identity card PRÉNOM(S) : c’est tout ce qu’il lui reste de ses parents. ‘Sybil’ un nom qui respire le surnaturel qui aurait pu la présager médium. elle l’a rejeté un moment ce nom trop empli de sens à ses yeux et on - hormis Imogen - l’a appelée Cissy pendant ses années lycées, avant qu’elle ne décide de renouer avec son héritage. AGE : ses traits juvéniles l’annoncent, elle n’a que vingt ans, malgré ses airs assurés lorsqu’elle est armée jusqu’aux dents. c’est encore une gamine, un bout de jeune femme malgré les responsabilités, quoique ça ne soit peut-être pas non plus le bébé que sa sœur a tendance à surprotéger. PROFESSION : étudiante en histoire de l’art, elle a tenté la biochimie d’abord, mais a rapidement abandonné. sa réelle occupation est de chasser les loups, c’est son devoir, son vrai métier. le reste ne lui semble être que distraction, raison pour laquelle elle considère qu’elle peut se permettre d’étudier ce qu’elle veut, même une discipline connue pour n'offrir que peu de débouchés. STATUT SOCIAL : célibataire, elle n’a jamais été très volage sans chercher à s’embarquer dans des relations sérieuses non plus. RACE : humaine évidemment. NATIONALITÉ : elle a beau avoir attrapé l’accent irlandais, son passeport est celui du royaume-uni, en effet elle est, comme tous les Abberline, anglaise. ORIGINES : anglaise pure souche, sa famille n’a émigrée en Irlande que pour servir la cause des chasseurs. FAMILLE : la famille. elle en avait une complète avant, il paraît. ses souvenirs sont vagues, elle était trop jeune pour en avoir beaucoup. peut-être que c’est une bonne chose, elle n'avait que huit ans lors du massacre, qui décima sa famille, elle était consciente bien évidemment, mais encore suffisamment innocente pour ne pas totalement se rendre compte de ce qu’il se passait et le souvenir la hante ainsi certainement moins que sa sœur. cette dernière est tout ce qu’il lui reste d’ailleurs et elle y tient énormément.

characterization ~ n'a jamais beaucoup aimé les armes à feu, trop violentes, trop fourbes et imprévisibles, bien qu'elle ait du apprendre à les manier ce n'est définitivement pas avec qu'elle est la plus à l'aise. les armes blanches lui plaisent beaucoup plus, aussi bien les dagues que l'arc et la flèche simple, mais efficace. elle n'a cependant pas rejeté toute forme de modernité dans sa façon de se battre puisque son arme favorite reste les bâtons électriques. sa jolie paire, n'est ainsi létale que si elle le souhaite et sert principalement à la neutralisation des bêtes, preuve s'il en est qu'elle ne prend aucune joie particulière à tuer. la mort, idéalement, c'est d'un coup rapide de dague dans le cœur qu'elle la donne, une fois l'ennemi immobilisé. ~ enfant à la vivacité d’esprit impressionnante elle a toujours beaucoup aimé lire, aussi bien que la musique et la photographie c'est pour elle un véritable échappatoire. ~ absolument nulle en mathématiques elle excellait en sciences d'où le fait que ses professeurs l'encouragèrent à s'engager sur la voie de la biochimie. elle-même ne sait pas trop pourquoi elle a abandonné en emménageant à Glencullen. ~ douce, forte, optimiste, souriante, peu assurée, généreuse, sociable, juste, adroite, maligne, travailleuse, têtue, déterminée, spirituelle, conciliante, influençable, curieuse, bavarde, joueuse, pondérée, autonome, caractérielle, lunatique, créative.

depuis quand habitez-vous à Glencullen ? Et pourquoi avoir choisi cette ville ? : elle y est née et y a vécu les huit premières année de sa vie. la mort tragique de ses parents et de son frère l’ont portée jusqu’à Dublin où elle fut élevée par d’autre chasseurs. elle s’y plaisait bien dans la capitale, mais quand sa sœur a fait part de son envie de retourner à Glencullen Sybil a décidé de la suivre. d’abord parce qu’elle pense que c’est l’envie de vengeance qui pousse sa sœur à y revenir et qu’elle s’en voudrait de la laisser se perdre dans cette obsession, mais aussi parce que se séparer d’elle lui serait beaucoup trop difficile.  Avez-vous remarqué la présence de plusieurs créatures surnaturelles ? Croyez-vous en leur existence ? Si vous êtes vous-mêmes une de ces créatures, avez-vous conscience de la présence de chasseurs, ou vous pensez-vous plus fort qu'eux de toute manière ? : elle ne se souvient plus exactement de l'âge qu'elle avait quand on lui a appris l'existence des loups-garous, il lui semble qu'elle est consciente de leur existence depuis toujours. issue d'une famille de chasseurs, ils sont ses ennemis naturels depuis l'enfance et ce, d'autant plus qu'ils ont décimé sa famille. Croyez-vous en l'existence de divinités quelconques ? Avez-vous une religion ? Si oui, laquelle ? La pratiquez-vous sur une base régulière, ou pas du tout ? : elle a été tentée par la catholicisme aux alentours de ses treize ans, se rendant à la messe sans rien dire à personne. elle avait besoin de croire en quelque chose, n'importe quoi, de se dire que sa famille était dans un monde meilleur aussi sûrement. aujourd'hui elle se considère agnostique. elle croit en une entité supérieure, difficile de faire autrement à ses yeux quand on connait l'existence du surnaturel, mais ne considère appartenir à aucune religion en particulier.

PSEUDO : starstruck mais plutôt sans pseudo fixe PRENOM : écrire ici AGE : vingt-et-un ans COMMENTAIRE, SUGGESTION ? : écrire ici AVATAR : sophie cookson GROUPE : hunters PERSONNAGE : entre le scénario et l'inventé  

Rouge, le monde est rouge. Tout n’est que sang et fourrure sombre. Des cris lui déchirent les oreilles, c’est pour ça qu’elle a sorti la tête de sa chambre, puis qu’elle est sortie tout court, dévalant les escaliers à la recherche de ses parents. Elle a cru que c'était la téléivision d'abord, mais les hurlement du loup lui ont fait peur. Elle veut les bras de sa mère. C’est son frère qu’elle voit d’abord pourtant, il lui dit de chercher Imogen, de ne pas rester là. Elle hoche la tête, elle ne comprend toujours pas. Où est sa maman, où est son papa ? Elle les cherche du regard, mais finalement c’est sa sœur qui la trouve et qui l’entraîne vers sa chambre. Sybil se mord la lèvre, elle ne veut pas pleurer, elle veut être une grande. Elle serre fort Imogen contre elle tandis que celle-ci préfère étreindre son arbalète. Alors Sybil comprend. Elle comprend ce qu’il y a en bas, elle comprend les bruits et les cris, elle comprend la peur de sa sœur. Les larmes s’échappent seules de ses yeux de biche et elle ne crie même pas quand sa sœur la prend soudain et la fait passer, avec elle, par la fenêtre. Elles atterrissent lourdement, mais Sybil n’a pas mal, elle veut savoir où sont papa et maman. Les chasseurs triomphent toujours dans les histoires qu’on lui raconte. Elle veut croire que tout ira bien. Mais quand Imogen prend sa petite main potelée dans la sienne et lui dit de courir, Sybil ne rechigne pas. Elle s’exécute parce que dans les yeux mentholés de son aînée elle voit une douleur plus grande encore que la sienne. Plus grande que tout ce qu'elle peut imaginer. Elle a huit ans, elle ne saisit pas tout, pas encore. Elle ne sait pas encore qu’elle est orpheline, en revanche elle sait, elle sent, qu’elle n’a d’autre choix que de courir.


« Sybil tu vas bien ? Tu veux aller voir l'infirmière ? » Pas de réponse. Il fallut quelques instants à la jeune fille pour réaliser que c’était à elle que l’on s’adressait. Elle releva ses yeux d’opale du livre ouvert à la même page depuis le début du cours, elle les releva de ces mots qu’elle avait relu une douzaine de fois sans jamais que le sens ne parvienne jusqu’à son cerveau. Elle sentait l’humidité dans ses prunelles, elle la sentait aux regards qu’on lui lançait plus qu’à un quelconque tiraillement du coin de ses yeux. « Sybil ? » Répéta l’enseignant avec une douceur toutefois teinte d’une certaine inquiétude. La blondinette détourna ses prunelles noisettes, à la recherche d’une tête familière d’un regard auquel elle pourrait se raccrocher, mais elle n’avait pas d’amis ici. Elle était la nouvelle, la gamine étrange qui rêvassait en classe les yeux remplis de larmes. Des amis, elle ne risquait pas de s'en faire beaucoup. Sans le savoir elle accepta la proposition qu’elle n’avait qu’à moitié entendue et elle se leva sans un mot de son siège, quittant la salle de classe. On ne lui en voudrait pas bien sûr, personne ne pourrait lui en vouloir de ne pas savoir suivre ses cours aussi assidument qu’à l’ordinaire. Pas plus qu’on ne lui en voudrait pour la grimace inconsciente de ses lèvres menues. Pas alors que la gamine avait perdu sa famille entière quelques mois plus tôt. Mais ça n'était pas ça qui causait sa tristesse actuelle, non, elle venait de se rendre compte, en posant les yeux sur le tableau vert, que si James avait survécu il aurait eu dix-neuf ans ce jour-là.


Elle plissa les yeux, prit une grande inspiration, relâcha un peu l’étreinte de ses doigts fins sur le frêne élégamment travaillé et tira. La flèche siffla dans l’air et atteignit parfaitement le centre de la cible, cent mètres plus loin. Sybil expulsa tout l’air de ses poumons, soulagée, fière surtout. « C'était pas mal du tout Cissy ! » lança son instructeur en s’approchant d’elle. À sa droite, elle entendit sa sœur frapper dans ses mains. Elle sourit, abaissant l’arbalète. Cette dernière n’était pas son arme préférée, mais elle se débrouillait plus que bien et bientôt elle serait prête à passer à un modèle plus lourd et plus performant. Elle aimait l’arc et les flèches, elle aimait le pouvoir que lui conférait l’arbalète, elle laissait néanmoins l'expertise de la chose à Imogen. Sybil, elle, préférait la perfection des dagues qui faisaient plus de dégâts qu’on ne se l’imagine habituellement, si maniées avec agilité. Elle leur trouvait une certaine classe également un je-ne-sais quoi d'élégant. Et elle avait d’ailleurs toujours préféré la propreté de leur résultat ainsi que leur précision à la boucherie dont étaient capables les armes à feu. Peut-être que c’était aussi que, malgré le pouvoir qu’elle avait l’impression de posséder lorsque armée de l’une de ses dagues, elle ne sa sentait pas létale, elle ne se sentait pas inutilement dangereuse pour le monde. Au contraire elle se sentait en contrôle, en mesure de défendre elle et les autres. Or c’était bien pour ça qu’ils étaient là, eux les chasseurs, pas pour causer le carnage, mais au contraire pour réparer les erreurs de la nature. Pour exterminer les loups-garous qui menacent la vie paisible des hommes. C’était pour ça qu’elle se battait et rien d’autre. Le germe de la vengeance n’avait jamais su se planter de façon permanente dans son cœur. Les loups qui avaient tués sa famille, elle ne les retrouverait probablement jamais et du haut de ses quinze ans, elle savait qu’aucun massacre, aucune hécatombe ne suffirait jamais à la faire se sentir mieux. Parce que jamais rien de tel ne lui ramènerait sa famille. Les lycanthropes lui inspiraient une certaine pitié finalement, elle les plaignait pour ce qu'ils n’avaient pas choisi leur affliction et devaient malgré tout la payer à un prix fort élevé. Et à ses yeux la déontologie du chasseur était tout aussi importante que sa capacité à se battre. Sans code, ils n'étaient tous que des meurtriers. Elle se retourna vers Imogen sa crinière blond foncé volant au vent. Sa sœur bien que déjà entièrement formée ne ratait jamais aucun de ses entraînements, de la même façon qu’elle semblait garder un œil sur elle où qu’elle aille et quoi qu’elle fasse. Sybil ne savait pas lui en vouloir quand bien même elle l’aurait voulu, elle savait qu’aussi bien qu’elle se raccrochait à son aînée pour ce qu’elle était tout ce qu’il lui restait l’inverse était vrai. Pas un jour ne passait sans que l’adolescente remercie les cieux pour lui avoir laissé Imogen à défaut de toute sa famille. Ceux qui les avaient recueillis étaient bons et généreux, mais ils ne valaient pas les souvenirs de plus en plus vagues qu'elle avait des Abberline.


« Prête ? » la jeune femme hocha la tête et l’instructeur s'approcha de sa paillasse, lunettes protectrices sur le nez. C’était son dernier devoir de l’année, le dernier à passer afin d’obtenir sa première année universitaire de biochimie. Malgré l'assurance dont elle tentait de faire preuve, Sybil était extrêmement nerveuse. Bien que plus l’année était passée et moins ses études lui avaient semblé passionnantes, elle voulait que ça marche. N’aurait-ce était que pour les milliers d’euros dépensés pour qu’elle puisse étudier à Trinity College. Un rêve de gamine. Une affreuse déception. « Elle m'a l'air réussie, bien sûr il faut la tester. » fit le professeur en lui lançant un regard approbateur. Il y avait des dizaines de moyens de rater une telle préparation sans que ça ne se voit au premier regard, aussi son commentaire qui se voulait rassurant ne signifiait pas grand chose. Elle avait fait attention à suivre les instructions qu’elle avait apprise par cœur et à tout préparer avec soin, avec le perfectionnisme qui la définissait si bien. Elle s’avouait avec peine qu’une partie d’elle s’était imaginée concocter des espèces de potions à longueur de journée. Elle n’avait pas tout à fait anticipé que la majorité de son temps serait offerte à la dissection de cellule et le recopiage de formules. Sa passion pour les sciences naturelles l’a quittaient doucement mais sûrement. Sous ses yeux un rien inquiets il prit un extrait de sa préparation dans un tube à essai et retourna à son bureau pour y faire quelques expériences. Quelques minutes s'écoulèrent tandis qu’elle se rongeait les ongles consciencieusement avant qu’enfin il ne l’appelle.  « Eh bien je vous félicite Miss Abberline, votre solution était parfaite. » Il lui offrit un sourire approbateur et elle hocha la tête pour le remercier avant de sortir de la salle, avec une envie presque irrépressible d'embrasser tout ce qui bougeait. Si ses pronostics quant à ses résultats à ses derniers devoirs théoriques étaient bons, elle avait largement de quoi obtenir son année. Elle couru presque sur le chemin du retour, aussi contente d’avoir réussi que d’être enfin en vacances. Et ce soir-là, quand Imogen lui annonça son envie de retourner à Glencullen, Sybil n’hésita pas une seconde avant de lui proposer de se joindre à elle, comme ravie qu’on lui offre une excuse pour quitter Trinity College et accessoirement se réorienter. L'importance de cette décision, du fait que cela signifiait retourner sur les lieux du massacre de sa famille ne lui vint que plus tard une fois enroulée dans ses couvertures.

Wow, trop cool, t'es enfin des nôtre mon p'tit ! Alors avant de commencer le blabla un peu chiant, je vais quand même te dire ce que j'ai pensé de ta fiche : oh mon dieu j'adore ta plume ! C'est simple, agréable et fluide : tout ce que j'aime ! J'ai hâte de rp avec toi, tu m'as donné des feels .

Et maintenant, parlons bien parlons peu, parlons de tout ce que tu peux faire maintenant que tu es validé. Alors déjà sache que la première chose que tu dois faire, et c'est très important, c'est de recenser ton avatar. Si tu ne le fais pas et que quelqu'un d'autre le prend, c'est toi qui devra changer. Tu peux donc faire ça ici. Ensuite, tu auras peut être envie de te trouver des potes, non ? Tu peux aller t'ouvrir un répertoire de liens, mais si jamais ce n'est pas assez, tu peux aussi te faire un scénario. N'oublie pas non plus d'aller te recenser dans les différents répertoires. Et puis si tu cherches un rp, ne cherche plus, va directement faire une demande !
Voilà, c'est tout ! N'hésite pas à venir flooder avec nous !