identity card PRÉNOM(S) : née Enat, crinière de feu. Devenu inconnu, substitué par Chess, prénom de mâle collé sur son teint pâle. AGE :vingt-deux ans du haut de ses talons trop grands. PROFESSION : putain, salope, pompeuse, sac à fric, chatte, baiseuse, punching ball, boîte à plaisir, objet. What else? STATUT SOCIAL : possédée, par une raclure. RACE : dans toute sa complexité d'humaine. NATIONALITÉ : cheveux flamboyants et tâches de rousseurs multiples vous le crient. Irlandaise. ORIGINES : La pure souche de l'Irlande. FAMILLE : un vague souvenir que ses années de tapin ont estompé. Dans le brouillard, des traits se dessinent encore; little boy, rouquin, parsemé de tâches orangées, traits fins. Un prénom, Chess, le sien, le leur.

characterization 01. Fumeuse. Paquets jaunâtres de clopes Camel se déchirent et s'ouvrent entre ses doigts. Trop, beaucoup trop. Cinq par jour, peut-être plus. Cendrier déborde toujours. Elle fume la nuit, le jour, avant le tapin, après, parfois même pendant. Y'a des porcs que ça excite, la voir aspirer, cracher. Une rebelle au visage de poupée. 02. Insomnies. Elles se renouvellent, chaque nuit. Ses yeux clos s'ouvrent aux cauchemars. Dormir peu, pour échapper à ses démons. 03. La ceinture. Elle claque contre sa peau. Laisse des marques, parce qu'ils aiment ça. La tenir fermement, effleurer les entailles. Y'en a d'autres que ça met en rage. Mais ça marche, ils reviennent, par pitié, ils pensent la protéger du pire. L'auteur c'est son mac', son possesseur. Il jubile le salaud. Ça le défoule, resserre son emprise. 04. Chatte sauvage. Petite chatte au pelage d'ange, rarement elle ronronne, souvent elle griffe, crache et se hérisse. On dit que ça fait son charme, le contraste. 05. Vulgarité. Elle la transpire. Dans ses mots, ses gestes, ses mimiques. Elle l'est devenue, entière, vous fouette le visage à coup d'injures. Manque d'éducation, disent les plus sensibles. Oui, éduqué, elle ne l'est plus. Le bordel a pris possession d'elle.  06. Enfant blessé. Caché derrière ses grands airs, ses clopes Camel et son verre d'absinthe. Image invincible et insensible. Foutaise. La nuit, au fond des draps, à l'abri des regards, l'enfant sanglote. 07. cleptomanie.  ils sont radins en pourboire, ils t'emmerdent, ils sont moches, ils ne pensent pas à toi, ils te font mal, ils sont trop gentil: tu les voles. C'est ton droit, après tout, ça compense.

depuis quand habitez-vous à Glencullen ? Et pourquoi avoir choisi cette ville ? : Elle n'a pas choisi Glencullen, ce salaud, l'a choisi pour elle. Voir le monde, au-delà de son patelin pourri, devenir quelqu'un, il lui a promis. Dure réalité. Glencullen elle a vu, pute elle a eu. Ses 15 années presque écoulées, elle y est entrée et ses rêves elle s'est fait fracassé. Au coin d'un trottoir elle s'est relevée. À Glencullen, Chess elle est devenue. Avez-vous remarqué la présence de plusieurs créatures surnaturelles ? Croyez-vous en leur existence ? Si vous êtes vous-mêmes une de ces créatures, avez-vous conscience de la présence de chasseurs, ou vous pensez-vous plus fort qu'eux de toute manière ? : Un soir de pleine lune, une forme noire aperçue dans l'obscurité, des yeux jaunes d'une étrange lueur humaine posés sur elle. Hallucination. Démons qui la hantent. Un mouvement de tête et disparue. Le surnaturel c'est pour les gosses. La peur, on l'aime quand on est môme. Après, on la fuit comme la peste parce qu'on y croit. Parce qu'on a d'autres emmerdes. Des choses chelous, elle en voit bien trop, ce n'est pas du surnaturel, ce sont juste des tarés, des dérangés. Et quand bien même ces tordus peuvent faire flamber leurs poils ou ajouter quatre pattes à leur queue, elle s'en cogne, il la paye. Si eux sont des chiens, elle, elle est une chatte. Croyez-vous en l'existence de divinités quelconques ? Avez-vous une religion ? Si oui, laquelle ? La pratiquez-vous sur une base régulière, ou pas du tout ? : Dieu n'existe pas, s'il existe c'est un connard. Ne pas vénérer les connards. Glencullen lui a appris. Enfant, elle priait, chapelet serré entre ses doigts d'enfant. L'église elle côtoyait. Aujourd'hui elle crache et pisse dessus. Quand elle en parle c'est pour l'insulter, parce qu'il est une chienne et qu'il se fou bien de sa gueule. C'est un porc, comme les autres il aime mater. C'est ça qui l'excite, mater la souffrance. Le bonheur, c'est sa carotte au cochon.

PSEUDO : Flume PRENOM : justine, mais vous pouvez m'appeler June.    AGE : 22 ans COMMENTAIRE, SUGGESTION ? : C'est trop parfait   AVATAR : Dasha Sidorchuk GROUPE : Humans PERSONNAGE : scénario  

Enat, Quinze piges, tu lui fais confiance, sottise. Il dit que tu es belle, qu'il peut te rendre célèbre, ses paroles bercent tes illusions. Tu vas être admirée, enviée, jalousée. Ses doigts se posent sur ta peau pâle. Il est vieux, plus vieux que toi. Mais tu t'en fiche, il te regarde, ça te rend importante. Tu rougis, il te fait vivre. Quinze pige et tu te barres sans demander ton reste. Découvrir le monde, voyager. Tes yeux se posent pour la dernière fois sur Chess, petit frère fragile, le pouce dans sa bouche efface tous les malheurs du monde. Il comprendra, il sera fier de toi…

Glencullen t'a avalé, crue, entière. Jetée dans un bordel, innocence piétinée. la nuit, tu vis, inondant leurs gorges d'alcool, ils ne te touchent pas, pas encore, trop jeune. Pourtant, certains te regardent, avec envie, caressent tes joues peintes de tâches de rousseurs. Ton enfance vole en éclat, tes rêves sont brisés, tu survis.

Dix-huit pige, il te demande de choisir, partir ou rester. Le bordel est ta famille, nulle part où aller. Tu y as pris goût, elles te fascinent, les putes.


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❝ Move up, move up, rough comme une louve. Bouge ton corps de la tête aux pieds, et là j't'approuve. Move up, move up. Gal' wine ton body. Montre-leur que t'as pas peur, d'exciter tous les bandits. Wine comme une vipère, si t'as le savoir-faire, t'inquiète pas, y à pas d'galère. J'le dirai ni à ton père ni à ta mère. Ondule comme un ver de terre. Et jette-moi dans les yeux, ton regard de panthère. ❞

« C'est ton grand jour Chess'! » le claquement sur tes fesses accompagne ses mots. L'excitation dans ses yeux te dégoûte. Il te mate, à moitié à poil, t'évalue comme un morceau de viande. Ce soir la marchandise est fraîche. Ta crinière rousse tombe sur tes épaules, sauvage, indomptable. Mais, domptée, Ce soir tu le seras. Montée, tes hennissements vont faire trembler les murs. Vingt et une heure sonne, il est l'heure. Tes talons claquent le marbre de l'escalier. Leurs yeux roulent vers toi, fixent tes courbes de peau nue. L'attraction de la soirée, la vierge à dépuceler. Aujourd'hui pas de trottoir, tout est en privé, rien que pour toi, le chaud des draps, le chaud des corps qui s'emmêlent. À force elles t'ont vendue du rêve, parce qu'elles se sont attachées à toi, elles veulent que tu sois des leurs parce qu'au final, c'est pas si mal. Les enchères ont commencé. Tu les alimentes, un clin d'œil à un, un baiser propulsé d'un souffle à l'autre, plus le prix monte, plus tes hanches dansent.

Une voix rauque et les autres s'évanouissent. Il leur a cloué le bec, avec son chiffre à triple zéro. Plus personne ne bronche, il t'emporte, sa prise t'intimide. Lorsque les portes se ferment il ne dit mot. Un mouvement de tête t'ordonne d'ôter tes habits. Il t'intimide, encore, tu fais moins la fière devant ses yeux glaçants. Un regard semble te transpercer, mordre ta chair, écarteler tes os. Le tissu qui recouvrait ta peau tombe sur le sol, léger, silencieux. Tu es jetée sur le lit,  froisse les draps de soie, dans ton dos tu entends le métal de sa ceinture qui s'entrechoque. Il n'attend pas, la douleur te transperce, te coupe le souffle. Le long de ta cuisse le sang dégouline. Tel un loup, il grogne. Tu ne comprends pas, cherche le plaisir, mais il n'y en a pas. Tu regrettes, trop tard... Tu n'oublieras pas.  L'aube te réveille, il a disparu, sans un mot. Tu penses à un rêve, mais le sang séché sur ta peau te ramène à la réalité.  Il n'y a pas de prince charmant, seulement des porcs.  

❝ J'veux que tu réveilles, que tu stimules mon coté bestial. A ton contact, je deviens liquide. C'est comme un trou intemporel, bouge ton corps de femelle. Regarde le long de tes hanches, je coule. Ondule ton corps, baby, ouais, ok ça roule. Je deviens insaisissable à ton contact l'air est humide, c'est comme une étincelle dans ton regard avide. ❞

Ta clope Camel glisse entre tes doigts, à chaque expiration la fumée caresse tes lèvres.  Ce soir, le froid mord tes phalanges, la lune est pleine, la nuit est calme. Tu t'emmerdes, les mégots s'entassent à tes pieds gelés, tombent dans le caniveaux. Enfin, Des phares aveuglent tes yeux, ils se plissent. Une voiture s'arrête à ta hauteur, tu te penches à la fenêtre, ton jeu habituel s'est posé sur le coin de tes lèvres., mais la vue de cette tignasse ébouriffée efface subitement ton sourire.« Et merde.... »  « Dans 30 minutes le service est fini, je veux plus voir vos tronches. » « Va chier ! » Tu remballes la marchandise, roule des yeux, rallume une nouvelle clope, ta soirée est définitivement pourrie...  Connard de Morgenstern.  « Casse-toi tu vas faire fuir les clients ! »  Il s'en branle,  t'ignore en sortant de sa boite à gants une bouteille de gnole.  Le moteur ronronne bruyamment, étouffe tes soupires exaspérés.  « T'as peut-être envie  d'un p'tit moment de détente pour la fin de ton service ? » Tu le regardes droit dans les yeux, flamboyante, te penche vers lui à travers la fenêtre ouverte de sa voiture.  Avec ta main et ta langue,  tu imites le mouvement d'une pipe. Il t'adresse un regard, à peine insistant, son expression lasse alimente ta haine. « Non, je vais plutôt demander à Natasha, j'préfère les blondes. » Tu n'as pas le temps de répliquer, juste le temps de sortir ta tête de sa voiture. Ses pneus crient, ton doigt d'honneur s'encadre dans son rétroviseur.

Wow, trop cool, t'es enfin des nôtre mon p'tit ! Alors avant de commencer le blabla un peu chiant, je vais quand même te dire ce que j'ai pensé de ta fiche : j'adooore ta plume sans rire, c'est agréable, pas lourd pour un sou, et pourtant c'est pas commun et tout, fin c'est génial quoi et puis chess envoie énormément de lourd, j'suis pressée d'en apprendre plus sur la famille de la p'tite bref, sans plus attendre, j'vais te mettre ta couleur bienvenue chez toi .

Et maintenant, parlons bien parlons peu, parlons de tout ce que tu peux faire maintenant que tu es validé. Alors déjà sache que la première chose que tu dois faire, et c'est très important, c'est de recenser ton avatar. Si tu ne le fais pas et que quelqu'un d'autre le prend, c'est toi qui devra changer. Tu peux donc faire ça ici. Si tu as peur d'avoir du mal à t'intégrer sur le forum, ou si tu as encore quelques questions, le système de parrainage a été mis en place pour permettre aux nouveaux de se sentir chez eux. Tu peux trouver toutes les informations par ici et t'inscrire dans le même sujet si tu en ressens le besoin. Ensuite, tu auras peut être envie de te trouver des potes, non ? Tu peux aller t'ouvrir un répertoire de liens, mais si jamais ce n'est pas assez, tu peux aussi te faire un scénario. N'oublie pas non plus d'aller te recenser dans les différents répertoires. Et puis si tu cherches un rp, ne cherche plus, va directement faire une demande ! Pour finir, tu peux créer un journal de bord à ton personnage, pour y retracer son histoire, son évolution, etc.
Voilà, c'est tout ! N'hésite pas à venir flooder avec nous !