identity card PRÉNOM(S) :La première fois qu'on l'entend, on le prononce nerveusement, comme si c'était une quelconque blague, pourtant c'est un prénom comme tous les autres. Il n'est en rien une caresse pour l'oreille. Il est quelque peu agressif, Falko. Mais tu acceptes qu'on t'appelle Fal' tout simplement. AGE : Voilà maintenant 23 années qu'un joyau couleur rubis anime ton corps. 23 année que tu as poussé tes premiers cris un soir d'octobre. Enfant de l'automne.  PROFESSION :Employé chez the old curiosity shop. Tu as ainsi éviter les métiers de la terre et tes rapprochés de la ville pour simplement avoir plus facilement un œil sur la population. STATUT SOCIAL :Tu aurais tendance à dire que tu es célibataire par choix. Mais la vérité c'est simplement que tu as toujours eu une certaine appréhension vis-à-vis de l'engagement. Tu es seul, cela est pour le mieux d'après toi. RACE : hunter. Ta famille ne t'a jamais laissé le choix, alors tu te plies à leurs règles. NATIONALITÉ : Irlandais, ta famille n'a jamais quitté ses terres depuis des générations. ORIGINES : Un père Irlandais et une mère Française. Tu n'en reste pas moins un pur produit des terres paternellesFAMILLE : O'leary, famille de chasseur depuis quelques années. Principalement orienté dans la chasse des sorciers. Ils usent de leurs fréquentations pour améliorer leurs techniques. Une fratrie quelque peu désunis, un fossé sépare l'ainé du cadet, une légère rancoeur dans le coeur, tu te demandes parfois si tu as réellement ta place.

characterization — La lecture, cela a été pendant une très longue période de sa vie, une grande passion. Un grand amour pour les livres. C'était quelque chose de jouissif, quelque chose de profond. Les mots, les phrases, qui donnent vie à des histoires. Rien que des mots qui volent dans son esprit et son imaginaire faisaient le reste. C'est un idéal, se dire qu'on pourrait s'inventer une vie. Il s'amusait à rédiger quelques lignes sur ce qu'il aurait pu être s’il avait fait telle ou telle chose. — Il est ambidextre. Cependant, il a toujours préféré écrire de la main gauche. La raison lui en a toujours été inconnue. Par ailleurs, il est très doué au Piano, cela doit en être la raison. — Asthmatique, des suites d'une grave maladie. Il n'en a gardé qu'une gêne respiratoire qui fait son apparition principalement lorsqu'il fait des efforts physiques trop prononcés. Perfide poison qu'il entretient avec des cigarettes, alimentant son mal. Comme un alcoolique qui se soigne avec de l'alcool. Un geste provocateur qu'il fait pour dire à son corps qu'il l'emmerde. — Il a toujours eu horreur des sports d’équipe, tout comme les activités de groupes. Disons simplement qu’il a toujours affectionné le travail seul. Savoir qu’une chose ne dépend uniquement que de SES capacités. Il a par ailleurs toujours eu une sainte horreur qu’on lui explique les choses, affectionnant comprendre de lui-même sans avoir à passer par l’intermédiaire d’une personne. S’il a une question, il cherchera la réponse dans les livres. — Par ailleurs, il a toujours été un très mauvais cuisinier et de ce fait mange, lorsqu’il n’est pas nourri par sa famille ou invité à manger chez des amis, quasiment uniquement de la nourriture a emporté. Une hygiène de vit pas réellement recommander, mais il est chanceux que cela n’ait jamais affecté ses capacités physiques. Il a par ailleurs un grand amour pour la nourriture chinoise, il n’est pas rare qu’il ne commande pas ce type de nourriture au moins une fois tous les trois jours.

depuis quand habitez-vous à Glencullen ? Et pourquoi avoir choisi cette ville ? : C'est quelque chose de bien connu, les O'leary n'ont jamais quitté le pays. Tu es le petit dernier d'une famille de fermier qui possède de grands terrains. Tu n'as donc jamais connu que cette région, que cette vie. On pourrait même dire que tu connais tous les coins et les recoins de la ville et des forêts alentour. Aucun mystère, aucune surprise. C'est comme une routine dans laquelle tu es coincé.
Avez-vous remarqué la présence de plusieurs créatures surnaturelles ? Croyez-vous en leur existence ?: Tu ne peux répondre que oui à cette question. Tu en as vu, tu en as chassé, tu en as étudié. C'est quelque chose que tu n'aurais probablement jamais réellement remarqué sans la présence de tes parents dans ta vie. Et pourtant maintenant c'est ta réalité, tu y crois, mais parfois tu ne sais pas quoi penser d'eux.
Croyez-vous en l'existence de divinités quelconques ? Avez-vous une religion ? Si oui, laquelle ? La pratiquez-vous sur une base régulière, ou pas du tout ? : Personnellement, on t'aurait posé ce genre de question il y a des années tu aurais simplement pensé à une religion quelconque. Tu n'es en rien croyant, ni pratiquant. Mais depuis que tu es devenu un vrai chasseur, surtout dans ta famille. Tu es familier aux histoires concernant les sorciers. Tu ne sais pas réellement si cela est une légende ou si c'est la vérité, tout ce que tu sais c'est qu'ils vénèrent une déesse qui les aurait sauvés. Tu ne te permettrais pas de dire si c'est vrai ou pas, après tout tu n'as jamais pris le temps de poser des questions aux principaux intéressés.

PSEUDO :  El diablo miaou / Rainie PRENOM : Maëva AGE : vingt-trois ans COMMENTAIRE, SUGGESTION ? : écrire ici AVATAR :  Dominicain Sherwood GROUPE : Hunter PERSONNAGE : inventé

Tu te promenais dans le jardin familial pour échapper à l’ambiance étouffante qui régnait entre les murs de votre ferme. C’était de plus en plus flagrant, ils n’y avaient que trop de secrets dans votre famille, cela n’était que trop visible. Tu avais donc besoin de sortir, prendre l’air pour profiter de ton enfance qui n’était que rongée par des longs silences et des murmures inaudibles. Tu entendis alors un bruit familier de balle rebondissant sur un mur et, curieux, tu t’en allas voir  qui était en train de jouer. C’était rapide, ton aîné, il était bien plus grand que toi. Vous aviez tout de même 6 ans de différence et depuis peu, lui aussi était devenu comme tes parents. Il avait ses secrets et cela ne faisait que le rendre de plus en plus renfermé. Il ne dit pas un mot alors qu’il te vit arrivé . Il se contentait d’accepter ta présence, tu n’étais encore qu’un enfant. Tu faisais souvent ça, passé successivement dans les chambres de toute ma maisonnée pour voir ce que faisaient les autres. Tu avais toujours ce sentiment qu’ils n’avaient pas de temps pour toi, alors tu te taisais et restait dans un coin, seul.

Cependant, tu ne pus t’empêcher de voir la balle s’approcher dangereusement des carreaux de la fenêtre de la cuisine. «  Attention à la fenêtre » laissas-tu échapper à l’égard de ton aîné. Celui-ci se contenta de renvoyer la balle. «  Tait toi, je sais ce que je fais. » Réaction prévisible en soi. Il n’avait pas de conseil à prendre du petit dernier de la famille. . La trajectoire du ballon fut légèrement modifiée et l'objet finir passa au travers des carreaux dans un horrible bruit de verre cassé pour finir sa course sur une des tables basses de la pièce. Néanmoins, votre mère arriva plus vite que prévu et, furieuse, elle vous demanda des explications. Et là, tu sentis un gros poids te tomber dessus quand ton frère t'accusa de sa propre bêtise. Tu te contentas de serrer les dents, c’était toujours ça avec lui. Il voulait être parfait et faisait en sorte que vos parents le voit ainsi.


«  Cinquante » c’était le nombre matinal, on t’avait tiré du lit avec un chiffre. Pour d’autre cela n’aurait pas de sens, mais depuis plusieurs mois c’était devenu ton quotidien, tu n’avais pourtant que quinze ans et tu étais actuellement en train de suivre un traitement quasiment militaire de la part de ta famille, de ton aîné, et comme si tu n’étais qu’une machine programmé pour obéir, tu t’exécutais. Te tirant rapidement de ton lit, tu vins prendre place sur le sol de ta chambre. Cinquante pompes, tu avais connu pire, tu avais connu mieux. Chaque jour ça changeait.
Un. Le truc. Deux. À garder. Trois. En tête. Quatre. Se moquer. Cinq. Se moquer de. Six. La douleur. Sept. Du reste. Huit. De tout. Neuf. L’indifférence. Dix. Voilà la clé.  Onze. Le seul et unique. Douze. Truc. Treize. Mais il existe. Quatorze. Des tas d’autres. Quinze. Tactique. Seize. Des tas. Dix-sept. Se tenir sur le qui-vive. Dix-huit. Tout le temps. Dix-neuf. Et c’est. Vingt. Simple. Vingt-et-un. Parce qu’il n’y a. Vingt-deux. Rien d’autre. Vingt-trois. A faire. Vingt-quatre. L’entrainement. Vingt-cinq. Avant tout. Vingt-six. Même si tu. Vingt-sept. N’a pas eu ton. Vingt-huit. Mot à dire. Vingt-neuf. Entrainement. Trente. De la rigueur. Trente-et-un. De l’obéissance. Trente-deux. Ils dirigent tout. Trente-trois. Depuis que tu sais. Trente-quatre. Depuis qu’ils. Trente-cinq. Souhaite que. Trente-six. Tu deviennes. Trente-sept. Officiellement. Trente-huit. L’un des leurs. Trente-neuf. O’Leary et. Quarante. Chasseur. Quarante-et-un. Obsession d’une. Quarante-deux. Famille en. Quarante-trois. Quête de. Quarante-quatre. Vengeance. Quarante-cinq. Alors tu obéis. Quarante-six. Même si au fond. Quarante-sept. tu ne sais pas. Quarante-huit. Tu ne connais pas. Quarante-neuf. Les risques. Cinquante. Cinquante.
Il avait compté, évidemment qu'il avait compté, il était resté comme tout les matins pour être certains que tu te pliais correctement à tes nouvelles activités. «  Trop lent » laissa-t-il finalement échappé. Il te rappelait ainsi que tu n'étais qu'un gamin comparé à lui. Il était meilleur, il était parfait. Toi tu n'étais finalement que le dernier d'une lignée qui n'avait pas réellement besoin de toi. C'était le sentiment que tu avais. Ton frère et ta sœur étaient bien meilleurs, plus performants, toi tu ne faisais que traîner les pattes. Du moins, c'était ce qu'il répétait, ton aîné.


Tu étais perdu dans tes pensées, là dans le jardin familial. Ils étaient tous partis pour une balade en forée avec des amis, comme toujours tu leur avais annoncé que tu restais à la maison. Les rassemblements n’avaient jamais été ta tasse de thé. Tes yeux s’étaient égarés sur le rosier, une des rares plantes qui n’était pas ici pour ses vertus médicinale, mais juste parce que tu aimais l’odeur. « Falko » Tu sursautas. Tu avais pensé être tranquille, mais c’était sans compter sur les amis de la famille. Tu relevas la tête, c’était elle. Tu avais presque oublié que le point de rendez-vous était ici. Elle devait être en retard. Ses yeux te fixaient avec tant d’intensité, elle semblait troublée elle aussi. Tu lanças la conversation pour éloigner la confusion. «   Tu es en retard, ils sont partis il y a bien 20 minutes » Elle retint un petit rire « Ce n’est pas comme si j’affectionnais particulièrement les balade en forêt avec nos famille, tu sais ? » Tu aurais aimé qu’elle ne soit pas là. Tu aurais souhaité être seul, mais non. Il fallait qu’elle passe. Tu lâchas, un soupire, c’était vrai que tu n’avais jamais été tendre avec elle. A vrai dire, tu n’avais jamais été tendre avec personne. C’était ton grand défaut, un manque de tact et de douceur dans tes gestes et tes propos. Puis c’était plus compliqué que ça. Depuis que vous aviez grandit, vous vous repoussiez d’une certaine manière, incapable d’accepté la présence de l’autre, bien que désireux de plus parfois.
« Falko ? »Commença-t-elle avait de s’interrompre. La manière dont elle prononça ton prénom. C’était dit comme une caresse, c’était presque intime. Mais c’est alors qu’une guêpe vint tourner autour de ses oreilles, la faisant bouger un peu brusquement, il semblait qu’elle n’aimait pas ça, les insectes. Finalement, elle buta contre toi. Tu t’étais rapproché d’elle et elle semblait surprise. Tellement qu’elle chancela et poussa un petit cri. D’un mouvement rapide, tu l’as rattrapa d’une main ferme par le poignet tandis qu’e tu passas ton autre bras dans son dos pour la stabiliser. Sans le vouloir, tu la maintenais un instant tout près de toi, contre ton torse. Vos visages se touchaient presque, ses lèvres à quelques centimètres des tiennes. Tu sentis son cœur battre fort dans sa poitrine et tu avais l’impression qu’elle retenait son souffle. Un tourbillon de sensation te submergea ; le contacte de ses doigts sur ta peau et la proximité de son corps te faisait perdre la tête. Tu fermas brièvement les yeux, enivrés par son odeur, mais tu la lâcha presque aussitôt, ton regard assombri par… c’était étrange tu n’arrivais pas réellement à mettre un mot là-dessus. Cella avait toujours été compliquée. Il fixa quelques instants ses lèvres. « Je suis désolé, Astrée, je ne voulais pas te faire peur, ou mal » « Non, non… C’est bon, merci… de m’avoir rattrapée, j’aurais cru que tu m’aurais laissé tomber par terre », souffla-t-elle. Elle s’était éloigné un peu, mais son parfum t’enveloppait toujours et tu n’arrivais pas à dissiper le trouble qui t’avait saisi.

Wow, trop cool, t'es enfin des nôtre mon p'tit ! Alors avant de commencer le blabla un peu chiant, je vais quand même te dire ce que j'ai pensé de ta fiche : comment c'est une victime de son frère falko FAUT SE REBELLER MON ENFANT ta fiche est très bien, fais attention toutefois aux petites fautes d'inattention je passe te mettre ta couleur dans quelques minutes, mais tu peux déjà commencer ta fiche de liens et venir t'enjailler dans le flood. bon jeu .

Et maintenant, parlons bien parlons peu, parlons de tout ce que tu peux faire maintenant que tu es validé. Alors déjà sache que la première chose que tu dois faire, et c'est très important, c'est de recenser ton avatar. Si tu ne le fais pas et que quelqu'un d'autre le prend, c'est toi qui devra changer. Tu peux donc faire ça ici. Ensuite, tu auras peut être envie de te trouver des potes, non ? Tu peux aller t'ouvrir un répertoire de liens, mais si jamais ce n'est pas assez, tu peux aussi te faire un scénario. N'oublie pas non plus d'aller te recenser dans les différents répertoires. Et puis si tu cherches un rp, ne cherche plus, va directement faire une demande !
Voilà, c'est tout ! N'hésite pas à venir flooder avec nous !