identity card PRÉNOM(S) : Je fus prénommé Killian, prénom de mon arrière-grand-père. J'ai aussi un second prénom, mais je n'aime pas le dire. AGE : J'ai vécu vingt-ans de ma petite vie, encore peu développée en effet. Vingt-ans, que je survis en fait. PROFESSION : Je fus envoyé en école militaire, pour suivre la voie d'aider son prochain en protégeant son pays. Mais j'ai préféré arrêter quelques temps, pour faire un petit cursus en sport, le système strict du monde des militaires m'ayant grave pris la tête. STATUT SOCIAL : J'ai toujours ou presque vécu avec des hommes, les filles, c'est de loin. Je veux profiter de mon retour à la "normal", un cœur de pierre qui n'est pas prêt de se poser. RACE : Je n'étais qu'un humain, qu'un simple petit humain de pacotille, avant d'être mordu par une créature, esclave de la nuit lors de ma fin de scolarité dans l'école militaire. NATIONALITÉ : Je suis américain de pure souche, du moins c'est toujours ce qu'on m'a dis. ORIGINES : Aucune qui pourrait réellement m'importer FAMILLE : J'ai une famille typiquement américaine. Un père pénible, lourdeau qui a fait carrière dans la marine, raciste comme pas deux et qui à déjà pas mal trompé ma mère, ma mère elle, était la bonne pâte, défendant ses enfants becs et ongles, une sœur un peu trop fofolle et accro à la drogue et un petit frère qui n'a pas encore compris le monde, préférant jouer avec ses dinosaures en plastoc.

characterization ○ J'ai été adopté. Du moins, j'ai été confié à la famille Mayers, suite au décès de mon père biologique, qui était un très bon ami et collègue de Mr Mayers et à sa mort, il lui a demandé de s'occuper de moi, n'ayant pas de mère ou de famille convenable.○ Depuis très jeune, on a décelé chez moi des crises de colère, une montée d'angoisse et de violence assez importante. Pas que je veuille du mal aux gens, mais j'ai toujours mal géré mes émotions, faisant de moi un mec assez difficile et complexe.○Truc de famille sans doute, j'ai toujours adoré les sports extrêmes. On faisait du parachute, du rafting, des excursions en montagne, avec mon père biologique, quand il était encore en vie. J'ai continué un peu avec mon père adoptif. Mais ce n'était pas franchement pareil quoi.○J'ai jamais été contre le fait d'aller à l'école militaire, mais j'avais surtout envie de faire ce qui me plaisais mais j'ai pas eu réellement le choix. Mon père biologique voulait que j'y aille et avait déjà tout fait pour l'inscription avant de claquer, du coup, je n'ai pas eu réellement le choix et au moins en sa mémoire, j'ai fais ce que je devais faire.○Mon rêve aurait été de devenir sportif professionnel.○J'ai beau avoir une tête de petit ange, j'ai fais bien des conneries, et beaucoup à l'école militaire. Je suis le petit cancre de base, même si souvent, j'arrive à tellement bien cacher mon jeu, que le directeur à mi des mois à comprendre qu c'était moi qui avais foutu le feu à des matelas. ○ J'ai été tatoué en étant bourré dans le dos, un dragon descendant sur ma colonne vertébrale. ○ Je suis un sale gosse qui se complait du malheur des autres, oui. Tel est mon pire défaut.○ Il à été mordu par un alpha quand il était proche de partir de l'école militaire et se retrouve donc sans alpha, un pauvre oméga sans aucun contrôle sur ses pleines-lunes.

depuis quand habitez-vous à Glencullen ? Et pourquoi avoir choisi cette ville ? : J'ai pas vraiment eu le choix, pour être honnête. Le père Mayers vivait en France, et à déménagé ensuite dans le pays, dans cette ville qu'est Glencullen. J'aime pas ce patelin, je passe ma vie à Dublin mais bon, j'ai pas souvent le choix, j'ai qu'une hâte : finir mes études et foutre le camp en Amérique, ou je vivais autrefois. J'ai pas vraiment eu le choix, pour être honnête. Le père Mayers vivait en France, et à déménagé ensuite dans le pays, dans cette ville qu'est Glencullen. Je n'aime pas ce patelin, je passe ma vie à Dublin mais bon, j'ai pas souvent le choix, j'ai qu'une hâte : finir mes études et foutre le camp en Amérique, ou je vivais autrefois.Je viens le moins possible ici, j'y ai jamais vraiment vécu en fait, je suis un peu une nouvelle gueule dans la ville quoi.Avez-vous remarqué la présence de plusieurs créatures surnaturelles ? Croyez-vous en leur existence ? Si vous êtes vous-mêmes une de ces créatures, avez-vous conscience de la présence de chasseurs, ou vous pensez-vous plus fort qu'eux de toute manière ? : Je croyais absolument pas au surnaturel avant que cela me tombe sur le bout du nez, à l'école militaire. Je savais que j'aurais dû me méfier de ce type et pis bah voilà. Une seconde d'inattention et mordu. Il a finalement disparu et moi, étant retourné en Europe, je n'ai pas eu l'occasion de le revoir, pas sur que cela soit voulu de toute façon. Je ne sais pas vraiment si ici, il y a des créatures surnaturelles, mais je ne tarderais pas à le savoir.Croyez-vous en l'existence de divinités quelconques ? Avez-vous une religion ? Si oui, laquelle ? La pratiquez-vous sur une base régulière, ou pas du tout ? : J'ai jamais cru en quoique ce soit, j'ai vu, en étant un militaire, ce que la religion faisait sur le monde, je n'ai strictement pas envie de tomber là-dedans moi aussi. Je crois déjà en moi, en mes valeurs et c'est bien suffisant comme ça.

PSEUDO : Liraco PRENOM : Coralie AGE : Bientôt la vingtaine. COMMENTAIRE, SUGGESTION ? : Le forum dégomme sa maman, ouais ouais.   AVATAR :Nick Robinson GROUPE : Wolves PERSONNAGE : inventé

" Fiston. Sache une chose. Quand tu te battras pour une cause, ne cherche pas à savoir si elle est bonne ou mauvaise pour un tel ou un tel. Cherche à savoir qu'est-ce qui sera le plus bénéfique pour l'humanité, pour toi et ton futur, pour tes enfants. Qu'importe ce qu'il faudra que tu fasses, il faut le faire. Tel est notre boulot, chaque jours." Je me rappellerais toujours de ces mots, de ces phrases que m'avais sortis mon père, alors qu'on était autour d'un feu de camp, après avoir passé une journée d'enfers dans les rapides d'un court d'eau du Colorado. Une journée riche en émotion, en adrénaline et comme souvent, en train de faire griller des guimauves, une bière pour lui et un peu de musique, il me disait des choses très philosophiques. Sans doute l'alcool qui lui montait au nez mais j'avais toujours gobé ses paroles, comme si c'était le messie lui-même. Mon père franchement, c'était le meilleur à mes yeux. Je remuerais ciel et terre pour revenir dans le passé et lui sauver la vie. Dans le fond, si j'ai accepté aussi facilement d'aller à l'école militaire, c'est peut-être un peu pour me venger de ce genre de personnes, que sont ces foutus terroristes qui s'amusent à tuer pour on ne sais quel idéaux. Heureusement que je n'étais qu'un gosse, à l'époque, que j'étais encore assez tranquille, que mes crises n'étaient pas entièrement découvertes. Car c'est certain que j'aurais pu devenir un tueur, pour me venger d'un monde qui à mes yeux, à perdu toute crédibilité, toute humanité.




Ma vie, je l'ai faite en partie avec les Mayers, de mes douze ans à aujourd'hui. Il était comme un frère aux yeux de mon vrai père, c'est pourquoi il lui aurait dit, sur son lit de mort, de s'occuper de moi, en sa mémoire. Il l'a fait sans aucune hésitation, fin..C'est ce qu'il m'a dit. Il ne m'a jamais considéré comme un simple gosse à m'occuper par obligation, il m'aimais vraiment et je le sais, bien qu'il ne me le montrais pas. Il voulait un fils et au final, il l'a un peu eu avec moi, car sa fille n'était pas du tout dans le même délire que lui, elle préférait faire du shopping avec sa mère. Du coup je faisais tout ce qu'il voulait avec lui et comme il aimait relativement la même chose que mon père donc nous nous entendions bien. Mais le même sujet revenait souvent: canaliser mon énergie souvent négative, néfaste. Je ne sais pourquoi, mais j'ai une personnalité un peu névrosée, je me sens obligé d'être brusque dans tout ce que je fais et malheureusement quand on m'énerve, je pars vite au quart de tour. J'ai eu des ennuis, pas mal d'ennuis au collège. J'étais pourtant un petit beau-gosse, un mec sportif qui aurait largement pu être le bad-boy du collège/lycée mais j'étais pas super fréquentable car il m'arrivais souvent de faire des conneries à la Bart Simpson, à fumer des joints derrière le gymnase et picoler avant de revenir en cours. Oui, j'ai vraiment fait n'importe quoi et pour pas m'aider, les parents adoptifs donc, me disais pas grand chose, car ils pensaient que c'était le contre-coup de la mort de mon père et aussi la crise d'adolescence. Bon, hormis quand j'ai vraiment fait la pire connerie de ma vie, en volant une voiture et ayant provoqué un accident, c'est là que je fus envoyé dans un pensionnat et ensuite à l'école militaire. Faut avouer que d'aller dans ce genre d'endroit m'a un peu calmé, on ne me faisait pas de cadeaux, on me marchait sur les pieds, les doigts, on me faisait souffrir et on me fatiguais comme pas possible pour calmer mes crises. Oui, j'étais étroitement surveillé mais cela m'a jamais empêché de faire des conneries. On ne change pas une personne comme ça quoi.



Mais bien sûr, c'est toujours vers la fin, quand on croit que tout est bientôt fini et qu'on va pouvoir débuter une petite vie tranquille que les ennuis commence. J'avais terminé mes années à l'école militaire, j'étais enfin pratiquement diplômé, on finissait donc les tâches quotidiennes et alors que je sortais d'une salle après une soirée plus que divertissante, je m'étais donc dirigé comme souvent vers nos dortoirs. C'est ce fameux soir, de pleine lune sans que je m'en rende réellement compte, que ce type est apparus de nul part. Je l'avais déjà vu, à force de vivre ici et surtout qu'avec des hommes, je commençais à parfaitement reconnaître les gens. Il était gradé, je m'en souviens. Il était je crois un professeur tout juste arrivé, il donnait des cours dans une filière qui n'était pas la mienne mais je l'avais déjà vue plusieurs fois. Et je ne sais pas, il m'a attaqué, il m'a mordu et je me souviendrais toujours de ces yeux rouges. Par chance, ou plutôt coup de bol, des militaires sont arrivés et on vue que j'avais des emmerdes et forcément, ils ont déboulé, mais ils n'avaient pas vu qui c'était. Ce type, avant de partir, m'a clairement dit de fermer ma gueule si je ne voulais pas mourir la prochaine fois qu'il croise mon chemin, j'ai donc rien dit, trop tétanisé par ce qui venais de se passer. C'est ainsi que je devins un loup-garou, un oméga mais qui ne compris jamais ce qui c'était passé. Je ne croyais absolument pas au surnaturel, avant ce soir-là et encore, je ne sais toujours pas ce que j'ai, j'ai même voulu en parler à quelqu'un mais on me prendrais pour un taré.



Retour chez les Mayers. Revoir ma famille adoptive ce n'est pas une mauvaise chose, mais j'aurais réellement préféré rester en Amérique. Changer de pays comme ça, c'est pas mon truc. La France c'était même mieux, je trouve. Mais c'est comme ça, je veux faire quelques années d'études au moins au cas où j'ai envie d'arrêter l'armée plus tard, j'ai envie de connaître la vie d'un universitaire, faire du sport et surtout être libre quoi. Mais ma liberté est entravée par cet accident. Je me sens différent, mes sens sont plus développés, mais je canalise encore moins ma colère et mes émotions. J'ai tué. Je me souviens pas comment, mais je sais que j'ai tué, une nuit de pleine lune. J'ai compris que j'étais une créature du surnaturel, mais je ne sais rien, je ne sais pas comment survivre, je suis faible en étant fort par ma façon d'être mais seul, je sais qu'une meute pourrait me tuer. Je me suis renseigné, j'ai lu beaucoup de livres. Ma mère me demandais même ce qui se passait. Impossible que je lui balance : "Ouais maman, ne t'inquiète pas, je suis un loup-garou, faut bien que j'me renseigne quoi". J'ai peur d'être seul, de finir seul, je déteste la solitude même si je montre une facette de moi comme étant un mec super réservé et mystérieux. Mais je le suis pas vraiment, quand on me connaît. Cette fille, je sais qu'elle serait capable de voir qui je suis, elle m'a réellement tapé dans l'œil, mais c'est pour ça que je veux la fuir, qu'elle ne doit pas m'approcher. Son affection, sa gentillesse...Je ne peux pas. Je peux la tuer en l'enlaçant, je peux la tuer le soir d'une pleine lune, je lui briserais le cœur par ma façon d'être et je sais qu'elle ne le mérite pas, pas comme certaines filles ici que je me moque bien de blesser ou de larguer comme des merdes.

Wow, trop cool, t'es enfin des nôtre mon p'tit ! Alors avant de commencer le blabla un peu chiant, je vais quand même te dire ce que j'ai pensé de ta fiche : tu verras, il va se sentir bien à glencullen killian bref, have fun!.

Et maintenant, parlons bien parlons peu, parlons de tout ce que tu peux faire maintenant que tu es validé. Alors déjà sache que la première chose que tu dois faire, et c'est très important, c'est de recenser ton avatar. Si tu ne le fais pas et que quelqu'un d'autre le prend, c'est toi qui devra changer. Tu peux donc faire ça ici. Ensuite, tu auras peut être envie de te trouver des potes, non ? Tu peux aller t'ouvrir un répertoire de liens, mais si jamais ce n'est pas assez, tu peux aussi te faire un scénario. N'oublie pas non plus d'aller te recenser dans les différents répertoires. Et puis si tu cherches un rp, ne cherche plus, va directement faire une demande !
Voilà, c'est tout ! N'hésite pas à venir flooder avec nous !