identity card PRÉNOM(S) : A la base, mon prénom était Lena. Mes parents biologiques ne m'ont pas donné de prénom et c'était donc à ma maternante de m'en fournir un. Puis j'ai aussi eu un second prénom, Laura pour remplacer le nom de famille que je n'avais pas. C'est toujours mieux dans un dossier. Lorsque les Ridley m'ont adopté, ils ont décidé de garder ces deux prénoms dans mon dossier, mais de m'appeler Cirilla comme prénom courant. Pourquoi ce prénom ? Ils leur plaisaient tout simplement. Pour ce qui est du nom de famille, on peut pas dire que j'avais vraiment le choix, c'est celui de mes parents adoptifs : Ridley. AGE : Vingt-sept automne. Oui je ne dis pas printemps car je suis née à l'automne, la nuit du vingt-six septembre mille neuf cent quatre-vingt huit. PROFESSION : J'exerce le métier d’apothicaire, métier qui m'est venu tout naturellement après avoir eu un chaman pour mentor. STATUT SOCIAL : « La vie est un long fleuve tranquille. » Les gens ne retiennent que ça de la belle citation de Denis Langlois. La suite est plus vraie : « ..., ce sont les rives qui sont dangereuses. Il ne faudrait jamais aborder. » Voilà ma situation amoureuse. RACE : Descendante des soeurs Halliwell. Humaine avant tout. NATIONALITÉ : Canadienne et bientôt Irlandaise puisque ma mère a décider de rester vivre à Glencullen. ORIGINES : C'est comme lorsque le médecin veut savoir les antécédent de ma famille (s'il y a des cardiaques etc...). Etant fille adoptée, je ne connais pas mes vrais parents. Donc... Euh... Joker !   FAMILLE : J'ai débarqué dans une toute petite famille. On est douze membres au total. Fille unique, mes parents mon bien éduquer. Ayant trente-huit dans plus que moi, ils ont été strict sur mon éducation, mais aussi un peu surprotecteur étant tant désirer puisqu'ils ne pouvaient pas avoir d'enfant. Ma mère traduit des livres de son ordinateur à la maison. Mon père était guide touristique.

characterization rancunière altruiste impatiente indépendante lunatique fidèle indomptable observatrice susceptible calme méfiante méticuleuse sincère sportive téméraire imprévisible indifférente secrète + Née sous X, je ne sais pas du tout qui sont mes vrais parents. Je pourrais certainement payer un détective, faire des recherches pour les retrouver. Mais ça ne m'intéresse pas. Je suis bien heureuse avec le couple Ridley qui m'ont eu quand j'avais deux mois. Ma mère est stérile et ne peut donc pas faire d'enfant. + Sur mon lit, on trouve encore une petite peluche bleue (un peu rafistolé) que m'aurait donné mes parents biologiques à ma naissance. + J'aime moyennement mon prénom, surtout depuis que des petits malins à l'école m'appelaient « Princesse Cici. » ou chantaient dans les couloirs « Rilla fait de la Paella ! » C'est franchement con. M'enfin bref, je préfère qu'on m'appelle juste Ciri. + A la base, j'ai commencé des études en lettre pour devenir journaliste plus tard. Mais le destin à voulu que je rencontre le chaman de la tribu Cree qui m'a apprit l'art de la médecine par les plantes. Je me suis donc tourné vers le métier d'apothicaire pour aider à soigner des gens d'une manière plus naturelle.+ J'aime énormément les animaux et tout particulièrement les félins. De ce fait, j'ai deux chats chez moi, une sacré de Birmanie et une Nebelung : Saphir et Emeraude à cause de leurs yeux. + Comme une pulsion impossible à réprimer, il m'arrive parfois de voler des choses. Un bijou dans une boutique. Des stylos à une camarade de classe. Je ne convoite pas spécialement l'objet, c'est juste de faire le délit qui m'intéresse.

depuis quand habitez-vous à Glencullen ? Et pourquoi avoir choisi cette ville ? : Je n'ai pas vraiment eu le choix. Après la mort de mon père, ma mère a décidé de retourner chez elle, auprès de sa famille. Au début, c'était juste quelques semaines, histoire de ne pas être trop seule. Puis on est resté un mois, puis plusieurs, maintenant, ça fait presque un an qu'on est à Glencullen. Avez-vous remarqué la présence de plusieurs créatures surnaturelles ? Croyez-vous en leur existence ? Si vous êtes vous-mêmes une de ces créatures, avez-vous conscience de la présence de chasseurs, ou vous pensez-vous plus fort qu'eux de toute manière ? : Etant une sorcière, je suis capable depuis toujours de voir l'aura des gens et ainsi différencier les différentes « races » qui habitent cette terre. Je me doutais que parmi les humains, il y aurait des chasseurs de créatures magiques, mais je n'en avais jamais rencontré jusqu'à ce que l'un d'eux tue mon mentor. J'ai beau haïr les chasseurs, je préfère les éviter plutôt que de les affronter et risquer ma vie inutilement. Croyez-vous en l'existence de divinités quelconques ? Avez-vous une religion ? Si oui, laquelle ? La pratiquez-vous sur une base régulière, ou pas du tout ? : Existe-t-il vraiment un dieu ou une déesse juste et bon ? Chaque religion à sa divinité, mais que fait-elle lorsque ses enfants s'entre-tuent dans des guerres ? Rien ! De part mes parents, je suis catholique. On m'a baptisé. J'ai fait mes communions, mais ça s'arrête là. Nous ne sommes pas plus croyant que ça. En ce qui concerne la Déesse et la Mort, j'y crois comme les autres sorciers. Je pratique les rituels les soirs de pleine lune. Mais ai-je vraiment le choix ? Bien sûr que non, c'est la Lune qui nous force à le faire pour punir des sorciers qui sont morts depuis longtemps.

PSEUDO : solas PRENOM : virginie AGE : vingt-sept ans COMMENTAIRE, SUGGESTION ? : premièrement, je tiens à féliciter et à remercier le staff d'avoir fait un forum pareil.  ca fait un moment que je me cherchais un coup de coeur pareil. la lecture des annexes étaient intéressantes, elles sont claires et très bien détaillées. malheureusement, j'ai tardé à venir et toutes mes célébrités favorites sont prises comme Kat McNamara et Lily Collins (gare à vous, je vais certainement polluer votre relationship.  AVATAR : Alycia Debnam-Carey GROUPE : sorcier PERSONNAGE : inventé

« Tu n'es pas ma fille! », m'a-t-elle dit un jour. Je devais avoir neuf ans à ce moment-là, assise dans la salle de bain, je lisais un bouquin que m'avait prêté une de mes voisines. L'histoire parlait d'une fille qui a été adoptée. J'aimais beaucoup lire et à cette époque j'étais beaucoup trop naïve pour comprendre que ce livre était en train de me dire que j'étais comme ce personnage. Une enfant dont ses parents biologiques ne voulaient pas ou ne pouvaient pas s'en occuper. Je n'appréciais pas du tout entendre que les parents ne pouvaient pas garder l'enfant. « Quand on veut on peut », me disait souvent mon père. S'ils ont fait un gamin c'est qu'ils savaient ce que cela impliquait. Mais non, certains font des conneries et n'assumaient pas. Ensuite, ils faisaient comme avec un chien, ils abandonnaient leur enfant en se persuadant que le bébé sera mieux ailleurs. C'était le cas pour moi, j'étais heureuse dans cette famille jusqu'à cette révélation brutale. Quelques secondes avant, j'ai levé mes yeux vers elle, au travers du miroir, je l'ai observé, me rendant compte à quel point elle était âgée. Il y avait trente-huit ans d'écart entre nous deux. Pourtant, je me suis toujours sentie très proche de ma mère. Elle travaillait à la maison pour pouvoir rester avec moi. Mais ce jour-là, je lui en ai voulu amèrement pour m'avoir dit cette vérité sans ménagement. Voilà comment on provoquait un traumatisme chez un enfant. Et pour preuve, à partir de ce moment-là, je n'étais plus la gentille petite fille obéissante, mais un vrai diablotin. Devenue très rancunière, chaque chose qui me blessait, je lui renvoyais en pleine figure puissance dix. Je me souviens très bien d'un jour en particulier, car je l'ai fais pleurer. Noël approchait et comme tous les ans, on devait s'occuper ensemble de la décoration de notre maison. Sauf que cette année-là, ma mère avait décidé de le commencer sans moi. J'étais tellement furieuse contre elle que les mots sortaient de ma bouche sans que j'y réfléchisses. J'étais infecte avec elle et aujourd'hui, je ne suis pas fière de ce que je lui ai fait subir durant toutes ces années. Devant mon père, elle prétextait la crise d'adolescence pour justifier mon changement de comportement. Il y croyait. Il faut dire que M. Ridley n'était jamais à la maison en semaine, il ne voyait pas ce qui s'y passait. Il rentrait le vendredi soir et restait pour le week-end. Durant ces deux jours, j'étais la fille à son papa. On me disait souvent que j'avais son caractère : indépendant, altruiste et impatient. Ensemble, on allait à la pêche ou en randonnée dans la forêt près de Edmonton. C'était de belles années d'insouciance et de bonheur.


Seulement, en moi dormait une nature dont je n'avais pas encore pleinement conscience. Adolescente, j'étais certes fascinée par le surnaturel. A trop regarder des films et des séries de science fiction, je finissais par m'imaginer vivre le même genre d'aventure qu'avait les héros. Ma vie était trop banale et je m'ennuyais à mourir. Parfois, je me rendais dans la réserve de la tribu Cree dont quelques jeunes étaient mes amis et j'écoutais leurs aînés parler de leur légende tel que le wendigo, le loup blanc et j'en passe. J'étais fascinée par tout ça, mais je n'osais jamais m'approcher du shaman. Il y avait quelque chose dans son regard d'effrayant. Parfois, j'avais l'impression de comprendre ce qu'il voulait me faire voir à travers son regard. Son aura avait la même couleur que moi, tandis que tous les autres autour de nous étaient d'une faible intensité de couleur jaune. Très vite arriva cette fameuse première nuit de pleine lune. Alors âgée de seize ans, je me suis sentie mal un premier temps, ma mère insista pour que je reste au lit et venait très régulièrement voir comment j'allais sauf que d'heure en heure, mon état empirait. J'avais des poussées de fièvres incroyables. Je vomissais même quand je n'avais plus rien dans l'estomac. Je voulais sortir à tout prix, malheureusement, mes parents m'en empêchaient. Ils ont appelé le médecin qui est venu très vite et ne trouva aucune explication.  J'étais rarement malade, mais là, j'avais bien cru que j'allais mourir. Tremblante, je n'arrivais plus à parler ni à penser correctement. Puis le matin arriva et tout s'arrêta, étrangement, j'allais beaucoup mieux. Seulement, trop inquiet de ce qui s'est passé la veille, ma mère m'empêcha de sortir toute la journée. Malgré mes protestations, j'étais assigné à résidence pour qu'elle puisse me surveiller en cas de rechute. A la nuit tombée, tout bascula à nouveau, en pire cette fois-ci. Et là, ni tenant plus, je suis sortie dès que ma mère avait le dos tourné. A peine au contact de l'air frais, tout s'évapora. Je me sentais mieux. C'est là que je le vis, le chaman. Il était devant chez moi, adossé à sa vieille voiture. *Comment ça se fait qu'elle roule encore ?* Bref, il était là, et prenant mon courage à deux mains, je me suis avancé vers lui. Il me raconta tout, étant lui-même un enfant de la Déesse. Aussi fou que ça puisse paraître, je l'avais cru. Je savais qu'il me disait la vérité et ça me paraissait aussi normal que de respirer. C'est donc avec lui que je fis mes premiers pas en temps que sorcière. Il m'initia au sacrifice, un cadeau que nous devons faire pour la Mort, notre père à tous les sorciers. Les gens que nous tuons étaient âgée et donc sur le point de mourir. Qu'ils étaient de la tribu Cree ou de la ville d'Edmonton, ils venaient jusqu'à la maison du vieux chaman pour qu'il les aide. Bien que beaucoup pensaient que se n'était que des légendes, les chamans étaient des indiens ayant des pouvoirs magiques, ils faisaient qu'un avec la nature et Dieu, ils étaient médium et ils savaient faire des potions magiques. Mon mentor savait faire certaines de ces choses-là, mais pour les autres chamans, se n'étaient que des charlatans qui volaient les honnêtes gens. Le chaman me parla également de la connexion que j'aurais peut-être un jour avec un élément de la nature, phénomène que j'attendais avec impatience et curiosité. Durant les années qui ont suivis mes seize ans, j'ai passé chaque jour auprès de mon mentor. Il m'aida à me perfectionner. Bien entendu, il n'avait pas besoin de tout m'expliquer, je connaissais les choses, elles faisaient parties de moi comme le gaélique, mais ça ne faisait jamais de mal d'avoir quelqu'un avec plus d'expérience à ses côtés. D'ailleurs, très souvent, un sourire s'affichait sur mes lèvres quand les mots en gaéliques sortaient de la bouche de l'amérindien. Je l'imaginais plutôt chanter dans sa langue maternelle en dansant autours d'un feu, des peintures de guerre sur le visage et le torse. Pour ma part, c'était moins étrange car ma mère était irlandaise. On ne parlait pas sa langue maternelle à la maison, mais parfois, je l'entendais se parler à elle-même et je le comprenais.


Les choses ont changé pour moi à partir de mes vingt et un ans. Tout d'abord, mon père a été assassiné par le plus grand meurtrier de tous les temps : le cancer. Les jours suivants son enterrement, je suis resté devant sa tombe, à attendre quelque chose, une réponse peut-être. Et elle arriva, bien plus tard, à un moment où je ne m'y attendais pas, sous la forme de la connexion tant attendu. La nuit venait tout juste de tomber lorsque le chaman arriva derrière mon dos. Il était inquiet pour moi. L'ignorant totalement, je suis resté assise par-terre à contempler les tournesols. J'aimais beaucoup arranger la tombe de mon père et les tournesols étaient sa fleur préférée. Les minutes ont défilé sans qu'on se rende compte que quelqu'un nous espionnait. Un chasseur qui savait que le vieux indien était en sorcier. Il s'approcha de nous et tua mon mentor. J'étais la suivante bien évidemment. J'aurais du fuir, mais j'étais incapable de bouger. Il leva son bras, près à me planter son couteau dégoulinant de sang en plein cœur quand soudain une masse de terre se leva comme une vague et tomba sur le tueur de sorcier. Une grande dose d'adrénaline parcourut mon sang, je respirais comme un bœuf alors que je n'avais pas encore courut. Mais c'était ma chance de m'en sortir, je n'avais pas tué l'individu, juste déstabilisé. Alors, j'ai pris mes jambes à mon cou et je suis rentré chez moi. La mort d'une peau rouge dans un cimetière parut le jour suivant dans les fait divers, puisque chez nous, les indiens mourraient plus souvent que les peaux blanches, victimes de racisme. J'aurais dû pleurer la perte de mon mentor, mais la peur était plus forte que la tristesse, le chasseur m'avait vu, il ne mettra pas longtemps à me retrouver et je subirais le même sort que le chaman. Heureusement, ma mère décida qu'on devait partir pour Glencullen en Irlande. Elle y était née là-bas et une partie de sa famille y vivait encore. Cette décision me soulagea, car j'avais besoin de mettre de la distance entre moi et le chasseur. Au départ, nous étions censé rester que trois semaines, mais ma mère a rencontré un homme et s'est installé chez lui. Quant à moi, j'ai pu racheter une boutique d'apothicaire et poursuivre tranquillement ma vie de sorcière, apprenant à contrôler d'autres éléments que la terre. Mais la tâche s'avéra difficile, surtout avec l'air et le feu. J'ai également rencontré un homme, avec j'ai commencé une relation sérieuse. Seulement comme rien ne se passait normalement dans ma vie, on a apprit par le biais de son père qu'on est peut-être frère et sœur. Tout deux, nous avons une tâche de naissance, lui a l’omoplate et moi sur la cuisse gauche. Un petit cadeau de notre mère qui en avait aussi un. Ce fut le choc pour nous trois car ça veut aussi dire que le père de mon petit ami était mon père. Vivement le test de paternité que nous soyons fixé !