identity card PRÉNOM : ciara, dégage force et assurance. en apparence. AGE : dix-neufs années qu'elle partage avec sa moitié. PROFESSION : assistante dans une petite galerie d'art de dublin. STATUT SOCIAL : célibataire, son (trop gros) coeur vacille. RACE : petite humaine qui se croit capable d'affronter le monde extérieur. NATIONALITÉ : née sur le sol irlandais. ORIGINES : multiples et diverses. elle ne sait pas trop, s'en préoccupe guère. FAMILLE : grande famille unie. tant que l'on va dans leur sens. tous pour la même cause, dit-on. mini dictature. aucun écart permis. killing is worth it. même au sein de sa propre famille.

characterization 01. petite, ciara avait une peur inconditionnelle du noir. elle avait besoin de voir pour se sentir rassurée. encore aujourd'hui, elle ne se sent pas à l'aise. mais avec le temps, elle a su maîtriser un peu sa phobie. souvenir douloureux de cette époque, elle dort aujourd'hui avec la veilleuse qu'elle a tant désiré durant son enfance. 02. amatrice d'art, elle tente de maîtriser la peinture. elle essaie de se trouver du temps libre pour s'améliorer dans ce domaine. ça lui permet de travailler sa concentration, et de se vider la tête. 03. elle possède une collection impressionnante de livres sur le surnaturel, les légendes et autres. même si elle doit pêcher le vrai du faux, elle en prend bien soin et ne compte pas s'en séparer. il a toujours quelque chose à apprendre. 04. s'étant découvert une véritable passion durant les entraînements, elle a décidé de pratiquer la boxe en compétition. elle en a fait pendant quatre ans, avant d'arrêter, faute de temps. elle n'a pas cessé de s'entraîner, cependant, puisqu'elle disposait de tout ce dont elle avait besoin dans la maison familiale. maintenant qu'elle est à glencullen, c'est un peu plus compliqué. 05. elle porte la balle en argent qu'elle a forgé à la fin de son entrainement autour du cou. elle ne l'enlève jamais. ni pour dormir, ni sous la douche.

depuis quand habitez-vous à Glencullen ? Et pourquoi avoir choisi cette ville ? : ciara n'habite ici que depuis quelques mois. elle est venue en compagnie de sa jumelle, clarissa. elle n'a pas choisit cette ville, a proprement parlé. sa soeur non plus, d'ailleurs. ce sont leurs parents qui les ont envoyé. ayant eu vent des rumeurs sur cette ville concernant le surnaturel, ils ont souhaité enquêter, à distance. une façon pour eux de s'assurer que leurs filles sont bien à la hauteur. Avez-vous remarqué la présence de plusieurs créatures surnaturelles ? Croyez-vous en leur existence ? : c'est la raison principale de la présence de ciara à glencullen. née dans une famille de chasseurs, et étant elle-même officiellement chasseuse depuis un ans, elle ne peut que croire en leur existence. elle a baigné là dedans depuis sa plus petite enfance, son frère lui-même s'étant révélé être un sorcier. elle a appris ses leçons par coeur. elle sait de quoi ils sont capables et n'hésitera pas à faire ce qui doit être fait. Croyez-vous en l'existence de divinités quelconques ? Avez-vous une religion ? : ciara a lu tout ce qui était possible de lire sur la lune et la mort. elle sait ce qu'ils représentent, aux yeux des créatures. cependant, elle a dû mal à se l'imaginer. n'étant pas croyante - vis à vis de la religon, elle a beaucoup de mal avec ce concept. elle se doit de garder l'esprit ouvert, cependant. elle ne peut - et ne veut - rien écarter.

PSEUDO : velvety. PRENOM : marine. AGE : vingt-deux. COMMENTAIRE, SUGGESTION ? : AVATAR : katherine mcnamara. GROUPE : hunters. PERSONNAGE : inventé, famille kiwi.

des bras entourent ton corps. une étreinte familière. une étreinte réconfortante. tu ne t'étais pas rendue compte que les larmes perlaient tes joues avant de te réveiller. t'ouvres difficilement les yeux, et sens cette désagréable humidité sur ton visage. tu mets un peu de temps à savoir où tu es, avant que ça ne te revienne. tu t'es endormie sur le canapé du salon. vos parents ne sont pas là, alors vous en avez profité pour veiller. les petits bras - qui te semblent néanmoins gigantesques - se resserrent un peu plus autour de toi. tu n'es plus sur le canapé, mais tu n'es pas dans ta chambre non plus. it's okay, entends-tu dans un murmure. un chuchotement qui se veut doux, apaisant. tu réalises à présent. tu te trouves dans la chambre de thaddeus. dans son lit, avec lui. il te serre, aussi fort que ses bras gringalets lui permettent. pour te protéger. te protéger de ta peur. te protéger de ta plus grande faiblesse. il le sait. vos parents ne seraient pas contents, ne seraient pas fiers.

monsters don't sleep under your bed, they sleep inside your head.

depuis toujours, t'as une peur irrationelle du noir. ça t'empêche de t'endormir correctement. il n'est pas rare que tu te réveilles en pleurnichant. il faut le temps que tes yeux s'habituent à l'obscurité pour te sentir rassurée, un peu. tu n'as jamais osé demander une veilleuse à tes parents. tu n'as jamais rien osé leur demander. clarissa n'apprécierait pas, de toute manière. elle te traite de bébé, comme si c'était une insulte. au fond, c'est ce que vous êtes, toutes les deux. deux enfants. pourtant, vous comprenez déjà certaines choses. tu comprends que t'es le maillon faible, qu'il va falloir s'occuper tout particulièrement de toi. l'empathie n'est pas un mot connu de votre famille. il va falloir éliminer tous signes de faiblesse.

la nouvelle est tombée, quelques heures auparavant. tout a changé. tout a basculé en une fraction de seconde. tu n'arrives pas à y croire. t'as l'impression d'être en plein cauchemar, encore maintenant. tu ne t'en remettras pas de si tôt. tu ne sais même pas si tu t'en remettras jamais. tu n'es qu'une enfant, une gamine. alors, aussitôt rentrée de l'école, tu t'es terrée dans un lit. pas le tiens, celui de ton frère. tu voulais être seule, ce qui n'aurait pas été le cas dans la chambre que tu partages avec clarissa. ou peut-être voulais-tu être avec thaddeus, en faite. tu ne sais pas trop. tu ne sais plus. tu te sens perdue, déboussolée. la couverture au dessus de ta tête, tu pleures. depuis des heures maintenant. tu n'as pas bougée d'un poil. tu n'as pas faim, tu n'as pas soif. tu n'as besoin de rien, si ce n'est misty. tu ne veux pas qu'elle soit morte. non, tu ne veux pas. tu n'as pas assez profité d'elle. tu n'as pas passé assez de temps avec elle. tu n'as pas eu le temps de lui dire tout ce que t'aurais voulu. et maintenant, c'est trop tard. tu n'auras jamais plus l'occasion de faire quoi que ce soit avec elle. si petite, et tu gouttes déjà à l'injustice.

tu rouvres lentement les yeux. une fois de plus, tu ne t'étais pas rendue compte que tu t'étais endormie. ça t'arrive souvent. seulement là, t'étais exténuée. vidée, même. tes yeux sont encore bouffis d'avoir pleuré comme une madeleine. tu te tournes sur toi-même. tes gestes sont lents. ton corps répond à peine. mais soudain, tu te redresses d'un seul coup. comme si tu venais de recevoir un électrochoc. t'es toujours seule. personne n'est venu te rejoindre. alors, tu descends de ce lit et vas à la recherche de tes parents. tu les trouves dans la cuisine, assis à table. tu ne perçois pas tout de suite ce qu'il se passe, mais l'ambiance pesante ne te rassures guère. where's thad? demandes-tu d'une petite voix, toujours endormie. ils se tournent vers toi, affichant toujours leur air grave. ils ne cherchent pas à t'amadouer, prendre des pincettes. ils te disent très clairement ce qu'il se passe. avec des mots crus, un ton sévère. la situation est bien claire. thaddeus est un traître à son sang. il est hors de question que tu continues de t'accrocher à lui comme tu le fais depuis tant d'années. il est temps que tu passes à autre chose. il est temps que tu apprennes à te débrouiller par toi-même.

t'as bassiné ta mère pendant des heures pour aller jouer dans la neige. dimanche, le jour idéal. le lendemain, tu retournes à l'école. c'est aujourd'hui ou jamais - pas vraiment, mais tu ne veux pas attendre plus longtemps. elle a finalement cédé. au fond, tu penses qu'elle fait exprès de ne jamais dire oui du premier coup. comme si ce mot lui arrachait la gorge. après avoir enfilé tout l’attirail du petit irlandais - manteau, bonnet, écharpe, gants, bottes - tu sors enfin de chez toi. la blancheur de la neige t'en piquerait presque les yeux. c'est beau, tellement beau. tu ne résistes jamais à un tel spectacle. tu ne vas pas loin, seulement au bout du pâté de maison. il y a un terrain vert, à la base. en l’occurrence, il est blanc en cet saison. la couche de neige recouvrant le sol est assez importante pour te permettre tout un tas d'activités. tu optes pour un bonhomme de neige. un classique, bien que ça n'a jamais été ta spécialité. tu finis toujours un peu bredouille, mais ça en vaut la peine. plusieurs bonnes dizaines de minutes te sont nécessaires pour essayer de faire la base de ton bonhomme. c'est alors qu'on t'attrape par derrière - prenant bien soin de couvrir ta bouche, qu'on te met un sac sur la tête et t'embarque, tu ne sais où. tu ne réalises pas tout de suite. tout se passe tellement vite. et puis, surtout, c'est le noir complet. ça te tétanise. tu n'arrives même pas à bouger, ne serait-ce que pour essayer de te dégager. tu n'aurais pu crier, d'ailleurs. le noir. c'est tout ce à quoi tu peux penser. tu te retrouves à bord d'une camionnette, du moins c'est ce que tu présumes. vous roulez, en tout cas. et pourtant, ça ne te préoccupe pas plus que ça. c'est le fait de ne rien voir, qui t'angoisse. extrêmement. bientôt, les larmes coulent seules. ta respiration se fait saccadée, tu cherches l'air. tu manques même de t'étouffer. une crise de panique. soudain, on te retire le sac d'un coup. il ne te faut pas plus longtemps que ça pour te pencher et te mettre à vomir. tu finis par te redresser, doucement. tes yeux se posent sur ta mère. évidemment. au fond, t'aurais dû t'en douter. le regard sévère, froid, elle te fixe. elle ne dit rien, se contente de secouer la tête. et au final, ça en dit long. tu comprends, comme toujours. il ne faut pas qu'une chose pareil se reproduise.  

ton avant bras tape violemment contre celui de ton adversaire, stoppant net le coup qu'il allait te porter, à la surprise générale. tu n'es pas bien partie. il avait l'avantage. t'as beau adorer les combats en corps à corps, il est largement plus fort que toi. ça t'a déstabilisé, surement. tu encaissais coups après coups, sans flancher. tu essayais de garder la tête haute, mais tu ne dupais personne. surtout pas ton père, qui te regarde attentivement. du coin de l'oeil, t'as pu apercevoir à plusieurs reprises sont mouvement de tête désapprobateur. il n'avait pas l'air surpris, néanmoins. jusqu'à présent. un dixième de seconde. c'est tout ce qu'il t'a suffit pour que tu attrapes le bras du jeune garçon et le retournes. avec l'élan nécessaire et la surprise encore présente en lui, tu le maîtrises désormais. dans son dos, le tenant fermement pour le paralyser, tu glisses furtivement ton bras libre autour de sa gorge. il ne sait pas quoi faire, pas comment réagir. tu l'as probablement blessé dans sa fierté. quelque chose de fragile chez un homme, tu le sais. t'en profites alors pour mettre une de tes jambes devant les siennes, et l'envoyer au sol. il était confiant. un peu trop. t'as vu le sourire éclairer son visage lorsqu'il a su qu'il allait se battre contre la petite killingworth. un jeu d'enfant, a-t-il surement penser. tu quittes le tapis, sans même saluer ton adversaire. ça te coûtera une petite discussion avec ton père, mais peu importe. ton regard croise celui de cain, au loin. un sourire arpente son visage. le genre de sourire qui réchauffe le coeur. ce sourire qui veut dire que contrairement au reste de la salle, il n'est pas surpris, lui. ou peut-être vois-tu seulement ce que tu veux voir. mais ça te va. ça suffit à te détendre, te relâcher.
i miss u.
tu poursuis.
thaddeus is here.

Wow, trop cool, t'es enfin des nôtre mon p'tit ! Alors avant de commencer le blabla un peu chiant, je vais quand même te dire ce que j'ai pensé de ta fiche : ciaraaaaa bae elle est perf, jtm .

Et maintenant, parlons bien parlons peu, parlons de tout ce que tu peux faire maintenant que tu es validé. Alors déjà sache que la première chose que tu dois faire, et c'est très important, c'est de recenser ton avatar. Si tu ne le fais pas et que quelqu'un d'autre le prend, c'est toi qui devra changer. Tu peux donc faire ça ici. Ensuite, tu auras peut être envie de te trouver des potes, non ? Tu peux aller t'ouvrir un répertoire de liens, mais si jamais ce n'est pas assez, tu peux aussi te faire un scénario. N'oublie pas non plus d'aller te recenser dans les différents répertoires. Et puis si tu cherches un rp, ne cherche plus, va directement faire une demande !
Voilà, c'est tout ! N'hésite pas à venir flooder avec nous !