identity card PRÉNOM(S) : Echizen Schreiber, un fardeau qui fait sourire. La simple vue de la carte d'identité enchante. La soif d'argent de l'être humain les pousse vers toi. Mouches voraces, ils seraient prêts à tout pour goûter ne serait-ce qu'une poussière de ta vie. Mais tu n'es pas ce prince d'or tant espéré. Chez toi, tout n'est que cendres. La richesse disparue, la royauté déchue. AGE : Les vingt-sept roses couvrant tes phalanges te rappellent la pourriture que tu es. Renégat d'une société trop criminelle, tu plonges passionnément dans les entrailles de tes démons. PROFESSION : Les mots s'emmêlent, les phrases ne riment plus. Le fil conducteur disparaît dans ces méandres. L'encre coule, tout doit être recommencé. Poète incertain, tu es l'artiste des bas-fonds. Âme désorientée et plume vigoureuse, seuls tes mots marquent. Toi, tu n'es que l'ombre tenant le stylo. Les métiers se sont enchaînés, d'étudiant en philosophie te voilà proxénète et la littérature t'appelle de nouveau. L'art des mots te subjugue. Ivresse méconnue. STATUT SOCIAL : Le cœur à la mer, personne ne souhaite s'amouracher du monstre habitant tes entrailles. Il t'est trop difficile d'aimer, seule la douleur en résultera. Tu fuis toutes formes d'amour comme on fuirait la peste et pourtant tu l'attends. La douce délivrance. RACE : l'humanité te quitte. Monstre à la chair dévoilée. La mort s'échappe de ton souffle. Tu ne devrais pas être là. Tu sais que ta place est six pieds sous terre. Mais il a fallu qu'il passe à côté de ton cadavre à peine tiède. Le destin ou le prolongement d'une longue agonie. Ta porte de sortie, tu l'as raté. Une fois encore. NATIONALITÉ : Allemand jusqu'au bout des ongles, tu regrettes pourtant cette origine qui fait rêver un bon nombre de touristes. Tu n'as jamais vraiment aimé le nord, les paysages ensoleillés t'enivrent plus. ORIGINES : L'Allemagne coule dans tes veines. Le drapeau tricolore semble être imprimé sur ton front, tu le portes discrètement sans pour autant en avoir honte. Les mots se distinguent. L'accent reste. Trace indélébile de ton passé douteux. FAMILLE : La richesse qui coule à flot, les rumeurs monstrueuses et les bagues écarlates. Schreiber, l'une des plus grandes richesses d'Allemagne. Famille de joailliers depuis la renaissance, la qualité de vos bijoux n'est plus à prouver comme le démontre le prix d'une simple pendentif. La cuillère en argent dans la bouche, tu n'as rien connu d'autre que l'excès et le luxe. Les petits plaisirs superflus dont tu jouissais au quotidien t'ont rendu rapidement arrogant. T'incarnais sûrement le stéréotype du gamin bourge mais les temps difficiles t'ont fait changer. Tes parents, quant à eux, ont toujours mis un point d'honneur sur la bonne apparence et la courtoisie - quand bien même celle-ci était fausse. Manipulateurs des mots, ils t'ont appris à mettre le langage de ton côté. Officiellement tu es fils unique, cependant tu possèdes bel et bien un frère. Fils illégitime, adopté par pitié, par besoin de se racheter de mauvaises actions. Vous êtes du même âge, tout porte à croire qu'il s'agit de ton jumeau (hormis le physique). Le seul que tu apprécies un minimum au sein de cette famille des plus déstructurées. T'as longtemps envié sa place, être inconnu des médias, invisible dans la foule. Ces choses que tu n'as jamais connus avant d'être déshérité. La chute en enfer, les aiguilles acidulées qui pénètrent ton épiderme. Le fardeau qui s'envole. Devenir un moins que rien, voilà ce qui t'as sauvé de ce monde corrompu. Le père qui t'exile, la mère qui t'oublie, le frère qui subit. Et toi qui pourris.

characterization La douce folie qui coule dans tes veines. Acerbe mélancolie, les mots ne sont plus. Les yeux qui font mirages, tu te perds en ton propre malheur. Le cœur malmené, rien ne peut te ramener à cette vie tant espérée. Morne réalité qui guide tes journées. Une échappatoire qui ne viendra pas, tu attends l’arrivée de l’impossible. Défier la mort, une nouvelle conquête qui t’ouvre les yeux. Tu te laisses aller, l’alcool et l’excès baignent tes moments de solitude. Honte familiale, tu caches tes cadavres sous de ridicules mensonges. Mentir ne te sied pas. Incapable dans l’art de la gentillesse et de la courtoisie, tes mots tranchent la chair exposée à tes yeux. Vile charcutier, tu ne lésines pas tes cruelles poésies. La rage t’empoisonne. Tu détestes le monde et ses faux-semblants. Tu fuis ton reflet, voyant en lui tout ce qu’il y a de plus répugnant. Rien n’est beau, tout est laid. La vie t’a délaissé, la mort t’a poursuivi. Pantin de tes mauvais jugements, les mélodies s’effondrent. L’enveloppe charnelle sans hôte, tu erres au sein de ces décombres que sont tes souvenirs. L’âme qui vagabonde, tu n’es plus qu’un de ces loups solitaires. Incapable d’être aimé. La violence de ton amour, tu repousses les roses comme les chardons. Dangereux pour toi-même et pour les autres. Rien ne pourrait humaniser la bête que tu es. Les paroles sont vaines avant même d’être prononcées. Les nuages s’écoulent dans le ciel de cette malsaine comédie. Les masques tombent, seule la charogne reste. Le sanguinaire ne deviendra pas autre, tu continueras tes jeux morbides jusqu’à ce que l’heure de ton jugement sonne. L’odeur âcre de la chair fumante emplie tes poumons encrassés. L’autre est toi. Triste soleil des enfers, tu chantes parmi les cadavres dansant. Tu contes tes mots emmêlés, l’art inachevé, le poète assassiné. Les louanges pleurent, tu n’es plus.

La belle argentine se lève lentement. Le venin baigne en toi. Les yeux mauvais, tu quittes ce que tu as longtemps pris pour un palais. Vieux banc abîmé qui t’as accueilli de nombreuses nuits, toi le clochard de ces rues. Vêtu de quelques bribes sales et esquintées, tu t’avances. Le pas incertain, maladroit – tu te prends malicieusement pour un funambule. T’imaginant à partir de quelques galets une ficelle suspendue à mille mètre, tu tentes d’aligner tes pieds au risque de tomber dans la bouche cannibale de Cronos. Les pauvres mères cachent le regard de leurs enfants. Les hommes d’affaires prennent leurs distances. Ils te fuient. Rien de bon n’émane du triste personnage que tu incarnes. La bête du royaume, le vil bourreau de ces demoiselles.  Tu divagues, le fil rompt. L’équilibre s’évanouie. Et alors te voilà au sol, la bouteille se brise dans tes doigts. Le sang coule et la conscience s’échappe.
A ton réveil, tu te sens encore bercé par l’alcool. Ton regard se lève vers cette assiette d’argent déjà trop haute dans la nébuleuse noire. La force te manque mais tu te vois déjà levé. La fatigue qui s’abat sur toi, tes épaules pèsent. Le satyre y aurait-il élu domicile ? Tu t’empresses d’essayer de toucher ton dos, vérifiant ainsi qu’aucune patte de bouc n’y pend. Mais les mains ne suivent pas les ordres. Impossible de les hisser. Seuls tes doigts acceptent d’obéir et encore tout cela s’avère douloureux. Les lumières de la ville ont disparues. Tout est froid, tout est mort. Ton regard se perd dans les ombres dansantes. Tes yeux te jouent des tours, les démons te narguent. Et un rire s’élève d’entre les bois. La silhouette imposante se rapproche. L’envie de t’enfuir se fait plus forte, ton cœur s’emballe, le danger est là. Pauvre animal prisonnier de son propre cauchemar, les cordes s’enfoncent dans ton épiderme. Les liens te brûlent la peau. Tu t’étouffes. Le fil de fer entourant ton cou se resserre, le rire macabre s’amplifie. La chair se découpe lentement, le sang apparaît et ton cri surgit.
« Tu l’as tué, tu l’as tué. » Te murmure-t-il incessamment. Malgré son visage masqué, tu le sais fou. La détresse s’entend dans sa voix, les cordes vocales tremblantes, les dents bien trop serrées – tu connais tout ça, tu l’as vécu. Ton bourreau relâche la pression sur ton cou. Le métal tinte. Un éclair argenté traverse ton champ de vision et la peau s’entaille. Le muscle se déchire, alors que le détraqué dessine joyeusement le nom de ta bien aimée au cœur de ta chair. Attaché à cet arbre, tu n’es qu’un gibier attendant patiemment sa mort. Cela ne te plait pas, tu te sens bouillir. Ton pouls s’accélère, tes bras s’échauffent entre deux cris douloureux. Malgré la drogue s’écoulant dans tes veines, le mal est tel que tu aimerais lui demander de t’achever. Mais la fierté t’étouffe. Encore un des admirateurs de la douce Calliope, ta fiancée à toi seul, celle qui avait péri entre tes bras. Oui, tu l’avais tué. Tu savais déjà toutes ces paroles que te susurrait cet homme perdu. Désorienté, voilà ce qu’il était. Il devait l’aimer lui-aussi la belle Calli. Ô ce qu’il devait te détester de l’avoir tué, tout le monde te déteste désormais. Le monstre qui arracha les ailes d’une innocente colombe. « Tu vas souffrir Schreiber, tu vas souffrir comme elle a souffert. » Le fanatique continue son récit mais cette fois-ci dans une langue qui te reste inconnue, tu te demandes si cette dernière existe vraiment. Il chante ses mots à sa lame ensanglantée tout en la caressant du bout des doigts. Les dents se dévoilent, sourire carnassier qui annonce déjà ta fin précoce.
Les cinq flammèches présentes autour de toi te taquinent les rétines, l’odeur auparavant simplement dérangeante te devient insupportable. La drogue reprend du service et les sens s’amplifient. Le bourreau ne te touche pas et pourtant tu cries. La douleur se ravive, le corps se réveille. La lame épouse tes poignets puis tes chevilles. Elle dessine une fois de plus quelques formes au creux de ta peau. Tu te sens défaillir. Ta vue se trouble, des flashs blancs viennent te faire perdre toutes notions d’espace. L’amoureux fou te libère de tes liens, tes pas ne se synchronisent pas alors que tu tentes de t’enfuir. Jeu malsain. Le second monstre des lieux te déchire les ligaments du genou d’un simple coup de dague. Et tu t’écroules tristement à ses pieds. Tu n’as plus la force de crier, tu veux simplement en finir. Terminer cet horrible conte qu’est ta vie. Fermer la couverture à tout jamais. Un rictus trace son chemin sur tes lèvres. Unique mouvement avant le dernier coup de la dague. « Heureux de lui avoir évité la rencontre d’un psychopathe tel que toi. » Les insultes fusent, les menaces prolifèrent. Mais tu es déjà mort. Blafard, l’ultime goutte de sang s’en est allée. Le cœur s’est arrêté. Les yeux plongés dans le vide. Le sorcier débridé en a fini. Et le poète massacré replonge dans les limbes.


PSEUDO : wild.Weird PRENOM : a. (on garde le mystère   ) AGE : on demande pas l'âge d'une dame    COMMENTAIRE, SUGGESTION ? : jeez, que vous êtes beaux    ça devrait être interdit ça   AVATAR : daniel radcliffe    GROUPE : resurrected PERSONNAGE : inventé

Wow, trop cool, t'es enfin des nôtre mon p'tit ! Alors avant de commencer le blabla un peu chiant, je vais quand même te dire ce que j'ai pensé de ta fiche : omg, ta plume j'en profite pour te souhaiter la bienvenue, ton personnage m'a l'air très intéressant .

Et maintenant, parlons bien parlons peu, parlons de tout ce que tu peux faire maintenant que tu es validé. Alors déjà sache que la première chose que tu dois faire, et c'est très important, c'est de recenser ton avatar. Si tu ne le fais pas et que quelqu'un d'autre le prend, c'est toi qui devra changer. Tu peux donc faire ça ici. Si tu as peur d'avoir du mal à t'intégrer sur le forum, ou si tu as encore quelques questions, le système de parrainage a été mis en place pour permettre aux nouveaux de se sentir chez eux. Tu peux trouver toutes les informations par ici et t'inscrire dans le même sujet si tu en ressens le besoin. Ensuite, tu auras peut être envie de te trouver des potes, non ? Tu peux aller t'ouvrir un répertoire de liens, mais si jamais ce n'est pas assez, tu peux aussi te faire un scénario. N'oublie pas non plus d'aller te recenser dans les différents répertoires. Et puis si tu cherches un rp, ne cherche plus, va directement faire une demande ! Pour finir, tu peux créer un journal de bord à ton personnage, pour y retracer son histoire, son évolution, etc.
Voilà, c'est tout ! N'hésite pas à venir flooder avec nous !