentations peu recommandables. Celle à qui je dois un changement radical de mode de vie, cependant, c’est à ma meilleure amie. En effet, la belle jeune blonde qu’était Peyton me côtoyait toujours en classe et avait vite remarqué mon changement d’attitude. Elle se permit de me montrer ce qui se passait en répétition pour les pom-pom girls. Je ne saurais expliquer comment, mais je fus saisie. Était-ce par la danse, par les voltiges ou encore par la bonne humeur qui régnait dans l’air? Aucune idée. Cette rencontre fortuite me fit avoir un nouveau respect pour non seulement Peyton, mais également ma mère, qui continuait de maintenir le cap, alors que mon père dégringolait dans l’alcool.

Je ne saurais vous dire ce qui se produisit pour que le déclic se fasse. Toutefois, alors que je revenais d’une longue répétition avec la troupe de fille qu’on était, je retrouvais mon père, valises en main, et ma mère, étouffant quelques pleurs, à asséner des « mais vas-y, dégage si c’est ce que tu veux ». Pour qu’elle lui dise ça, c’est que la dernière goutte était tombée, qu’elle en avait eu assez. Mon père se jeta alors d’un trait vers la porte d’entrée, agrippa ses valises en grognant, et sortis en nous laissant là, penaudes, avec un simple « adieu ». Cette nuit-là, je la passais avec ma mère, à l’aidé à surmonter le tsunami d’émotions qui la submergeaient. Et la vie, après que ce très cher paternel aie quitté le nid? Eh bien, ma mère passa les premiers mois à ne pas savoir quoi faire. La pauvre devenait complètement folle, avec le nombre de factures à payer. Sans vraiment le vouloir, je l’aidais en trouvant un boulot dans un petit café du coin. On raccommodait ainsi du mieux qu’on pouvait, mais chaque jour qui passait nous semblait trop court, trop rapide, et la dégringolade s’approchait à grand pas. Puis, comme un baume sur une plaie ouverte, ma mère fit la connaissance, alors qu’elle travaillait au musée des beaux-arts, d’un américain venu s’assurer de la maintenance de certaines œuvres. Ma mère, cette même journée-là, s’éprit pour lui comme d’un amour d’adolescence. Mais ce que je ne savais pas, c’est ce qui arriverait par la suite.

En effet, alors que tout cela se passait sous mon nez, moi, jeune étudiante finissante, ne savait toujours pas quoi faire comme métier. Je voyais mes amies, les yeux brillants, à me relater quelconque espoir d’études à l’étranger, et moi, toujours penaude, à chercher ce que je ferais de mon futur. Comme un signe que je n’attendais pas, ma mère vint me voir, et eut une grande discussion. Elle me fit savoir qu’elle avait la ferme intention de partir, quitter le Canada et voyager. Où? « L’Irlande est notre premier arrêt. L’air est si pur, là-bas! » Mais comment peut-elle le savoir? C’est sûrement ça qu’on pointe du doigt, lorsqu’on dit que l’amour rend aveugle. Elle était prête à suivre cet homme jusqu’au bout du monde, soutenant que c’était le bon. Mais elle me promit également d’attendre jusqu’à la fin de mes études, si je voulais les suivre. Aurais-je pu refuser? Oui, absolument. Cependant, je sentis qu’il était grand temps de repartir à zéro, d’écrire une nouvelle page de mon journal. J’acceptais l’offre, et c’est là que tout changea pour moi.

Glencullen. C’est un beau recoin de l'Irlande, tout de même. Et pas loin de Dublin en plus! À chaque recoin, chaque petit carré vert, on sent que l’on n’appartient pas tout à fait au siècle présent. Un voyage dans le temps qui se déroule constamment. Moi, du haut de mes 20 ans, me voilà entré à la Garda College, une université pour ceux et celles voulant devenir policier. Pourquoi ce métier et pas un autre? Aucune idée. Je ne saurais vous répondre que ceci : je ne suis pas une femme qui reste assise, sans rien faire. Je ne peux supporter l’injustice, et après l’affront de mon père biologique, je crois que j’avais un grand besoin de retrouver une certaine raison de vivre, surtout alors que je me retrouve dans un environnement complètement différent. Ma mère, au moins, est complètement épanouie et c’est que qui me rend encore plus heureuse. Le temps passe, et avec lui, je me sens plus adulte, plus accomplie. Je ne regrette rien de mes choix, rien de ce que le destin m’a offert. Après plusieurs longues années de sacrifices et de durs combats, me voilà enfin policière, 5 ans plus tard. Bien sûr, je suis au bas de l’échelle, je ne fais que du suivi, des patrouilles. Mais c’est lors d’une de ces patrouilles que ma vie changea à jamais. Je m’épris d’une jeune femme, droguée, perdue, se faisant violée par deux hommes. Mon collègue appela des renforts qui nous aidèrent à contrôler les grands gaillards, et moi, je m’occupais de la victime. Elle était là, dans mes bras, à pleurer à chaudes larmes, et je ne put rien dire d’autre que « tout va bien aller ». De faibles mots pour une telle situation, mais je m’enquis d’elle et de son futur. Je l’aidais à la placer dans un centre de réhabilitation pour les drogués et je la visitais à chaque fin de journée de travail. Malheureusement, j’appris de la part des jeunes femmes s’occupant d’elle, que le stress était de trop et qu’elle s’était suicidée. S’ensuivit des mois de torpeur qui, selon le sergent, allaient me coûter beaucoup, si je ne faisais pas attention. Il ne savait pas à quel point il avait raison.

Un soir, alors que ma mère était absente, j’étais dans le salon, en train d’écouter la télé. Je regardais des ragots sur le net, puis, soudainement, la télé s’éteignit. Étrange! Je cherchais la télécommande, essayant de trouver une explication logique. À mon grand étonnement, celle-ci se trouvait à l’autre bout de la pièce, sur la table de la salle à manger. Puis, de la même manière qu’elle s’était éteinte, la télé se ralluma. Je me tenais là, sans mots devant ce phénomène. C’est alors que, du coin de l’œil, je remarquais une ombre. Je tournais mon regard en sa direction et c’est alors que je vis … la victime, Nadia, celle que j’avais aidé. Mon dieu! Mais n’était-elle pas morte? Je me mis à crier comme une folle, mais elle se tenait toujours là, sans rien dire. Non sans crainte, je m’approchais d’elle et lui dit, en bégayant : « c’est t.. toi? » Elle me sourit. « Mais oui, c’est moi! Qu’est-ce qu’il y a? » Mes yeux s’écarquillèrent. « Tu … tu es morte? » Elle me fit la moue et me répondit : « Mais c'est des conneries, voyons. J'suis là! » C’est cette nuit que je compris une chose; ma vie ne serait plus jamais la même.

Les jours et les mois passaient, et mon amie Nadia ne me quittait jamais. J’avais bien essayé de voir si d’autres gens voyaient Nadia et si je ne souffrais pas de folie. Malheureusement, on dirait bien qu’elle ne pouvait être vue et comprise que de moi. Je me balade ainsi avec mon amie  Casper sur une base régulière. Elle apprit avec moi mon nouveau grade de détective à mes 30 ans, et plus que jamais, j’ai envie de comprendre pourquoi je suis seule à la voir. De plus, juste pour rajouter à l’étrangeté des derniers mois, je commence à faire la rencontre des victimes de certaines enquêtes, et je parle bien sûr de leur spectre, sans jamais réellement pouvoir faire passer leur message. Je me retrouve coincée entre mon envie de les voir quitter ce monde pour quelque chose de mieux, mais également mon nouveau grade de détective qui ne me facilite pas les choses. Comment expliquer à mon sergent que je communique avec les morts?

Wow, trop cool, t'es enfin des nôtre mon p'tit ! Alors avant de commencer le blabla un peu chiant, je vais quand même te dire ce que j'ai pensé de ta fiche : j'aime beaucoup ce que t'as fait de talia et son utilisation de son don .

Et maintenant, parlons bien parlons peu, parlons de tout ce que tu peux faire maintenant que tu es validé. Alors déjà sache que la première chose que tu dois faire, et c'est très important, c'est de recenser ton avatar. Si tu ne le fais pas et que quelqu'un d'autre le prend, c'est toi qui devra changer. Tu peux donc faire ça ici. Ensuite, tu auras peut être envie de te trouver des potes, non ? Tu peux aller t'ouvrir un répertoire de liens, mais si jamais ce n'est pas assez, tu peux aussi te faire un scénario. N'oublie pas non plus d'aller te recenser dans les différents répertoires. Et puis si tu cherches un rp, ne cherche plus, va directement faire une demande !
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