PRÉNOM(S) : Calypso, comme la nymphe qui a retenu Ulysse pendant sept des dix années de son retour chez lui. Quant à savoir pourquoi ce choix, cela reste un mystère pour la jeune femme. Elle n'a jamais demandé à ses parents et regrette parfois de ne pas avoir pris le temps de discuter avec eux de ce genre de chose, aussi futile que cela puisse paraître. NOM :  S'il y a bien une chose qu'on ne peut pas choisir dans sa vie c'est son identité. Le choix du prénom appartient aux parents de l'enfant, alors que le nom est automatiquement celui du père. Et c'est donc avec fierté que la jeune femme porte le nom de Barrett. AGE : Calypso est née il y a trente et un ans à l'hôpital de Glencullen. C'était un doux automne cette année-là. Le bébé était prévu pour fin septembre, il est arrivé le 16 octobre. PROFESSION : Quand elle était petite, Calypso disait qu'elle voulait être maîtresse d'école, en grandissant, elle voulait être vétérinaire, puis journaliste et enfin écrivain. Finalement, son choix s'est arrêté et aujourd'hui, elle est médecin légiste. STATUT SOCIAL : Célibataire endurcie, Calypso ne cherche plus l'amour depuis longtemps. Elle a bien eu des sentiments pour quelqu'un, malheureusement l'élu de son cœur était déjà pris. Ce rendant bien compte qu'elle ne faisait pas le poids face à l'autre femme, la chasseuse à garder à jamais ses sentiments scellés au fond de son cœur et a rejeté un bon nombre de prétendants. RACE : On naît tous humain, ce sont les hasards de la vie qui font qu'on change de nature. Calypso est toujours humaine, mais une humaine qui connaît l'existence des créatures obscures et qui les chasse. Un fardeau qu'elle ne porte pas seule car sa famille fait partie des plus grandes parmi les chasseurs. NATIONALITÉ : Irlandaise, ce n'est pas vraiment une grande surprise, aujourd'hui pratiquement tous les Barrett se trouve en Irlande à cause de sa grande concentration de sorciers et de loups-garous. ORIGINES : A ce qui paraît, à la base, les Barrett viennent de la belle France. Ils se sont installés à Glencullen il y a plusieurs générations. FAMILLE : Avant, Calypso souhaitait avoir une famille moins grande. A présent, elle regrette cette pensée absurde, car elle a perdu une grande partie dans l'incendie du manoir. Il lui reste à présent, sa grande sœur et le plus jeune de ses frères aînés, ainsi que des nièces et neveux, enfants de sa sœur et du plus vieux de ses frères.

(001), Obéissante et loyale envers sa famille, Calypso est ce genre de femme qui ne pose aucune question et qui accomplit à la perfection ses missions. (002), Sauvage, elle ne se laisse pas facilement approcher par les inconnus. (003), Etant la cadette d'une fratrie de quatre enfants, la jeune femme a l'impression qu'elle doit  toujours prouver sa valeur auprès de ses paires pour être remarquée et appréciée. De ce fait, est née dans son cœur une certaine jalousie pour ses frères et surtout pour sa sœur. (004), Le chakhram est son arme de prédilection. Elle possède un qu'elle peut séparé en deux. (005), Son animal favori est le loup. Ironiques n'est-ce pas ? Elle qui les nuits de pleine abat des monstres lui ressemblant. (006), Comme tout bon chasseur qui se respecte, Caly pratique divers sport comme le footing, les arts martiaux, la natation et la boxe. Cependant, c'est le patinage sur glace qu'elle aime par-dessus tout, ça l'aide à Se détendre et à réfléchir. (007), La brunette ne fume pas. Pour elle, fumer, c'est pareil à du suicide. (008), A défaut d'avoir un loup, Calypso possède un petit félin, une siamoise du nom de Saphir. (009), Vers ses seize ans, la chasseuse s'est fait tatouer une petite tête de cerf dans la nuque. Puis, pour ses vingt ans, se fut une plume sur le flanc gauche. (010), Elle possède une mémoire eidétique. C'est-à-dire qu'elle est capable de se rappeler de tout ce qu'elle a vu avec la plus grande précision. (011), La demoiselle a horreur de porter des jupes et des robes. Toutefois, quand il n'y a pas le choix, elle en porte, mais ne se sent pas du tout à l'aise. (012), Vous pouvez être sûr d'une chose, la brunette ne vous parlera pas le matin tant qu'elle n'aura pas bu son café. (013), Elle va régulièrement devant les ruines du manoir familial. (014), Bien qu'elle n'a pas droit d'en mettre à son boulot, la jeune femme a une collection impressionnante de vernis à ongle. En tout, elle en a cinquante. (015), Depuis ses dix sept ans, Calypso tient un journal intime. Dedans, il y répertorie tout ce qu'elle apprend du monde surnaturelle, les créatures qu'elle a tué et elle dessine même des scènes ou des visages.

PSEUDO : Codsworth. PRENOM : Virginie. AGE : Vingt-sept ans. FREQUENCE DE CONNEXION : Sept jours sur sept. COMMENTAIRE, SUGGESTION ? :    AVATAR : Gal Gadot. GROUPE : Hunters. PERSONNAGE : Inventé rattaché à la famille Barrett.

Tout a commencé deux lunes plus tôt, alors que je chassais des loup-garous, je suis tombé par hasard sur un rituel de sorcier. Heureusement, je n'étais pas seule pour cette chasse et pendant que les autres continuaient à traquer les bêtes, j'ai décidé de m'occuper seule de cette autre créature obscure. Tapis dans l'ombre des arbres, aussi discrète qu'une brise, je me suis déplacé pour trouver le meilleur angle de vue possible. Pendant un instant, je me suis maudit de ne pas avoir pris d'arme à feu avec moi ou au moins un arc et des flèches, même si je savais moins bien les manier que mon fidèle chakhram, ça m'aurait été plus pratique. Seulement, le temps pressait et je n'avais pas intérêt à rater mon coup. La vie de la victime en dépendait. J'étais prête à abattre l'homme qui me tournait le dos. Je ne comprends toujours pas ce qui a échoué cette nuit-là. Comme à mon habitude, j'ai lancé ma première arme pour qu'elle ce plante dans le dos. En même temps, l'autre arme devant moi, je me jetais sur lui pour trancher sa gorge. La première lame s'est planté dans un mur de terre et gisait déjà au sol quand j'ai porté mon second coup qui n'a coupé que l'air. La femme était morte, baignant dans son propre sang. Le sorcier réapparut quelques mètres plus loin devant moi. Il avait un sourire mauvais sur les lèvres. Depuis toujours, je n'ai  jamais cherché à savoir si les loup-garous et les sorciers avaient une âme. Est-ce qu'il fallait en épargner certain parce qu'ils regrettaient leur acte ? Le simple fait d'être une créature de la nuit me suffisait pour que je les tue. On m'a entraîné à le faire depuis mon plus jeune âge. On m'a dit et répété que c'était des monstres et qu'ils faisaient du mal à des innocents. Certes, ils n'avaient pas le choix, car c'était dans leur nature, mais mon obligation était de les arrêter.

Ce soir-là, je n'ai pas réussi à arrêter un de ces monstres. Même après plusieurs heures de combat et plusieurs blessures, il s'est échappé. J'avoue que cela m'a beaucoup agacé. Heureusement, je ne suis pas du genre à baisser les bras. Grâce à mon travail dans la morgue de la police, j'ai pu étudier la défunte, ses vêtements, son identité, savoir qu'elle était célibataire, sans enfant et qu'elle fréquentait régulièrement les bars. J'ai aussi cherché à savoir s'il y avait d'autres femmes qui correspondaient à son profil et les circonstances de leurs morts. Bien évidemment, j'ai trouvé plusieurs concordances. Armée de mon dossier, je suis allé en ville pour enquêter de mon côté dans les bars et les boîtes de nuit. J'ai fini par trouver le lieu commun où le sorcier trouvait toutes ses proies. Après ça, il n'y avait plus qu'à attendre la prochaine pleine lune pour mettre fin à ses méfaits. Malheureusement, entre temps, une autre jeune femme avait connu le même sort que les autres. C'est le problème qu'on a nous autres chasseurs, le fait d'opérer dans l'ombre pour que le commun des mortels ne sachent rien nous ralentit considérablement. Mes ancêtres n'avaient pas ce problème avant. Les autres humains nous appelaient lorsqu'ils avaient des problèmes avec des monstres. Aujourd'hui, lorsque plusieurs femmes sont retrouvées mortes dans les mêmes circonstances, on parle d'homme avec un problème psychologique ou familial.

Bref, le soir de pleine lune, j’étais à ce fameux bar où opérait le sorcier. Quelques minutes plus tard, il était là en quête d’une nouvelle proie. Très vite, il trouva celle qui lui fallait, une belle rousse, seule à quelques chaises plus loin de moi. Il lui offrit plusieurs verres avant de lui proposer de la ramener chez elle. Je me souvenais des résultats sanguins sur les autres femmes, elles avaient toutes le taux d'alcool élevé. C’est toujours plus facile quand la proie se laisse faire après tout, lui dire qu’on la raccompagne chez elle alors qu’on l’amène tout droit vers sa mort. L’esprit embrumé, elle ne verra pas trop la différence, se dira qu’il prend un raccourcit. Je les ai suivi à bonne distance en moto. Cette fois-ci, il n’aura pas le temps de faire quoi que ce soit. La voiture ralentit tandis que moi j'ai continué un peu plus loin. Pour lui, j’ai prévu une autre arme, il ne verra pas le coup venir. Le reste du trajet, nous le faisions à pied. Pendant qu’il préparait son rituel, moi c’était mon fusil que j’armais. Puis j'ai tiré au moment où sa dague allait frapper la femme. Une balle en pleine tête suffit pour tuer un sorcier. Ensuite, il ne me restait plus qu’à effacer les traces. Ma mission étant terminée, je suis rentré chez moi, l'esprit et le cœur vide, je ne ressentais aucune satisfaction dans ce que je venais de faire.