identity card PRÉNOM(S) : Iseult. Le prénom glisse entre les lèvres. Un prénom comme un autre, un prénom hasardeux, trouvé sur la couverture d'un livre qu'elle n'a pas lu. Un prénom par défaut, sans la moindre signification, sans le moindre coup de cœur. AGE : Vingt huit ans. Une jeunesse passée. Une vie à venir. Une existence bouleversé de mille et un tourment. Mais ne faut-il pas passer par le pire pour découvrir le bonheur. PROFESSION : Professeur de danse. La danseuse déchue a refusé d'abandonner son rêve et le distille à des mômes envies, qui tournent et tournent en rond, flottant sur les musiques, aériennes et gracieuses. STATUT SOCIAL : Ton cœur est marqué de son nom. Peu importe les tourments qui vous assièges et semblent vous désunir, rien ne pourra jamais briser le lien de deux âmes sœurs, deux âmes liées par un amour pur et véritable. RACE : Fille de la lune et de la mort. Fille de chimères. Âme teintée de sorcellerie aérienne. Magicienne du souffle et du vent, tu te laisses bercer par la danse du vent. L'air est partout autour de toi, il emplit le vide, il emplit ton cœur et élève ton corps. NATIONALITÉ : Irlandaise de pure souche. ORIGINES : Le sang irlandais sillonne tes veines. Tu n'en tire aucune fierté, puisque ton sang appartient à ta mère Lune et reviendra finalement à ton père, la mort. FAMILLE : Une famille décimée, inexistence. Il est devenu ta famille. Celle qui compte. Celle pour laquelle tu désires te battre jusqu'à ton dernier souffle.

characterization 1# Tu as toujours rêver de construire le foyer que tu n'as pas eu. Depuis que cette possibilité t'a été arrachée, tu es obsédée d'autant plus obsédée par l'idée d'avoir un enfant. Cette obsession de dévore et creuse un fossé dans votre couple déjà fragilisé par la morsure du loup. 2#Tu aimes créer et réinventer ce qui t'entoure. Tu déniches des merveilles que tu transformes. Tu joues de ces objets dont plus personne ne veut pour les remettre au goût du jour. Artiste de décoration, tu adores sentir les textures, jouer avec les matières et mélanger les couleurs. Tu exportes tes démons à travers l'expression de ton art. 3#Tu ne supportes pas la monotonie. Tu aimes réaménager ton appartement au grès de tes humeurs. Souvent en proie à des émotions forte, tu éprouves le besoin de changer, de bouleverser ton quotidien. Il t'arrive de modifier complètement ton environnement, de le réinventer pour qu'il corresponde à tes envies du moment. 4# Tu es de celle qui emprisonnes des instants de bonheur dans une photographie. A tes yeux, une photo réussie est une photo qui arrive à faire transparaître avec fidélité l'instant volé. Ce sont des morceaux de vie, emprisonné dans le temps et l'espace. 5#Tu n'prouves aucune culpabilité à arracher une vie pour l'offrir en sacrifice à ta mère lunaire. Tes sacrifices sont l'empreinte de tes réflexions profondes, ils transpirent de ton esprit torturés. tes dernières cibles sont des mères qui ne devraient pas l'être. Ces mères qui ont bafouer une chance qui t'a été refusée. Tu les exècres, celles qui n'ont aucunement conscience du cadeau que la vie leur à donner.

depuis quand habitez-vous à Glencullen ? Et pourquoi avoir choisi cette ville ? : Tu as l'impression que cela fait une éternité que tu n'a pas été cette fille rêveuse qui a débarqué avec ses valises à Glencullen, les mains liées à celle de ton âme sœur. Tu as l'impression que cela fait une éternité que tu n'es plus cette fille, débordante de joie et d'espoir en l'avenir. Tu as l'impression que cela fait des années que tu as été attiré dans les filet de cette ville, irrésistible attirée par le pouvoir qui se dégage d'elle. Oh oui, une éternité. Ou quelques années. Tout est différent. Rien n'est plus pareil.  Avez-vous remarqué la présence de plusieurs créatures surnaturelles ? Croyez-vous en leur existence ? Si vous êtes vous-mêmes une de ces créatures, avez-vous conscience de la présence de chasseurs, ou vous pensez-vous plus fort qu'eux de toute manière ? : Je suis l'une d'entre elle. J'avais toujours vu mon don comme une bénédiction, un cadeau dont je devais être fière et pour lequel je devais me montrer éternellement reconnaissante. Ce n'est plus le cas aujourd'hui. Nous sommes les créatures de la nuit, condamné aux désespoirs et à l'obscurité. Croyez-vous en l'existence de divinités quelconques ? Avez-vous une religion ? Si oui, laquelle ? La pratiquez-vous sur une base régulière, ou pas du tout ? : Tu t'es tournée vers la lune alors que le monde entier te tourner le dos. Tu t'es donnée à elle, sublime déesse qui t'a permis de vivre. Et pourtant tes certitude vole en éclat depuis qu'elle t'a arraché l'homme de ta vie, t'empêchant ainsi de construire le foyer que tu as toujours ardemment décider. Tu doutes d'elle. Tu doutes, emprisonnée dans une brume sans fin. Tu ne sais plus si tu dois la vénérer alors que tu ne fais que la blâmer pour le mal et la douleur qu'elle t'inflige. Elle est responsable de la malédiction des loups. Elle est responsable de la malédiction de ton loup. Tu ne peux oublier cette ultime trahison. Tu as quitté le cercle, son cercle de fanatique dont tu ne parviens plus à faire partie.

PSEUDO : VOYOU. PRENOM : Elodie. AGE : vingt six ans.COMMENTAIRE, SUGGESTION ? : je vous aimes à la folie de la vie mes ptits culs. AVATAR : Lily James GROUPE : Sorcerers. PERSONNAGE : inventé.

D'aussi loin que tu t'en souviennes, il n'y avait que lui et toi, toi et lui. Vous contre le monde. Deux parties d'une même âme, enfermées dans des corps bien d'instinct. Les romantiques ont un nom pour nommer deux âmes comme les vôtre, des âmes sœurs, des âmes jumelles.  D'aussi loin que tu t'en souviennes, il n'y avait que lui et toi, toi et lui. Vous contre le monde. Alors il n'est pas vraiment étonnant que le monde s'interpose pour tenter de briser ce lien unique qu'il ne peut comprendre. Foutu monde et son ironie. Pauvre âme sœur, condamnée à se haïr.  C'est l'histoire de deux âmes, deux âmes qui se battent contre un monde qui s’efforce de les séparer, deux âmes condamnées à une errance sans fin pour se retrouver.

Un diamant en sucrerie que tu portes autour de ton annulaire. Une promesse d'amour. Tu as oublié tes premières désillusions et tu lances ton cœur aux plus offrant. Tu rêves de tomber amoureuse. Alors, tu joues à être amoureuse, alors tu l'idéalises. Tu transformes l'appartement en forteresse, armée de guirlandes de noël, de voiles et de coussins. Tu dessines sur les murs, donnant vie à tes songes, puis tu suspends des photos que tu as découpées dans les magasines. Tu enfiles tes ailes. Tu te crées une vie, un monde, un univers. Le rêve devient réalité. Il n'y a aucune limite à ton imagination. Pendant que tu façonnes ton propre monde, Maman s'envoie un raille de coke et s'enfile une bouteille de Jack.  Maman a la peau couleur chocolat, alors que toi, tu as une jolie peau laiteuse, blanche comme la lune. Ça attire les regards. Une maman noire et un bébé bancs. Les murmures sifflent, perfides, cruels et pleins de mauvaises intentions. Elle s'est fait engrossé par un con qui a claqué la porte à la première occasion. T'es une môme bien solitaire. T'es une gamine avec beaucoup trop d'imagination. Et la maîtresse ne cesse de te répéter que la magie, ça n'existe pas. Elle te le dit tellement souvent que tu finis par y croire. Il n'y a que les bruits de verres qui éclate sur les murs. Les cris stridents et les disputes interminables. Les hommes vont et viennent, il n'y a pas de papa potentiel, juste des gars de passage. Ton monde, c'est ta forteresse, qui égaille ce taudis qui te sert de maison. Tu as une silhouette frêle, presque malade, cicatrice d'une grossesse compliquée résultant des drogues qu'elle a continué à prendre sans se soucier des effets que cela avait sur ton organisme, sur ton développement. Et toi, jolie môme, tu ne connais pas encore les secrets de ton existence.



La musique enveloppe délicieusement les lieux, remplissant le vide et dévorant le silence. Tu pinces les lèvres, tes doigts se nouent et se dénouent. Il y a cette dame, grande et élancée, qui se mouvent devant toi, gracieuse et aérienne, elle enchaîne les mouvements avec une facilité déconcertante. Tes pupilles se gavent de ce spectacle, avide de pouvoir reproduire les pas qui s'enchaînent sans jamais sembler s'arrêter. Cela t'émeut, au plus profond de ton âme. Ce souvenir se grave en toi, laissant une emprunte indélébile et inoubliable. Tu n'avais rien connu de tel. Jusqu'à ce que tes propres mouvements viennent faire vibrer ta silhouette frêle. Emportée par un courant d'air léger qui semble accompagné chacun de tes gestes. tu tournes, tu virevoltes, portée par une bouffée de bonheur qui t'enveloppe délicieusement, un vent sucré qui caresse ton corps et ton âme. Le pouvoir est là, tout autour de toi, émanant de toi. Le monde qui t'entoure s’effrite, intangible, irréel, comme si ton existence, elle-même, prenait un tout autre sens. Tu t'abandonnes à cette force aérienne. La musique s'estompe. Tu deviens une curiosité. Ta façon de bouger trahi ton appartenance à un monde que le commun des mortels ne peut comprendre, ni même percevoir. Ils sont aveugles, ensorcelés par des artifices, incapables de saisir la beauté qu'ils observent et côtoient. C'est ton monde, ton univers, pour la première fois de ta vie, tu te sens appartenir à quelques choses de bien plus grand que toi. Tu prends des respirations profondes, laissant les effluves de magie emplirent délicieusement tes poumons. Tu avais déjà fais ça avant? Et dans ta tête de môme, les mots ne trouvent pas le même sens. Leur humanité ne peut saisir cette magie qui explose en toi, éveillant en ton bas ventre une nuée de papillon dans les battements d'ailes de chatouilles les entrailles. Non, leur humanité ne voit que ce que leur banalité leur permet de voir. Une danse talentueuse et bouleversante. Toi, tu secoue la frimousse à la négative, peinant à retrouver la réalité, à te détacher de cette sensation enivrante.



Une bête de foire. Oh toi, jolie môme, tu te laisses écrasés par les jeux de popularité. Tu n'es ni laide, ni ingrate, mais tu ne coules pas sur l'or, tu n'as pas les moyens de te mettre au goût du jour, de te mettre en valeur dans de jolies tenues. Intellectuelle poussée dans ses retranchement, plutôt solitaire, souffrant des préjugés et des rumeurs qui circulent à propos de ta génitrice. Tu serres les dents, tu entres dans le rang et tu t’effaces. Tu n'es rien. Tu n'es personne. Une ombre parmi la marée humaine. Des bruits de couloirs, des rumeurs et des insultes glissent jusqu'à toi. Tu feins de ne pas les entendre. Et quand la blessure est trop douloureuse, un peu moins acceptable, tu laisses la magie dégueuler de ton âme souillée pour leur arracher un morceau de la fierté qu'ils t'ont arraché. Tu t'es posée contre ton casier, laissant ton regard hasardeux se glissé sur la marée humaine qui circule dans le couloir.  Sa silhouette se détache des autres, développant une aura électrisante. Il y a quelques choses chez lui qui t'attire, bien au delà de la beauté de ses traits, tu t’accroches à ce que seul tes yeux de sorcières peuvent percevoir. Une enveloppe humaine, trahissant la beauté de son humanité alors que des lueurs dorées dansent dans l'auréole jaunâtre qui contourne son corps. Sa lumière semble plus brillante que celle des autres. Tu te surprend à sourire, te délectant de la magnificence de son aura. Bien trop beau pour une fille aussi insipide que toi. La reine crache sa venin alors que sa suite s'esclaffe. Douloureuse constatation criante de vérité. Tu n'es rien. Tu n'es personne. Aucun garçon ne voudrait poser le regard sur toi, aucun garçon sinon lui. Ton cœur hurle de douleur, pour un garçon que tu ne connais même pas. Et juste quand ton regard allait s'abaisser pour se dérober, il croise le sien. Brûleur incandescente qui fait monter le feu de tes joues. Tu ne sais rien de lui, si ce n'est qu'il est entré dans ta vie pour ne plus jamais en sortir.



Geste mécanique. La lune murmure délicieusement à ton oreille. L'illusion ce que tu es en train de faire est juste. Tu n'es plus qu'un vulgaire pantin dans les mains gracieuses de ta précieuse mère. Elle trône dans les hauteurs, lumineuse, incandescente et impériale. Tu ne lui résiste pas, bercée par son envoûtement. Tu cèdes à son caprice, à demi conscience, tes yeux voient sans saisir ce qu'il est en train de se produire, tes mains se mouvent sans que tu ne le décides et tes lèvres parlent sortent une incantation gaélique que tu n'as jamais apprise. Cela vient du profond de tes entrailles, comme une évidence. Et finalement ta dague glisse sur la chaire pour l'entailler profondément. Le liquide pourpre dégouline de la plaie. Tu pinces tes lèvres, obnubilée par la présence du ruisseau rubis qui se forme autour du corps . La vie s'arrache du cadavre alors que tu te gaves de son énergie après en avoir cédé à ta reine mère. T'es souillée par le sang de ta première victime. Le voile brumeux qui couvrait tes pensées se soulèves. Tu te heurtes à l'horrible réalité. Tes mains sont souillées par le sang de ta première victime. Tu te surprends à adorer la sensation qui t'étreint le cœur. Tu sens les flux magiques circuler dans tes veines, nourrissant chaque parcelle de ton corps d'un pouvoir savoureux et exquis. T'es bouleversée part la scène dont tu es l'instigatrice, bouleversée par la brutalité et la violence de ce corps assassiné, mais plus encore, bouleversée par la plénitude qui en découle. T'es prise d'une panique soudaine. Tes doigts tremblent alors qu'ils composent le premier numéro qui te viens. Leith. je... j'ai besoin de toi. Sa voix s'élève, tirer brutalement d'un sommeil profond. Tu l'extrais de ses songes, l'attirant dans le monde impitoyable auquel tu appartiens. Il sait tout de toi. Les mots pour parler de ta véritable nature sont sortis naturellement, sans que tu n'éprouve le besoin de t'en justifier. Tout es toujours simple avec lui. Pas ce soir. Il te retrouve une dizaine de minutes plus tard, dans l'obscurité des bois. Tu es là, silhouettes ensanglantée, l'âme abîmée par ce passage à l'acte sanglant. Il te toise, curieusement. Il te toise, sans jugement. Il se contente de t'attirer contre lui. Et tant pi si le sang tâche ses vêtements.



Les coups réguliers portés à la porte de ta chambre, ne te font plus rien. Le poing de ta génitrice s'abat furieusement sur le bois pour essayer de t'atteindre. C'est arrivé tant de fois que le vacarme te coule dessus sans t'atteindre. La valise que tu t'es achetée il y a quelques années a fini par se remplir. Des fringues, des photos, des bouts de vie, tout ce que a jamais compté pour toi est bouclé cette valise. Tu comptes partir, partir pour ne plus jamais avoir à revenir, partir le plus loin possible de cette pseudo mère qui n'en porte que le nom. Elle n'est pas celle qui t'a tout donné, tout offert, non, il n'y a jamais eut que des cris et des larmes. Tu te détournes de celle qui ne te mérite pas, pour te tourner vers celle sans qui tu ne serais pas là. La Déesse Lunaire, astre lumineux à la peau blanche et laiteuse, comme la tienne. Tu sens sa force et son pouvoir circuler dans tes veines, nourrissant ton âme d'une énergie bienveillante. Un sourire vient étiré tes lèvres alors que tu écartes une latte du planché pour y cueillir ton trésor. Quelques liasses de billets économisé depuis que tu es en âge de travailler pour t'extraire de la misère qui a commencé à tapisser les murs de ton âme. Tu les fourres dans ton sac à main. A côté de tout ce fric, tes biens les plus précieux, ceux qui te permettent de communiquer avec ta mère. Tu les places avec précaution dans ta valise, geste symbolique qui scelle à tout jamais ta fuite, ta disparition. Tu avais couvert tes pas en sacrifiant des victimes qui te ressemblaient pour que le jour de ton départ, les autorités ne voient en toi que la victime supplémentaire d'un dégénéré. Douce ironie, lorsque le bourreau devenait la victime pour disparaître aux yeux de tout ceux qu'elle avait connu. Les crissements des pneus retentissent à l'extérieur. Ton cœur se gonfle d'une joie incommensurable, une joie qui déferle et anéanti toute l’obscurité qui se pressait contre ton cœur fragile. Tu ouvres la portes. L'air t'enveloppe délicieusement, comme s'il formait un mur de protection entre toi et le monde extérieur. Ta génitrice veut se précipiter, mais pour la première fois, tu lui opposes une résistance, pour la première fois, tu laisses ton pouvoir dégueuler de ton corps et repousser violemment son corps imbibé d'alcool contre le mur. Un murmure inaudible et incompréhensible passe le seuil de ses lèvres. Tu t'en fous, tu es déjà en train de descendre les escalier, dévorant la distance qui te sépare de la porte d'entrée. la liberté est à porté de main, elle commence dans cette voiture, avec lui. Cela ne pouvait être nul autre que lui. Tu t'engouffres dans la voiture, l'énorme valise sur tes jambes. Ton rire éclate dans l'habitacle alors que tu portes ton regard sur lui. Nul autre que lui. Tu sais tu pouvais mettre tes affaires à l'arrière? Un regard vers le siège arrière de sa voiture alors qu'un sourire vague s'empare de tes traits. Tes bras serrent ta valise, la ramenant un peu plus contre ta poitrine. Ton cœur bat la chamade, bouleversé par ce bonheur qui te submerge, cette euphorie qui alangui tes sens. Roule. Juste... Roule. Ton avenir est là, juste là, avec ce garçon là. Et si vos cœur n'ont pas encore compris, vos deux âmes sont déjà étroitement liées l'une à l'autre.



La déesse astrale siège dans l'océan étoilé, divine et incandescente. Tes orbes azurés s'élèvent vers les cieux alors que d'un mouvement précis et assurés, tu tranches la jugulaire de ton sacrifice. Aucune émotion ne transparaît sur ton visage. Tu a appris à masquer les sentiments qui se bousculent en toi. Le dégoût s'enfonce dans des nuée de plénitude lorsque le pouvoir déborde en toi. Un inspiration profonde, tu laisse l'air emplir tes poumons alors que tu savoirs les joies de ce pouvoir retrouver. Des bruissements de feuilles. Ta mâchoire se crispe alors que tu scrutes les bois, tentant de rechercher l'instigateur de tout ce vacarme. Il t'apparaît enfin. Le seul et l'unique. Le sang dégueule d'une plaie béante. Tu as un mouvement de recule lorsque tes yeux perçoivent les tâches sombres qui garnissent son aura dorée. Ta bouche s'ouvre se se referme. Non. pas ça. Pas toi. Mais au delà de l'ennemi, c'est l'amour de ta vie qui se trouve devant toi. Tu dévores la distance qui te sépare de lui, te débarrassant du foulard enserrant ton cou. Tu appliques le bout de tissus sur la morsure maudite. Iseult, est ce que je vais... Tes doigts poussent davantage sur la blessure putride qui déchire sa chaire. Chut. Ne dis rien, je m'occupe de toi. Tu évites soigneusement son regard, craignant qu'il n'apprennent ce que tu sais déjà. Il va se transformer en l'une de ces créatures que tu exècres. Il va se transformer et plus rien entre vous ne sera jamais plus comme avant. Tu ne sais pas comment le lui annoncer. Tu ne sais pas comment le lui dire. Tu repousses les pensées qui te tirailles de l'intérieur. Tu les repousses en attendant de pouvoir affronter cette foutue évidence.



Une douleur fulgurante t'étreint le bas ventre. Tes doigts serrent les siens, tes doigts s’agrippent un espoir funeste et macabre. Les larmes coulent et creusent encore davantage le sillon violacé qui souligne ton regard. Tes traits sont déformés par la fatigue entremêlée d'une douleur constante. Tu ne veux pas renoncer à ce bout de rêve. Tu ne veux pas renoncer à l'espoir. Tu ne veux pas te débarrasser de ce bout de vie qui grandit en toi, ce bout de vie qui te détruit de l'intérieur, cette part de lui et toi, toi et lui. Tu en veux à l'astre lunaire de t'infliger pareille épreuve. Cette mère que tu avais chérie et glorifiée en lui offrant des âmes humaines. C'est ainsi qu'elle te remerciait? C'est ainsi qu'elle t'aimait? Cette mère était d'une cruauté sans nom, elle avait maudit ton mari et aujourd'hui, elle avait pourri le fruit de tes entrailles, t’empêchant d’obtenir tout ce dont tu avais toujours rêvé. La mâchoire se crispe alors que la douleur s'empare de ton corps. Ton cœur palpite furieusement contre tes tempes. Tes doigts s'accrochent à ceux de ton adoré que tu n'arrives pas à détester, malgré la morsure qui l'a transformé en un frère ennemi. Il se glisse derrière toi, t'attirant contre lui, ton dos se plaque contre son torse, ta repsiration se calque à la sienne. il t'encercle de ses bras, murmure à ton oreille, son souffle caressant ta peau. Ta tête bascule en arrière. Fatiguée, exténuée. Il te faut abandonné. Il te faut lâcher prise. Je ne peux pas te perdre. les sanglots éclatent. Tu pourrais donner ta vie contre celle de l'enfant... Malheureusement, même ta vie ne serait pas un sacrifice suffisant. Il est le fruit pourri d'une alliance interdite. Il ne peut voir le jour. La sueur perle sur ton front, tes doigts viennent s'agripper à ses bras musclés. Les forces commencent à te manquer. La lune rejette de ton corps l'abomination génétique, c'est la punition encoure lorsqu'une sorcière et un loup s'unisse. L'amour a des frontières invisibles, intangibles, incompréhensibles. Vous vous heurtez aux murs qui s'élèvent entre vous. Unis l'un à l'autre, envers et contre tous.



Ses mains tiennent tes bras, te forçant à une proximité dérangeante. Son visage est tellement proche du sien que tu peux sentir l'odeur de son souffle chaud. Je pourrais te donner ce qu'il ne peut pas. Cruelle vérité. Les mots te heurtent et te blessent, faisant remonter à la surface les souvenirs d'un sacrifice que tu voudrais oublier. Tu essayes de le repousser, furieusement, mais il maintient son étreinte, t’attrapant les poignets. Penses à ce que nous pourrions construire tout les deux. Un soupire s'extirpe de tes lèvres alors que tu détournes le regarde, refusant de lui répondre, refusant de lui donner une raison de poursuivre sur cette voie. Et pourtant, ses paroles font échos en toi, il réveille des démons contre lesquels tu te bats quotidiennement, il remue la frustration qui sommeil, il fait renaître l'espoir auquel tu as pourtant renoncé. La culpabilité te ronge. La tentation te bousille. Tu le désires, pas pour ce qu'il est, mais pour ce qu'il pourrait t'offrir. Tu le trompes, le trahi, avec des pensées égoïstes. Et pourtant, tu l'aimes, tu l'aimes à en crever, tu l'aimes comme tu n'aurais jamais cru pouvoir aimer. Tu ne veux pas d'un enfant si ce n'est pas avec lui... Et pourtant, les mots perfides empoisonnent tes pensées, obscurcissent ton jugement. Tu céderais à cette tentation, tu vendrais ton âme au diable pour le plaisir de donner la vie. Le malaise grandit. Tu essayes toujours de te défaire de l'étreinte de ces doigts. Arrêtes. S'il te plaît. Tu ne comprends pas. Tu n'es pas lui. Tu ne le seras jamais. Peu importe ce que tu peux m'offrir. Ton regard se heurte au sien. D'un mouvement sec, tu te dégages de sa poigne. Ses doigts ont laissé une empreinte autour de tes poignets. Il laisse éclater un rire sardonique, dépourvu de toutes saveurs, alors que tu t'éloignes de lui. Il dévores à nouveau la distance entre vous, te coinçant contre un mur. Son corps se presse contre le tien. Son visage s'enfouie dans tes cheveux alors que ses lèvres viennent effleurer ta joue. Tu viendras me supplier. Peut-être pas aujourd'hui, ni demain, mais tu viendras me supplier de te donner un enfant. Ton cœur loupe un battement, l'air peine à parvenir à tes poumons. Il y a quelques choses chez lui qui t’effraie et te bouleverse complètement. Cette proximité t'arrache un frisson qui remonte délicieuse ton échine. Il s'écarte finalement. Il t'abandonne, un horrible sourire satisfait déformant ses traits. Il t'abandonne là. T'es perdue. Complètement perdue.

Wow, trop cool, t'es enfin des nôtre mon p'tit ! Alors avant de commencer le blabla un peu chiant, je vais quand même te dire ce que j'ai pensé de ta fiche : tu m'as achevé, beaucoup trop de feels, je quitte ce monde.

Et maintenant, parlons bien parlons peu, parlons de tout ce que tu peux faire maintenant que tu es validé. Alors déjà sache que la première chose que tu dois faire, et c'est très important, c'est de recenser ton avatar. Si tu ne le fais pas et que quelqu'un d'autre le prend, c'est toi qui devra changer. Tu peux donc faire ça ici. Ensuite, tu auras peut être envie de te trouver des potes, non ? Tu peux aller t'ouvrir un répertoire de liens, mais si jamais ce n'est pas assez, tu peux aussi te faire un scénario. N'oublie pas non plus d'aller te recenser dans les différents répertoires. Et puis si tu cherches un rp, ne cherche plus, va directement faire une demande !
Voilà, c'est tout ! N'hésite pas à venir flooder avec nous !