identity card PRÉNOM(S) : Bjørn, origines certaines, nom qui ne signifie plus grand-chose hormis une profonde répugnance et un sentiment de colère, transmis de générations en génération, patrimoine presque génétique, si l'on exclu le fait qu'il ne s'agit que du nom paternel de transmi, rarement le cas contraire, patrimoine dont il se fiche bien, ce n'est pas lui qui le fera perduré dans le temps, l'héritier Bjørn qui entraînera son nom avec lui dans sa mort. Eridan, constellation ou bien mythologie, il ne saura jamais d'où viens son prénom, il préfère croire au bon sens des étoiles, à leur beauté et leur innocence plutôt qu'à cette mythologie qui désigne éridan comme le fleuve dans lequel meurs le soleil.  AGE : trente-trois années de pêchés et de dégout auprès de cette famille brisée, trente-trois années de survie dans ce monde hostile et sans chaleur, trente-trois années de questionnement. PROFESSION : Il capture l’instant, le rend immortel, figé dans le temps pour toujours, photographe délicat, la nature est son domaine de prédilection, se perdre dans ce que l’on nous offre et que l’on détruit, les plus beau clichés, les plus beau paysages, c’est lui. STATUT SOCIAL : Célibataire, pas fait pour l'amour, trop différent, rejeté, car il n'aime pas les courbes féminines, qu'il préfère celle des hommes, violente illusion que de trouver un jour la personne parfaite, idylle qui s'efface un peu plus chaque jour. RACE : Sorcier, encore quelque chose de différent, qui creuse l'écart avec cette humanité dont il ne veut plus, l'humanité qui le dégoûte, il est fier de ne pas en prendre totalement part. Le feu qu'il contrôle, celui qui attise chaque jour sa rage et sa colère. NATIONALITÉ : Pays d'origines lointaines, nordique, danois de nationalité, un pays parmi un autre, il ne veut plus en entendre parler. ORIGINES : Danmark dans la langue d'origine, pays nordique, famille qui voyage beaucoup trop et le pays oublié, le Danemark, l'accent qui roule encore sur les lèvres par moment, l'accent dont il n'arrive pas à se défaire, l'accent qu'il maudit, qui le rattache à ses origines, à sa famille. FAMILLE : Une vaste blague, un père et une mère qu'il préfère oubliés, loin d'ici, loin de son cœur, rejeté, car trop différent, personne ne comprend le gosse qui n'est pas attiré par les formes féminines, il n'est pas normal, il provoque dégout et colère, alors on le met de côté on préfère l'oublier, l'héritier Bjørn dont on ne parle plus, son nom qui résonne comme un sujet tabou, on le laisse errer dans les méandres des ténèbres. Une sœur qui l'a trahi, en qui il pensait avoir confiance, famille loin, il ne veut plus en entendre parler, répugnance qu'il leurs rend.

characterization Φ 001.  Altruiste - Romantique -  Rêveur -  Mélancolique -  Intelligent -  Rusé -  Lunatique - Gamin - Sensible, en bref, un vrais caractère de guimauve. Φ 002. Il a volontairement laissée mourir sa sœur lors d'un incendie, il s'en veut pas moment, mais se dit qu'elle a tout de même gâchée sa vie, il regrette presque de ne pas avoir laissé ses parents mourir également. Φ 003. Son homosexualité n'est pas quelque chose qui s'est révélée sur un coup de tête, il l'a toujours plus ou moins su, si bien qu'il n'a jamais rien fait avec une demoiselle, il n'en a jamais ressentit et ne ressent pas l'envie, le désir nécessaire. Φ 004. Contrairement aux clichés, il n'est pas plus efféminé qu'un autre. Φ 005. Il aurait pu devenir danseur, mais une blessure l'en à empêché. Φ 006. Eridan a toujours été un artiste dans l'âme, danseur pendant plusieurs années, photographe aujourd'hui, il sait jouer du piano et se laisser bercer par la douceur de l'instrument. Φ 007. Tous ses sacrifices sont des femmes, qui ressemblent de près ou de loin à un membre de sa famille, âge, physique, caractère, n'importe quoi, un simple détail qui pourrait nourrir sa rage et sa haine. Φ 008. Si le froid lui est totalement indifférent, il ne supporte pas des températures trop élevées en été, paradoxal pour un sorcier qui maitrise le feu. Φ 009. Il est ambidextre, mais se sert principalement de sa main droite pour écrire.

depuis quand habitez-vous à Glencullen ? Et pourquoi avoir choisi cette ville ? : Ville choisi par ses parents peu de temps après qu’il ai fêté son cinquième anniversaire, besoin de changement, de dépaysement, et l’on passe du pays d’origines à l’Irlande, contraste fort, violent, mais c’est comme ca, Eridan n’a pas eue le choix, alors il s’est contenter de suivre, et aujourd’hui il garde une unique trace de ce passer, la maitrise du Danois et ce léger accent qui roule encore sur les lèvres, c’est ce qui le rattache à ses origines. Avez-vous remarqué la présence de plusieurs créatures surnaturelles ? Croyez-vous en leur existence ? Si vous êtes vous-mêmes une de ces créatures, avez-vous conscience de la présence de chasseurs, ou vous pensez-vous plus fort qu'eux de toute manière ? : Il est loin de se penser fort, loin de l’être, il se contente de se cacher, de survivre dans ce monde hostile, se fait passer pour quelqu’un de normal, évite les conversations autour du surnaturel et mime la surprise quand on évoque ce sujet, il ne vit pas, il survit dans ce monde. Croyez-vous en l'existence de divinités quelconques ? Avez-vous une religion ? Si oui, laquelle ? La pratiquez-vous sur une base régulière, ou pas du tout ? : Comme tout sorcier il croit en l’existence de la déesse, c’est quelque chose d’inné, il lui rend hommage toute les pleines lunes, la remercie de cette vie qui lui est accordée et prie pour elle, mais cela s’arrête la, il n’est pas fanatique, c’est simplement grâce à la Déesse qu’il vit, survit, alors il lui dit merci, comme il doit le faire, et si ce « merci » passe par des meurtres, soit, il tue, toute les pleines lunes.

PSEUDO : spf. PRENOM : margaux (a) I don't like this name.AGE : 16 ans, je tiens à dire que je ne suis jeune, mais que vous, vous êtes vieux   COMMENTAIRE, SUGGESTION ? : Nop' AVATAR : Ben Whishaw le magnifique. GROUPE : Sorcerers, vous briser mes rêves, dans ma tête sorcier = Wizard, mais je crois que je regarde trop HP. PERSONNAGE : inventé

Que dire, que raconter de cette vie ? Cette vie dont il ne veut plus, vie qui le torture, le violente, l'alambique, le dénature, le tenaille, le brise, le détruit, le consume, vie qu'il subit sans rien dire, marionnette, poupée, pantin, jouet du destin, il n'a pas son mot à dire, jamais. Il ne l'a jamais eu, bridé, étriqué, retenu, emprisonné par des chaînes invisibles, formé à devenir le parfait petit héritier Bjørn. Mais il ne l'est pas. Il est le mouton noir, le membre dissident, qui pense différemment des autres, qui n'a pas les mêmes priorités.


« Rend toi compte Eridan ! Un garçon ! C'est dégoutant, répugnant, comment peux-tu nous faire ça ?! » Les cris, toujours les cris, presque dix minutes qu'il entend les mêmes mots en boucles de la part de son père, il est dégoutant, Eridan le dégoûte, il est répugnant, monstrueux, différent, il diverge de ce que la société impose, il est anormal. Et à quelques mètres sa mère sanglote, elle ne peut imaginer son fils ainé dans les bras d'un autre homme, elle ne peut pas le concevoir. Elle se lamente, répète sans cesse qu'il y a quelque chose qui cloche, qu'elle et son mari ont raté l'éducation de l'adolescent. « C'est vous qui êtes répugnants, écœurant, si peu tolérants, mais après tout, c'est de ma faute hein, le nom Bjørn est salit à présent, salit parce que le fils ainé n'est rien qu'une pédale, c'est ça ?! Une putain de pédale, c'est ça que tu penses de moi, papa ?! » Le mot qui sonne comme une insulte, sur le moment, il le déteste, il ne veut plus voir cet homme, veut s'enfuir, partir loin d'ici, briser les chaines qui le retient. Il affronte le regard de son géniteur, il n'a pas peur, il ne veut plus avoir peur, être soumis à cette volonté de ses parents, il veut se défaire de cette emprise parentale, en a marre de mentir, il veut tout simplement vivre, heureux. « Tu déshonores notre famille, voilà ce que je pense. » Il ne s'y attendait pas, il ne s'attendait pas à sentir la paume de cet homme contre sa joue, violente, agressive, mordante, brulante. Il n'ajoute rien, n'en a pas la force, pas le courage, pas l'envie, toute la colère qui l'habitait vient de se transformer en une haine profonde. Il baisse légèrement la tête, soumission qu'il accepte sans le vouloir, son regard se pose sur sa sœur et son sourire en coin, dans l'encadrement de la porte, il la déteste, elle aussi, elle a ruiné sa vie.


La chaleur des flammes aurait déjà du prendre le dessus, elle aurait déjà du pousser Eridan à s'enfuir, loin, le plus loin possible de cette épaisse fumée se propageant dans toutes les pièces de la maison, mais il est toujours là Une part de lui le pousse à s'enfuir le plus loin possible, laissant sa sœur et ses parents, mais une autre partie le pousse à essayer de les aider, au moins un peu. Il donne un violent coup de pied dans la porte de la chambre de sa cadette et là, il se rend compte qu'il s'agit tout simplement de la pièce d'où le feu est partit. D'où ce foutu incendie est parti. Elle est bloquée, dans un élan d'amour fraternel, Eridan tend la main vers la pièce et, étrangement, les flammes ne lui font rien, pas même une petite brulure, il écoute les battements de son cœur trop rapide. Un cri, celui de sa sœur qui lui parvint et toute la rancœur de ses derniers jours refait surface, il se détourne, il n'aurait rien pu faire de tout manière, si ?

« Et ta sœur ? » Les paroles froides, comme elles le sont depuis plusieurs jours, sombre révélation, même avec ce drame la voix de son père est ponctuée de reproches. « C'est de sa chambre dont partaient les flammes. » Personne ne comprend pourquoi le gosse s'en tire indemne, pas une brulure sur le corps, pas de fumée dans les poumons, son rythme cardiaque c'est quand à lui enfin calmé. Eridan fixe délibérément les ruines de cette maison. « C'est de ta faute ! Tu aurais dû l'aider ! Regarde-toi, tu n'as rien ! Tu es différent, quelque chose d'horrible. » Il accuse le coup sans rien dire, parce qu'il ne peut faire autrement, son père a raison, il est différent, c'est une monstre, une créature abominable. Il ne s'est pas ce qu'il s'est passé, le feu ne lui faisait rien, il aurait dû l'aider. Mais elle avait ruiné sa vie, elle avait étée le point culminant de sa chute, la falaise d'où on vous pousse.


Les regards qui sont trop présents, trop douloureux, on pourrait qualifier Eridan de lâche lorsqu'il décide de partir, de s'enfuir, cette nuit de pleine lune. C'est cette sensation d'étouffer qui le pousse à sortir, à récupérer le peu d'affaire qu'il reste et à partir, il ne peut plus être enfermé, sensation de suffoquer et dés lors que les rayons de mère lune se déversent sur son frêle corps, il se sent mieux, plus fort. Il ne sait pas où il va, mais il y va, il laisse ses pas le guider dans la petite ville. « C'est dangereux par ici la nuit » Eridan sursaute, se retourne et tombe face à un homme entouré de cette aura blanche, tout comme lui, c'est la première fois qu'il croise une personne comme cela. « Calme toi, ça se voit que c'est ta première nuit. Tu ne ressens pas cette vie qui court dans tes veines, celle d'ôter une vie ? Je peux t'aider, si tu le souhaites. » C'est comme ça que tout a commencée, une nuit de pleine lune, alors qu'il fuyait tout simplement ses parents.


Souffles chauds et désordonnés qui se mêlent, se rencontrent une nouvelle fois doux et agréable, baisers que l'on prend sans savoir, caresses d'abord aériennes et volatiles, timides, retenues, lèvres qui s'égarent sur le corps de l'autre, qui le vénère le temps d'une nuit, gouttent à la chaire sucrée, mais ce n'est qu'une façade, Eridan se voile la face, il sait très bien que quand il se réveillera, l'autre sera déjà loin, partit dans la nuit, ombre parmi les ombres, guidé par leur mère la lune qui observe sans jamais intervenir. Mais cette règle fait partit du jeu, elle en a toujours fait partie, rien de sentimental, juste des actes, des gestes et des mouvements, des soupirs de bien être et gémissements, C'est Eridan qui veut contourner les règles, l'obliger à rester, au moins une fois, avoir cette sensation au réveil, la chaleur humaine d'un corps contre le sien à la place de ce vide et plus généralement du froid provoqué par la solitude. Mais il le savait, il le savait pertinemment, c'est même lui qui avait voulu fixer les règles. Pris au piège par son propre jeu, cercle infernal des sentiments. Tout est encore confus, mais c'est sans doute trop tard.

Wow, trop cool, t'es enfin des nôtre mon p'tit ! Alors avant de commencer le blabla un peu chiant, je vais quand même te dire ce que j'ai pensé de ta fiche : j'aime beaucoup le personnage d'eridan, quels parents de merde il a eu. allez, have fun!.

Et maintenant, parlons bien parlons peu, parlons de tout ce que tu peux faire maintenant que tu es validé. Alors déjà sache que la première chose que tu dois faire, et c'est très important, c'est de recenser ton avatar. Si tu ne le fais pas et que quelqu'un d'autre le prend, c'est toi qui devra changer. Tu peux donc faire ça ici. Ensuite, tu auras peut être envie de te trouver des potes, non ? Tu peux aller t'ouvrir un répertoire de liens, mais si jamais ce n'est pas assez, tu peux aussi te faire un scénario. N'oublie pas non plus d'aller te recenser dans les différents répertoires. Et puis si tu cherches un rp, ne cherche plus, va directement faire une demande !
Voilà, c'est tout ! N'hésite pas à venir flooder avec nous !