identity card PRÉNOM(S) :  luan. c'est un prénom simple qui a comme étymologie 'lumière'. à la naissance du nourrisson, ses parents virent dans son regard profond toute la beauté du crépuscule. ils voulurent rendre hommage à la mère, la lune, en appelant leur fils ainsi. AGE : il a dépassé l'âge de la terreur, le commencement de milles-et-une nuits d'horreurs, vingt ans.. PROFESSION : luan est encore à l'université et subit toujours la pression des cours. il n'est pas encore dans le milieu du travail.  STATUT SOCIAL : célibataire depuis peu, sa dernière histoire d'amour s'est terminée dans l'atrocité et le sang. RACE : malgré le puissant sortilège dont luan est victime, ce dernier est bel et bien un sorcier. plus il grandit et plus les chaînes se fragilisent, la magie hurle et réclame sa liberté. NATIONALITÉ : irlandaise. sa famille ayant fuit les chasseurs depuis toujours, elle trouva finalement sa place dans le berceau de la nuit. ORIGINES : luan a des origines françaises et allemandes.  en effet, les premiers sorciers de la famille venait de ce qu'on appelle aujourd'hui la bretagne, en france. ils ont migré un peu partout dans l'europe mais on retiendra plus principalement leur origines allemandes étant donné qu'ils sont restés en allemagne jusqu'à leur déménagement en irlande il y a de ça cinquante ans. FAMILLE : la famille morgenstern a un passé chargé d'histoire. tout a débuté en france, lorsqu'un groupe de sorciers s'unirent pour former un cercle. au fil des années il s'agrandit et recruta de nombreux sorciers tout aussi puissants les uns que les autres. ils étaient craints et profitèrent de la peur qu'ils inspiraient pour ne pas se cacher, se croyant invulnérables. cependant, des liens incassables relient les membres de ce cercle. tellement forts qu'ils finirent par former une famille. comme la magie n'est pas héréditaire, il est arrivé que quelques fois qu'il y est très peu de sorciers dans la famille et que les humains soient en supériorité. mais il y eu toujours des adeptes de la magie chez les morgenstern, comme si la lune les affectionnait particulièrement. sauf que leur vanité leur coûta la vie. lors de cette nuit là, gravée dans la mémoire de tous les morgenstern, des chasseurs ont assassiné plus de la moitié du clan. il n'y avait que rage et sang. petit à petit, la famille s'est reconstruite malgré la marque encore vive qu'a laissé les chasseurs dans leur esprit. de nos jours, ils vivent en irlande et semblent s'y plaire. dans la dernière génération, on note qu'il y a une majorité de sorciers.

characterization depuis sa naissance, les morgenstern ont remarqué que luan est un enfant assez précoce et doué. en effet, il semblait montrer des pouvoirs et des capacités bien supérieurs à un sorcier de son âge, ce qui fit de lui la fierté de ses parents depuis ses cinq ans, luan est en parfaite harmonie avec son élément de prédilection, le feu une nuit, un violent incendie ravagea le manoir des morgenstern tout entier. une fille non-sorcière périt dans ce tragique accident. on retrouva luan au milieu d'un cercle flammes, les yeux remplient de larmes après  ce terrible épisode, le cercle de la famille décida de bloquer les pouvoir du garçon, même si cela est contre-nature. ils renforcèrent ce 'verrou' avec un sortilège d'oubli pour qu'il ne se souvienne de rien, ni même de sa condition luan n'a jamais grandi normalement après ça. au début de son adolescence, il fut diagnostiqué dépressif accompagné de nombreux troubles comme des terreurs nocturnes ou encore du somnambulisme  on le retrouva un matin au sol de sa chambre, des feuilles mortes collées à ses pieds nus et des tâches de sang fraîches sur ses vêtements luan est un jeune homme qui se sent mal dans sa peau est a l'impression que le mal s'acharne sur lui. il ne se sent pas à sa place dans ce 'monde' le cercle sait pourquoi luan est dans cet état et plus précisément, ils savent que la lune le réclame le jeune homme a toujours eu peur des pigeons, c'est comme ça il s'enferme souvent dans sa chambre pour lire, c'est une sorte d'échappatoire du monde réel et de son mal être les cheveux blonds platines et les prunelles azures, on a souvent comparé luan à la lune étant petit il adore l'histoire des sorcières à travers toute époque, ainsi que les mythologies antiques du monde entier.

depuis quand habitez-vous à Glencullen ? Et pourquoi avoir choisi cette ville ? : ma famille habite à glencullen depuis plus de cinquante ans maintenant. trois générations ont perduré et maintenant je suis là. je n'ai jamais mis les pieds hors cette ville, je me sens étrangement relié à elle, c'est inexplicable. Avez-vous remarqué la présence de plusieurs créatures surnaturelles ? Croyez-vous en leur existence ? Si vous êtes vous-mêmes une de ces créatures, avez-vous conscience de la présence de chasseurs, ou vous pensez-vous plus fort qu'eux de toute manière ? : bien sûr que oui, les créatures surnaturelles existent. je le sais car dans ma famille il y a des sorciers. c'est incroyable oui, mais vrai. je n'en fais pas parti mais quelques cousins, cousines, oncles et tantes le sont. il semblerait que depuis la nuit des temps les humains et les sorciers cohabitent dans ma famille. en ce qui concerne les chasseurs, ils sont une véritable menace pour certains membres de ma famille et il ne faut jamais les sous-estimer. mes grands-parents nous rappellent souvent, à nous les enfants, humains ou non, les horreurs que les chasseurs ont fait subir à notre famille. Croyez-vous en l'existence de divinités quelconques ? Avez-vous une religion ? Si oui, laquelle ? La pratiquez-vous sur une base régulière, ou pas du tout ? : je ne me suis jamais vraiment intéressé à quelconque divinité dans ma vie.. mais dans ma famille, il y a une sorte de tradition. en effet, on voue un véritable culte à la lune. je trouve que c'est l'astre le plus beau dans le ciel. mais je n'ai jamais fait parti de cette tradition, on va dire, même si elle m'a toujours intrigué.

PSEUDO : trust no one. PRENOM : thomas.    AGE : dix-sept ans. COMMENTAIRE, SUGGESTION ? : c tro souag ici        AVATAR : lucky b smith. GROUPE : sorcerers PERSONNAGE : inventé.

« Tout s'envolait en fumée sous leurs yeux ébahis. Les flammes léchaient les murs et dévoraient chaque centimètre de bois, ne laissant que du désespoir que leur passage.  Les cris stridents d'une fille retentissaient à l'étage, mais l'accès était interdit par un brasier qui formait littéralement un barrage. Fiora murmurait quelques incantations, en vain. Les femmes essayaient de protéger leurs enfants. Mais l'incendie, rieur, s'en moquait et criait de plus belle. Le lustre enflammé chuta et se brisa au pied des Morgenstern. La peur régnait, la terreur s'installait dans le cœur de la famille. Les chasseurs n'y étaient pour rien, les aînés en étaient certains : c'était le dessin d'un des leurs, un ouvrage de la nuit. Il fallait intervenir. Vénia évacua les non-sorciers du manoir, par la force des choses, ils ne pouvaient se défendre. Les membres du Cercle récitaient ensemble des sortilèges, repoussant le souffle brûlant. Ils avancèrent dans la maison, en veillant à ne pas raviver le feu par mégarde. Les sorciers réussissent à le dissiper un peu, pas l'éteindre. La fumée qui se dégageait était de toute manière trop forte, trop asphyxiante. L'incendie atténué, on découvrit l'enfant au physique lunaire couché sur le flanc, dans le grand salon. Le feu était né de cet endroit, on pouvait le sentir à travers le garçon. Sa chevelure d'étoile avait perdu de ses couleurs, assombrie par l'épaisse fumée et les retombées de cendre. On pouvait distinguer les larmes sécher sur ses joues devenues rouges à cause de l'incroyable température. Le manoir s'était changé uen une véritable fournaise. Recroquevillé sur lui-même, le regard vide, le souffle haletant, l'enfant semblait se tordre de chagrin. Le Cercle le sentait, il dégageait de la peine. On entendit des pas hésitants qui venaient des escaliers qui grinçaient. Ils avaient réussi à descendre la fille. Le père avait le visage fermé, il la tenait très proche de lui, d'une étreinte inébranlable. Ils ne réussirent qu'à descendre un corps sans vie. Marianna Morgenstern est morte. Le garçon ouvrit grand les yeux comme s'il s'éveillait soudainement d'une transe, la culpabilité dans le regard. L'Enfer tout entier s'éteignit. Il respira. »



La pleine lune n'était que dans quatorze jours et on sentait déjà la pression se faire ressentir chez les membres du Cercle. C'était un événement important qui arrivait une fois par mois. Les autres membres de la famille essayaient de les aider à leur manière, même si on essayait de les impliquer le moins possible. Pourtant, malgré eux, ils se sentaient concernés. Les Morgenstern appelaient la pleine lune la "Lune Noire" à cause d'un sermon "la nuit est pleine de terreur" qui semble être dans la famille depuis bien des générations. Au XIX siècle, selon les mémoires, le Cercle aurait assassiné de sang-froid tous les humains de la famille lors d'une pleine lune. Peut-être était-ce la volonté de la déesse selon les rumeurs, une punition qu'elle aurait commandé pour avoir cohabité avec des humains sous le même toit depuis toutes ces années. Bien sûr cela n'a jamais été prouvé. La Lune n'a jamais semblé montrer quelconque haine envers ces humains, qui formaient une famille avec ce Cercle. Au fond, des innocents allaient mourir cette nuit là. Mais il ne pouvait être autrement, et les non-sorciers le savaient. Ils n'allaient jamais s'interposer ou empêcher d'accomplir la "tâche" de leurs pairs. C'était leur destinée.
Luan regardait à travers sa fenêtre, son calepin de gribouillis à la main. Le ciel semblait triste, les nuages gris menaçaient le ciel. Encore une journée à laquelle il fallait survivre, une nouvelle page de souffrance qui s'écrit. Le jeune homme semblait de plus en plus troublé en grandissant. Il ne pouvait fermer les yeux sans être épris de cauchemars. Il entendait des voix constamment, rendant la vérité indissociable du faux. La vie de Luan était floue, remplie de vide et monotone. Pourtant sur les photos de lui petit, il semblait irradier comme le soleil. Toujours un sourire plaqué sur visage. Cela a changé, et le joyeux garçon s'était transformé en un homme triste. On a toujours mis cet état de dépression sur le compte d'une adolescence difficile. Le principal intéressé n'a jamais donné son avis sur le sujet comme si cela était la vérité. Luan se leva, pris une grande inspiration et regarda son reflet dans le miroir. « aujourd'hui ça va bien se passer » pensa-t-il. Cela résonnait comme une profonde volonté, une prière dans son cœur. Il entendit un klaxon soudain qui l'arracha de ses songes. C'était Jorge. Comme d'habitude, il venait chercher son copain en voiture pour aller à l'école. Jorge était la seule personne qui avait vraiment appris à connaître Luan et qui ne l'avait pas trouvé "flippant" a leur première rencontre. Ils commencèrent à se fréquenter puis sortirent ensemble. C'était un amour vrai qui unissait les deux garçons. Luan remerciait le ciel chaque jour pour lui avoir donné un si beau cadeau. Dès qu'il posa les pieds en dehors du manoir, le blondinet ressenti un lourde atmosphère planer autour de lui. Une présence qui le hantait depuis toujours dans ses souvenirs. Il marcha en direction de la voiture de Jorge et y entra. Immédiatement, il se senti mieux. Avec son amoureux, tout s'envolait comme par magie. Ils s'embrassèrent, s'échangèrent des regards et sourires complices puis se mirent en route.

Deux semaines s'étaient écoulées. En cours, Luan avait fait un malaise. L'université avait directement appelé une ambulance pour le transporter dans un hôpital au plus vite. Le jeune homme s'évanouissait souvent comme ça, tout le monde était habitué. Mais cette fois-ci, c'était différent. En effet, certains disent qu'il murmurait des choses étranges. L’hôpital souhaitait garder Luan quelques jours, "au cas où". Sa famille se sentait légèrement soulagée de le savoir là-bas, « on ne sait jamais quand Elle le récupérera » disaient les membres du Cercle. Mieux valait l'éloigner le plus possible de tout ça. Puis, cette nuit c'était la pleine lune. Les Morgenstern allaient sacrifier des vies pour leur Mère et Père. Sauf que malheureusement, tout n'allait pas se passer comme prévu.
Il faisait tard, le silence régnait dans la clinique, on n'entendait pas un bruit. Luan se réveilla d'un profond sommeil. Il n'avait pas ouvert les yeux depuis son malaise. Il se releva, descendit de son lit. Le jeune homme regarda la porte de sa chambre, quelque chose l'appelait, quelqu'un. « dans les bois, la délivrance se trouve » c'était plus fort que lui, il fallait qu'il sorte. Qu'y avait-il dans les bois ? La réponse devait s'y trouver. Luan tendit la main vers la poignée de la porte, hésitant. Une envie puissante de partir parcourra son corps. Il parti d'un pas décidé. Ses pieds nus foulaient le sol avec un désir d'aller dans la forêt. La lune brillait dangereusement dans le ciel complètement noir. Sur son chemin, le blond se trouva devant la maison de Jorge. En l'espace d'un instant, le garçon ne savait plus pourquoi il se trouvait sur la route, il oublia son but. Ses prunelles scintillèrent, il rentra dans la demeure de sa moitié. Sans aucun bruit, il se dirigea vers la chambre de Jorge. Finalement à l'intérieur, il le réveilla. « Luan ? qu'est ce que.. ? tu vas bien ? qu'est-ce-que tu fais là ? » le jeune homme se leva en sursaut, attrapa le visage du blond dans ses mains et planta ses yeux dans les siens. « je vais bien. viens, j'ai quelque chose à te montrer » Jorge ne semblait pas comprendre et hésitait à appeler la famille de Luan  « dépêche-toi, habille-toi » lança ce dernier. Somnolant mais intrigué par l'état du blond, il s’exécuta. Désormais en train de marcher dans les bois main dans la main, la panique s'installa chez Jorge. « vas-tu me dire ce qu'on fait ici à la fin ? tu m'inquiètes » Luan ne répondit pas. Comme dans une transe, il emmenait son âme sœur toujours plus profond dans les bois. D'un pas plus rapide, le blond semblait savoir où il allait et quoi y faire. « cette nuit sera la dernière » la voix était toujours présente, guidant le garçon. dans ce qui semblait être le cœur de la forêt, le couple s'arrêta. Ils étaient encerclés par plusieurs arbres, vieux de plusieurs siècle. Un tronc d'arbre aux racines immenses se trouvait devant eux. Luan se retourna vers Jorge, resta silencieux. Il ne dit aucun mot et sa moitié fit de même. Ses prunelles d'ordinaire bleues claires, brillaient comme si une onde boréale y avaient trouvé refuge. Les ténèbres s'emparèrent de son corps.

La couleur pourpre régnait. Luan était étendu sur le sol, essayant de se relever faiblement. Un goût métallique dans la bouche, il se mit à cracher. Il releva la tête puis vit l'horrible spectacle dont il était l'auteur. Jorge gisait couvert d'entailles de toute gravités, sans vie, sur le le gros tronc d'arbre. Son sang coulait comme une rivière et rejoignit les grandes racines. Le liquide semblait finir sa course dans les entrailles de la Terre. Luan suffoqua, ne voyant plus que du noir. Il mit ses deux mains sur sa tête et poussa un cri digne de réveiller la Mort. La voix résonnait comme un écho dans sa tête, tellement fort qu'il l'imita « ce qu'un beau sang a pu faire, un plus beau sang peut le défaire ». Purgé de toute force, il sombra dans l'automne obscure.



« Ils se trouvaient autour de lui, chacun étant à une extrémité du pentagramme dessiné sur le sol. En son centre, se trouvait le garçon. « concentrez-vous et n'oubliez pas : c'est pour le bien de la famille » fit une voix masculine. Le petit garçon au cœur de cette assemblée ne semblait pas comprendre ce qu'il se passait. Il tournait sur lui-même et regardait vivement de tout les côtés en murmurant "pourquoi ?". Il ne cessait de poser cette question qui n'obtenu jamais de réponses. Hystérique, il voulut s'échapper mais une force le contraignit à rester au sol. C'était comme si toute la peine du monde s'était écroulée sur le petit. Les personnes qui l'encerclaient commencèrent à parler en gaélique, l'enfant comprenait chaque mot qu'ils récitaient. Ils étaient en train de l'emprisonner dans lui-même. Un hurlement s'échappa de la gorge du garçon. Il ne s'arrêtait plus de gémir, de se débattre, de se tordre, d'hurler à la mort. Petit à petit, le langage qu'il connaissait si bien devint indéchiffrable. Une douleur monstrueuse vint parcourir son corps, tel un poison. Fulgurante, elle prit la forme d'un brasier. La souffrance était insupportable, les larmes ne pouvaient même pas en témoigner. « ne vous arrêtez pas ! » cria la voix de tantôt. Vide. Plus aucune émotion, sentiment, rien. Juste du vide. Le garçon essaya d'ouvrir les yeux, deux mains froides vinrent se poser sur ses tempes. Une voix douce, cristalline semblait chanter une mélodie. Cette musique angélique effaça toute la douleur, les souvenirs, la vie. Ce fut comme une renaissance. Comme à son premier souffle. Il respira. »

Wow, trop cool, t'es enfin des nôtre mon p'tit ! Alors avant de commencer le blabla un peu chiant, je vais quand même te dire ce que j'ai pensé de ta fiche : ça devrait pas être permis d'écrire comme ça. sérieusement, j'adore ta plume, j'ai lu toute ta fiche d'une traite, j'étais trop prise dedans .

Et maintenant, parlons bien parlons peu, parlons de tout ce que tu peux faire maintenant que tu es validé. Alors déjà sache que la première chose que tu dois faire, et c'est très important, c'est de recenser ton avatar. Si tu ne le fais pas et que quelqu'un d'autre le prend, c'est toi qui devra changer. Tu peux donc faire ça ici. Ensuite, tu auras peut être envie de te trouver des potes, non ? Tu peux aller t'ouvrir un répertoire de liens, mais si jamais ce n'est pas assez, tu peux aussi te faire un scénario. N'oublie pas non plus d'aller te recenser dans les différents répertoires. Et puis si tu cherches un rp, ne cherche plus, va directement faire une demande !
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