identity card PRÉNOM(S) : Edith. un prénom d’origine germanique signifiant « richesse » et « combat », je donnerai raison à cette signification, du moins pour 50%... Rosalie. « qui concerne les roses » sans doute une prédestinée pour mon intérêt pour les choses belles. AGE : Vingt-huit ans. c'est à cet âge là que je suis décédée, puis que je revenue... Dois-je continuer à compter de ce fait ou suis-je pour toujours condamnée à vivre dans ma vingt-huitième année ? PROFESSION : Pharmacienne. et ce même si depuis quelques temps le fait de soigner les gens ne me passionne plus autant qu'avant. STATUT SOCIAL : Assez aisée. mon père possède une riche demeure en ville, à fait fortune à Londres et à épouser une fille de bonne famille anglaise, ma mère, donc. RACE : autrefois sorcière, maintenant humaine ou zombie... je ne sais pas vraiment. NATIONALITÉ : Irlandaise. ORIGINES : mon père est irlandais, ma mère est anglaise, j'ai quelques origines germaniques également. FAMILLE : Si c’était mon père qui vous expliquait l’histoire de ma famille, il commencerait par vous expliquer que c’est une très ancienne famille de la région dont les racines sont profondes… Une famille qui compte dans ses rangs de nombreux médecins, thérapeutes et même quelques hommes de lettres. Une famille qui a fait fortune dans l’industrie pharmaceutique et qui est depuis assise sur une source inépuisable de gains, car comme dirait mon père « tant qu’il y aura des maladies, nous serons là pour les guérir ». Il épousa ma mère, une héritière endettée de la petite noblesse anglaise ruinée par les deux guerres… Je pense qu’il décida d’épouser ma mère pour son nom, bien plus que pour sa personne, une façon de flatter son ego un peu plus encore. Je n’entretiens pas véritablement de bonnes relations avec lui, ni même avec ma mère qui n’a d’yeux que mon frère aîné… Par sa négligence et son goût pour le whisky, j’ai failli mourir à la naissance, fœtus malingre condamné à mourir comme de nombreux autres… À croire que cette Déesse qui m’a sauvé n’a fait que retarder l’inévitable. J’étais également fiancé depuis trois ans à Buddy Jamison, un produit pur souche manufacturé à Glencullen dont la famille a fait fortune dans la culture de la mûre et de la pomme et dans la vente de leurs spiritueux… Très mal considéré par mon père qui les considère comme une famille sociale et pensante « inférieure » au regard de la façon dont ils ont réussi.

characterization Elle n’était pas destinée à vivre. Fœtus gangrené par l’alcool, elle aurait dû mourir, mais cela n’est pas arrivé… La Déesse est intervenue dans le calcul. ❁ Elle est la cadette d’un garçon de cinq ans son aîné, Conan, jeune médecin, fierté de la famille Bukater. ❁ Édith aime les choses belles : la peinture, la sculpture, de la belle pâtisserie, des beaux bouquets de fleurs, la belle joaillerie française… Un goût de luxe qui lui a été transmis par sa mère, issue de la noblesse anglaise. ❁ Fiancée à Braddy depuis trois ans, ce dernier lui avait fait sa demande lors d’un voyage à Amsterdam. ❁ Pharmacienne depuis de nombreuses années, elle a réussi à acquérir une certaine notoriété et beaucoup de personnes connaissent Édith. ❁ Plus jeune, sa mère avait repéré la beauté germanique de sa fille et avait hâté son père de l’envoyer à Londres pour débuter une carrière dans le mannequinat… Malgré l’insistance de son épouse, il avait refusé. ❁ Édith ne s’est jamais beaucoup entendu avec son frère aîné, il est son extrême opposé. Intolérant et suffisant, il se complaît dans cette classe élitiste que leur père aime tant. ❁ À ses quatorze ans, Édith se connecte à l’eau lors d’une baignade en mer à bord du bateau familial… Elle parvient par la suite à acquérir le savoir de la terre et de l’air, mais ne parviendra jamais à contrôler le feu. ❁ Elle n’apprécia jamais le goût du sang. ❁ Lors de son enterrement de vie de jeune fille, Édith est droguée puis assassiner. Ce sont ces amies qui découvriront le corps avant d’appeler son fiancé. ❁ Rappeler depuis les Enfers, elle a perdu ses dons de sorcière et se sent faible, fragile et démunie… Le monde lui paraît beaucoup plus fade. ❁ Depuis sa résurrection, elle n’a pas repris le travail et s’enferme dans ses doutes et ses remises en question. ❁ C'est un ancien camarade de classe, sorcier et secrètement amoureux d'Édith depuis des années qui a usé de nécromancie pour la ramener à la vie. Il a notamment sacrifié les témoins qui avaient constaté son décès. Elle loge chez lui depuis, partagé entre le dégoût d'elle-même, la peur et la haine de son sauveur, et un désir brûlant. ❁ Elle a également développé une aptitude médiumnique qui la hante, des âmes défuntes vont et viennent en recherche d’une aide qu’elle ne peut pas leur apporter.

depuis quand habitez-vous à Glencullen ? Et pourquoi avoir choisi cette ville ? : Depuis toujours, je suis née et j'ai grandi ici, et pour dire pourquoi mon père a choisi cette petite bourgade plutôt qu'une autre... sans doute pour son altitude, et pour encore une fois se gausser d'être plus près du ciel ? ou alors as-t-il seulement trouvé plus « amusant » d'exposer sa réussite à des personnes de classe sociale plus humble ? Avez-vous remarqué la présence de plusieurs créatures surnaturelles ? Croyez-vous en leur existence ? Si vous êtes vous-mêmes une de ces créatures, avez-vous conscience de la présence de chasseurs, ou vous pensez-vous plus fort qu'eux de toute manière ? : J’étais l’une d’entre elles, infirme fœtus sauvé par l’éclat de la lune, petite sorcière baptisée sous le signe de l’eau, amoureuse de la mer et de ses fonds marins… J’ai disparu, balayée par un courant étranger et perdue à tous jamais dans des profondeurs dont je ne me souviens qu’une fois mes yeux clos. Mon fiancé est un sorcier également, force brute, plus terrestre, moins adepte de la réflexion et fervent pratiquant de l’action-réaction. Je connaissais les chasseurs oui, je connaissais l’appel de la nuit et les créatures qu’elle dissimulait… Aujourd’hui je ne suis plus rien, observant un monde dénué de sa saveur et victime des assauts constants d’âmes que je ne peux aider. Croyez-vous en l'existence de divinités quelconques ? Avez-vous une religion ? Si oui, laquelle ? La pratiquez-vous sur une base régulière, ou pas du tout ? : Si de divinités il n’y avait pas dans le creux des cieux ou dans les abysses infernaux, notre condition ne serait pas si sanglante… Autrefois pantin d’une lune égocentrique, cruelle et vaniteuse, fille d’un être dont le baiser est plus mortel encore que sa beauté, je ne crois en plus rien ici-bas que je me sais damnée à errer dans ce monde et dans le prochain. De foi je n’ai plus car seuls des êtres cruels ont pu nous pousser à tuer notre prochain, créant ce cercle vicieux, cette chasse sempiternelle qui ronge toutes les races de ce monde...

PSEUDO : choco.chanel PRENOM : clément. AGE : vingt-et-un ans. COMMENTAIRE, SUGGESTION ? : je veux une pomme d'amour    AVATAR : scarlett johansson. GROUPE : écrire ici PERSONNAGE : inventée.

Paisible, fluide, souple, ses cheveux suivant la danse imposée par les embruns et rythmée par le chant fluet de l’eau… Ses yeux clos mais dont les fines paupières étaient percées par les myriades de lumières filtrant au travers de la surface marine. Inutile de se débattre, inutile d’avoir peur ou de craindre les courants, tout n’était que caresse subtile sur sa peau d’albâtre, quelques mouvements qui lui arrachaient une chair de poule stimulante. Bercée, lévitant au milieu de ténèbres dont elle pouvait sonder jusqu’aux moindres recoins, tournoyant dans cette immensité bleutée où la paix était reine et où tout n’était qu’ordre millénaire… Elle était comme elle, généreuse, entière et elle serait source de vie.

C’est toujours au crépuscule que l’on réalise ce que l'on va perdre sans savoir ce que l'on va gagner, c’est à cela qu’elle pensait alors que le poison consumait son être… Tout ceci aurait pu être tellement différent. Cet enterrement de vie de jeune fille n’aurait pas été ses derniers instants. Cet homme remuant son fessier n’aurait pas été celui qui allait lui prendre la vie. S’il n’y avait pas eu l’alcool en surdose, si ses amies ne lui avaient pas payé une danse privée, s'ils n'avaient pas été seuls, si elle n’avait pas été sorcière et lui lupin, si son instinct animal n’avait pas parlé alors que le sien était à des lieues de penser trouver un ennemi prêt à frapper… Ici. Il l’avait pourtant fait. Il lui avait retiré sa veste, il lui avait fait boire un verre, elle avait perdu la notion de ce qui se passait comme transportée vers ailleurs, puis la chaise avait basculé, il avait attrapé un couteau avant de se percer la veine pour venir la coller à la bouche d’Édith, appuyant sur ses côtes pour qu’elle ouvre grand, contrainte par la douleur… Une douleur physique qui avait précédé des brûlures, sa gorge s’était ensuite enflammée, ses organes s'étaient tordus. Il assénait insulte sur insulte mais elle était sourde à son venin et rendue muette par le poison qu’il avait distillé en elle… Il guérirait oui, mais elle, elle allait mourir rongée par un mal que seul le sang véhiculait.

Assise sur un lit défait, un gilet en mailles blanc tiré le long de ses jambes, son visage posé sur ses genoux pliés, elle observait la ville depuis la fenêtre. L’environnement avait changé, la ville avait remplacé le paysage bucolique de sa maison familial, le goudron avait pris place là où s’étendait le gazon, les lampadaires s’étaient substitués aux arbres et les gens aux moutons des prés environnants. Tout avait changé, jusqu’aux personnes qu’elle voyait passer dans la rue, dénués de cette aura qui l’avait toujours rassuré, de cet indice qui lui avait indiqué la nature de son interlocuteur. C’était comme avancer en étant aveugle désormais, comme si elle devait réapprendre à vivre, à côtoyer autrui… On toqua à sa porte, elle ne fit pas un geste, pas un son mais on entra tout de même. Un homme aux yeux de jais, au teint livide et portant dans ses mains un plateau-repas où était disposé un petit déjeuner maison accommodé d’une fleur dans un vase en terre cuite, entra. « Édith ? » Elle ne répondit pas, le silence était la plus parlante des réponses, la plus cinglante des répliques, la meilleure façon d’exprimer sa haine plutôt que sa reconnaissance. Il posa le plateau sur un guéridon. « Il faut que tu manges… » Se permit-il de formuler. Comment pouvait-on rejeter et désirer la présence d’une personne ? Comment cette dualité s’était-elle emparée d’elle ? « Buddy passera vers quatorze heures. » Lança-t-il avant de se retourner. « Je ne veux pas le voir. »  Répondit-elle. Comme hier, comme avant-hier, comme mercredi dernier et la semaine d'avant… Elle devrait être morte, elle le savait. Il avait fallu treize sangs versés et une damnation pour la ramener à la vie. « Il faut… » Tenta-t-il avant qu’elle ne se lève, le regard brûlant de ressentiment. « Ne me dis pas ce qu’il faudrait que je fasse, tu n’as aucun droit, aucun ! Moi je vais te dire ce qu’il aurait fallu que tu fasses... Il aurait fallu que tu me laisses morte, que ma famille m’enterre et que Buddy passe à autre chose avec une autre femme ! Tu m’as damné, tu t’es damnés, je te hais, cet amour que tu me vous es une route solitaire sur laquelle tu es ! Tu aurais dû continuer à nourrir tes fantasmes, tes rêves et ton admiration avec mon souvenir plutôt que de m’imposer ta rebutante et monstrueuse présence ! » Conclu-elle avant de mettre à terre le plateau-repas, ramassant le vase avant de le jeter contre la vitre puis de sortir de la pièce.

S’observant devant le miroir de la salle de bain, elle constatait que rien ne semblait avoir changé… Ses lèvres d’un rouge carmin, ses yeux myosotis, ses cheveux tels les blés au soleil, sa peau laiteuse et son air candide. Souillée pourtant par le baiser de la mort qui lui avait tout ôté, qui lui avait tout pris avant de permettre son retour ici… Une revenante a la chaire putréfiée maintenue en vie par une magie qui lui donnait la nausée. Un craquement vint interrompre ses pérégrinations solitaires. La lumière vacilla. Reculant de quelques pas, elle observa le couloir qui menait aux chambres… Au bout de ce dernier, une silhouette se dessinait, brumeuse et sombre. Dans un claquement elle ferma la porte puis la verrouilla en priant pour cet humble portant de bois serve de rempart à ce qui la hantait. Une faiblesse d’esprit qui ne porta pas ses fruits malgré la lumière qui resta fixe. Quand elle se retourna dos à la porte, un visage immobile la regardait dans les yeux, lui arrachant un cri strident. « Avez-vous vu mon fils ? C’est un petit garçon, un tout petit garçon… Avez-vous vu mon fils ? C’est un petit garçon blond, un blond petit garçon… »

Wow, trop cool, t'es enfin des nôtre mon p'tit ! Alors avant de commencer le blabla un peu chiant, je vais quand même te dire ce que j'ai pensé de ta fiche : j'ai beaucoup apprécié ta plume :** hâte de voir ce que ça va donner avec le nécro et le fiancé te voilà donc validée, bienvenue chez toi .

Et maintenant, parlons bien parlons peu, parlons de tout ce que tu peux faire maintenant que tu es validé. Alors déjà sache que la première chose que tu dois faire, et c'est très important, c'est de recenser ton avatar. Si tu ne le fais pas et que quelqu'un d'autre le prend, c'est toi qui devra changer. Tu peux donc faire ça ici. Si tu as peur d'avoir du mal à t'intégrer sur le forum, ou si tu as encore quelques questions, le système de parrainage a été mis en place pour permettre aux nouveaux de se sentir chez eux. Tu peux trouver toutes les informations par ici et t'inscrire dans le même sujet si tu en ressens le besoin. Ensuite, tu auras peut être envie de te trouver des potes, non ? Tu peux aller t'ouvrir un répertoire de liens, mais si jamais ce n'est pas assez, tu peux aussi te faire un scénario. N'oublie pas non plus d'aller te recenser dans les différents répertoires. Et puis si tu cherches un rp, ne cherche plus, va directement faire une demande ! Pour finir, tu peux créer un journal de bord à ton personnage, pour y retracer son histoire, son évolution, etc.
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