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Elrich Marbh & Augustus O'Callaghan



 
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 og í lok, mun hann vera aleinn.

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MessageSujet: og í lok, mun hann vera aleinn.   og í lok, mun hann vera aleinn. EmptyVen 15 Jan - 23:59


lazare moriarty
AND AT THE END, HE WILL BE LEFT ALL ALONE.

identity card
PRÉNOM(S) : Lazare (vient du latin Lazarus). Donné dès le premier souffle de vie qui exalte l'esprit, c'est la génitrice qui s'éteignit en le voyant pousser le premier cri et en murmurant d'entre ses lippes asséchées le prénom d'un enfant qu'elle ne connaîtrait jamais. Dieu qui m'a aidé, étymologie d'une appellation devenue peu commune et qui possède des caractéristiques religieuses en étant inscrit dans le Nouveau Testament. Lazare, celui qui a ressuscité dans les récits et qui se régénère inlassablement dans la vraie vie. AGE : Quarante-huit ans que l'on s'avance sur des sols connus et méconnus. Les sentiers sont visités et s'ancrent sous ses pas la visite involontaire d'une créature à chaque pleine-lune. Des années qui sont passées en caressant la bête dans le mauvais sens du poil, aigri est devenu celui qui tend désormais à être acrimonieux pour des raisons que l'on ne comprend pas. PROFESSION : Peu enclin à suivre bêtement des ordres donnés alors qu'il ne pense pas qu'ils seraient forcément des meilleures solutions si elles sont articulées par quelqu'un qui se pense plus haut-gradé pour des raisons qui lui paraissent obscures (car l'ancienneté rendait peut-être plus mature, mais certainement pas plus réfléchi, surtout à un âge avancé où la boîte crânienne avait terminé d'être façonnée), il a préféré quitter ce pour qui ils travaillaient auparavant, à savoir l'État, afin de se mettre à son propre compte et devenir détective privé. STATUT SOCIAL : La bague orne l'un de ses doigts depuis déjà vingt-sept ans. Températures hivernales qui avaient accueilli l'union de deux individus qui s'étaient perdus sur les voies étriquées d'un amour passionnel et que l'on aurait pensé éphémère. RACE : Loup-garou depuis bien des décennies. Celui dont la transformation a été brutale et involontaire, fardeau qui s'est lourdement posé sur les épaules fragiles d'un garçon à la curiosité ardente mais préjudiciable. Inconscient d'un gamin, insouciante dans les gestes et dans les aventures périlleuses qui l'ont conduit à devenir ce qu'il est aujourd'hui. NATIONALITÉ : Sur les papiers, il est britannique. Néanmoins, ses origines ne s'arrêtent pas à ce terme qui ne forme qu'un meltingpot de plusieurs régions de la Grande-Bretagne et qui pourtant, n'ont parfois rien en commun si ce n'était deux morceaux de terres qui se rejoignent et une langue parlée qui pourrait se ressembler si on ne prenait pas en compte les accents soulignés. ORIGINES : Anglaises, islandaises et écossaises. Un mélange des saveurs de territoires distincts aux traditions variées qui ont néanmoins été oubliées pour la plupart d'entre elles. Un père qui avait toujours vécu dans une banlieue londonienne et dont les ascendants ne connaissaient que les allées de cette dernière, une mère qui est issue d'un mélange entre une islandaise et un écossais et qui n'avait que ses terres natales situées sur une petite île perdue dans l'Atlantique, préférant attendre pour le prince charmant qui mit une poignée d'années à arriver. FAMILLE : Une femme. Une fille. Ceux deux êtres constituent l'importance même de son existence. Tout tourne autour de ces individus qu'il chérit comme jamais il n'avait chéri autrui aussi éperdument. Et c'est sous cette indépendance obsessionnelle et maladive que l'on se rend compte à quel point leur non-présence peut être d'une fatalité qui ne cicatriserait jamais. Elle, son épouse qu'il a l'impression d'avoir connu depuis toujours, elle s'éteint. La flamme ne se ravive plus, elle ne peut plus. Elle périt lentement, agonie de celle qui sait que ses heures sont comptées et qui ne supporte pas de voir les iris d'un époux qui ne laisse apparaître que l'abasourdissement. Elle le sait. Dès lors qu'elle lui soufflera les derniers mots qui resteront à jamais graver, il perdra le contrôle. Il se perdra dans le néant qu'elle comblait par sa seule présence. Et elle, elle a peur. Elle est effrayée à l'idée de le voir sous ce côté qu'il a dissimulé. Elle craint pour sa fille. Ignorante et profane dans le domaine qu'est le surnaturel.

characterization
Le feu et la glace. Une pièce et deux facettes distinctes que l'on a longtemps peiné à différencier. On l'a connu sous cette attitude chaleureuse et on a voulu juré, contredire ces individus en disant qu'il était improbable qu'il soit d'une virulence titanesque. Et quand, pour la première fois, ils ont vu dans les iris assombries une clarté évanouie, ils ont compris que l'homme cachait en lui deux personnalités, dont l'une qu'il valait mieux ne pas éveiller. ○ Il n'a jamais aimé les disputes qui ne portaient sur une aucune ouverture. Il n'a jamais aimé crier pour montrer son mécontentement, se contentant de serrer les poings et de les brandir. L'éloquence était une vertu dont il pouvait faire preuve quand on lui demandait d'articuler en toute simplicité sur des sujets où aucun ne pouvait s'emporter. Dès lors que les voix s'élevaient, il était celui dont l'intonation devenait plus rude afin de faire comprendre qu'il n'était pas nécessaire de tous se laisser aller aux vaines batailles. Et dans la généralité, peu étaient ceux qui dès la première fois l'ont écouté. Alors la brutalité a fait surface, s'est montrée sous les yeux écarquillés et les lippes tremblantes. ○ Lazare est sans aucun doute le fouineur le plus agaçant de Glencullen. Et même de la surface de la Terre ? Après s'être reconverti en tant que détective privé alors qu'il faisait auparavant des études de médecine parallèlement à du journalisme d'investigation, il est devenu celui qui pouvait délier les langues et agripper dans ces paumes rugueuses des informations qui pouvaient animer des repas de famille. Il est celui que les vieilles femmes interpellent dans la rue en criant son patronyme ou simplement en tirant son trench-coat. ○ Si son coeur n'appartient qu'à sa femme et Annabelle, il a toujours su reconnaître les atouts de la gent féminine et a toujours su savoir les utiliser à son avantage quand il s'agissait de soutirer quelques renseignements. Des compliments volés, des brins de sourires qui s'esquissent sur de fines lèvres amusées. Les femmes ont eu la capacité de lui faire perdre la tête mais Astrid est celle qui l'a rendu complètement sénile et lucide à la fois. Un pilier dans son existence, celle qui de par ses lexies pouvait calmer la plus féroce des hargnes qui sommeillait en lui.  ○ Malgré l'existence vécue sur les sols cristallisés d'Islande, c'est un accent écossais qui se manifeste lorsqu'il énoncde ses tirades. La femme qui s'était occupée de lui était islandaise mais aussi écossaise et avait la fâcheuse habitude de faire les discussions familiales sous la langue anglaise. Il en a appris les termes sous les caractéristiques écossaises.  ○ Fut un temps où il était friand des bécanes, deux roux à carcasses métalliques qu'il admirait et dont la sensation de chevaucher était toujours synonyme de liberté. Trouvant cela dangereux et que son existence portait déjà sur des attraits préjudiciables, c'est son épouse qui le convainc de rarement l'utiliser, préférant désormais ses deux jambes pour marcher ou simplement la voiture, moyen de locomotion qu'il n'apprécie que trop peu à cause de mauvais souvenirs qui l'ont toujours hanté. ○ Lazare mange mal. Son alimentation se constitue principalement d'un régime carnassier, légumes et fruits étant des spécimens qu'il peine à ingurgiter sans tirer une grimace. La seule saveur sucrée qu'il peut encore avaler reste le citron, sensation d'acidité qui vient lui picoter les papilles alors que les autres restent des aliments sans goût selon ses dires. ○ Thé ou café, café ou thé, les racines britanniques prennent le dessus dès lors qu'on l'interroge sur ce dont il aimerait s'abreuver. Lazare ne supporte pas l'amertume de la caféine, préférant les douceurs sucrées qui viennent caresser le palais que l'accentuation d'une acerbité déjà profondément ancrée.
world spins madly on
depuis quand habitez-vous à Glencullen ? Et pourquoi avoir choisi cette ville ? : Un peu plus de deux décennies. Vingt-et-un an pour jouer sur les précisions. Il avait pour la première posé les talons dans les allées peu fréquentées d'une métropole qu'il ne connaissait que par les dires infinis de son épouse. Cette dernière, ventre rond sous le huitième mois où l'esquinte creusait ses joues doucettement rosées. Libre-arbitre laissé à Astrid qui voulait renouer avec cette lignée qui était sienne, des frères et des sœurs qui séjournaient depuis leur enfance sur les pavés d'un Glencullen qu'il apprit aisément à connaître. C'est ici qu'il façonna une famille qu'il n'aimait que trop, qu'il rencontra ces individus divers et variés, attisant sa curiosité insatiable quant aux êtres vivants. Glencullen ne semblait pas avoir de grandes particularités qui pouvaient la distinguer des autres agglomérations, mais le faux-semblant fut bien vite estompé par une réalité qu'il apprit à accepter après de nombreuses remises en question quant à la sûreté de cet environnement. Avez-vous remarqué la présence de plusieurs créatures surnaturelles ? Croyez-vous en leur existence ? Si vous êtes vous-mêmes une de ces créatures, avez-vous conscience de la présence de chasseurs, ou vous pensez-vous plus fort qu'eux de toute manière ? : Les traqueurs l'avaient inquiété. Non pas de façon égoïste, mais pour cette famille qu'il forgeait jour après jour. Il ne les connaissait pas et ne voulait pas pouvoir mettre de noms aux visages devant lesquels il feignait l'indifférence alors que les lames tournoyaient devant son museau. On pensait qu'il n'était que Bête et que la monstruosité était ce qui coulait indéniablement dans ses veines cramoisies par l'animosité qui faisait mouver ses membres et qui déliait la langue. Il a longtemps craint ces personnes, effrayé à l'idée qu'ils puissent s'attaquer aux innocents qu'il protégerait tête baissée. Quitte à donner sa vie pour sauver les deux personnes qui lui étaient chères, l'effroi que ces êtres qui se donnaient le nom d'humains puissent faire pression sur cette conscience fragile qu'il possédait dans le simple but de l'amadouer. Ne pas frissonner en leur présence serait impétueux et imprudent. Mais la peur n'évitait pas le danger, alors à quoi bon ? Croyez-vous en l'existence de divinités quelconques ? Avez-vous une religion ? Si oui, laquelle ? La pratiquez-vous sur une base régulière, ou pas du tout ? : La mythologie avait été un vecteur de l'existence menée. Des histoires contées alors qu'il ne dépassait pas même le rebord de la table à manger. Ici bas, dans des contrées reculées et isolées d'un monde extérieur en pleine communication avec les autres, on avait cette portion de terre qui restait en suspens dans un océan vaste comme jamais. Là, on y racontait des légendes nordiques. On y croyait ou on préférait y voir de simples ouvrages pour passionner des enfants et faire transmettre un héritage qui s'effondrait sous les avancées technologiques. Lui, il y a cru et encore aujourd'hui peut-on l'entendre articuler des lexies soulignant la surprise, la colère ou d'autres sentiments pouvant être retranscris, chacune se terminant par un nom de divinité appropriée pour le contexte.

the cool kids
PSEUDO : gallifrey. PRENOM : sherli. AGE : vingt-ans. COMMENTAIRE, SUGGESTION ? : aucune remarque à faire, si ce n'est que le forum envoie du pâté. og í lok, mun hann vera aleinn. 1967561493  AVATAR : david tennant. GROUPE : wolves. PERSONNAGE : inventé.



Dernière édition par Lazare Moriarty le Dim 17 Jan - 14:37, édité 30 fois
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MessageSujet: Re: og í lok, mun hann vera aleinn.   og í lok, mun hann vera aleinn. EmptyVen 15 Jan - 23:59



blóð skreytir snowy lönd
Elle avait l'apparence d'une déesse nordique. Des cheveux aux couleurs ardentes ainsi qu'une silhouette élancée. Son sourire était inoubliable, gravé dans le crâne de celui qui n'avait jamais eu la chance de la rencontrer. Séduisante et ensorcelante sur des photographies anciennes qui ornaient le dessus de cheminée. Elle était partout. Sur les murs décorés d'un papier peint vieillot, sur les tables basses dans le salon. Dans les couloirs étroits et aux lumières vacillantes, son faciès aux traits chaleureux adoucissait l'aspect lugubre qu'apportait la propriété délabrée. Les sols grinçaient à chaque pas effectué, comme une maison qui souhaitait s'exprimer. À la nuit tombée et dans les hivers frigorifiant les plus braves, le zéphyr outrepassait les fenêtres pourtant fermées, laissant un sifflement retentir sur les vétustes parois qui manquaient de s'effondrer. Mère n'était plus depuis quinze années qui s'étaient écoulées d'une lenteur épuisante. Père absent qui avait confié la seule progéniture à la belle-sœur débordée mais qui ne pouvait se résoudre à hocher la tête dans un refus qu'elle aurait peut-être préféré prononcer quand l'heure était venue de prendre une décision. Lazare n'était pas un enfant perturbateur ni même turbulent. Silencieux mais toujours à fleur de peau pour des broutilles qui faisaient sourire les cousins moqueurs, gouailleurs qui savaient s'y prendre pour ridiculiser un Lazare que l'on avait demandé de considérer comme un grand-frère. Si les liens biologiques étaient indéniablement présents, il ne faisait néanmoins pas partie de cette fratrie quand laquelle il n'avait jamais tenté de s'immiscer. Il était devenu comme une figure paternelle pour ces enfants qui n'avaient que quelques années d'écart avec lui mais qui comme lui, ne possédaient pas la présence et les conseils d'un père pour pouvoir être élevé dans un foyer des plus stables. Malheureusement, grandissant et prenant de l'assurance, certains des enfants s'étaient forgé un caractère qui était en contradiction avec celui de Lazare. Mais lui... Lui, il cachait une bête noire en lui. Enfermée, enchaînée dans les plus sombres profondeurs, entrailles nouées pour ne pas perdre un contrôle sur cette violence donc il savait faire preuve. Il avait déjà brandi les poings, avaient déjà défiguré les méritants afin de sauver les chétifs. Une bonne cause, selon lui. Une bonne cause qui fut remarquée et soulignée par l'impulsivité dont il avait fait usage et que l'on avait blâmé. « Monstrueux. Alors qu'il semble toujours si inoffensif. » Les langues s'étaient déliées pour laisser les commentaires acerbes et jugeurs glisser sur le palais. Les gorges semblaient dégagées afin de pouvoir articuler railleusement des spéculations qui avaient pour effet de lui faire serrer la mâchoire, phalanges refermées sur une paume tremblante. « C'est sûrement à cause de ses parents, si vite partis en abandonnant cet enfant. Et ce père... » Puis ils se taisaient, toisant innocemment le concerné en mettant une main devant la bouche comme pour cacher les lippes qui se mouvaient dans les paroles insensées. Lâches, qu'il pensait en prenant la décision lui paraissant la plus approprier : passer son chemin dans une dernière œillade médisante lancée.

mönnum verður skrímsli
« Lazare ? Lazare ! » Les pas dans les escaliers faisaient trembler l'entièreté de la demeure, laquelle on se demandait encore comment elle faisait pour supporter les allées et venues de ses habitants. Le bout des doigts venait effleurer les touches d'un piano dont les sons étaient fatigués, laissant transparaître l'âge de l'instrument qui était aussi ancien que l'endroit où il était logé. Musique des damnés, tintant sous chaque note doucettement pressée. « Hm ? » Il n'avait pas daigné lever le menton afin d'apercevoir les traits tirés, inquiets d'une mère dont les troubles avaient été causés par l'un de ses enfants. « Lazare ! Freyja... » Au simple prénom prononcé, les yeux percutèrent ceux de la femme. Iris perçantes, les deux paumes vinrent frapper les touches qui laissèrent échapper un vacarme tonitruant et qui fit grimacer le félin de petite taille. « Quoi, Freyja ? » La pauvre reprenait son souffle alors qu'elle articulait qu'une incompréhension indigeste pour Lazare qui s'était mis à froncer les sourcils. On pouvait lire le mécontentement sur le visage, ce dernier masquant une angoisse grandissante. Lazare avait dix-huit ans. Freyja, seulement trois ans. Et au-dessus d'eux, la matriarche qui s'était abandonnée dans des sénilités incontrôlables et incontrôlées. « Je ne la trouve pas... » Les mots le blessaient, tous et chacun. Il serrait la mâchoire alors que les paumes n'avaient envie que d'attraper le col de cette pauvre femme qui ne comprenait plus rien, qui ne faisait plus attention aux moindres détails, même les plus imposants. Elle était devenue si faible, infirmité d'une vieillesse grandissante qui l'avait attrapé alors qu'elle n'avait que trente-neuf ans. Le dur labeur d'une existence qu'elle ne pouvait plus endosser sans tituber. « Elle n'était pas censée être ramenée par Hazel ? » Hazel, quatorze ans et la plus écervelée des bambins de la fratrie. On le scrutait, les iris qui transpercèrent la carapace pourtant solide. Il ne voulait pas croiser une énième fois le regard vide d'une tutrice qui devenait encombrante pour la sureté des autres. Lazare, il l'appréciait quand elle ne faisait pas tout foirer. Lazare, il l'appréciait quand elle restait calmement assise dans le fond d'un fauteuil craquelé de toutes parts à garder du coin de l'œil une surveillance sur ses propres enfants. La porte claqua dans un vacarme qui le fit presque sursauter alors qu'il en était à l'origine. Plissant les yeux pour essayer de distinguer des silhouettes sous une neige épaisse qui tombait d'un ciel noirci par la nuit tombée, il n'avait pas pris la peine d'enfiler une couche supérieure et sentait déjà l'air se glisser sous ses habits, épiderme titillée par une vent glacial qui lui faisait hérisser les poils. Les pas s'ancrant dans les diamants éphémères, il put rapidement apercevoir deux silhouettes accourir vers lui. Le souffle se transformait en une vapeur qui s'évanouissait dans l'atmosphère et le plus grand des individus posa l'une de ses paumes sur l'épaule de Lazare qui ne comprit qu'un tiers de ce qui lui était énoncé. Franz n'avait jamais été très clair dans ses propos, mais on pouvait lire la panique dans les iris éclairées par une lune presque pleine. Ou peut-être l'était-elle ? Il ne saurait dire. Il détailla rapidement Freyja qui avait l'air d'avoir mis toute son énergie dans la course qu'ils avaient entrepris. « Et Hazel ? » fut l'interrogation qu'il articula finalement alors qu'il avait cette attitude des plus sévères qu'il traduisait par une voix rauque et le visage creusé par l'inquiétude. « Elle était derrière... » Était. Elle ne l'était plus et ça, il pouvait le distinguer amèrement. Donnant une petite tape sur l'épaule à Franz ainsi qu'en ébouriffant les cheveux de l'enfant, il continua d'avancer dans une détermination qui rendait sa démarche beaucoup plus rude qu'auparavant. Devant lui se dressait d'innombrables troncs, forêt qui cachait l'entièreté de son antre sous une pénombre déstabilisante. Idiote, qu'il se permit de penser en ayant entendu qu'Hazel avait eu la mauvaise idée de se rendre dans la forêt avec son frère et sa petite sœur, dans le seul but de ressentir une angoisse et une montée d'adrénaline qui l'avaient toujours attiré. Pénétrant sur des passages boueux, ses mains vinrent écarter les quelques branches qui gênaient alors qu'il tendait l'oreille afin d'entendre de quelconques bruits de pas. Le souffle strident du vent qui zigzaguait entre les feuilles provoquait un sifflement qui lui creusait le front dans des sourcils froncés par l'agacement. Puis un cri. Un simple cri qui le fit redresser alors que son faciès se tournait vers la droite. Provenance du son. Voix qu'il ne connaissait que trop bien. D'un côté, il aurait certainement préféré ne rien entendre. Car l'hurlement ne présageait rien de bon et qu'il s'imaginait d'ores et déjà la pire des choses qui aurait pu lui arriver. Sans plus attendre, ses jambes se mirent en marche et il accourût du côté où il avait entendu le braillement qui s'était affadi dans les grésillements mélodieux de la nature. « Hazel ? » Il s'accroupit en face du corps qui était allongé sur le sol et qui se tortillait sous la douleur. Supplices dont il ne comprenait pas l'origine, il mit sa main sur son avant-bras et put constater le liquide cramoisi qui s'écoulait. Elle gueulait si fort qu'elle aurait été capable de réveiller toute l'Islande. « Putain mais qu'est-ce que t'as foutu ? » Souffle saccadé et cri qu'elle étouffait en essayant de retrouver un semblant de calme dans ces événements qu'elle ne comprenait, elle n'arrivait pas à prononcer un seul mot, ne pouvant expliquer ce qu'elle aurait voulu énoncer. Ne trouvait-elle pas les termes ? État de choc qu'il pouvait comprendre alors qu'il observait les crocs dessinés dans la chair humaine. Rugissement à en faire chanceler les plus braves, elle se remit à crier dès lors que deux pupilles rouges se dessinèrent dans l'obscurité. Lui, il serrait la mâchoire en ne sachant réellement pas à quoi s'attendre. Il se souvenait d'avoir baissé la tête en se mettant au-dessus d'Hazel. Il se souvenait de tranchants qui pénétrèrent les fibres de son épiderme. Il se souvenait des déchirements de cette peau tiraillée. Du râle âpre qui ébranla son dessein et bouscula tous les fondements et principes auxquels il croyait.

ást rekindles mannkyninu
Fatras de sournoiseries, de boniments et de fadaises qu'il faisait avaler aussi bien aux candides qu'aux plus preux, lui, il ne se perdait pas dans le chemin sinueux des mensonges articulés et se contentait de merveilleusement jouer ce rôle de l'homme à l'aura baignée de sainteté afin d'obtenir compliments, privilèges, avantages et respect tandis que des regards se tournaient vers sa carrure, envieux que l'on lisait dans les iris scrutant. L'argent glissé dans des enveloppes, des coupures laissées sur des bureaux de bois conçus, des sourires esquissés sous un sourcil arqué. Quand les mallettes de biffetons n'assuraient pas les machinations et l'apprentissage des informations, le corps venait se cambrer, se courber, s'incurver, fléchissait celui qui serrait dans ses poings fermés, des draps dont il pouvait humer l'effluve de l'époux de celle qui satisfaisait des desiderata avec un autre. Elles se pensaient princesses, dominatrices déchus car il était en réalité celui qui menait la distraction quand bien même on pouvait aisément l'effleurer, le caresser, flatter des endroits sensibles sans qu'il ne bisque. Les saisons passèrent et laissèrent des marques, neiges maculées de la tornade qu'il était, briseuse des âmes et des lucidités, celui qui au bord du gouffre, poussait tous ces autres dans le vide. Puis on l'a agrippé alors qu'il s'apprêtait à sauter. Ou il s'est accroché par crainte de sombrer sans jamais remonter ? Inconsciemment, jeux de sentiments, de sensations et de séductions qui retenaient pendant un instant celui de la manipulation. Le plaisir dans l'amour et l'amour dans le plaisir. Si autrefois les corps s'entrechoquaient et que les bassins mouvaient dans des rythmes synchronisés avec pour simple but d'atteindre des desseins individualistes et narcissiques, l'union charnelle était désormais motivée par amour et dévouement pour l'autre. Astrid. Elle s'était logée dans ses bras pour ne plus jamais en ressortir. Nuit muette, silence dans la pénombre, baisers volés dans des étreintes, les lippes frôlaient les épidermes et le bout des phalanges en faisait de même tandis que les souffles s'entrelaçaient dans une danse des moins régulières. Battements de cœur, ce dernier qui s'affolait à chaque parcelle de peau que les paumes se donnaient la tache de découvrir. Les intimités découvertes et redécouvertes, les doigts s'entremêlaient entre eux, les paumes l'une contre l'autre, les jambes féminines qui s'enroulaient autour de son bassin à l'ardeur dissimulée, brutalité que sa femme avait toujours craint de découvrir mais qui se dessinait un peu plus à chaque fois. L'affection voilait la nature première, cupidité d'une femme qui n'avait toujours voulu que plus dans son existence. Plus d'adrénaline, plus de dynamisme, plus d'imprévus, plus d'amour. Plus de tout. La vie était fade, goût dégueulasse au fond de la gorge, morosité qu'on trouvait facile de masquer sous des lèvres que l'on se forçait à étirer. Mais elle s'éclaircissait aux côtés de Lazare. « Je t'aime. » qu'il énonça, confession bien trop articulée au fil des semaines et des jours, si bien que l'on pouvait se demander si elle était toujours aussi authentique. Elle l'était. Il aimait Astrid, aussi surprenant que cela pouvait paraître. Il le pensait. Il le savait, qu'il l'aimait, que rien ne pouvait bousculer ces sentiments qui s'étaient enracinés en lui et que ces derniers allaient être démultipliés par l'arrivée d'une petite fille qui était sienne.

écrit pour la demande de don (suite chronologique)
Demi-lune à son apogée qui laissait la clarté de ses rayons se perdre sur des territoires enneigés. On entendait les souffles haletant se perdre dans les bourrasques d'un vent tempétueux, les branches des arbres dansant au rythme des caresses hivernales. On voyait les pommes d'Adam bouger à chaque ravalement de salive, les poumons peinaient à garder la cadence d'une course que les individus n'avaient malheureusement pas pris l'habitude d'entreprendre. Les pas dans la neige étaient nombreux, semelles enfoncées qui laissaient des marques éphémères aussitôt couvertes par les cristaux tombant des cieux. Lazare humait le parfum des individus qui parcouraient des sentiers battus et abandonnés, des marches indiscrètes qu'il pouvait entendre quand bien même il n'aurait pas eu la capacité de percevoir des bruits lointains. Mélodie des discussions qui s'entremêlaient et des colères qui montaient, il plissait les yeux afin d'observer ces groupes formés dans la hâte. Lazare, quarante-huit ans et détective privé à son propre compte. Lazare, bien trop borné et insupportable pour n'être que le pion d'une autorité supérieure. Lazare, encore et toujours maître de sa propre personne et jamais il en aurait été autrement tant qu'il avait sa famille à ses côtés. Jamais, Ô Grand Jamais ne pourrait-il mettre en périple les vies de sa femme et de sa seule descendance qu'il chérissait comme jamais il n'avait su aimer dans des époques lointaines. Ses iris sombres parcoururent les alentours vidées d'une quelconque forme de vie animale. Seuls les arbres ainsi que la faune environnante comblaient un paysage assombri par une nuit tombée à peine dix-neuf heures sonnée.

Une main passée dans les cheveux qu'il ébouriffait instinctivement dès lors qu'il se retrouvait dans une situation pénible avec un brin d'amusement qui persistait à s’immiscer, il se permit de reculer de quelques pas quand ses sens percutèrent de nouvelles présences. Puanteur d'un poison, senteur qui lui tira une grimace mémorable alors que le fumet se propageait dans ses narines retroussées. Et l'odeur de la ferraille taillée en des balles perçantes ou des lames tranchantes. Aconit et argent. Il déglutit en fronçant les sourcils qui laissèrent apparaître deux petits creux au bas de son front en prenant conscience que les problèmes s'étaient invités sans en avoir reçu l'autorisation. Si les humains insignifiants le pourchassaient, c'était pour une simple affaire sur laquelle le côté inquisiteur de Lazare fit grincer des dents. Si les autres étaient présents, c'était pour la soif des idées dominantes de leur camp. Celui des Chasseurs. Les mains jointes, mâchoire serrée sous une pression qu'il n'appréciait pas. Combien étaient-ils ? Ses oreilles écoutaient attentivement. Filtre placé sur les bruits inutiles. Lazare inspira légèrement et se contenta de serrer les poings. De toutes parts, il pouvait flairer les pestilences qui ancraient un goût amer au fond de sa gorge. En humectant ses lèvres, il tourna les talons en mettant ses mains dans les poches et ce fut un sourire des plus radieux qu'il dessina sur le faciès taillé par le temps. « Eh bien, qu'est-ce qu'un morveux comme toi, empestant le tue-loup à des kilomètres à la ronde, fait dans les environs, à cette heure-ci ? » Lazare Moriarty, élevé sur les sols écossais et dont l'accent tailladait comme jamais. L'enfant n'en était pas réellement un. Il devait être dans les environs des vingts années envolées mais pour lui, pour l'ancêtre dont il pouvait donner l'image, la personne en face n'avait que dans les âges de sa propre fille, voire moins. La réponse se voulait bafouillée, et Lazare comprit rapidement que son assaillant, qui pouvait néanmoins se trouver en position de victime, n'avait pas été habituée aux chasses et traques pénibles qui pouvaient malheureusement se terminer dans des bains de sang.

Et Lazare... Lazare, on savait qu'il n'avait jamais été raisonnable et astucieux d'attiser le côté animal qu'il n'enfermait que trop souvent et qui ne demandait qu'à être libéré de l'emprise d'une conscience lourde de vertus et de charité. « Un conseil, entre toi et moi. » Il s'approchait, la prestance qui dégageait une aura inquiétante qui fit instinctivement reculer le pauvre enfant. « Cours. » Il s'interrompit alors qu'il faisait craquer sa nuque dans deux mouvements brusques et distincts. « Cours, parce que moi, comme toi, j'ai un code. Moi, comme toi, je ne m'attaque pas aux gosses. » Les pauses semblaient interminables et ne duraient pourtant qu'une poignée de secondes. « Mais si les gosses m'attaquent, c'est qu'ils se considèrent dignes d'affronter les ténèbres tout comme la faucheuse en elle-même. » Et la faucheuse, ce sera moi si tu ne te décides pas à prendre tes jambes à ton cou. Puis le con gueula, alertant tous et chacun de sa position. Leur emplacement, à tous les deux. Sans prendre la peine de se concentrer sur les bruits de pas, il pouvait entendre les corps se déplacer en groupuscules. Six chasseurs, sans compter le faux-jeton. Deux venant d'en face, deux de gauche et deux à sa droite. Si rapides, si vifs. Il n'avait pas le temps de courir sur ses deux jambes, ça aurait été vain, des efforts tombés dans l'oubli quand on l'aurait lamentablement poignardé ou que sa chair aurait été transpercée par une balle d'un argent brillant mais surtout mortel.

Râle coincé dans les entrailles, étouffé par les canines qui rejoignaient les dents du bas, les tourments commandés par sa volonté propre. Les poings se serraient, les phalanges tremblantes alors que le bout de ces dernières venaient se planter dans les paumes repliées, si fort que l'on en oubliait le supplice vécu dans l’entièreté du corps. Négligence d'une douleur supplantée par une colère incontrôlable. Lazare n'avait jamais compris pourquoi on pourchassait les siens. Lazare ne voulait pas ouvrir les paupières et constater des faits qui le répugnaient : la chasse pour le simple plaisir de tuer. Les chasse pour la satisfaction de devenir animal comme ceux qu'ils chassaient. Ils se pensaient meilleurs. Ils se pensaient sauveurs des humains alors qu'eux-même n'avaient plus aucune part d'humanité dès lors qu'ils brandissaient lames et armes de poing. Lazare était conscient. S'il était resté sous sa forme humaine, il aurait abattu et personne parmi les chasseurs n'aurait cherché à savoir qui il était réellement. Aux yeux de ces individus, il n'était qu'une bête parmi les autres. Une à éliminer sans se poser d'interrogations.

L'agonie le fit vaciller, les jambes qui ne demandaient qu'à lâcher alors que l'on entendait les os se foudroyer, mis en morceaux pour se reconstituer dans une forme différente. Les membres se fracturaient et chaque déchirement le rendait d'autant plus agressif. Les yeux écarquillés sous l'affliction qu'il avait lui-même accueilli, l'humain disparût dès lors que les pupilles laissèrent apparaître un bleu reluisant. Lazare était tombé en avant, les coudes s'étaient posés sur le sol humide et boueux d'une neige qui s'était réchauffée. Un cri grave. Un dernier hurlement qu'il ne put pas étrangler alors qu'il devenait Lui, laissant place au grognement bestial et inhumain, appel d'un loup solitaire dont aucune réponse allait se faire entendre.

L'enfant n'était plus là. Parti. Mais en face, au loin, deux silhouettes qui s'approchaient doucement et qui attendaient d'avoir un visuel plus performant pour se lancer. Lui, il n'attendit pas, il ne le voulait pas. Lui, il ne voulait rien si ce n'était bondir sur eux tout en continuant sa route. Pour fuir. L'un des avantages de la forme lupine que l'on pouvait contrôler plus ou moins aisément était ce côté d'ordre qu'il possédait. Il pouvait réellement contrôler les actions qu'il entreprenait de faire. Il fallait simplement résister à l'instinct animal, ce qui n'était malheureusement pas aussi facile que de l'évoquer en de simples mots. Alors parfois, il y avait des débordements. Quand la fureur était suscitée et stimulée par ces imbéciles qui ne pouvaient tout bonnement pas déguerpir. Quand ces irréfléchis lui tiraient dessus ou s'approchaient idiotement pour l'effleurer d'un tranchant qui le rendait bourru. Quand on voulait le tuer, alors que lui, il voulait vivre mais qu'on ne le lui en donnait pas la permission. Ce soir-là ? On a dû déplorer un seul corps qui aurait été méconnaissable si d'autres victimes avaient été aussi déchirées. Un humain. Un putain d'humain qui n'avait rien d'un chasseur. Un égarement, celui qui a voulu se défendre en voyant une créature bondir, qui a tiré dans les pattes de la bête qui se défendit. Et quelques blessés qui ont été assommés dans les bousculades. Puis finalement, un homme, dépité, qui avait poussé la porte arrière de la maison où il logeait et s'était glissé dans les draps aux côtés de sa femme en peinant à s'endormir.

stjórn er glatað
Elle mourait. On disait que c'était son cœur qui lâchait et qui pouvait en seulement l'espace d'un instant, d'un battement de cils, sombrer dans un monde inanimé qui n'était pas le sien. La voyant ainsi, installée dans un fauteuil à tourner machinalement des pages d'un magazine féminin, elle semblait bien aller. Impressions sur la réalité, illusions et simulacres qu'elle dissimulait derrière des sourires étirés qui tentaient de cacher l'épuisement d'un faciès aux traits éreintés. Quand il la toisait ainsi, il ne pouvait pas discerner la maladie. Il restait dans son univers où elle allait pour le mieux, où elle était capable de venir faire une promenade matinale qui durait plus d'une dizaine de minutes avant qu'elle ne soit totalement essoufflée, les poumons bataillant pour faire fonctionner la machine brisée à son noyau principal. Il ne pouvait esquisser un quotidien sans cette femme qu'il avait à ses côtés depuis deux décennies, il ne pouvait pas se résoudre à l'idée qu'elle puisse s'en aller avant lui. Satanée maladie, foutue corps qui ne pouvait pas combattre un mal comme celui-ci. Astrid était consciente du fait que son époux avait positionné un voile opaque devant sa raison. Et tant bien que mal, elle tentait de lui faire subtilement comprendre qu'elle n'en avait plus pour longtemps, mais lui... Lui, il changeait de discussion. N'ayant jamais su gérer des sentiments qui se rapprochaient d'un mal-être, d'une tristesse vorace et d'une colère qu'il ne pouvait pas contrôler sans elle, il vivait dans le déni des plus total. Et ce désavoué ? Ça allait le mener à sa perte.



Dernière édition par Lazare Moriarty le Dim 17 Jan - 14:26, édité 41 fois
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Cilian O'Callaghan
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Cilian O'Callaghan
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Statut civil : Célibataire. A vrai dire, son coeur, il lui a été arraché violemment de la poitrine et il gise là, désormais, à ses pieds et dans une flaque de sang grandissant à vue d'oeil.
Occupation : Etudiant en médecine, pour se spécialiser en chirurgie.
Élément : Terre. Il a connecté lorsqu'il avait 16 ans, lors d'un accident de voiture dans les bois. La terre l'a sauvé.
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MessageSujet: Re: og í lok, mun hann vera aleinn.   og í lok, mun hann vera aleinn. EmptySam 16 Jan - 0:02

Les hommes c'est la vie, just saying. What a Face Arrow
Bienvenue !

(ah j'avais oublié de réserver JLC, pour le scéna de James, mais vu que la fille qui l'a pris change, tu peux l'avoir. What a Face )
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MessageSujet: Re: og í lok, mun hann vera aleinn.   og í lok, mun hann vera aleinn. EmptySam 16 Jan - 0:04

Non mais oui, t'as totalement raison, mon coeur penche pour David donc finalement, même si JLC est libre, je vais me laisser tenter par le mâle (mal ? Arrow). Alors si c'est possible de réserver le petit Tennant, je vais pas dire non. og í lok, mun hann vera aleinn. 609690373 Et merci pour l'accueil, bien évidemment. I love you
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Âge : 23 ans qu'il vit dans ce monde et que ce poids accable ses épaules
Statut civil : plus vraiment célibataire, mais le cœur déjà volé par des yeux noirs
Occupation : étudiant en médecine, spécialisé dans les drogues, il suit le parcours classique des membres de sa famille. Il pourra sans doute tenir un laboratoire pharmaceutique dans une dizaine d'années.
Armes de prédilection : couteaux de lancer sont ses armes préférées
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MessageSujet: Re: og í lok, mun hann vera aleinn.   og í lok, mun hann vera aleinn. EmptySam 16 Jan - 5:39

Moi j'aime bien David Tennant ! Et le mâle c'est all good **
Bienvenue ici og í lok, mun hann vera aleinn. 3269535315
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MessageSujet: Re: og í lok, mun hann vera aleinn.   og í lok, mun hann vera aleinn. EmptySam 16 Jan - 11:10

Et j'aime beaucoup O'Brien. og í lok, mun hann vera aleinn. 3799336089
Merci à toi. I love you og í lok, mun hann vera aleinn. 3763613510
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Âge : vingt-six ans, des années qui ont défilé beaucoup trop vite à ses yeux.
Statut civil : seul, sans vraiment l'être. toujours entouré, jamais attaché. il n'aime pas, mais il a besoin que les autres le fassent. il reste célibataire, car il se lasse beaucoup trop vite.
Occupation : ambulancier, il sauve des vies au quotidien. ça compense avec celle qu'il est forcé de prendre chaque pleine lune.
Élément : l'élément destructeur, le feu qui brûle, qui ravage tout sur son passage.
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MessageSujet: Re: og í lok, mun hann vera aleinn.   og í lok, mun hann vera aleinn. EmptySam 16 Jan - 12:18

un loup og í lok, mun hann vera aleinn. 3483819306
bienvenue parmi nous et bonne chance pour ta fiche I love you
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MessageSujet: Re: og í lok, mun hann vera aleinn.   og í lok, mun hann vera aleinn. EmptySam 16 Jan - 12:21

Merci à toi Nolan. og í lok, mun hann vera aleinn. 1302174765 og í lok, mun hann vera aleinn. 2391984088
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Azilis Harkwood
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Âge : vingt-quatre années que le monde l'a vue naître - vingt-quatre années qu'elle vagabonde et qu'elle essaie.
Statut civil : elle sait que son coeur bat pour quelqu'un - mais pour qui, cela lui a toujours échappé.
Occupation : on la voit souvent vendre des fleurs et des plantes en pots, mais rares sont ceux qui savent que la nuit, elle sort et chasse ceux qui la chassent.
Armes de prédilection : les armes blanches ; elle ne sort pas sans un couteau à la cheville gauche, et lors de ses chasses, sans deux grandes lames dans le dos, parfois même accompagnées d'une épée à la ceinture. elle sait aussi manipuler les hormones et les parfums, comme le reste des membres de sa famille.
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MessageSujet: Re: og í lok, mun hann vera aleinn.   og í lok, mun hann vera aleinn. EmptySam 16 Jan - 12:51

COMMENT, JE SUIS PAS ENCORE PASSEE PAR LÀ? og í lok, mun hann vera aleinn. 1538510807 bienvenue officiellement, then og í lok, mun hann vera aleinn. 3799336089 bon courage pour ta fiche, hésite pas si tu as la moindre question og í lok, mun hann vera aleinn. 1967561493
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Cora Barrett
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Cora Barrett
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Âge : vingt-quatre ans, déjà. vingt-quatre années qu'elle n'a pas vu défiler et qu'elle regrette déjà.
Statut civil : seule. coeur vide. esprit vagabond. cora ne s'attache pas, le goût de la liberté est beaucoup trop plaisant, addictif.
Occupation : elle étudie la médecine avec une passion dévorante, mais elle chasse avec une passion encore plus grande, consumante.
Armes de prédilection : arc, poignards, ses armes de prédilection sont nombreuses. elle ne peut cependant pas nier que l'élégance de l'arc l'attire un peu trop. la rapidité des flèches est impressionnante, elles se fondent dans le paysage et sont silencieuses. le silence est sans doute le point fort de cora.
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MessageSujet: Re: og í lok, mun hann vera aleinn.   og í lok, mun hann vera aleinn. EmptySam 16 Jan - 12:59

DAVID TENANT. og í lok, mun hann vera aleinn. 2391984088 og í lok, mun hann vera aleinn. 2391984088 og í lok, mun hann vera aleinn. 2391984088
Bienvenue parmi nous et bonne chance pour ta fiche, n'hésite pas si tu as besoin de quoique ce soit. I love you I love you
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MessageSujet: Re: og í lok, mun hann vera aleinn.   og í lok, mun hann vera aleinn. EmptySam 16 Jan - 15:12

merci beaucoup à vous deux (avec vos avatars de dingues og í lok, mun hann vera aleinn. 3190238330). og í lok, mun hann vera aleinn. 609690373 I love you et je n'hésiterais pas si j'ai des questions. og í lok, mun hann vera aleinn. 2391984088
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MessageSujet: Re: og í lok, mun hann vera aleinn.   og í lok, mun hann vera aleinn. EmptyDim 17 Jan - 12:40

The doctor en loup, il va nous falloir un lien. og í lok, mun hann vera aleinn. 1271795011
Bienvenue. og í lok, mun hann vera aleinn. 1050079111
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MessageSujet: Re: og í lok, mun hann vera aleinn.   og í lok, mun hann vera aleinn. EmptyDim 17 Jan - 12:49

Je suis d'accord, puis Colton quoi, ce petit bonhomme est un ange. I love you
Merci à toi. og í lok, mun hann vera aleinn. 3763613510 Dès que je termine ma fiche j'irai lire la tienne. og í lok, mun hann vera aleinn. 1736951255
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Cora Barrett
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Âge : vingt-quatre ans, déjà. vingt-quatre années qu'elle n'a pas vu défiler et qu'elle regrette déjà.
Statut civil : seule. coeur vide. esprit vagabond. cora ne s'attache pas, le goût de la liberté est beaucoup trop plaisant, addictif.
Occupation : elle étudie la médecine avec une passion dévorante, mais elle chasse avec une passion encore plus grande, consumante.
Armes de prédilection : arc, poignards, ses armes de prédilection sont nombreuses. elle ne peut cependant pas nier que l'élégance de l'arc l'attire un peu trop. la rapidité des flèches est impressionnante, elles se fondent dans le paysage et sont silencieuses. le silence est sans doute le point fort de cora.
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MessageSujet: Re: og í lok, mun hann vera aleinn.   og í lok, mun hann vera aleinn. EmptyDim 17 Jan - 15:09


Tu es des nôtres !
T'as bouffé ton humain comme tous les auuutres !
Wow, trop cool, t'es enfin des nôtre mon p'tit ! Alors avant de commencer le blabla un peu chiant, je vais quand même te dire ce que j'ai pensé de ta fiche : Bon. Alors. Ta fiche est une PURE MERVEILLE. What a Face ta plume est superbe et je suis fan. og í lok, mun hann vera aleinn. 3483819306 .

informations pratiques
Et maintenant, parlons bien parlons peu, parlons de tout ce que tu peux faire maintenant que tu es validé. Alors déjà sache que la première chose que tu dois faire, et c'est très important, c'est de recenser ton avatar. Si tu ne le fais pas et que quelqu'un d'autre le prend, c'est toi qui devra changer. Tu peux donc faire ça ici. Ensuite, tu auras peut être envie de te trouver des potes, non ? Tu peux aller t'ouvrir un répertoire de liens, mais si jamais ce n'est pas assez, tu peux aussi te faire un scénario. N'oublie pas non plus d'aller te recenser dans les différents répertoires. Et puis si tu cherches un rp, ne cherche plus, va directement faire une demande !
Voilà, c'est tout ! N'hésite pas à venir flooder avec nous !

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MessageSujet: Re: og í lok, mun hann vera aleinn.   og í lok, mun hann vera aleinn. EmptyDim 17 Jan - 15:11

og í lok, mun hann vera aleinn. 234914237 Des compliments. J'te bisoute les fesses juste pour ça (et pour avoir pris le temps de lire ma fiche og í lok, mun hann vera aleinn. 1967561493). Merci pour la validation, je vais de ce pas faire tout le côté administratif. og í lok, mun hann vera aleinn. 609690373
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MessageSujet: Re: og í lok, mun hann vera aleinn.   og í lok, mun hann vera aleinn. Empty

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