identity card PRÉNOM(S) : Nyméria, nuance celtique qui invite à la douceur. Prénom délicat, invention de sa génitrice pour lui apporter l'originalité. Comme elle aime le rappeler, sa fille est unique. AGE : Vingt-cinq années qui ne cesse de s'écouler. Elle refuse de grandir, du moins, aux yeux du monde qui ne sait la comprendre. PROFESSION : Journaliste. Autrefois, elle commençait doucement à se faire un nom. Aujourd'hui, elle n'est que folie tandis que ses articles font concurrence aux pages blanches. STATUT SOCIAL : Elle ne sait aimer. Célibataire, Nyméria est fait de maladresse et d'incompréhension. Elle n'est que solitude qu'on ne veut briser. RACE : La brune laisse le carmin couler dans ses veines. Malgré ses impressions, elle est vivante. La mort dans l'âme, elle ne représente qu'une humaine torturée. NATIONALITÉ : Américaine, fille de la mal-bouffe.  ORIGINES : Son paternel venait de France tandis que sa mère passait sa vie dans une petite ville d'Arizona. FAMILLE :  Les Coopland sont une famille dont on entend peu parler. Ils sont arrivés à Glencullen par hasard. Du moins, c'est ce que Nyméria aime penser. Le paternel faisait partie d'un monde inaccessible pour sa fille unique. Chasseur de père en fils, il gardait son secret pour épargner sa famille. Sa femme, elle n'en saura jamais rien. Il décédait lors d'un combat acharné, Nyméria fêtait ses dix-huit ans. Sa fille, on la déclarait bien vite hystérique. Elle est connue pour ses deux séjours en hôpital psychiatrique. La mère quittait bien vite ce village qui brisait sa famille mais Nyméria reposait à chaque fois bagages pour alimenter ses théories.

characterization ⊰ Nyméria, elle est arrivée à ses deux ans et n'a jamais quitté ce village. Pourtant, la jeune femme connait très peu de personnes et suivait une scolarité au coeur de Dublin. ⊰ A la mort de son paternel, la jeune femme se trouvait présente dans les bois. Elle a vu, a subis cette bête qui est arrivée dans son dos pour attaquer son père. Nyméria, elle préparait simplement une surprise à son père. Elle n'oubliera jamais, ses images qui ne cessent d'alimenter ses insomnies. ⊰ Après avoir confié ce secret à sa mère, cette dernière accusait la dépression. Elle l'envoya en hôpital psychiatrique tandis que la jeune femme commençait à faire des crises d'angoisse. La brune, elle souhaitait être comprise. ⊰ Depuis son deuxième séjour à l'hôpital, Nyméria n'adresse plus la parole à sa mère qui a quitté la ville sans même la prévenir. La jeune femme, elle trouvera ses réponses. Qu'importe cet amour superficiel que cette femme pouvait lui apporter. ⊰ On lui a bourré le crâne. Pour les médecins, cette horrible soirée n'est qu'une hallucination. Certains pensent même que la brune était à l'origine de la mort. Elle a dû répondre à des interrogatoires. ⊰ Nyméria, elle ne vit que par ses regards de pitié ou d'interrogation qui se pose sur son corps délicat. Elle sait pertinemment que tout le monde la pense folle et cela ne la dérange pas. ⊰ Peu de temps avant la mort de son père, elle écrivait des petits articles pour un journal français. Son nom commençait doucement à grossir jusqu'à ce que ses derniers se portent sur des bêtes mystiques. A présent, elle se contente de petites annonces pour vivre. ⊰ La jeune femme, elle cherche des réponses à ses questions. Elle n'est pas de ces personnes qui ne franchissent pas la foret en pleine lune. Elle affronte la mort, qu'importe. ⊰ Nyméria, elle est souvent prise d'hystérie. Elle est également bipolaire. Au fond, la brune est simplement une âme torturée que personne ne peut apaiser. Elle n'est que cendre d'un passé qui la dévore à petit feu.

depuis quand habitez-vous à Glencullen ? Et pourquoi avoir choisi cette ville ? : Nyméria y a appris à marcher. La famille Coopland déposait bagage lorsqu'elle avait deux ans. Son père, chasseur, décidait de s'octroyer un nouveau terrain de chasse. Pourtant, la jeune femme et sa mère vous diront que c'est un pur hasard. Avez-vous remarqué la présence de plusieurs créatures surnaturelles ? Croyez-vous en leur existence ? Si vous êtes vous-mêmes une de ces créatures, avez-vous conscience de la présence de chasseurs, ou vous pensez-vous plus fort qu'eux de toute manière ? : C'est sûrement l'histoire de sa vie. Elle se souvient de cette créature qui bondissait dans son dos. Ses yeux qui criaient la mort et ses crocs qui lacéraient les organes de son paternel. Elle retenait sa respiration pour survivre. Nyméria, elle ne pourrait affirmer que ses créatures existent et c'est pour cela qu'elle continue à chercher cette dure vérité. Croyez-vous en l'existence de divinités quelconques ? Avez-vous une religion ? Si oui, laquelle ? La pratiquez-vous sur une base régulière, ou pas du tout ? : Elle ne croit pas en dieu. A vrai dire, Nyméria est plutôt philosophe et scientifique. La religion, elle la laisse à ceux qui ont le temps de prier. Un fait est un fait. Elle a besoin de voir de ses propres yeux pour croire en quoi que ce soit.

PSEUDO : Littlewolf PRENOM : Hélène AGE : 23 ans COMMENTAIRE, SUGGESTION ? : C'est beau    AVATAR : Nina Dobrev GROUPE : Humans PERSONNAGE : inventé

Il riait, le petit nouveau né de la chambre 12. Une fille, baptisée Nyméria par sa mère qui cessait de répéter l’originalité de ce prénom à travers les couloirs maculés de l’hôpital. Habillée d’un body rose, les yeux pétillants. Elle était bien vivante, petit bout de vie qui commençait le premier chapitre de son histoire. Son père, il restait des heures à la contempler. Leur premier enfant, celui qui faisait naitre tant d’espoir. Le dernier également, mais ça, ils ne le savaient pas encore. Nyméria, elle gigotait dans ce landau en plastique transparent. Des barrières qui l’empêchaient de s’écraser contre le sol. Active, elle ne gardait pas son énergie pour plus tard. L’accouchement se voulait difficile. Quelques minutes de plus et le nouveau-né manquait d’oxygène. Sa mère, elle mettait quelques jours à s’en remettre. Une naissance à l’ancienne, sans toutes les substances qui rendaient cela indolore. Nyméria, la fierté de ce jeune couple qui voyait un avenir bien plus serein que précédemment. Une union d’amour. Elle le saurait plus tard mais son père quittait l’Irlande ainsi que sa famille pour vivre cette vie avec une simple femme qui ne connaissait rien aux démons qui le hantaient. Le paternel, il fuyait ses racines pour se construire un nouvel avenir où lui seul serait maitre de ses choix. Elle serait l’image de ce chaos familial, la raison qu’une lignée de chasseurs prenne fin.
Elle arrivait à sa deuxième année, celle où les langues commençaient doucement à se délier. Nyméria, elle se rappelait de la tonne de carton entre lesquels elle rampait. Sa mère, elle semblait dépassée par la situation. Durant un mois, les cris ne cessaient. La femme ne désirait pas revenir sur les terres de son mari mais il ne lui en laissait pas vraiment le choix. Désireux de reprendre son activité de chasseur, il regagnait les siens mais se promettait d’épargner sa famille des horreurs de son monde. Nyméria, elle ne serait jamais un chasseur. Douce colombe qui resterait certainement dans l’ignorance toute sa vie. Car il le fallait. Le paternel, il se rongeait d’imaginer la mort de ses deux piliers. Pourtant, il se devait de reprendre ce pour quoi il était né. L’avion qui s’envolait dans les airs, traversant l’Amérique puis une vaste étendue d’eau pour atterrir à Dublin. La froideur de l’hiver qui mordait les joues rosées de la gamine. Elle n’aimait pas ce climat, bien trop habitué au soleil depuis l’enfance. Sa mère, elle ne faisait que soupirer tandis que les cartons se déballaient à nouveau. Une nouvelle vie, un nouveau chapitre. Une fois encore. Le paternel affichait un sourire rassurant dans les premiers temps. Le bonheur s’échappait de ses pupilles noires. Pourtant, après quelques années, son visage se crispait. La fatigue qui le bouffait. Ses cernes qui ne cessaient de grandir mais surtout ses longues nuits où la fille attendait le retour du guerrier. Il allait à des repas d’affaires, disait-il. Mensonge. Encore et toujours. Double vie qu’il menait d’une main de fer tandis qu’il s’éloignait un peu plus de sa famille.


Brillante élève, promettant un avenir sans embuche. Sa main glissait sur cette poignée interdite. Le bureau de son père, fermé généralement à clef. Pourtant, bien trop pressé par une nouvelle affaire, l’homme en oubliait ce détail. Ses doigts longs qui encerclait le fer forgé, laissant une petite pression entrouvrir la porte. Une pièce sombre, un cagibi qui ne possédait pas de fenêtre. Elle s’engouffrait dans la pénombre, refermant la porte pour ne pas attirer l’attention de sa mère. Tâtant les murs à la recherche d’un interrupteur, elle usait d’une partie infime de ses phalanges de peur de briser quelques choses. Deux minutes plus tard, Nyméria trouvait finalement une source de lumière. La pièce se livrait à peine à ses yeux mais le spectacle la laissait bouche bée. Statue de cire, surprise par cette découverte qui annonçait les problèmes. La gamine âgée de dix ans, elle faisait minutieusement le tour en caressant les arcs ainsi que les différentes armes qui se trouvaient dans la pièce interdite. Une centaine de question traversaient son esprit. Elle ne comprenait pas, cette famille qui se disait pourtant contre les armes. Des bruits de pas, Nyméria éteignait la source de lumière avant de quitter la pièce en refermant la porte. Quand elle se retournait, il se trouvait là. Face à elle, le regard inquiet. Ses sourcils se fronçaient, elle dépassait les limites qu’il imposait. L’homme, il la portait jusqu’à sa chambre. Vingt et une heures, il était l’heure de dormir. La déposant dans son lit, le paternel caressait son front avec un sourire faux sur ses lèvres. Elle l’aimait. Peut-être trop pour ne pas voir cette réalité. « Tu n’avais pas à entrer dans cette pièce, ma chérie. » Son poing qui se serrait dans les draps aux imprimés enfantins. « Tu as vu ce qui s’y trouvait ? » Elle avalait sa salive, la peur qui naissait dans son regard. « Des armes. Papa. Pourquoi ? » Innocence d’une gamine de dix ans qui attendait de boire les paroles de son paternel. Elle le croirait même si cela n’avait pas de sens. « Pour nous protéger. Tu sauras plus tard que si le monde cessait d’être tels quels, les hommes deviendraient fous et je ne compte pas laisser ma famille m’échapper. » L’homme se raclait la gorge avec charisme. « Survivaliste. C’est comme ça que cela s’appelle. Mais n’en parle pas à ta maman, elle ne serait pas rassurée de savoir toutes ses armes dans la maison. Ce sera notre secret. » Il lui pinçait le nez, cachant son inquiétude derrière des fossettes relevées. Un baiser sur le front de sa fille, sa voix roque qui murmurait avant de quitter la pièce. « Tu peux dormir sur tes deux oreilles, papa veille sur toi. » L’homme fermait la porte derrière lui, rongeait par le remords et ses mensonges qui commençaient doucement à s’empiler.
Cachée derrière un buisson, prête à surgir pour faire une surprise à son père. Il se trouvait seul dans cette foret tandis que la lune pleine éclairait les environs. Un arc sur le dos, les poings serrés. Elle pouvait ressentir la tension qui se dégageait. La gamine de dix ans, elle s’enfuyait sans prévenir sa mère qui la pensait endormie dans son lit. Elle se ferait certainement gronder mais cela lui importait peu. Nyméria, ce qu’elle désirait, c’était passer du temps avec un paternel bien trop absent depuis le déménagement. Qu’importait le prix. Alors que la brune s’apprêtait à sortir de sa cachette, un bruit de branche brisée se déclarait derrière elle. Pas le temps de se retourner qu’une bête sautait par-dessus son corps masqué par la verdure. La bête, elle se jetait sur cet homme. Sur ce père. Ses entrailles qui tapissaient la terre encore humide. Le regard du loup qui se reportait à nouveau vers les buissons tandis que Nyméria coupait sa respiration en plaçant ses mains contre sa bouche. Ce regard bestial qui inspirait la mort. Du moins, la vision qu’elle s’accordait de cet univers. Le loup, il partait finalement à travers la forêt sans éliminer le témoin. La fillette, elle restait là une dizaine de minutes. Impassible, neutre. Incapable de réaliser que ce corps étalé contre le sol était celui de son père. Ses jambes qui s’entrechoquaient tandis qu’elle s’approchait. Les pupilles vides de sens de la victime, la mort au cou. Elle dégageait son visage, faisant un pas de recul en percutant que cela se trouvait bien réel. C’était lui, celui qui ne pouvait mourir dans ses rêves. Frigorifiée, déambulant à travers les arbres avec sa chemise de nuit, la gamine appelait à l’aide ne se doutant pas du danger. Arrivée au bord de la ville, elle retrouvait une famille qui l’accueillait avant de prévenir les secours. La fillette, elle ne disait pas un mot. Personne ne la croirait de toute façon. Après quelques minutes, sa mère passait la porte furieuse.



« De toute façon, tu veux fermer les yeux sur cette nuit. Tu es devenue folle, ma fille. Que t’arrive-t-il depuis quelques mois. Tu n’es plus toi. Je préférais encore quand tu gardais le silence. » Ses mots qui la blessaient. Sa mère qui ne comprenait pas les nouvelles révélations de sa fille. Plus de onze ans de silence, à éviter le sujet de son père alors que les cauchemars se faisaient de plus en plus présents. Nyméria, elle ne pouvait garder plus longtemps ce secret. Jeune journaliste qui brillait par ses articles modernes et parfaitement rédigés, elle commençait doucement à perdre son public qui n’accrochait pas au folklore des bêtes de la nuit. Cela la hantait, persuadée que la mort de son père n’était pas qu’une invention. Elle en devenait hystérique, brisant des objets et devenant parfois violente face à l’incompréhension. La brune, elle désirait seulement être écoutée. Sa mère, dépassée, décidait de l’envoyer en cure dans un hôpital psychiatrique. C’est ce que le médecin de famille conseillait. « Madame Coopland, tout ceci est le fruit de votre imagination. C’est le traumatisme qui ne veut pas se rappeler des réels faits. Votre récit ressemble bien plus à un livre qui vous a choqué dans l’enfance. » On lui répétait, lui lavant le cerveau à l’aide de thérapies et de cachets. Des inspecteurs de police venaient à l’interroger, cherchant à savoir si la gamine ne pouvait pas être à l’origine de la mort de son père. Elle se rappelait de sa mère qui n’osait même plus la toucher, dans ce parloir qui devenait bien vite oppressant. Comment pouvait-elle croire que son enfant représentait un danger. Après des mois d’enquête, la jeune femme se voyait blanchir mais le mal semblait fait. Elle se renfermait, de plus en plus, cherchant tant bien que mal à dénicher la vérité. Cataloguée comme folle à son second retour d’hôpital, les personnes qu’elle croisait lui accordaient toutes ce même regard de pitié. Nyméria, elle se sentait saine d’esprit face à tous ses ignorants qui vivait pour la consommation. Elle, elle aspirait à la vérité. Son retour en ville sonnait un nouveau chapitre. Sa mère quittait lâchement le foyer, lui laissant pour seul souvenir une photo de famille. Pas un mot. Pas une trace de ce passé qui la fuyait. Elle se retrouvait seule. Seule face à cette vérité qui la rongeait à présent. Tout comme son père. Les pages blanches de ses articles qui s’empilaient alors que de simples annonces la faisaient vivre. Nyméria, elle sombrait doucement dans une réelle folie. Bi-polaire. Impulsive. Incapable de se faire comprendre des siens. Tout le monde l’abandonnait. Tout le monde sauf ses démons qui hantaient encore ses nuits. Insomnie qui s’enchaînait tandis que la brune se lançait dans une chasse à la vérité. La mort aux trousses, ses pleines lunes à roder dans la forêt. Un jour, elle connaîtrait ce monde même si elle en payerait de sa vie.

Wow, trop cool, t'es enfin des nôtre mon p'tit ! Alors avant de commencer le blabla un peu chiant, je vais quand même te dire ce que j'ai pensé de ta fiche : c'est un personnage super intéressant que tu nous a pondu là j'adore jouer les fous & folles, so je comprends j'ai une idée de lien qui vient de se dessiner, t'as qu'à venir me voir dans ma fiche pour qu'on en discute :mouahaha un admin passera te mettre ta couleur plus tard, mais tu voilà acceptée parmi nous .

Et maintenant, parlons bien parlons peu, parlons de tout ce que tu peux faire maintenant que tu es validé. Alors déjà sache que la première chose que tu dois faire, et c'est très important, c'est de recenser ton avatar. Si tu ne le fais pas et que quelqu'un d'autre le prend, c'est toi qui devra changer. Tu peux donc faire ça ici. Ensuite, tu auras peut être envie de te trouver des potes, non ? Tu peux aller t'ouvrir un répertoire de liens, mais si jamais ce n'est pas assez, tu peux aussi te faire un scénario. N'oublie pas non plus d'aller te recenser dans les différents répertoires. Et puis si tu cherches un rp, ne cherche plus, va directement faire une demande !
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